Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Santé

  • La fin de vie est une question de liberté et de dignité.

    La fin de vie est une question de liberté et de dignité.
    Dans mon interview pour @lavoixdunord Hauts-de-France du 8 janvier, je souligne que le projet de loi actuel est une avancée, mais reste insuffisant. Personne ne devrait être forcé de quitter la France pour mourir dignement.
    En tant que président d'honneur de l'@ADMDFRANCE, je continuerai de me battre pour une loi qui respecte pleinement le droit de chacun à choisir les conditions de sa #findevie. C'est une question de justice et de droits humains.
    Une interview à retrouver sur le site de lavoixdunord.fr.

    4bd8f85b-c473-480e-a250-1c03ddf220cb.jpeg

    2b8bd11e-2b5d-418e-b9d5-8a58842a6a19.jpeg

    52227c13-c998-46a5-a393-5d3b20182d00.jpeg

    43c0d232-b11c-40af-9259-a29891177dda.jpeg

    efd81a4a-c558-4f1e-a59c-fdd8ba24f8fd.jpeg

    f4f39478-231c-46dc-8f5c-651eb828d32a.jpeg

     

  • Le nouveau variant Mpox détecté en France

    Le nouveau variant Mpox détecté en France nous rappelle l’importance d’une réponse sanitaire proactive.
    Avec Annec-Claire Boux, Paris se tient prête à agir, en collaboration avec les autorités, pour protéger la population et garantir un accès équitable aux soins et à la vaccination.

     

  • Le choix courageux de Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.

    Dans La Voix-du-Nord, on pouvait lire le choix courageux qu'ont fait Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.
    Un dernier acte d'amour et de dignité
    que la France refuse encore de permettre. Il est temps de briser ce tabou et d'offrir à chacun la liberté de choisir une fin de vie digne.
    Un article à retrouver en ligne sur le site de @lavoixdunord

     

  • Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir !

    Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir ! J'ai envie de le partager avec vous pour vous rappeler l'inhumanité de nos lois sur la fin de vie.
    Il faut que ça change !
     
    Cher Monsieur Romero-Michel,
     
    Quelque chose d'inexpliqué m'a décidé, en vous voyant il y a quelques semaines dans un reportage télévisé sur une drogue de synthèse qui fait des ravages chez les jeunes, à reprendre contact avec vous pour essayer de relancer une conversation que j'avais tenté d'entamer Il y a maintenant une quinzaine d'années (voir messages ci-dessous).
     
    J'étais parvenu à l'époque à entrer en contact avec Mme Marie Humbert après quelques recherches sur Internet, qui m'avait gentiment appelé pour une conversation qui avait finalement duré une bonne heure. Vous m'étiez apparu à l'époque comme un bon point de continuation pour discuter de l'aspect légal de la question de la fin de vie. Comme vous pouvez le constater ci-dessous, j'avais fini par renoncer votre emploi du temps très occupé. J'imagine que cette situation n'a pas vraiment changé vu les fonctions que vous occupez, mais je vais cette fois me contenter de vous envoyer quelques remarques en espérant simplement qu'elles soient lues et trouvent un jour leur place dans le débat national.
    Je fait partie de la catégorie de personnes que j'appelle les laissés pour compte des lois sur la fin de vie. Ces personnes qui ne sont pas mourantes, mais vivent un calvaire au quotidien qui peut se prolonger indéfiniment. Je ne voudrais pas vous ennuyer avec l'histoire de ma vie, mais quelques informations sur mon passé vous donneront peut-être une meilleure idée de ce que je ressens au quotidien.
    J'ai passé toute mon enfance en Côte d'Ivoire où je suis né, avant de finir ma terminale et de passer une année en faculté de médecine à Nice. Je me suis tout de suite rendez compte que ce n'était pas vocation, et je suis parti aux États-Unis pour continuer mes études, en finance et comptabilité. J'ai eu la chance d'être diplômé de bonnes écoles (Wharton et Columbia Business School) et de pouvoir commencer une carrière professionnelle à Philadelphia, New York puis Washington. En tout, un séjour d'une douzaine d'années qui s'est terminé après un accident en 2002.
    Depuis l'enfance, j'ai mené une vie faite d'activités physiques, en extérieur, ou les deux. Judo, tennis, planche à voile, aviation, moto... Malgré ce que pourrait suggérer mes diplômes, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un stimulé par l'activité intellectuelle. Mes loisirs à l'âge adulte étaient essentiellement l'aviation (j'ai une licence de pilote professionnel) et la course moto en amateur, que je pratiquais en alternance l'hiver et à la belle saison. C'est lors d'une compétition sur un circuit en Virginie Occidentale que j'ai subi un grave accident en 2002 auquel j'ai eu la malchance de survivre. Je mesure bien le poids de mes mots.
    Cet accident est pour moi l'équivalent de la peine capitale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis, avec des procédures d'appel à répétition s'étalant sur des décennies. Lors de mon premier séjour hospitalier à Washington après l'accident, un médecin m'a informé qu'une personne dans mon état avait une espérance de vie moyenne d'environ 7 ans. Je trouvais déjà que cela faisait 7 ans e trop pour une personne en perte totale d'autonomie sur le plan moteur, incapable de tenir un verre d'eau ou un morceau de pain. J'étais prêt à partir le jour même si l'option m'était présentée, et mon avis n'a pas changé en 22 ans.
    Je suis revenu en France un an après l'accident à l'insistance de mes parents pour des opérations chirurgicales et de la rééducation, et j'attends depuis que les lois changent et permettent à des personnes comme moi de mourir dignement. Lors de mon premier séjour hospitalier en France en 2003, ma famille s'inquiétait de mon état d'esprit et m'a fait évaluer par mon médecin rééducateur à Berck.  Celui-ci est rapidement parvenu à la conclusion que j'étais parfaitement rationnel et que mon désir à ne pas vivre avec une forme lourde de tétraplégie n'était en aucun cas lié à une quelconque forme de dépression.
    Beaucoup de personnes lourdement handicapées trouvent des raisons personnelles de s'accrocher à la vie, quelque soit sa qualité. Je les admire et les envie. Ce n'est simplement pas mon cas. Je ne souscris pas à la croyance que toute vie est sacrée et vaut mieux que la mort. Dans un sens, c'est un peu comme la foi. Certains l'ont, d'autres pas. Ça n'en fait ni de meilleures, ni de plus mauvaises personnes. Les gens sont juste différents face à certaines situations et je pense qu'il faut respecter ces différences, à défaut de les comprendre. Personnellement, ma position sur le sujet a été forgée par une visite avec mon père chez mon arrière-grand-mère quand j'avais 15 ans, pour ce qui s'est révélé plus tard avoir été ma dernière occasion de la voir vivante. Je me souviens les avoir laissés tous les deux et être sorti de la chambre pour aller pleurer dans une autre pièce de la maison. Et j'ai ressenti pour la première fois de ma vie ce sentiment de préférer qu'elle ne soit plus de ce monde plutôt que de la voir dans cet état de fatigue et de démence mentale. Mon opinion sur la question de fin de vie n'a donc rien à voir avec ma situation personnelle et s'était déjà construite 15 ans auparavant.
    Incapable de produire quoi que ce soit, je ne suis d'aucune utilité à la société. Je représente juste un coût Imposé à des personnes qui travaillent et paient des impôts. Pourquoi donc cette société dans son ensemble s'oppose-t-elle par le biais de ses politiques à mon droit de disposer comme je l'entends de ma vie, en rendant illégaux des produits qui pourraient m'aider à mourir dignement sur mes propres termes, et en menaçant toute personne qui aurait la générosité de m'y aider? Comment peut-on justifier de traiter des animaux de compagnie avec plus de compassion que des personnes humaines? Pourquoi décide-t-on qu'un chien souffre trop pour continuer de vivre alors qu'il est impossible d'obtenir son consentement, alors que l'on refuse ce droit à une personne qui peut t'exprimer son choix ?
    La cause fondamentale de cette situation, que les personnes l'admettent ou pas, est enracinée dans l'histoire religieuse de nos sociétés modernes. Je ne suis pas fondamentalement opposé à toute influence religieuse dans l'écriture de textes loi de la vie civile, mais il faut savoir faire la part des choses. Dans "Tu ne tueras point", des personnes rationnelles devrait être capables de faire la différence entre un meurtre et une personne désireuse d'en finir avec une vie insoutenable. Faire du zèle en empêchant des personnes de choisir d'elles-mêmes de vivre ou non dépasse, à mon avis, le cadre de l'influence acceptable de convictions religieuses sur la vie des personnes qui ne les partagent pas. J'ai conscience d'assez mal exprimer mon opinion sur ce sujet. J'étais plutôt mauvais en philosophie au lycée, principalement parce que je trouvais cela subjectif et inutile, et c'est la seule matière où je n'ai pas eu la moyenne au baccalauréat. La piètre qualité de mes compositions reflétait de façon trop évidente mon manque de respect pour la matière. Mais j'ai toujours cru très fort au principe selon lequel la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.
    On pourrait me répondre que si je voulais vraiment mourir, il suffirait de me laisser aller sur le plan de l'hygiène et des soins, et d'arrêter de m'alimenter. Mais comme je l'ai expliqué au médecin qui avait été chargé de m'évaluer sur le plan psychologique à Berck, je n'ai pas le moindre désir de souffrir inutilement dans une agonie prolongée. Je ne suis pas suicidaire. Je suis juste fatigué d'une vie pénible passée sur un lit médicalisé. À cause de complications survenues très tôt sur lesquelles je ne me suis pas étendu ici, je ne sors de chez moi qu'en brancard, lorsque je dois me rendre à un rendez-vous médical à l'hôpital. Et parce que je fais le nécessaire pour rester en bonne santé, Il m'est arrivé à plusieurs reprises de passer plus de 5 ans sans mettre le nez dehors. D'une certaine façon, mon quotidien s'apparente à celui d'un nourrisson, fait du lever au coucher d'une succession de tâches humiliantes pour un adulte, contrairement au nourrisson qui n'est pas encombré par le fardeau du concept de dignité qu'il n'a pas encore connue.
    Je ne prétendrai pas que je serais intéressé par des sorties au musée ou dans des parcs floraux si je pouvais m'asseoir confortablement dans un fauteuil roulant, mais le fait est que ma vie se résume à rester vivant en évitant les escarres ou une septicémie. Cela est difficile à imaginer pour des personnes menant d'une vie normale, mais il y a là de quoi presque remplir une journée sans avoir rien accompli. Alors non, je ne suis pas mourant, mais j'aimerais que les politiciens m'expliquent la différence. Parce que le pire, c'est que je serai un jour non seulement dans mon état actuel, mais également mourant d'autre chose. Probablement quelque chose qui n'aura pas été diagnostiqué à temps parce que je ne ressens rien dans plus de 80% de mon corps. Et j'aurai passé des décennies à végéter inutilement pour en arriver au même point.
    Voilà donc, en gros, la perspective d'une personne non-mourante, mais pas vraiment vivante, laissée en marge du débat sur la fin de vie. Je n'attends pas forcément de réponse, et encore moins de solutions de votre part, mais j'espère que vous serez au moins arrivé au bout de ce message et que certaines de ces opinions seront intégrées à vos pensées lors de futurs débats dans le combat que vous menez. Si je croyais au Père Noël, je vous demanderais d'imprimer et envoyer ce courrier au président Macron et à son ministre de la santé. Mais je suis conscient qu'il existe de nombreuses personnes en plus grande souffrance immédiate qui méritent la priorité dans ce combat.
    Je reste néanmoins à votre disposition pour toute information supplémentaire ou témoignage que je pourrais vous apporter. Je vous souhaite de joyeuses fêtes une très bonne année 2025.
     
    Bien cordialement,

  • Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex

    Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex, comme ce fut le cas pour mon mari  Christophe.
    Il est urgent que le gouvernement mette en place les préconisations du rapport @Prabenyamina : des années d’attente qui conduisent à tant de drames.
    @CaVautrin nous comptons sur vous pour prendre à bras le corps ce sujet de santé publique, comme vous me l’aviez promis lors de votre premier passage au ministère des solidarités et de la santé.
    Il y a urgence !
    Avec Anne Hidalgo Anne-Claire Boux et Anne Souyris, à Paris, nous sommes pleinement mobilisés !
    En attendant, n’hésitez pas à signer la pétition d’Elus Locaux Contre le Sida : change.org/p/urgence-chemsex

    chemsex,jean luc romero michel,paris

    chemsex,jean luc romero michel,paris

     

     

  • Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

    L’épouse de Stéphane Hessel a dû fuir notre pays pour mourir paisiblement et dignement en Belgique, pays humaniste qui reçoit annuellement une centaine de Français qui n’en peuvent plus de leurs souffrances et qui n’ont pas le droit d’éteindre la lumière en France.
    Son texte est émouvant et digne.
    Elle appelle à un débat sur la fin de vie dans un esprit de tolérance et de respect.
    M. Le Premier ministre François Bayrou tiendrez-vous l’engagement de Michel Barnier de reprendre le débat sur une loi d’ultime liberté en février et saurez-vous être un homme d’Etat qui saura dépasser ses propres convictions religieuses opposées à l’euthanasie ?
    Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

    IMG_2609.jpeg

  • Je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.

    Dans le JT de France 2 de 20h, j’ai rappelé que je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.
    On ne peut plus fermer les yeux sur l’augmentation des morts dues aux  drogues de synthèse, liées notamment au chemsex.
    L’absence de mobilisation des pouvoirs publics et la politique répressive qui n’est plus adaptée à la situation ne font qu’aggraver la situation.
    D’où d’ailleurs la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida et que je vous invite à signer : t.co/w31AfXaKNh

    france 2,jean luc romero michel,paris,chemsex

    france 2,jean luc romero michel,paris,chemsex

     

  • Le VIH ne disparaîtra pas en silence !

    Supprimer le groupe d’études VIH/sida à l’Assemblée nationale, c’est dire que la lutte contre cette épidémie n’est plus une priorité.
    À Paris, nous refusons ce désengagement. Notre combat pour atteindre zéro transmission d’ici 2030 reste plus vivant que jamais.
    Le VIH ne disparaîtra pas en silence !
    Retrouvez notre tribune avec Anne Souyris et Arthur Delaporte dans Libé : liberation.fr/idees-et-debat…

    IMG_2577.jpeg

     

  • Un entretien avec Élie Ducos réalisé le 6 décembre pour Bleu Bourgogne.

    Dijon, ville engagée dans la lutte contre le sida :
    “Il faut se battre contre le VIH, pas contre les personnes qui vivent avec.”
    Un entretien avec Élie Ducos réalisé le 6 décembre pour Bleu Bourgogne.
    À lire ici : francebleu.fr/infos/societe/…

    95a86ea4-ffc2-4a5a-b741-b5e51069cefe.jpeg

    0e1ccde7-8d4d-4d70-a0c3-6d8bcbb6f922.jpeg

    537903c6-73e9-4d1d-875b-a58a69fa7ec2.jpeg

    47b2647c-7191-4001-88e4-bb545f38b19e.jpeg

    e36663f8-dd99-40ad-a09a-067a145285b1.jpeg

    803db33f-410d-4e52-8367-5ab9865bef99.jpeg

    026147f7-9004-418e-b903-17c115e8e00f.jpeg

    9bd04950-2f06-402c-8375-aa28ed745f6f.jpeg

    5913a6e4-4c48-484f-87e6-e47182d9bc78.jpeg

    5d0e5cae-8d70-4733-87a7-e36de37217aa.jpeg

    e8207799-a62a-4eeb-ae56-4eff3fa4aff6.jpeg

    ca7bae7c-08b2-4559-8541-58a32e5f3c0d.jpeg

    60f30faa-e11e-477a-b85d-c670e7e5efe2.jpeg

     

  • Conseil Territorial de Santé à la Mairie du 12e

    Ce matin, j’ai participé au Conseil Territorial de Santé à la Mairie du 12e, un moment clé avec l’@ARS_IDF pour renforcer la coordination entre les acteurs de santé et rappeler l’engagement historique de Paris dans la lutte contre le VIH/sida.
    Un grand merci à @EPierreMarie pour son accueil chaleureux, ainsi qu’à @annesouyris et @anneclaire_boux pour leur engagement sans relâche auprès des populations les plus vulnérables.
    Paris, ville pionnière, reste en première ligne sur le #chemsex et sur le VIH : 23 % des nouvelles infections en France se concentrent dans notre capitale.
    Prévention, dépistage et accompagnement : Paris continuera à porter haut l’objectif de #zérotransmission, #zérodiscrimination, et un accès universel aux soins pour toutes et tous.

    921581b4-806c-4e87-bfeb-302a22c56124.jpeg

     

  • Ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !

    Plus que jamais, il faut continuer la mobilisation pour une loi d’ultime liberté sur la fin de vie.
    Je serais encore ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !
    Je vous y attends nombreuses et nombreux.
    On ne peut plus attendre : le texte doit être discuté début février comme s’y est engagée la présidente de l’@AssembleeNat @YaelBRAUNPIVET !

    IMG_2544.jpeg

     

  • « La fin du Sida aujourd’hui c’est possible »

    Sur Radio Orient avec François-Xavier de Calonne, j’ai rappelé que la fin du VIH d’ici 2030 est à notre portée, mais seulement si la volonté politique suit.
    En France, 25 000 personnes ignorent qu’elles sont séropositives, un chiffre inacceptable à l’heure où le dépistage et les traitements peuvent sauver des vies.
    La lutte contre le VIH, c’est aussi un combat contre les #discriminations et la #sérophobie : 11 % des Français pensent qu’il faudrait isoler les personnes séropositives. Ces préjugés sont un frein à la prévention et à l’accès aux soins.
    Avec Elus Locaux Contre le Sida, nous le disons avec force : le VIH se soigne aussi par la politique. Cela passe par :
    Une prévention renforcée et accessible à toutes et tous.
    Un soutien accru aux associations, souvent seules à mener ce combat dans l’ombre.
    Une mobilisation collective pour mettre les droits humains et la lutte contre les discriminations au cœur de l’action publique.
    Les prochains maires doivent être ceux de la fin du sida. À l’approche des municipales, engageons-nous pour faire de cette ambition une réalité.
    Zéro transmission d’ici 2030, c’est possible.

    cd738bf3-1ea6-467b-8c06-10cbd6f002dd.jpeg

    ed18e6af-ea50-438c-9e95-727657f7eb41.jpeg

    e98d3d6f-c0bd-4fd0-a1b1-c7646e1fd0b0.jpeg

    e439e66b-e75e-41e6-a604-145bdf20b0bd.jpeg

    b6aa24f1-71c8-4e5c-9fa3-93bf17054290.jpeg

    13abd703-b2d0-404f-9898-d0699a090c38.jpeg

  • Faisons que ce rêve fou de l’élimination du sida devienne une réalité !

    Alors que 2030 et l’objectif de la fin de la transmission du VIH-SIDA s’approchent, il est indispensable que les villes se mobilisent.
    Faisons que ce rêve fou de l’élimination du sida devienne une réalité !
    Lundi soir, j’étais heureux de remettre le label « Ville engagée contre le Sida » de Elus Locaux Contre le Sida à la Ville de #Dijon, au Théâtre des Feuillants.
    Merci à la maire @nkoenders pour son engagement et à mes amis Antoine HOAREAU, 1er Adjoint et @ChristopheJeanB, Adjoint en charge de la lutte contre les discriminations pour leur présence et leur implication sans failles.
    Une pensée pour l’ancien maire, le ministre Rebsamen qui a tant fait pour Dijon !

    IMG_2337.jpeg

    1d9e59ae-3dbb-4e95-a216-72ec6d339ee5.jpeg

    6869a8e4-a6d5-408d-a3e6-4c7ff92e653b.jpeg

     

  • Retrouvez-moi ce mercredi 4 décembre sur France Bleu Bourgogne à 6h32 et 8h32 !

    Retrouvez-moi ce mercredi 4 décembre sur France Bleu Bourgogne à 6h32 et 8h32 à l’occasion de ma venue à Dijon pour le label ville engagée contre le sida de @ElusContreSida accordé à la mairie de Dijon.
    Un monde sans transmission du VIH/sida en 2030 est encore possible si nous nous mobilisons !

    68132d80-a737-4a4b-8651-4cfe9ca48c14.jpeg

    IMG_2337.jpeg

     

  • Sur Radio Orient à 12h00.

    7c89dc4f-13f7-473f-8d20-354c3e3cc249.jpeg

  • Sur France Info TV á 19h40 ! (Annulé)

    0b5545e5-d2e1-48f9-ac6f-3f13a27c2ec6.jpeg

  • 1er décembre : une des journées les plus fortes en émotion pour moi.

    Chaque année, le 1er décembre, est une des journées les plus fortes en émotion pour moi.
    Je suis rempli du souvenir de tous mes proches qui n’ont pas eu la chance de suVivre comme moi du #sida.
    Je me sens toujours si coupable d’être encore là.
    Tant de jeunes vies brisées, de talents à jamais disparus.
    Alors qu’un sondage Ifop-Opinion pour les 40 ans de AIDES nous rappelle que 11% des Français - 1 sur 10 !!! - veulent qu’on isole - !!! - les personnes séropositives, il faut plus que jamais combattre les discriminations qui nous touchent.
    En ce jour de solidarité, battons-nous contre les stigmatisations pour arriver à cet objectif merveilleux d’un monde sans transmission du VIH en 2030.
    The dream must come true…

    IMG_2250.jpeg

  • Sur France 2, à 20h, reportage sur le chemsex et les drogues de synthèse notamment la 3-MMC.

    Ce soir, le Journal Télévisé de France 2 consacrera un reportage au chemsex et aux usages de drogues de synthèse notamment la 3-MMC.
    Depuis 2021, Paris est la seule ville au monde à s’être dotée d’un plan dédié au chemsex : informer, prévenir, accompagner les pratiques et les usagers, et construire une véritable politique de santé publique axée sur la réduction des risques et non pas sur la répression des usager·ères.
    Notre démarche va de pair avec une lutte constante contre toutes les formes de stigmatisation.
    Pour répondre à cette urgence, Elus Locaux Contre le Sida lance un manifeste pour que le gouvernement et la Ministre de la Santé, G. Darrieussecq, agissent enfin.
    change.org/urgencechemsex

    france 2,jean luc romero michel,chemsex

  • 10 ans après l’appel de Paris, l’objectif reste le même : zéro transmission en 2030.

    Pour 1er décembre et la Journée mondiale de lutte contre le Sida, la Maire de Paris, Anne Hidalgo, entourée de Rémi Feraud, Anne-Claire Boux et Laurence Patrice, a réuni les acteur·rices engagé·es au quotidien pour un Paris sans sida. Élu·es, associations, militant·es de la première heure.
    10 ans après l’appel de Paris, l’objectif reste le même : zéro transmission en 2030.  #ParisSansSida

    e59df125-dd93-47e1-bd2e-e70bb9ca3dcf.jpeg

     

  • A Dijon contre ele sida, lundi a 19h30 !

    IMG_2244.jpeg