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Homosexualité et homophobie

  • Prix international LGBTQIA+ de la Ville de Paris à Viktória Radványi, présidente de Budapest Pride.

    A Budapest, j’ai remis, au nom de la Maire de Paris, le Prix international LGBTQIA+ de la Ville de Paris à Viktória Radványi, présidente de Budapest Pride.
    Son courage, face aux attaques contre les droits fondamentaux par le gouvernement Orbán en Hongrie, force le respect.
    À travers elle, nous saluons toute l’équipe de @budapestpride, qui depuis 30 ans défend l’amour, la liberté et l’égalité dans un contexte politique de plus en plus hostile. Leur persévérance est un exemple pour toutes les villes progressistes d’Europe.
    Ce prix reflète aussi notre engagement à faire de Paris une ville refuge, alliée et solidaire des militant·es LGBTQIA+ partout dans le monde, en particulier là où les droits sont bafoués.
    La lutte pour l’égalité est internationale, notre soutien aussi. À Budapest comme à Paris : nous ne reculerons pas.

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  • Heureux d’avoir accueilli Marcos Torres et Frédéric Obiang, défenseurs des droits LGBTQIA+ du Brésil et du Gabon

    Heureux d’avoir accueilli Marcos Torres et Frédéric Obiang, défenseurs des droits LGBTQIA+ du Brésil et du Gabon, lauréats de l’initiative Marianne 2025.
    Dans leurs pays, comme aux États-Unis ou en Europe, les avancées légales ne suffisent pas : violences et discriminations restent une réalité !
    Paris les soutient dans leurs combats : leurs droits sont nos droits.

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  • Christophe Martet, militant infatigable de la lutte contre le VIH/sida

    Christophe Martet, militant infatigable de la lutte contre le VIH/sida et président de Vers Paris - Seine St Denis Sans Sida, a eu l’honneur de recevoir de la part de Ian Brossat la Médaille d’honneur du Sénat.
    A l’occasion de cette distinction, je veux à mon tour saluer son engagement sans relâche dans la lutte contre le sida et pour l’égalité, et exprimer toute ma reconnaissance envers le travail qu’il effectue.

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  • Lancement de la Marche des Fiertés Paris IDF 2025 !

    Pour la deuxième année consécutive, nous célébrions avec émotion le lancement de la Marche des Fiertés Paris IDF 2025 et de la Semaine des Fiertés, aux côtés des associations membres de l'Inter-LGBT.
    Dans un contexte international marqué par des reculs inquiétants des droits
    LGBTQIA+, Paris se devait de réaffirmer sa position de ville des droits humains ainsi que son soutien à l'Inter-associative.
    Encore un grand merci à toute l'équipe de l'Inter-LGBT et à son président pour le travail colossal qu'ils et elles fournissent pour organiser ces événements grandioses !

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  • Un grand merci !

    J’ai réuni l’ensemble des services de la Ville de Paris ayant contribué au succès des événements des 16 et 17 mai, organisés à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les LGBTQIA+phobies.
    Le Bal de l’Amour, la conférence internationale, la remise du Prix international LGBTQIA+, la Boom de l’Eurovision ou encore l’inauguration du mémorial en hommage aux victimes homosexuelles de la déportation et à toutes les personnes LGBTQIA+ persécutées à travers l’Histoire, pilotée par @lau_patrice, ont été de véritables réussites. Sans l’engagement de chacune et chacun, rien de tout cela n’aurait été possible.
    Dans un contexte international de plus en plus hostile aux droits des personnes LGBTQIA+, ces rassemblements sont plus que jamais indispensables. Paris a, une fois de plus, réaffirmé son rôle de capitale des droits humains et de rempart face à la haine.
    Un grand merci !

  • Lancement officiel de l’Été des Fiertés 2025 !

    Ce jeudi 5 juin, j’étais très heureux d’assister au lancement national de l’édition 2025 de l’Été des Fiertés organisé par le @CentreLGBTParis, la @FederationLGBTI et @HFPrevention.
    Ce moment fort marque le coup d’envoi d’un été militant, festif et culturel, dans toute la France, pour célébrer nos luttes, nos fiertés et revendiquer l’égalité des droits.
    À Paris, nous continuerons d’agir avec force : sensibilisation dans les collèges, formations des agent·es, financements accrus aux associations, accueil des personnes exilées, coopération internationale.

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  • Engagement indéfectible pour l’égalité, la visibilité et la dignité des personnes LGBTQIA+.

    En ce début de mois mondial des fiertés, le Conseil de Paris réaffirme son engagement indéfectible pour l’égalité, la visibilité et la dignité des personnes LGBTQIA+.
    En soutenant 30 associations à hauteur de 287 100 €, Paris agit concrètement pour faire reculer toutes les discriminations et défendre les droits de toutes et tous.
    Face aux offensives réactionnaires qui tentent de s’imposer à l’échelle européenne et internationale, notre ville choisit d’être un rempart. Paris restera la ville des libertés, du refuge et de l’amour libre.

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  • Paris ne se trompe pas de combat...

    On peut bien sûr contester l’affiche qui a été choisie par un vote des associations membres de l’@InterLGBT
    Mais supprimer les crédits de sécurisation à la Marche (comme le fait la région @iledefrance) ferait courir de très graves risques à cette Pride à un moment où les personnes LGBTQIA+ font l’objet d’attaques extrêmement graves partout dans le monde !
    Paris ne cautionne évidemment pas cette affiche, mais est plus que jamais aux côtés des associations organisatrices de la Marche parisienne au moment où les attaques LGBTQIAphobes explosent partout et alors qu’au sein même de notre Europe, le président homophobe Orbán interdit la Marche de #Budapest.
    La violence que subissent actuellement les personnes LGBTQIA+, et particulièrement les personnes trans, mérite une mobilisation de toutes et de tous.

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  • Le Mois des Fiertés....

    Pour lancer le Mois des Fiertés, je me suis rendu, aux côtés d’@ArielWeilT et @lau_patrice , au Elles Bar, un bar lesbien emblématique du Marais. Une semaine plus tôt, au même endroit, nous rendions hommage au Village, le tout premier bar ouvertement gay du quartier.
    Ces moments sont essentiels pour célébrer nos couleurs, nos luttes et nos fiertés, et ouvrir un mois dédié à la visibilité des personnes LGBTQIA+.
    Alors que le dernier rapport de SOS Homophobie signale une hausse préoccupante des violences et discriminations visant les personnes LGBTQIA+ en France, à Paris, nous continuerons à porter haut ces combats, avec détermination.

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  • Célébrer le mariage de Arnaud et Rémi, un merveilleux moment et beaucoup d’émotions !

    Il y a une semaine, à la mairie de Paris 11, je célébrais le mariage de Arnaud et Rémi, un merveilleux moment et beaucoup d’émotions !
    Marier des couples est la plus belle mission d’un élu municipal et, à chaque fois, cela me touche.
    Evidemment, ce mariage de deux amis avait une saveur particulière et singulière.
    À ce couple exceptionnel, je leur souhaite tout l’amour et le bonheur du monde pour des décennies !

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  • « Bye-bye Barbary Lane » de Armistead Maupin, la madeleine indispensable de tant de gens de ma génération !

    Alors que je viens de recevoir le dixième tome des Chroniques de San Francisco, Mona et son manoir, qui est récemment sorti en France, je relis une énième fois les épisodes précédents des Chroniques et cette fois-ci, le 6ème épisode « Bye-Bye Barbary Lane. »
    Ce tome qui s’achève avec le départ de Mary-Ann, une des héroïnes récurrentes de la saga, pour New York est aussi un des ouvrages qui évoque beaucoup la vie avec le VIH de Michael, l’une des autres stars de ces histoires.
    Cet épisode m’a vraiment beaucoup aidé par le passé à vivre avec ce virus qui me rongeait à un moment où les actuels et efficaces traitements n’existaient pas. La littérature est souvent thérapeutique. Ces chroniques et, particulièrement ce sixième tome, m’ont peut-être sauvé. Cela peut paraitre être excessif, mais il est sûr que sans les livres de Armistead Maupin, je n’aurai jamais accepté aussi facilement l’homme que je suis…
    A lire sans modération…

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  • Hommage au Village, premier bar ouvertement gay du Marais, ouvert en décembre 1978

    La Ville de Paris a rendu hommage au Village, premier bar ouvertement gay du Marais, ouvert en décembre 1978 par Joël Leroux et Jean-Claude Zamora.
    Au 12 rue du Plâtre, une plaque commémorative célèbre ce lieu pionnier, symbole de liberté, de convivialité et de visibilité LGBTQIA+. C’est ici que s’est écrite une part essentielle de notre histoire : celle d’un quartier devenu refuge, scène militante et terrain de luttes, notamment contre le VIH/sida.
    Je salue le travail de mémoire porté par Laurence Patrice auprès de Marie-Hélène Delon et Marion Dupuis. Merci à la mairie de Paris Centre, Ariel Weil et  à Paris Habitat, d’avoir permis l’apposition de cette plaque sur un lieu désormais occupé par le Elles Bar, lieu lesbien vivant et engagé.

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  • Inquiet face à la résurgence, au Sénégal, d’un projet visant à durcir la répression des personnes LGBTQIA+.

    Profondément inquiet face à la résurgence, au Sénégal, d’un projet de loi visant à durcir encore davantage la répression des personnes LGBTQIA+. Porter à quinze ans de prison ferme les peines pour homosexualité, criminaliser la bisexualité et la transidentité : voilà un recul grave des droits humains fondamentaux.
    Je veux redire ici toute ma solidarité avec les militant-es sénégalais-es qui se battent courageusement, souvent au péril de leur vie. La France et l’Europe doivent envoyer un message clair.
    À Paris, nous continuerons à soutenir les exilé-es LGBTQIA+ qui fuient ces violences, et à plaider pour que le droit à vivre libre et en sécurité soit respecté partout dans le monde.

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  • Célébrer l’anniversaire de La Bulle...

    Avec Remi Feraud, Ariel Weil, @cbrossel, @g_garrigos, @egregoire, Gauthier Caron-Thibault avons eu le plaisir de célébrer  l’anniversaire de La Bulle, ce lieu unique et indispensable à Paris, dédié à l’accueil des personnes migrantes LGBTQIA+ et des personnes trans.
    Depuis 2 ans, La Bulle est bien plus qu’un centre d’accueil : c’est un espace de répit, de solidarité et d’émancipation pour celles et ceux qui ont fui les persécutions, les discriminations et les violences.
    Dans un monde où les droits des personnes LGBTQIA+ sont de plus en plus fragilisés, où encore 62 pays pénalisent l’homosexualité, et 11 la punissent de la peine de mort, l’exil reste malheureusement la seule solution.
    C’est pour cela que la Bulle est un refuge vital. Elle incarne ce que Paris est : une ville refuge, fière de ses valeurs d’accueil, d’inclusion et de solidarité pour toutes et tous.
    Merci à Aude Le Moullec-Rieu et à toutes les associations qui animent le lieu au quotidien : ANKH, ARDHIS, Espace Santé Trans, FLIRT, OUTrans, Wassla et XY Media. Merci aux équipes et aux bénévoles pour leurs engagements et leurs implications auprès des personnes accueillies. Et surtout, merci aux personnes accueillies pour leur courage et leur confiance.
    Longue vie à La Bulle ! 

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  • Zoom sur le profil de nos lauréat·es du Prix International LGBTQIA+

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    Pour le prix français, découvrez Carine Bahanag, artiste féministe, accompagnée d’une mention spéciale pour Paulo Higgins, activiste trans.

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    Pour le prix francophone, retrouvez Bouhdid Belhedi, directeur exécutif de l’association Shams Tunisie, ainsi qu’une mention spéciale pour Aimé Biombi Akiki, activiste trans camerounaise.

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    Pour le prix international, découvrez Viktória Radványi, présidente de la @budapestpride , avec une mention spéciale pour Yıldız Tar, journaliste trans en Turquie.

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    Cette année, pour la première fois, un prix spécial a été remis à la Maire de Paris, en reconnaissance de sa politique et de son engagement de longue date en faveur de l’inclusion.
     
    Je tiens à remercier sincèrement l’ensemble des membres du jury pour leur travail dans la sélection de ces lauréat·es, qui agissent chaque jour pour les droits des personnes LGBTQIA+, souvent dans des contextes particulièrement hostiles dans de nombreuses régions du monde.

     

  • Retour sur les escaliers arc-en-ciel du 10e arrondissement de Paris.

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    Aux côtés de Alexandra CORDEBARD, maire du 10e, nous sommes retourné·es sur les marches de l’avenue de Verdun, récemment recouvertes de blanc dans un acte aussi délibéré qu’homophobe.
    Ces marches, colorées cet hiver pour égayer un coin du quartier, sont devenues un symbole de fierté, d’inclusion et de visibilité. Un message simple, mais fort : ici, la diversité est une force.
    Effacer un arc-en-ciel, c’est vouloir effacer des identités, des vies, des droits. Mais nos couleurs sont de retour, plus éclatantes que jamais.
    Merci à la maire et aux équipes de la Mairie du 10ème pour leur réactivité et leur détermination.

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  • Retour sur notre conférence internationale sur les droits des personnes LGBTQIA+ à travers le monde

    Animée par @LThouny , de l’Association des journalistes LGBTQIA+, cette conférence a réuni Kyoka Shodladd , militante thaïlando-japonaise, Máté Hegedűs, de la @budapestpride et l’ambassadeur pour les droits LGBT+ @jeanmarcberthon qui ont analysé la montée des discours anti-LGBTQIA+ et les politiques répressives qui en découlent.
    Merci à @OliviaPolski , adjointe à la Maire de Paris en charge des ressources humaines, ainsi qu’à @ikeafrance , d’avoir présenté les initiatives concrètes mises en place pour promouvoir l’inclusion, soutenir les personnes LGBTQIA+ et renforcer les politiques d’égalité dans les milieux professionnels.
    En écho aux Jeux Oympiques et Paralympiques de Paris 2024, le médaillé d’argent Dimitri Pavadé a partagé son engagement contre les discriminations. Merci également à l’association Les Gaillards, ainsi qu’aux équipes de la la Prise House Paris et de celle de Los Angeles avec Haley Caruso, pour leur mobilisation en faveur de l’inclusion.
    Un mot particulier pour Olivier Py, directeur du @theatrechatelet , venu présenter la comédie musicale La Cage aux Folles, et qui nous a offert le privilège d’assister à une avant-première exclusive de ce spectacle emblématique de la culture queer.
    Un grand merci à toutes et à tous pour votre présence et votre engagement lors de cette conférence

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  • Soirée des Fiertés organisée par la Fondation Le Refuge.

    J’ai eu l’honneur d’assister à la Soirée des Fiertés organisée par la Fondation Le Refuge.
    Un moment fort et nécessaire, qui a permis de mettre en lumière les actions menées par la fondation, tout en dévoilant les résultats de l’étude réalisée avec l’institut BVA sur l’état des LGBTQIA+phobies en France.
    Parmi les constats préoccupants, le sport reste l’un des espaces où les personnes LGBTQIA+ subissent encore de nombreuses discriminations. Ce point avait déjà été souligné lors de notre conférence internationale dédiée à la lutte contre les LGBTQIA+phobies, organisée le week-end dernier.
    L’actualité ne fait que confirmer cette réalité : récemment, le joueur de l’Olympique Lyonnais Nemanja Matić a caché le drapeau arc-en-ciel sur son maillot, à l’occasion de la Journée internationale contre les LGBTQIA+phobies.
    Un geste inacceptable, qui rappelle que le combat contre ces discriminations reste plus que jamais d’actualité.

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  • Une œuvre bouleversante réalisée par Jean-Luc Verna, née d’une commande de la Ville de #Paris

    Ce samedi 17 mai, au Jardin du Port de l’Arsenal et à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les LGBTQIA+phobies, la Ville de Paris a inauguré le premier Mémorial, en France, en hommage aux victimes homosexuelles de la déportation et à toutes les personnes LGBTQIA+ persécutées à travers l’Histoire.
    Une œuvre bouleversante réalisée par Jean-Luc Verna, née d’une commande de la Ville de Paris et de l’engagement de l’association Les Oublié·e·s de la Mémoire, pour faire entrer dans notre espace public une mémoire trop longtemps niée. Celle des vies effacées, des amours interdites, des corps persécutés simplement pour avoir été eux-mêmes.
    Un moment de vérité, de dignité et de grande émotion aux côtés de la Maire de Paris, @Anne_Hidalgo, de @lau_patrice, d’ @EPierreMarie et de nombreux·ses élu·es.
    Merci aux Sœurs de la Perpétuelle Indulgence d’avoir béni ce monument, avec élégance alors que la voix de Gloria Gaynor résonnait encore dans l’air : autant de gestes pour dire que nous n’oublierons pas.
    Ce monument est là, désormais, au cœur de Paris, pour rappeler que la mémoire est un acte politique et vivant. Un lieu de rassemblement, de partage et d’espoir pour dire qu’il n’y aura jamais de fierté sans justice.

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  • À Paris, l’amour est et restera une force de résistance.

    Pour cette troisième édition, la Ville de Paris réaffirme que le Bal de l’Amour n’est pas qu’une fête : c’est un acte politique.
    Une nuit pour célébrer nos fiertés, revendiquer nos droits et affirmer haut et fort que l’amour n’a pas de genre et pas de frontière.
    Vous étiez plus de 12 000 à être au rendez-vous !
    Merci à @annehidalgo, aux élu·es présent·es, aux militant·es, artistes, allié·es pour votre mobilisation constante, vous qui faites de ce bal et de notre ville un espace de liberté et de lutte.
    À Paris, l’amour est et restera une force de résistance.

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