Politique internationale
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Il y a 50 ans, nous consacrions le droit fondamental de chaque femme à disposer librement de son corps et à accéder légalement à l’IVG.Fruit du courage inébranlable de militant·es et de médecins, leurs témoignages bouleversants nous rappellent les épreuves terribles endurées par de nombreuses femmes avant cette avancée historique : interventions clandestines dangereuses, maltraitances hospitalières, et stigmatisation permanente.Aujourd’hui, alors que nous rendons hommage à la loi Veil, nous réaffirmons notre engagement à protéger cette liberté précieuse, toujours menacée.
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Rendez-vous ce vendredi 17 janvier à 20h30 sur SQOOL TV
Rendez-vous ce vendredi 17 janvier à 20h30 sur SQOOL TV dans Le Grand JT de l'Éducation aux côtés de Virginie Guilhaume. -
La fin de vie est une question de liberté et de dignité.
La fin de vie est une question de liberté et de dignité.Dans mon interview pour @lavoixdunord Hauts-de-France du 8 janvier, je souligne que le projet de loi actuel est une avancée, mais reste insuffisant. Personne ne devrait être forcé de quitter la France pour mourir dignement.En tant que président d'honneur de l'@ADMDFRANCE, je continuerai de me battre pour une loi qui respecte pleinement le droit de chacun à choisir les conditions de sa #findevie. C'est une question de justice et de droits humains. -
Le choix courageux de Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.
Dans La Voix-du-Nord, on pouvait lire le choix courageux qu'ont fait Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.Un dernier acte d'amour et de dignitéque la France refuse encore de permettre. Il est temps de briser ce tabou et d'offrir à chacun la liberté de choisir une fin de vie digne.Un article à retrouver en ligne sur le site de @lavoixdunord -
Il y a 10 ans, la barbarie frappait Charlie Hebdo...
Il y a 10 ans, la barbarie frappait Charlie Hebdo et le cœur du pays de la liberté d'expression. Un attentat ignoble marquant à jamais notre histoire et nous rappelant que la liberté de penser, de critiquer et de caricaturer est un droit fondamental.Aujourd'hui, nous nous souvenons de cette tragédie, des vies fauchées, et réaffirmons notre engagement à défendre les valeurs de la République : la liberté, la laicité, et la tolérance. Face à la haine et à l'obscurantisme, nous restons unis et déterminés à protéger ces principes qui nous définissent collectivement. -
On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance du Dalaï-Lama !
Plus que jamais émouvant - et plein de bon sens - d’entendre sa sainteté le Dalai-Lama, prix Nobel de la paix, citoyen d’honneur de la ville de Paris nous souhaiter une belle année 2025…PasUn changement d’année pas seulement fait de festivités, mais surtout de paix intérieure. De paix tout simplement !On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance en ce monde si troublé.#Dalailama@NobelPrize -
« Le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo, lecture saisissante et d’actualité en ces temps troublés
La coïncidence a fait que j’ai entrepris la lecture du roman « Le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo, le jour même, où Donald Trump tenait des propos immondes sur les condamnés à mort que Joe Biden avait, dans un geste d’humanité, gracié.
Cela m’a immédiatement rappelé à quel point ce livre est malheureusement plus que jamais d’actualité avec 1153 mises à mort dans le monde en 2023. Peut-être plus en 2024, dont nous n’avons pas encore le sinistre recensement…
En 1829, quand parait la première édition de ce livre, la peine de mort fait enfin débat. Et Hugo veut « raturer de nos dispositifs pénaux la pénalité barbare de Louis XI, de Richelieu, mais aussi du révolutionnaire Robespierre. »
Idéaliste et visionnaire, il voulait inscrire au front de la loi l’inviolabilité de la vie humaine. Il nous faudra pourtant attendre 1981 pour y parvenir !
La force de ce texte réside dans le fait que l’auteur nous fait entrer dans ls tète du condamné peu avant son exécution. Juste avant que sa tête ne soit décapitée par la guillotine, sur la place de grève – la place de l’hôtel de ville…
De ce condamné, nous ne connaissons presque rien. Même pas la raison de sa condamnation. Ce livre veut concerner tous les condamnés à mort. Hugo le souhaite universel. Déconnecté d’affaires qui, en fonction de la nature des faits, peuvent faire débat.
Ces moments d’attente et de questionnement intime du futur supplicié sont glaciaux.
Ils mettent mal à l’aise le lecteur qui se sent impuissant et comprend qu’aucun homme ne peut ôter à la vie à un autre. Cet autre, fût-il même un assassin.
Notre qualité de membre du genre humain devrait, pour Hugo, nous conduire à refuser la barbarie de l’œil pour l’œil et la vanité dévastatrice de la vengeance.
Victor Hugo produit ici un livre contemporain dont les arguments s’imposent toujours. Il est d’une actualité brulante quand 55 pays dans le monde condamnent toujours à mort. Avec en tête, la Chine et ses tristes records…
A lire ou à relire… -
Les droits des personnes LGBTQIA+ sont des droits humains !
La situation des personnes LGBTQIA+ en Afrique sub-saharienne n’a cessé de se dégrader en 2024, comme encore récemment, l’immonde chasse aux personnes gays lancée par un influenceur de premier plan en Côte d’Ivoire.Sénégal, Cameroun, CoteD'Ivoire, Ghana, Ouganda et tant d’autres pays assument une homophobie d’Etat totalement décomplexée !L’Union Européenne et la France doivent enfin réagir à cette dérive alarmante et ne plus laisser une occasion de dénoncer au plus haut niveau ces atteintes aux droits humains en 2025, dans ces pays. -
Dans le dernier numéro de Strobomag
Dans le dernier numéro de Strobomag, je reviens sur l'action de la Ville de Paris en matière de lutte contre les discriminations.Lien permanent Catégories : Adjoint à la maire de Paris, Anne Hidalgo, Anne Hidalgo Paris 2020, Associations, Chemsex, Droits de l'Homme, Droits Humains, Homosexualité et homophobie, LGBTQI+, Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS, Lutte contre les discriminations, Mission Promesse Républicaine, Paris - 12è ardt, Paris Autrement, Politique française, Politique internationale 0 commentaire -
« Les passeurs de livres de Daraya », de Delphine Minoui, un livre tellement d’actualité sur ceux qui rêvaient d’une Syrie démocratique. Un vrai bijou littéraire…
La journaliste Delphine Minoui nous offre avec « Les passeurs de livres de Daraya, une bibliothèque secrète en Syrie » un témoignage d’une très émouvante actualité et un vrai bijou littéraire.
Au printemps syrien de 2011, une ville, Daraya, située à sept kilomètres de Damas, résiste avec la force du désespoir au tyran Bachar El-Assad.
Ahmad, Shadi, Hussam ou encore Omar rêvent de démocratie. Loin d’autres jeunes syriens désespérés qui, dans d’autres villes, vont se radicaliser face à la brutalité inouïe de leur dictateur, et tomber aux mains d’islamistes radicaux ou de terroristes.
Dans cette cité, cible privilégiée du régime dictatorial et criminel, ces hommes et tant d’autres vont récupérer les livres ensevelis sous les décombres des immeubles bombardés, identifier leurs propriétaires et créer une véritable bibliothèque.
Cette bibliothèque secrète va devenir un lieu de vie et de démocratie fonctionnant entre les bombes qui assaillent sans interruption Daraya.
Pour oublier quelques instants cette guerre, ces jeunes hommes vont se plonger – se noyer même ! - dans la lecture, alors que plusieurs d’entre eux n’avaient jamais lu un seul ouvrage de leur vie.
Delphine Minoui, via l’application WhatsApp, va rester en contact avec ces jeunes hommes jusqu’à l’évacuation totale de la ville par les autorités toujours dévouées eu tyran syrien.
Omar ne survivra pas, mais ses amis continuent à leur manière leur combat, mais jusqu’à présent loin de Daraya.
La journaliste Delphine Minoui leur a donné la parole dans un documentaire. Je dirai plutôt, qu’elle a souhaité rendre un hommage à leur courage et à leur résilience.
A l’aune des évènements récents et de la chute du tyran – enfin ! -, ce livre nous rappelle la tyrannie et la violence qu’auront connu, pendant plusieurs décennies, les Syriens.
Et belle anecdote, la journaliste-auteure a pu visiter récemment, en ce mois de décembre 2024, cette bibliothèque secrète qui l’aura professionnellement et émotionnellement mobilisé pendant plusieurs années.
Ne ratez pas cette histoire.
Elle redonne confiance en l’avenir… -
À vomir !
À vomir !
Je condamne fermement les propos cyniques de Donald Trump à l’égard des personnes transgenres. Une fois de plus, Donald Trump instrumentalise la communauté LGBTQIA+ pour en faire un argument politique. Ces propos et cette stratégie sont inadmissibles, ils alimentent la haine à l’égard des personnes trans et contribuent à la division de la société américaine. À Paris, avec Anne Hidaldo, nous resterons toujours engagés en faveur de l’égalité et de la dignité pour toutes et tous. Ces discours rétrogrades n’ont pas leur place dans nos sociétés. -
Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal
Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal, auteur franco-algérien injustement emprisonné pour ses idées.Au #ConseildeParis, j’ai porté une délibération exigeant sa libération immédiate. Un geste fort et symbolique de Paris sera prochainement proposé. -
Projet de loi anti-LGBTQIA+ par la Cour suprême du Ghana
Consternant !La validation du projet de loi anti-LGBTQIA+ par la Cour suprême du Ghana est une attaque directe contre les droits humains. Ce texte, l’un des plus répressifs du continent, exposera encore davantage les personnes queer à la haine, aux violences et à l’exclusion s’il est promulgué.Un courage politique s’impose : le président Nana Akufo-Addo doit s’opposer fermement à cette loi en refusant de la signer. Il en va de la dignité et de la sécurité de milliers de vies. -
subvention de 50 000€ pour l'ONG Humanité Solidarité Médecine pour son action humanitaire à Gaza.
Paris reste aux côtés des Israélien·nes face à l’ignoble attaque terroriste du Hamas et appelle plus que jamais à la libération des otages, mais Paris est aussi sans réserve — comme de plus en plus d’Israélien·nes qui manifestent contre cette dérive autoritaire et guerrière de leur gouvernement — aux côtés des Palestinien·nes de Gaza qui subissent de la part de Netanyahou des attaques meurtrières.Ce matin, au #ConseildeParis, j’ai ainsi porté le vote d'une subvention à hauteur de 50 000€ pour l'ONG Humanité Solidarité Médecine pour son action humanitaire dans la bande de Gaza.Alors que 90 % des Gazaoui·es ont été contraint·es à l'exil, que 80% de la population n'a plus accès à l'eau potable et que plus de 2 millions de personnes survivent dans des camps de fortune, cette subvention apportera un soutien vital: fournir 10 000 litres d'eau potable chaque jour et répondre aux besoins essentiels de 3 000 déplacé·es. -
Honoré d’avoir remis la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.
Honoré d’avoir remis, au nom de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.Alors qu’il était dans les prisons de Poutine il y a quelques mois pour s’être opposé à l’invasion de l’Ukraine, sa présence à Paris est un soulagement et un grand honneur.Comme Oleg Orlov l'a rappelé aujourd’hui devant nous, la décision du #ConseildeParis de lui remettre la citoyenneté d’honneur ainsi qu’à Ilya Yashin, deux prisonniers politiques russes, était notre cri de soutien à tous les prisonniers politiques injustement enfermés en Russie.Paris est une ville-refuge, un port d’attache pour celles et ceux qui, partout dans le monde, luttent contre l’oppression et défendent les droits humains.Et nous continuerons de dénoncer ces injustices et de soutenir, avec toutes nos forces, celles et ceux qui luttent pour la liberté, que ce soit en Russie ou ailleurs. -
Je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.
Dans le JT de France 2 de 20h, j’ai rappelé que je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.On ne peut plus fermer les yeux sur l’augmentation des morts dues aux drogues de synthèse, liées notamment au chemsex.L’absence de mobilisation des pouvoirs publics et la politique répressive qui n’est plus adaptée à la situation ne font qu’aggraver la situation.D’où d’ailleurs la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida et que je vous invite à signer : t.co/w31AfXaKNh -
Le VIH ne disparaîtra pas en silence !
Supprimer le groupe d’études VIH/sida à l’Assemblée nationale, c’est dire que la lutte contre cette épidémie n’est plus une priorité.À Paris, nous refusons ce désengagement. Notre combat pour atteindre zéro transmission d’ici 2030 reste plus vivant que jamais.Le VIH ne disparaîtra pas en silence !Retrouvez notre tribune avec Anne Souyris et Arthur Delaporte dans Libé : liberation.fr/idees-et-debat… -
Au Théâtre de la Concorde le procès fictif de la Seine.
Hier soir s’est tenu au Théâtre de la Concorde le procès fictif de la Seine.Voulu par la Maire de Paris, @Anne_Hidalgo, ce nouvel exercice de démocratie a su démontrer la nécessité d’avancer sur les droits de la nature, et notamment de la Seine, car il s’agit bien évidemment de droits humains.C’est pourquoi la Maire de Paris a annoncé le lancement d’une convention citoyenne à partir de février qui va travailler pendant 3 mois dans le but de faire une proposition concrète au législateur pour permettre à la Seine d’avoir un statut juridique et des droits associés. -
« La fin du Sida aujourd’hui c’est possible »
Sur Radio Orient avec François-Xavier de Calonne, j’ai rappelé que la fin du VIH d’ici 2030 est à notre portée, mais seulement si la volonté politique suit.En France, 25 000 personnes ignorent qu’elles sont séropositives, un chiffre inacceptable à l’heure où le dépistage et les traitements peuvent sauver des vies.La lutte contre le VIH, c’est aussi un combat contre les #discriminations et la #sérophobie : 11 % des Français pensent qu’il faudrait isoler les personnes séropositives. Ces préjugés sont un frein à la prévention et à l’accès aux soins.Avec Elus Locaux Contre le Sida, nous le disons avec force : le VIH se soigne aussi par la politique. Cela passe par :Une prévention renforcée et accessible à toutes et tous.Un soutien accru aux associations, souvent seules à mener ce combat dans l’ombre.Une mobilisation collective pour mettre les droits humains et la lutte contre les discriminations au cœur de l’action publique.Les prochains maires doivent être ceux de la fin du sida. À l’approche des municipales, engageons-nous pour faire de cette ambition une réalité. -
Retrouvez-moi ce mercredi 4 décembre sur France Bleu Bourgogne à 6h32 et 8h32 !
Retrouvez-moi ce mercredi 4 décembre sur France Bleu Bourgogne à 6h32 et 8h32 à l’occasion de ma venue à Dijon pour le label ville engagée contre le sida de @ElusContreSida accordé à la mairie de Dijon.Lien permanent Catégories : Agenda, Chemsex, Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS, Lutte contre les discriminations, L'évolution de mon virus, Ma Vie De Militant !, Medias, Mes déplacements en province et DOM-TOM, Podcast et videos, Politique française, Politique internationale, Santé 0 commentaire