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  • L’année 2024 s’achève !

    L’année 2024 s’achève !
    Elle fut difficile à de nombreux égards, mais aussi, à Paris, exaltante avec les @jeuxolympiques et @Paralympics !
    Ce récapitulatif en images de mon année militante nous rappelle que pour #Paris comme pour mes combats sur la fin de vie, pour l’égalité et contre le #sida, les défis restent nombreux !
    A mon niveau, je continuerai à les relever en 2025.
    Forcément, comme pour chacun d’entre vous, mon coeur souffre en ce 31 décembre pour nos compatriotes de #Mayotte, mais aussi forcément pour les otages israéliens des terroristes du Hamas et la population civile de Gaza subissant de terribles crimes de guerre.
    Sans oublier nos amis ukrainiens…
    Ce soir, je vous souhaite un merveilleux réveillon avec une pensée particulière pour celles et pour ceux qui sont malades et/ou seuls.

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  • Beau réveillon et pensées pour celles et ceux qui vont mal...

    Joyeux réveillon a toutes et tous.
    Et surtout des penses pour celles et pour ceux qui ne vont pas bien ou sont dans la solitude...

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  • Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir !

    Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir ! J'ai envie de le partager avec vous pour vous rappeler l'inhumanité de nos lois sur la fin de vie.
    Il faut que ça change !
     
    Cher Monsieur Romero-Michel,
     
    Quelque chose d'inexpliqué m'a décidé, en vous voyant il y a quelques semaines dans un reportage télévisé sur une drogue de synthèse qui fait des ravages chez les jeunes, à reprendre contact avec vous pour essayer de relancer une conversation que j'avais tenté d'entamer Il y a maintenant une quinzaine d'années (voir messages ci-dessous).
     
    J'étais parvenu à l'époque à entrer en contact avec Mme Marie Humbert après quelques recherches sur Internet, qui m'avait gentiment appelé pour une conversation qui avait finalement duré une bonne heure. Vous m'étiez apparu à l'époque comme un bon point de continuation pour discuter de l'aspect légal de la question de la fin de vie. Comme vous pouvez le constater ci-dessous, j'avais fini par renoncer votre emploi du temps très occupé. J'imagine que cette situation n'a pas vraiment changé vu les fonctions que vous occupez, mais je vais cette fois me contenter de vous envoyer quelques remarques en espérant simplement qu'elles soient lues et trouvent un jour leur place dans le débat national.
    Je fait partie de la catégorie de personnes que j'appelle les laissés pour compte des lois sur la fin de vie. Ces personnes qui ne sont pas mourantes, mais vivent un calvaire au quotidien qui peut se prolonger indéfiniment. Je ne voudrais pas vous ennuyer avec l'histoire de ma vie, mais quelques informations sur mon passé vous donneront peut-être une meilleure idée de ce que je ressens au quotidien.
    J'ai passé toute mon enfance en Côte d'Ivoire où je suis né, avant de finir ma terminale et de passer une année en faculté de médecine à Nice. Je me suis tout de suite rendez compte que ce n'était pas vocation, et je suis parti aux États-Unis pour continuer mes études, en finance et comptabilité. J'ai eu la chance d'être diplômé de bonnes écoles (Wharton et Columbia Business School) et de pouvoir commencer une carrière professionnelle à Philadelphia, New York puis Washington. En tout, un séjour d'une douzaine d'années qui s'est terminé après un accident en 2002.
    Depuis l'enfance, j'ai mené une vie faite d'activités physiques, en extérieur, ou les deux. Judo, tennis, planche à voile, aviation, moto... Malgré ce que pourrait suggérer mes diplômes, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un stimulé par l'activité intellectuelle. Mes loisirs à l'âge adulte étaient essentiellement l'aviation (j'ai une licence de pilote professionnel) et la course moto en amateur, que je pratiquais en alternance l'hiver et à la belle saison. C'est lors d'une compétition sur un circuit en Virginie Occidentale que j'ai subi un grave accident en 2002 auquel j'ai eu la malchance de survivre. Je mesure bien le poids de mes mots.
    Cet accident est pour moi l'équivalent de la peine capitale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis, avec des procédures d'appel à répétition s'étalant sur des décennies. Lors de mon premier séjour hospitalier à Washington après l'accident, un médecin m'a informé qu'une personne dans mon état avait une espérance de vie moyenne d'environ 7 ans. Je trouvais déjà que cela faisait 7 ans e trop pour une personne en perte totale d'autonomie sur le plan moteur, incapable de tenir un verre d'eau ou un morceau de pain. J'étais prêt à partir le jour même si l'option m'était présentée, et mon avis n'a pas changé en 22 ans.
    Je suis revenu en France un an après l'accident à l'insistance de mes parents pour des opérations chirurgicales et de la rééducation, et j'attends depuis que les lois changent et permettent à des personnes comme moi de mourir dignement. Lors de mon premier séjour hospitalier en France en 2003, ma famille s'inquiétait de mon état d'esprit et m'a fait évaluer par mon médecin rééducateur à Berck.  Celui-ci est rapidement parvenu à la conclusion que j'étais parfaitement rationnel et que mon désir à ne pas vivre avec une forme lourde de tétraplégie n'était en aucun cas lié à une quelconque forme de dépression.
    Beaucoup de personnes lourdement handicapées trouvent des raisons personnelles de s'accrocher à la vie, quelque soit sa qualité. Je les admire et les envie. Ce n'est simplement pas mon cas. Je ne souscris pas à la croyance que toute vie est sacrée et vaut mieux que la mort. Dans un sens, c'est un peu comme la foi. Certains l'ont, d'autres pas. Ça n'en fait ni de meilleures, ni de plus mauvaises personnes. Les gens sont juste différents face à certaines situations et je pense qu'il faut respecter ces différences, à défaut de les comprendre. Personnellement, ma position sur le sujet a été forgée par une visite avec mon père chez mon arrière-grand-mère quand j'avais 15 ans, pour ce qui s'est révélé plus tard avoir été ma dernière occasion de la voir vivante. Je me souviens les avoir laissés tous les deux et être sorti de la chambre pour aller pleurer dans une autre pièce de la maison. Et j'ai ressenti pour la première fois de ma vie ce sentiment de préférer qu'elle ne soit plus de ce monde plutôt que de la voir dans cet état de fatigue et de démence mentale. Mon opinion sur la question de fin de vie n'a donc rien à voir avec ma situation personnelle et s'était déjà construite 15 ans auparavant.
    Incapable de produire quoi que ce soit, je ne suis d'aucune utilité à la société. Je représente juste un coût Imposé à des personnes qui travaillent et paient des impôts. Pourquoi donc cette société dans son ensemble s'oppose-t-elle par le biais de ses politiques à mon droit de disposer comme je l'entends de ma vie, en rendant illégaux des produits qui pourraient m'aider à mourir dignement sur mes propres termes, et en menaçant toute personne qui aurait la générosité de m'y aider? Comment peut-on justifier de traiter des animaux de compagnie avec plus de compassion que des personnes humaines? Pourquoi décide-t-on qu'un chien souffre trop pour continuer de vivre alors qu'il est impossible d'obtenir son consentement, alors que l'on refuse ce droit à une personne qui peut t'exprimer son choix ?
    La cause fondamentale de cette situation, que les personnes l'admettent ou pas, est enracinée dans l'histoire religieuse de nos sociétés modernes. Je ne suis pas fondamentalement opposé à toute influence religieuse dans l'écriture de textes loi de la vie civile, mais il faut savoir faire la part des choses. Dans "Tu ne tueras point", des personnes rationnelles devrait être capables de faire la différence entre un meurtre et une personne désireuse d'en finir avec une vie insoutenable. Faire du zèle en empêchant des personnes de choisir d'elles-mêmes de vivre ou non dépasse, à mon avis, le cadre de l'influence acceptable de convictions religieuses sur la vie des personnes qui ne les partagent pas. J'ai conscience d'assez mal exprimer mon opinion sur ce sujet. J'étais plutôt mauvais en philosophie au lycée, principalement parce que je trouvais cela subjectif et inutile, et c'est la seule matière où je n'ai pas eu la moyenne au baccalauréat. La piètre qualité de mes compositions reflétait de façon trop évidente mon manque de respect pour la matière. Mais j'ai toujours cru très fort au principe selon lequel la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.
    On pourrait me répondre que si je voulais vraiment mourir, il suffirait de me laisser aller sur le plan de l'hygiène et des soins, et d'arrêter de m'alimenter. Mais comme je l'ai expliqué au médecin qui avait été chargé de m'évaluer sur le plan psychologique à Berck, je n'ai pas le moindre désir de souffrir inutilement dans une agonie prolongée. Je ne suis pas suicidaire. Je suis juste fatigué d'une vie pénible passée sur un lit médicalisé. À cause de complications survenues très tôt sur lesquelles je ne me suis pas étendu ici, je ne sors de chez moi qu'en brancard, lorsque je dois me rendre à un rendez-vous médical à l'hôpital. Et parce que je fais le nécessaire pour rester en bonne santé, Il m'est arrivé à plusieurs reprises de passer plus de 5 ans sans mettre le nez dehors. D'une certaine façon, mon quotidien s'apparente à celui d'un nourrisson, fait du lever au coucher d'une succession de tâches humiliantes pour un adulte, contrairement au nourrisson qui n'est pas encombré par le fardeau du concept de dignité qu'il n'a pas encore connue.
    Je ne prétendrai pas que je serais intéressé par des sorties au musée ou dans des parcs floraux si je pouvais m'asseoir confortablement dans un fauteuil roulant, mais le fait est que ma vie se résume à rester vivant en évitant les escarres ou une septicémie. Cela est difficile à imaginer pour des personnes menant d'une vie normale, mais il y a là de quoi presque remplir une journée sans avoir rien accompli. Alors non, je ne suis pas mourant, mais j'aimerais que les politiciens m'expliquent la différence. Parce que le pire, c'est que je serai un jour non seulement dans mon état actuel, mais également mourant d'autre chose. Probablement quelque chose qui n'aura pas été diagnostiqué à temps parce que je ne ressens rien dans plus de 80% de mon corps. Et j'aurai passé des décennies à végéter inutilement pour en arriver au même point.
    Voilà donc, en gros, la perspective d'une personne non-mourante, mais pas vraiment vivante, laissée en marge du débat sur la fin de vie. Je n'attends pas forcément de réponse, et encore moins de solutions de votre part, mais j'espère que vous serez au moins arrivé au bout de ce message et que certaines de ces opinions seront intégrées à vos pensées lors de futurs débats dans le combat que vous menez. Si je croyais au Père Noël, je vous demanderais d'imprimer et envoyer ce courrier au président Macron et à son ministre de la santé. Mais je suis conscient qu'il existe de nombreuses personnes en plus grande souffrance immédiate qui méritent la priorité dans ce combat.
    Je reste néanmoins à votre disposition pour toute information supplémentaire ou témoignage que je pourrais vous apporter. Je vous souhaite de joyeuses fêtes une très bonne année 2025.
     
    Bien cordialement,

  • « Les passeurs de livres de Daraya », de Delphine Minoui, un livre tellement d’actualité sur ceux qui rêvaient d’une Syrie démocratique. Un vrai bijou littéraire…

    La journaliste Delphine Minoui nous offre avec « Les passeurs de livres de Daraya, une bibliothèque secrète en Syrie » un témoignage d’une très émouvante actualité et un vrai bijou littéraire.
    Au printemps syrien de 2011, une ville, Daraya, située à sept kilomètres de Damas, résiste avec la force du désespoir au tyran Bachar El-Assad.
    Ahmad, Shadi, Hussam ou encore Omar rêvent de démocratie. Loin d’autres jeunes syriens désespérés qui, dans d’autres villes, vont se radicaliser face à la brutalité inouïe de leur dictateur, et tomber aux mains d’islamistes radicaux ou de terroristes.
    Dans cette cité, cible privilégiée du régime dictatorial et criminel, ces hommes et tant d’autres vont récupérer les livres ensevelis sous les décombres des immeubles bombardés, identifier leurs propriétaires et créer une véritable bibliothèque. 
    Cette bibliothèque secrète va devenir un lieu de vie et de démocratie fonctionnant entre les bombes qui assaillent sans interruption Daraya.
    Pour oublier quelques instants cette guerre, ces jeunes hommes vont se plonger – se noyer même ! - dans la lecture, alors que plusieurs d’entre eux n’avaient jamais lu un seul ouvrage de leur vie.
    Delphine Minoui, via l’application WhatsApp, va rester en contact avec ces jeunes hommes jusqu’à l’évacuation totale de la ville par les autorités toujours dévouées eu tyran syrien.
    Omar ne survivra pas, mais ses amis continuent à leur manière leur combat, mais jusqu’à présent loin de Daraya.
    La journaliste Delphine Minoui leur a donné la parole dans un documentaire. Je dirai plutôt, qu’elle a souhaité rendre un hommage à leur courage et à leur résilience.
    A l’aune des évènements récents et de la chute du tyran – enfin ! -, ce livre nous rappelle la tyrannie et la violence qu’auront connu, pendant plusieurs décennies, les Syriens.
    Et belle anecdote, la journaliste-auteure a pu visiter récemment, en ce mois de décembre 2024, cette bibliothèque secrète qui l’aura professionnellement et émotionnellement mobilisé pendant plusieurs années.
    Ne ratez pas cette histoire.
    Elle redonne confiance en l’avenir…

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  • Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex

    Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex, comme ce fut le cas pour mon mari  Christophe.
    Il est urgent que le gouvernement mette en place les préconisations du rapport @Prabenyamina : des années d’attente qui conduisent à tant de drames.
    @CaVautrin nous comptons sur vous pour prendre à bras le corps ce sujet de santé publique, comme vous me l’aviez promis lors de votre premier passage au ministère des solidarités et de la santé.
    Il y a urgence !
    Avec Anne Hidalgo Anne-Claire Boux et Anne Souyris, à Paris, nous sommes pleinement mobilisés !
    En attendant, n’hésitez pas à signer la pétition d’Elus Locaux Contre le Sida : change.org/p/urgence-chemsex

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  • À vomir !

    À vomir !
    Je condamne fermement les propos cyniques de Donald Trump à l’égard des personnes transgenres. Une fois de plus, Donald Trump instrumentalise la communauté LGBTQIA+ pour en faire un argument politique. Ces propos et cette stratégie sont inadmissibles, ils alimentent la haine à l’égard des personnes trans et contribuent à la division de la société américaine. À Paris, avec Anne Hidaldo, nous resterons toujours engagés en faveur de l’égalité et de la dignité pour toutes et tous. Ces discours rétrogrades n’ont pas leur place dans nos sociétés.

     

  • Un très joyeux Noël à partager avec les personnes que vous aimez.

    Je vous souhaite un très joyeux Noël à partager avec les personnes que vous aimez.
    J’ai forcément une pensée pour celles et pour ceux qui sont seuls et/ou malades car la solitude et la souffrance ne connaissent pas les jours fériés.
    Cette année, en ce jour si particulier, je suis aussi spécialement par le coeur avec Cécile Kohler qui est détenue en Iran depuis le 7 mai 2022 et avec toutes et tous nos compatriotes de Mayotte. 

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  • Profitons de chaque seconde… Belles fêtes !

    La vie n’est pas simple. C’est vrai. Et je crois ne pas avoir été épargné non plus… Mais n’oublions jamais cette citation pleine de bon sens de Anthony Robbins : « Les seules personnes sans problèmes sont celles qui sont dans les cimetières. »
    Alors, profitons de chaque seconde… Belles fêtes !

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  • Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal

    Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal, auteur franco-algérien injustement emprisonné pour ses idées.
    Au #ConseildeParis, j’ai porté une délibération exigeant sa libération immédiate. Un geste fort et symbolique de Paris sera prochainement proposé.
    À Paris, défendre la liberté d’expression et les droits humains n’est pas seulement une priorité : c’est une nécessité.

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  • Interview engagée avec Judy Tseng, de l’agence de presse de Taïwan.

    Interview engagée avec Judy Tseng, de l’agence de presse de Taïwan.
    Taïwan est un exemple de démocratie qu’il faut féliciter dans une région du monde aux multiples défis.
    Taïwan fut, comme aujourd’hui l’est aussi la Thaïlande, un exemple dans l’égalité des droits en ayant été les premiers à favoriser l’égalité entre toutes et tous dans cette région du monde.
    Face aux destructeurs des droits fondamentaux, face à l’autoritarisme et aux privations de la liberté des peuples partout autour du globe, nous devons nous rassembler pour défendre nos valeurs démocratiques.

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  • Projet de loi anti-LGBTQIA+ par la Cour suprême du Ghana

    Consternant !
    La validation du projet de loi anti-LGBTQIA+ par la Cour suprême du Ghana est une attaque directe contre les droits humains. Ce texte, l’un des plus répressifs du continent, exposera encore davantage les personnes queer à la haine, aux violences et à l’exclusion s’il est promulgué.
    Un courage politique s’impose : le président Nana Akufo-Addo doit s’opposer fermement à cette loi en refusant de la signer. Il en va de la dignité et de la sécurité de milliers de vies.

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  • Merci Gisèle Pelicot.

    Merci Gisèle Pelicot.
    Merci pour votre courage et pour votre combat, pour vous, pour vos enfants et notamment votre fille, elle-même victime, et pour toutes les victimes restées dans l’ombre.
    Face à l’indicible, vous avez trouvé la force de vous tenir debout, de faire entendre votre voix et de porter un message de justice et de dignité pour toutes celles et ceux qui n’en ont pas encore eu la possibilité.
    Votre résilience est une source d’inspiration et de solidarité. Vous ne serez jamais seule dans ce combat. Nous vous remercions profondément, du fond du cœur.
    Merci.

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  • Notre détermination face à l’augmentation alarmante des actes antisémites (+192 % en 2024)

    Au Conseil de Paris, j’ai réaffirmé notre détermination face à l’augmentation alarmante des actes antisémites (+192 % en 2024) et racistes (+32 % en 2023).
    À Paris notre mobilisation totale :
    Sécurisation renforcée des lieux de culte, écoles et espaces fréquentés par les communautés.
    Prévention et éducation avec des dispositifs comme les Collèges pour l’égalité.
    Commémorations, hommages et travail de mémoire
    Investissement dans la recherche avec les bourses de la Ville de Paris sur l’antisémitisme et la xénophobie et notamment la bourse Gil Taïeb.
    Des événements majeurs comme le Festival Paris Ciné contre les discris’ et les Semaines parisiennes de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (7e édition en mars 2025).
    Soutien aux associations
    Un plan ambitieux pour 2025 : en conformité avec la promesse républicaine, ce plan viendra intensifier nos actions et inscrire cette lutte au cœur de nos priorités.
    Et malgré un contexte budgétaire national incertain, la Ville de Paris fait le choix d’augmenter de 50 000 € les financements dédiés à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
    Paris, ville d’accueil et de diversité, agit pour protéger notre vivre-ensemble et contre toutes les formes de discrimination.

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  • subvention de 50 000€ pour l'ONG Humanité Solidarité Médecine pour son action humanitaire à Gaza.

    Paris reste aux côtés des Israélien·nes face à l’ignoble attaque terroriste du Hamas et appelle plus que jamais à la libération des otages, mais Paris est aussi sans réserve — comme de plus en plus d’Israélien·nes qui manifestent contre cette dérive autoritaire et guerrière de leur gouvernement — aux côtés des Palestinien·nes de Gaza qui subissent de la part de Netanyahou des attaques meurtrières.
    Ce matin, au #ConseildeParis, j’ai ainsi porté le vote d'une subvention à hauteur de 50 000€ pour l'ONG Humanité Solidarité Médecine pour son action humanitaire dans la bande de Gaza.
    Alors que 90 % des Gazaoui·es ont été contraint·es à l'exil, que 80% de la population n'a plus accès à l'eau potable et que plus de 2 millions de personnes survivent dans des camps de fortune, cette subvention apportera un soutien vital: fournir 10 000 litres d'eau potable chaque jour et répondre aux besoins essentiels de 3 000 déplacé·es.

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  • Libération de Paul Watson !

    149 jours après son emprisonnement, nous apprenons avec soulagement la libération de Paul Watson et son retour parmi nous, à Paris.
    Des mots du Ministre de la justice danois, l'intérêt public de cette affaire a joué dans la balance de cette décision. Une preuve que notre mobilisation a été utile.
    C’était avec fierté que @Anne_Hidalgo a remis la citoyenneté d’honneur à Paul Watson la semaine dernière. Nous le sommes encore plus maintenant qu’on le sait libéré.
    Aujourd’hui, c’est une victoire pour tous les défenseurs de l’environnement.
    Paul Watson va pouvoir revenir chez lui, à Paris, et nous espérons bientôt l'accueil à l'Hôtel de Ville.

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  • Bravo Miss Martinique, nouvelle Miss France 2025 !

    Bravo Miss Martinique, nouvelle Miss France 2025 !
    Des pensées aussi pour Miss nord-pas-de-calais qui est première dauphine malgré les horribles polémiques dont elle a été la victime…

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  • Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

    L’épouse de Stéphane Hessel a dû fuir notre pays pour mourir paisiblement et dignement en Belgique, pays humaniste qui reçoit annuellement une centaine de Français qui n’en peuvent plus de leurs souffrances et qui n’ont pas le droit d’éteindre la lumière en France.
    Son texte est émouvant et digne.
    Elle appelle à un débat sur la fin de vie dans un esprit de tolérance et de respect.
    M. Le Premier ministre François Bayrou tiendrez-vous l’engagement de Michel Barnier de reprendre le débat sur une loi d’ultime liberté en février et saurez-vous être un homme d’Etat qui saura dépasser ses propres convictions religieuses opposées à l’euthanasie ?
    Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

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  • Honoré d’avoir remis la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.

    Honoré d’avoir remis, au nom de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.
    Alors qu’il était dans les prisons de Poutine il y a quelques mois pour s’être opposé à l’invasion de l’Ukraine, sa présence à Paris est un soulagement et un grand honneur.
    Comme Oleg Orlov l'a rappelé aujourd’hui devant nous, la décision du #ConseildeParis de lui remettre la citoyenneté d’honneur ainsi qu’à Ilya Yashin, deux prisonniers politiques russes, était notre cri de soutien à tous les prisonniers politiques injustement enfermés en Russie.
    Paris est une ville-refuge, un port d’attache pour celles et ceux qui, partout dans le monde, luttent contre l’oppression et défendent les droits humains.
    Et nous continuerons de dénoncer ces injustices et de soutenir, avec toutes nos forces, celles et ceux qui luttent pour la liberté, que ce soit en Russie ou ailleurs.
    Leur combat est aussi le nôtre.

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  • Je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.

    Dans le JT de France 2 de 20h, j’ai rappelé que je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.
    On ne peut plus fermer les yeux sur l’augmentation des morts dues aux  drogues de synthèse, liées notamment au chemsex.
    L’absence de mobilisation des pouvoirs publics et la politique répressive qui n’est plus adaptée à la situation ne font qu’aggraver la situation.
    D’où d’ailleurs la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida et que je vous invite à signer : t.co/w31AfXaKNh

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  • Le VIH ne disparaîtra pas en silence !

    Supprimer le groupe d’études VIH/sida à l’Assemblée nationale, c’est dire que la lutte contre cette épidémie n’est plus une priorité.
    À Paris, nous refusons ce désengagement. Notre combat pour atteindre zéro transmission d’ici 2030 reste plus vivant que jamais.
    Le VIH ne disparaîtra pas en silence !
    Retrouvez notre tribune avec Anne Souyris et Arthur Delaporte dans Libé : liberation.fr/idees-et-debat…

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