Le Parlement ghanéen choisit la haine plutôt que les droits humains.
Le Parlement ghanéen choisit la haine plutôt que les droits humains.
Criminaliser des vies pour plaire aux pires instincts réactionnaires est une infamie. Trois ans de prison pour être soi-même ? Dix ans pour défendre l’égalité ? Nos identités ne sont pas un crime.