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Mes loisirs

  • Un film exceptionnel à voir absolument : « Vivre, mourir, renaître » de Gaël Morel.

    Un film exceptionnel à voir absolument : « Vivre, mourir, renaître » de Gaël Morel.
    Pour les personnes qui, comme moi surVivent depuis si longtemps avec le VIH, il leur rappellera le drame que nous avons vécu avec la mort de tant d’amis et d’amours.
    Mais aussi, comment avec l’arrivée des trithérapies, il nous a fallu « renaitre » car nous nous croyions alors toutes et tous en sursis. En fin de vie. Juste de pâles surVivants.
    Certains ne parviendront malheureusement pas à accepter cette renaissance. (La première fois qu’une fiction s’arrête sur cette renaissance.)
    Ce film permettra à celles et à ceux qui ont eu la chance de ne pas connaître ces années de cendre, d’appréhender ce que nous avons vécu. Dans nos corps, notre chair et notre âme.
    Au-delà de cette histoire qui m’interpelle tellement et me bouleverse infiniment, ce film est aussi une merveilleuse oeuvre cinématographique. Une ode à l’amour et à la vie !
    Que Gaël Morel en soit éternellement remercié : il a réalisé un immense film.
    On ne peut - en plus ! - résister aux acteurs principaux : Théo Christine aussi crédible dans sa beauté rare et fulgurante du début du film que dans son interprétation bouleversante de sa fin de vie ; Lou Lampros, aussi belle que sincèrement révoltée.
    Et un vrai coup de coeur pour Victor Belmondo (@VictorBelmondo) si naturel, si vrai. Si touchant. Si humain.
    Ne ratez pas ce film.
    Mon incroyable coup de coeur de cette année 2024 !

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  • Réunion hebdomadaire du Club Ensemble.

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    Heureux d’avoir retrouvé des Francais vivant à Pattaya à la réunion hebdomadaire du Club Ensemble.
    Merci à Daniel de porter avec tant d’abnégation cette association qui aide nos compatriotes s’installant en Thaïlande et organise un programme culturel et convivial particulièrement conséquent !
    C’est avec plaisir que j’ai renouvelé ma cotisation à cette association qui m’aide de ses conseils pour préparer ma prochaine retraite…

     

  • Bravo à Vincent Delsol pour ses belles initiatives !

    Le plaisir de participer au nettoyage de la plage du Pullman Phuket Panwa avec les équipes de cet hotel eco-responsable et attaché à la défense de notre planète !
    Bravo à son DG Vincent Delsol pour ses belles initiatives !

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  • Cupidon a des ailes en carton de Raphaëlle Giordano, un roman d’été exaltant, mais surtout un guide pour mieux aimer !

    J’avais beaucoup apprécié « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » ainsi que « Le spleen du pop-corn qui voulait exploser de joie » de Raphaëlle Giordano. J’ai tout autant aimé lire et relire - même adoré - son « Cupidon a des ailes en carton ».
    C’est un beau livre d’été. Mais pas que ... Vraiment.
    Un livre d’été, car cette histoire d’amour se lit facilement et, sans vous révéler l’histoire, se termine bien.
    Typiquement le genre d’histoire dont nous avons besoin en cette période si anxiogène pour toutes et pour tous. Même si les jeux olympiques - si incroyables ! - de Paris nous ont remis bien du baume au cœur.
    Mais ce livre est aussi utile, car il vous prodigue de nombreux conseils très concrets pour faire vivre et surtout faire durer une histoire d’amour.
    Il oblige celles et ceux qui ont la chance d’aimer et d’être aimés à se poser de vraies questions. Les bonnes. Celles qui font avancer. A faire le bilan. Un bilan aussi utile qu’indispensable !
    Vous l’aurez compris, je vous recommande ce bouquin, un exaltant roman d’été, mais aussi un véritable guide pour mieux aimer !

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  • « Le spleen du pop-corn qui voulait exploser de joie » de Raphaëlle Giordano, pour se rappeler où est l’essentiel !

    Quand vous lisez Raphaëlle Giordano, vous n’êtes jamais déçu. Jamais.
    J’ai découvert cette auteure et peintre grâce au sublime livre au titre si évocateur « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une. »|
    Son livre « Le spleen du pop-corn qui voulait exploser de joie », que je viens d’achever, est dans la même veine. Un roman plein de joie mais qui, aussi, vous fait réfléchir au sens de la vie. A vos priorités.
    Le risque est grand lors que vous avez une vie professionnelle passionnante d’oublier le reste. C’est-à-dire la vie et vos proches… l’essentiel.
    Ce roman met en scène une jeune femme, Joy (joie en français), qui donne tout à son activité professionnelle oubliant même qui elle est, une femme joyeuse et amoureuse de la vie.
    Mais sa vraie nature reprend ses droits… C’est toute la saveur de ce roman. 
    Et comme tous les livres qui me font vibrer, je vous le recommande. Et surtout, à lire sans modération !

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  • « La peau hors du placard » de Jean-Baptiste Phou, pour comprendre le chemin d’obstacles d’un gay asiatique. Fort !

    « La peau hors du placard - Asiatique et gay, une vie de lutte » de Jean-Baptiste Phou, pour comprendre le chemin d’obstacles d’un gay asiatique. Fort !
    Je viens d’achever la lecture « La peau hors du placard - Asiatique et gay, une vie de lutte » de Jean-Baptiste Phou.
    Ce livre est édifiant et bouleversant.
    Né à Paris, Jean-Baptiste est donc Français, de parents sino-cambodgiens. Et pourtant…
    Sa couleur de peau va le réduire très souvent - bien trop souvent ! - à ses origines familiales. En 2024, cela peut paraître étonnant mais le racisme anti asiatique est très fort dans notre pays.
    Rappelons-nous un épisode récent : le rejet subi par les Chinois de France avec l’arrivée de la COVID-19, dont on les tenait injustement responsables, et au final par tous les Asiatiques qui sont, la plupart du temps, assimilés aux Chinois, même s’ils proviennent de Thaïlande, du Cambodge, du Japon ou d’un autre pays de ce continent.
    Avoir la double identité – Asiatique et gay - multiplie les risques de rejet. Et donc, le mal être…Rejeté par les siens et par les autres…
    Car, même au sein de la communauté gay, qui fait, elle-même, l’objet de stigmatisations, les personnes d’origines asiatiques y sont trop souvent bannies. Rejetées.
    Elles sont victimes de préjuges qui ont la vie tellement dure : l’Asiatique serait faible, efféminé et doté d’un petit sexe. La liste de préjugés que vous narre l’auteur est édifiante. Accablante même.
    Ce livre nous raconte donc un double coming out : celui du chemin de Jean-Baptiste pour accepter ses origines set son homosexualité.
    Et surtout en faire des atouts pour sa vie personnelle et professionnelle.
    A lire !

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  • « A prendre ou à laisser » de Lionel Shriver, à lire pour ceux qui ont des certitudes sur leur fin de vie ! Jubilatoire…

    Nouvelle lecture de ce mois, « A prendre ou à laisser » de l’écrivaine Lionel Shriver.
    Le pitch est assez simple.
    Après avoir dépassé la cinquantaine, un couple anglais se fait le serment de se donner la mort à l’anniversaire de leurs 80 ans.
    Ils ne veulent ni être un poids pour leurs proches, ni pour le système de santé anglais dont on connait les terribles défaillances…
    Évidemment, la date arrivant, les choses ne vont pas être aussi simples qu’ils l’avaient envisagé. C’est quand même un roman… L’écrivaine va justement fait feu de tout bois et échafauder douze fins potentielles. Toutes aussi incroyables les unes que les autres.
    A lire, car sur nos fins de vie, il faut savoir douter et sortir des certitudes qu’on entend d’ailleurs si souvent de la part de certains soignants ou religieux en cette période de débat sur la fin de vie en France. Jubilatoire…

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  • La Course des Cafés, c’était ce matin à Paris !

    La Course des Cafés, c’était ce matin à Paris !
    Un moment de convivialité incroyable qui a rassemblé beaucoup de Parisiennes et de Parisiens.
    Comme l’a si bien rappelé la maire Anne Hidalgo, les bistrots parisiens font partie du patrimoine de l’humanité !

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  • Fellow Travelers, une mini série de Canal Plus, un véritable chef d’oeuvre !

    Celles et ceux qui ont vu et aimé Philadelphia, it’s a sin, The normal heart ne pourront qu’être sensibles à cette nouvelle et exceptionnelle série diffusée sur Canal Plus : « Fellow travelers ».
    Cette série est inspirée du magnifique roman de Thomas Mallon, un voyage à travers quatre décennies.

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    Années 50, le Mc Carthysm fait rage. 
    Si chacun a forcément en tête la chasse aux communistes (la peur rouge) que mènera ce sénateur, on connait moins ce qu’on appela « the lavender scare », la peur violette ! C’est à dire la chasse aux homosexuels dans les administrations américaines !
    Ce film commence par cette terrible histoire de « witch hunt » de gays, trop rarement évoquée et cela à travers l’histoire d’amour de Hawkins et Tim, incroyablement interprétés par Matt Bomer, déjà formidable dans The normal heart, et Jonathan Bailey.

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    La série revient aussi sur la libération sexuelle, le développement de l’usage festif des drogues dans les années 70 avec l’avènement du disco.
    Elle se termine enfin par les terribles années 80 et l’arrivée fatale du sida pour la communauté gay.
    Celles et ceux qui, comme moi, ont connu ces années de cendre et ont perdu la plupart de leurs amis jusqu’aux années 95, vont être particulièrement touchés par cette série.
    Cette merveilleuse série de 8 épisodes se termine en effet sur l’un des plus grands drames contemporains que ma génération a connu et vécu. Près de 40 millions de morts à ce jour…

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    Je ne vous cache pas que le dernier épisode vous remue tout particulièrement. 
    A découvrir absolument pour les survivants de cette époque, mais aussi et surtout pour les plus jeunes d’entre vous qui n’imaginent sûrement pas ce que fut de voir, à 20 ans, disparaître nos amis de 20, 25 ou 30 ans dans des souffrances atroces. Ce sont ces fins de vie tragiques qui me conduiront d’ailleurs au combat pour une fin de vie digne et libre.
    En résumé, une série à voir absolument et j’oserai même le dire, et je ne le fais pas souvent, un véritable chef d’œuvre…

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  • « Les folles enquêtes de Magritte et Georgette, Leffe-toi et marche ! » de Nadine Monfils, une enquête aussi folle que passionnante, à l’image de son auteure

    Je connais l’écrivaine belge à succès Nadine Monfils depuis longtemps. Nous avions eu la même maison d’édition dans le passé et nous nous étions retrouvés au très couru salon du livre de Brive.
    Au stand de notre maison d’édition, j’étais assis à côté d’elle et sidéré de voir la queue immense qui s’allongeait au fil de la journée pour obtenir une dédicace de sa part. Nous sympathiserons immédiatement et elle m’offrit le livre qu’elle défendait à l’époque.
    Je découvrais une star éclectique de l’édition : de la poésie, aux livres grivois en passant par le roman noir. Sans oublier sa facette d’actrice ou même de cinéaste.
    Une femme à l’image de ses romans, déjantée, drôle et touchante.
    Sa série les folles enquêtes de Magritte et Georgette, son épouse contiennent déjà six titres parus cher Robert Laffont.
    La passion de Nadine Monfils pour le peintre René Magritte, belge comme elle, l’a poussé à ces romans qui décoiffent littéralement.
    « Leffe-toi et marche ! » nous entraine dans une enquête comme seule Nadine Monfils sait les imaginer et les mettre en scène. Rien ne se passe jamais avec elle comme on pourrait le supposer.
    Une jeune femme qui effectuait des recherches historiques dans l’abbaye de Leffe disparait et voici notre peintre et son épouse menant en parallèle de la police une enquête. Qu’ils vont bien sûr résoudre.
    Mais je ne vous révèle pas ce livre qu’il vous faut absolument découvrir.
    Du bon temps en perspective… Un must read.

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  • Bravo Alain Pacherie pour cette 43eme édition du Festival mondial du cirquede demain !

    Bravo Alain Pacherie pour cette 43eme édition du Festival mondial du cirquede demain organisée, comme tous les ans au Cirque Phénix, à Paris 12 !
    On y retrouve les plus merveilleux et incroyables numéros que le cirque mondial peut nous offrir.
    Un must et un honneur d’accueillir un tel événement dans notre bel arrondissement populaire !

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  • « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent » de Maria Larrea, une course passionnante et effrénée pour connaître ses origines !

    En ouvrant le roman autobiographique de la cinéaste Maria Larrea « Les gens de Bilbao naissent où ils veulent », je ne m’attendais pas à vivre une histoire aussi touchante que palpitante.
    Une jeune femme découvre tardivement grâce à un cartomancien qu’elle n’est pas la fille naturelle de ses parents. Le choc. L’incrédulité.
    Et pourtant, ses parents adoptifs lui avouent.
    Faisant fi de sa vie personnelle - un mari et des enfants -, de ses parents adoptifs qui vieillissent, elle entre dans une course effrénée pour connaître ses origines.
    Tout est bon pour cela : des sites internet aux autorités locales en passant par un détective privé.
    On lit ce livre aussi vite que l’on saute d’un évènement a un autre.
    Une course aux origines qui vous envoute et vous émeut.
    A lire. Vraiment.

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  • « L’ultime demande » de Martine Lombard, un livre académique et un plaidoyer convaincant pour une fin de vie libre. Loin du modèle français proposé par E. Macron !

    En un peu plus de 100 pages, tout est dit et bien dit sur le débat sur la fin de vie dans ce petit livre remarquablement écrit par Martine Lombard sur le droit de mourir dans la dignité.
    Professeure émérite de droit public, Martine Lombard écrit à la fois un livre académique démontrant l’évolution du droit en France et dans le monde sur la fin de vie et un plaidoyer convaincant.
    L’auteure, en professeure d’université réputée qu’elle demeure, fait un vrai travail d’analyse poussé : tous les arguments favorables et opposés à ce qu’elle qualifie d’ultime demande sont examinés et commentés.
    Elle n’hésite pas à disséquer tous les fake news des adversaires de la légalisation de l’aide active à mourir, notamment ceux de la présidente de la SFAP, société soi-disant non religieuse, mais dont Martine nous rappelle que sa présidente écrit dans la revue jésuite Christus.
    Pour mémoire, elle fait aussi des conférences dans des églises sur le thème : Mon corps m’appartient-t-il ? J’imagine que vous devinez sa réponse.
    Son livre nous rappelle que c’est cette même pseudo association savante qui préconise un modèle français sur la fin de vie, exactement ce que recommande un certain… Emmanuel Macron.
    Comme beaucoup, elle démontre qu’il n’est pas besoin d’inventer. Nos voisins ont déjà tout créé.
    Un livre que je vous recommande vivement…

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  • Déjà une semaine que nous sommes en 2024 !

    Déjà une semaine que nous sommes en 2024 !
    Comment, en 1987, alors que j’apprenais que j’étais séropositif, aurais-je pu imaginer connaître l’an 2000 et à fortiori l’année 2024 ?
    Comme l’écrit si bien Maud Ankaoua, dans son livre Respire ! :
    “Vivre pleinement conscients que nous allons mourir ouvre l’accès à la vie.”
    C’est ce que j’ai fait, j’ai bien vécu !

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  • Le suppléant du Prince Harry, des Mémoires rares et d’une incroyable vérité et sensibilité !

    Je viens d’achever les Mémoires du Prince Harry, Le suppléant : plus de 770 pages que j’ai presque lues d’une traite.
    Que l’on soit pauvre ou riche, d’un milieu aristocratique ou ouvrier, comme moi, l’enfance peut être un chemin de croix.
    La lecture des mémoires du courageux et sensible Prince Harry ne peut que convaincre celles et ceux qui en doutent à quel point être bien né ne garantit pas de vivre une jeunesse et une adolescence heureuses, légères et sans soucis.
    Celles de Harry, à la fin de l’été 1997, après la mort accidentelle, à Paris, de sa mère, la lumineuse princesse Diana, vont basculer et devenir infiniment tristes.
    « J’étais un gamin de dix-sept ans profondément malheureux, prêt à essayer presque tout et n’importe quoi pour m’extraire de cette torpeur. »
    Lire le livre du Prince, - Harold, Haz, Spike, pour ses amis - c’est entrer dans la grande et la petite histoire de la famille royale britannique.
    Si la reine Élisabeth II en sort grandie, ce n’est pas le cas de son fils, l’actuel roi, et surtout de William, le frère aîné de Harry et héritier de la couronne.
    Le rôle du suppléant, dans une monarchie, est ingrat.
    Particulièrement si celui-ci devient le bouc-émissaire de la presse britannique. Pire encore quand on lit, ébahi et stupéfait, ce que la presse a osé écrire sur Meg, l’épouse du Prince, à cause de ses origines métisses.
    Le manque de soutien de sa famille et la peur que le drame de sa maman, Diana, ne se reproduise, ont conduit le couple à fuir ce pays pour lequel Harry a risqué sa vie, notamment en Afghanistan.
    Harry se montre d’une sincérité incroyable ne fuyant jamais ses côtés obscurs : sa consommation excessive d’alcool et parfois de cannabis, sans oublier l’essai de la cocaine.
    Au final, ses Mémoires, outre être une contribution à la connaissance contemporaine de l’histoire britannique, est un cri et une lettre d’amour.
    Un cri à son père et à son frère qu’il avoue aimer tendrement malgré le rejet dont il s’estime victime.
    Une lettre d’amour à sa femme, à ses enfants, au Botswana et, au final, en la vie.
    Des Mémoires rares et d’une incroyable vérité et sensibilité !

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  • « Il n’est jamais trop tard pour devenir ce que l’on aurait pu être. »

    Même dans cette ultime partie de ma vie, j’essaie de suivre le conseil de George Eliot : « Il n’est jamais trop tard pour devenir ce que l’on aurait pu être. »
    Effectivement, il n’est jamais trop tard pour progresser vers plus de sagesse ou de bienveillance.
    Du moins, j’essaie …

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  • « Bardo, le passage » de Bruno Portier, inspirant, car parler de la mort, c’est parler de la vie !

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    J’ai retrouvé un livre sous une vieille pile de bouquins pleine de poussière dans ma maison d’enfance de Béthune. Connaissant mon intérêt pour le Bouddhisme, mon ancien éditeur et ami Florent Massot me l’avait envoyé à sa publication en 2009 :« Bardo, le passage » de Bruno Portier.
    De prime abord, le sujet ne parait pas très approprié pour les fêtes de Noël. Il s’agit, en effet, du périple d’une jeune femme, morte dans un tragique accident de moto, dans un voyage intemporel, durant ces périodes de doute que l’on traverse entre la mort et la vie selon le livre tibétain des morts.
    Je dis souvent dans les réunions ou les dédicaces que j’anime sur la fin de la vie et mon combat pour une loi d’ultime liberté que parler de la mort c’est d’abord parler de la vie…
    Ce livre en est un merveilleux exemple. C’est une ode à la vie, à nos vies….
    Il est inspirant.
    Utile en ces temps de doute. 

  • Starmania, un moment de grâce et d’émotion en ces temps troublés !

    « Est-ce que c’est notre terre qui tourne à l’envers ?
    Stone, le monde est stone … »
    Starmaniaoff à La Seine Musicale, une comédie musicale à ne vraiment pas rater …
    Luc Plamondon et Michel Berger étaient visionnaires car ce spectacle semble prémonitoire…
    La montée et la victoire des populismes, les inquiétudes sur l’avenir de notre planète et le climat, la violence sont malheureusement tellement d’actualité…
    Un moment de grâce et d’émotion en ces temps troublés !
    Bravo Thoma Jolly pour cette incroyable mise en scène… Sûr qu’à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques il va nous en mettre plein les yeux !

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  • Ciel béthunois au dessus du village de Noël !

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  • « Plus jamais sans moi ! » de Maud Ankaoua, ou le long mais beau chemin vers l’amour de soi !

    J’ai lu successivement les trois livres de Maud Ankaoua, « Kilomètre zéro », « Respire ! » et son dernier, paru récemment, « Plus jamais sans moi ! »
    L’univers de Maud Ankaoua est si envoutant que lorsqu’on entre dans un de ses livres, on n’en sort pas indemne.
    C’est encore le cas avec ce nouvel opus. « Plus jamais sans moi ! », nous rappelle que pour pouvoir aimer les autres, il faut d’abord savoir s’aimer.
    Simple, me diriez-vous. La vie nous démontre pourtant le contraire.
    Comme ce livre qui nous narre l’histoire de Constance, jeune avocate prometteuse, mais qui se noie dans une histoire d’amour impossible avec un homme marié qui se joue d’elle et de ses sentiments. Elle en finit par perdre le respect d’elle-même.
    Un pèlerinage sur le chemin de Compostelle va l’aider à maitriser ses peurs et à s’aimer.
    Un livre que je vous recommande et qui, comme les deux autres livres de Maud Ankaoua nous recentre sur les vraies valeurs de la vie et nous en redonne le sens.
    A lire sans modération !

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