Ma Vie De Militant ! - Page 5
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Hier, à la mairie de Lyon, avec Celine Laurens et @ElusContreSida, nous organisions une table ronde : « #Chemsex : un défi collectif ! » en présence d’une centaine de personnes.Cet après-midi très dense a permis de montrer l’urgence de se mobiliser.Alors que l’Etat est aux abonnés absents, à leur niveau, les villes ont des moyens d’agir.C’est déjà la cas à Paris où, avec Anne Hidalgo, @anneclaire_boux et @annesouyris, nous sommes, depuis 2021, engagés dans un plan stratégique avec tous les acteurs.N’hésitez pas à interpeller le gouvernement en signant notre pétition #UrgenceChemsex :
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Reunion sur le chemsex à la mairie de Lyon 1
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« Mon autre famille » de Armistead Maupin, ou le combat d’une vie pour être soi… Pour être fier !
J’ai profité des fêtes de fin d’année pour relire « Mon autre famille » de Armistead Maupin ! Un livre si utile pour celles et pour ceux de ma génération qui ont eu un long chemin dans l’acceptation de l’homosexualité.
Avec ses chroniques de San Francisco, dont je parle souvent dans mes posts pour les relire régulièrement, l’américain Armistead Maupin m’a incontestablement aidé à vivre mon homosexualité puis, à accepter ma séropositivité. Ses chroniques m’ont souvent servi de refuge dans mes heures sombres. Comme pour beaucoup de LGBTQIA+ de ma génération.
D’ailleurs, ce livre fourmille d’informations sur l’origine des personnages vedettes de sa saga, Michael, Mary-Ann, Brian, Mona et bien sûr Anna Madrigal.
Sa famille sudiste très conservatrice est le fil conducteur de ses mémoires qui ne seront consacrées qu’à la première partie de sa vie.
On y devine ses souffrances face à l’absence de soutien de sa famille même si, au seuil de leur mort, ses parents sauront lui monter leur amour. Au point même d’assister anonymement à l’hommage à Harvey Milk le soir de son lâche assassinat.
Mais c’est bien cette autre famille, celle de ses amis célèbres ou anonymes qu’il a constitué peu à peu dans sa ville d’adoption, San Francisco, qui l’entoure d’amour.
Parmi ses amis célèbres, les plus anciens d’entre nous seront émus sur ses confidences concernant son ami Rock Hudson, dont on n’oubliera jamais qu’aucune compagnie aérienne n’accepta de le rapatrier de Paris à Los Angeles parce qu’il était séropositif. Et qu’il dut affréter un avion privé pour pourvoir rentrer chez lui… Et pour une somme astronomique…
Petit bonus, en fin d’ouvrage, Armistead Maupin publie la lettre que Michael envoya à sa mère pour lui dire son homosexualité. Une lettre que des milliers d’homosexuels ont utilisée pour faire leur coming out familial comme mon propre mari, Chris. Lettre toujours aussi efficace en 2025…
Vous l’avez compris, ce livre est utile. Je vous le recommande vivement… -
Ne jamais oublier mon pays la France, à qui je dois tant
Ne jamais oublier mon pays la France, à qui je dois tant, ni mes combats pour l’égalité des personnes Lgbtqia ! -
La fin de vie est une question de liberté et de dignité.
La fin de vie est une question de liberté et de dignité.Dans mon interview pour @lavoixdunord Hauts-de-France du 8 janvier, je souligne que le projet de loi actuel est une avancée, mais reste insuffisant. Personne ne devrait être forcé de quitter la France pour mourir dignement.En tant que président d'honneur de l'@ADMDFRANCE, je continuerai de me battre pour une loi qui respecte pleinement le droit de chacun à choisir les conditions de sa #findevie. C'est une question de justice et de droits humains. -
Le 1er février marquera les 1 000 jours de détention arbitraire de Cécile Kohler, de Jacques Paris et de Olivier en Iran.
Le 1er février marquera les 1 000 jours de détention arbitraire de Cécile Kohler, de Jacques Paris et de Olivier en Iran.Comme je l'ai fait, j’appelle à ce que chacun signe la pétition demandant leur libération immédiate.Leurs conditions de détention inhumaines, décrites comme une véritable torture par la Prix Nobel de la paix 2023, Narges Mohammadi, sont une violation flagrante des droits humains.Mobilisons-nous pour les soutenir : signez et partagez la pétition.#FreeCecileKohler #FreeJacquesParis -
Le choix courageux de Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.
Dans La Voix-du-Nord, on pouvait lire le choix courageux qu'ont fait Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.Un dernier acte d'amour et de dignitéque la France refuse encore de permettre. Il est temps de briser ce tabou et d'offrir à chacun la liberté de choisir une fin de vie digne.Un article à retrouver en ligne sur le site de @lavoixdunord -
On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance du Dalaï-Lama !
Plus que jamais émouvant - et plein de bon sens - d’entendre sa sainteté le Dalai-Lama, prix Nobel de la paix, citoyen d’honneur de la ville de Paris nous souhaiter une belle année 2025…PasUn changement d’année pas seulement fait de festivités, mais surtout de paix intérieure. De paix tout simplement !On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance en ce monde si troublé.#Dalailama@NobelPrize -
Les droits des personnes LGBTQIA+ sont des droits humains !
La situation des personnes LGBTQIA+ en Afrique sub-saharienne n’a cessé de se dégrader en 2024, comme encore récemment, l’immonde chasse aux personnes gays lancée par un influenceur de premier plan en Côte d’Ivoire.Sénégal, Cameroun, CoteD'Ivoire, Ghana, Ouganda et tant d’autres pays assument une homophobie d’Etat totalement décomplexée !L’Union Européenne et la France doivent enfin réagir à cette dérive alarmante et ne plus laisser une occasion de dénoncer au plus haut niveau ces atteintes aux droits humains en 2025, dans ces pays. -
« S’attaquer à Taïwan, c’est s’attaquer à la démocratie »
Au micro de l’agence de presse de Taïwan, j’ai pu rappeler à quel point ce pays incarne un modèle de démocratie remarquable, un phare en Asie et dans le monde. Face aux menaces croissantes, notamment les intimidations et pressions militaires, il est essentiel que les démocraties s’unissent pour défendre leurs valeurs communes.En tant qu’élu parisien engagé pour les droits humains, je réaffirme mon soutien indéfectible au peuple taïwanais, à ses aspirations démocratiques et à son droit de participer pleinement aux organisations internationales. La liberté, la dignité et les droits fondamentaux ne sont pas négociables. -
L’année 2024 s’achève !
L’année 2024 s’achève !Elle fut difficile à de nombreux égards, mais aussi, à Paris, exaltante avec les @jeuxolympiques et @Paralympics !Ce récapitulatif en images de mon année militante nous rappelle que pour #Paris comme pour mes combats sur la fin de vie, pour l’égalité et contre le #sida, les défis restent nombreux !A mon niveau, je continuerai à les relever en 2025.Forcément, comme pour chacun d’entre vous, mon coeur souffre en ce 31 décembre pour nos compatriotes de #Mayotte, mais aussi forcément pour les otages israéliens des terroristes du Hamas et la population civile de Gaza subissant de terribles crimes de guerre.Sans oublier nos amis ukrainiens…Lien permanent Catégories : Adjoint à la maire de Paris, Euthanasie, ADMD et WFRtDS, Homosexualité et homophobie, LGBTQI+, Ma Vie De Militant !, Mes déplacements à l'étranger, Mes déplacements en province et DOM-TOM, Mes voeux pour 2025, Pinar Selek, Politique française, Thaïlande, Bangkok, Pattaya 0 commentaire -
Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir !
Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir ! J'ai envie de le partager avec vous pour vous rappeler l'inhumanité de nos lois sur la fin de vie.Il faut que ça change !Cher Monsieur Romero-Michel,Quelque chose d'inexpliqué m'a décidé, en vous voyant il y a quelques semaines dans un reportage télévisé sur une drogue de synthèse qui fait des ravages chez les jeunes, à reprendre contact avec vous pour essayer de relancer une conversation que j'avais tenté d'entamer Il y a maintenant une quinzaine d'années (voir messages ci-dessous).J'étais parvenu à l'époque à entrer en contact avec Mme Marie Humbert après quelques recherches sur Internet, qui m'avait gentiment appelé pour une conversation qui avait finalement duré une bonne heure. Vous m'étiez apparu à l'époque comme un bon point de continuation pour discuter de l'aspect légal de la question de la fin de vie. Comme vous pouvez le constater ci-dessous, j'avais fini par renoncer votre emploi du temps très occupé. J'imagine que cette situation n'a pas vraiment changé vu les fonctions que vous occupez, mais je vais cette fois me contenter de vous envoyer quelques remarques en espérant simplement qu'elles soient lues et trouvent un jour leur place dans le débat national.Je fait partie de la catégorie de personnes que j'appelle les laissés pour compte des lois sur la fin de vie. Ces personnes qui ne sont pas mourantes, mais vivent un calvaire au quotidien qui peut se prolonger indéfiniment. Je ne voudrais pas vous ennuyer avec l'histoire de ma vie, mais quelques informations sur mon passé vous donneront peut-être une meilleure idée de ce que je ressens au quotidien.J'ai passé toute mon enfance en Côte d'Ivoire où je suis né, avant de finir ma terminale et de passer une année en faculté de médecine à Nice. Je me suis tout de suite rendez compte que ce n'était pas vocation, et je suis parti aux États-Unis pour continuer mes études, en finance et comptabilité. J'ai eu la chance d'être diplômé de bonnes écoles (Wharton et Columbia Business School) et de pouvoir commencer une carrière professionnelle à Philadelphia, New York puis Washington. En tout, un séjour d'une douzaine d'années qui s'est terminé après un accident en 2002.Depuis l'enfance, j'ai mené une vie faite d'activités physiques, en extérieur, ou les deux. Judo, tennis, planche à voile, aviation, moto... Malgré ce que pourrait suggérer mes diplômes, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un stimulé par l'activité intellectuelle. Mes loisirs à l'âge adulte étaient essentiellement l'aviation (j'ai une licence de pilote professionnel) et la course moto en amateur, que je pratiquais en alternance l'hiver et à la belle saison. C'est lors d'une compétition sur un circuit en Virginie Occidentale que j'ai subi un grave accident en 2002 auquel j'ai eu la malchance de survivre. Je mesure bien le poids de mes mots.Cet accident est pour moi l'équivalent de la peine capitale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis, avec des procédures d'appel à répétition s'étalant sur des décennies. Lors de mon premier séjour hospitalier à Washington après l'accident, un médecin m'a informé qu'une personne dans mon état avait une espérance de vie moyenne d'environ 7 ans. Je trouvais déjà que cela faisait 7 ans e trop pour une personne en perte totale d'autonomie sur le plan moteur, incapable de tenir un verre d'eau ou un morceau de pain. J'étais prêt à partir le jour même si l'option m'était présentée, et mon avis n'a pas changé en 22 ans.Je suis revenu en France un an après l'accident à l'insistance de mes parents pour des opérations chirurgicales et de la rééducation, et j'attends depuis que les lois changent et permettent à des personnes comme moi de mourir dignement. Lors de mon premier séjour hospitalier en France en 2003, ma famille s'inquiétait de mon état d'esprit et m'a fait évaluer par mon médecin rééducateur à Berck. Celui-ci est rapidement parvenu à la conclusion que j'étais parfaitement rationnel et que mon désir à ne pas vivre avec une forme lourde de tétraplégie n'était en aucun cas lié à une quelconque forme de dépression.Beaucoup de personnes lourdement handicapées trouvent des raisons personnelles de s'accrocher à la vie, quelque soit sa qualité. Je les admire et les envie. Ce n'est simplement pas mon cas. Je ne souscris pas à la croyance que toute vie est sacrée et vaut mieux que la mort. Dans un sens, c'est un peu comme la foi. Certains l'ont, d'autres pas. Ça n'en fait ni de meilleures, ni de plus mauvaises personnes. Les gens sont juste différents face à certaines situations et je pense qu'il faut respecter ces différences, à défaut de les comprendre. Personnellement, ma position sur le sujet a été forgée par une visite avec mon père chez mon arrière-grand-mère quand j'avais 15 ans, pour ce qui s'est révélé plus tard avoir été ma dernière occasion de la voir vivante. Je me souviens les avoir laissés tous les deux et être sorti de la chambre pour aller pleurer dans une autre pièce de la maison. Et j'ai ressenti pour la première fois de ma vie ce sentiment de préférer qu'elle ne soit plus de ce monde plutôt que de la voir dans cet état de fatigue et de démence mentale. Mon opinion sur la question de fin de vie n'a donc rien à voir avec ma situation personnelle et s'était déjà construite 15 ans auparavant.Incapable de produire quoi que ce soit, je ne suis d'aucune utilité à la société. Je représente juste un coût Imposé à des personnes qui travaillent et paient des impôts. Pourquoi donc cette société dans son ensemble s'oppose-t-elle par le biais de ses politiques à mon droit de disposer comme je l'entends de ma vie, en rendant illégaux des produits qui pourraient m'aider à mourir dignement sur mes propres termes, et en menaçant toute personne qui aurait la générosité de m'y aider? Comment peut-on justifier de traiter des animaux de compagnie avec plus de compassion que des personnes humaines? Pourquoi décide-t-on qu'un chien souffre trop pour continuer de vivre alors qu'il est impossible d'obtenir son consentement, alors que l'on refuse ce droit à une personne qui peut t'exprimer son choix ?La cause fondamentale de cette situation, que les personnes l'admettent ou pas, est enracinée dans l'histoire religieuse de nos sociétés modernes. Je ne suis pas fondamentalement opposé à toute influence religieuse dans l'écriture de textes loi de la vie civile, mais il faut savoir faire la part des choses. Dans "Tu ne tueras point", des personnes rationnelles devrait être capables de faire la différence entre un meurtre et une personne désireuse d'en finir avec une vie insoutenable. Faire du zèle en empêchant des personnes de choisir d'elles-mêmes de vivre ou non dépasse, à mon avis, le cadre de l'influence acceptable de convictions religieuses sur la vie des personnes qui ne les partagent pas. J'ai conscience d'assez mal exprimer mon opinion sur ce sujet. J'étais plutôt mauvais en philosophie au lycée, principalement parce que je trouvais cela subjectif et inutile, et c'est la seule matière où je n'ai pas eu la moyenne au baccalauréat. La piètre qualité de mes compositions reflétait de façon trop évidente mon manque de respect pour la matière. Mais j'ai toujours cru très fort au principe selon lequel la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.On pourrait me répondre que si je voulais vraiment mourir, il suffirait de me laisser aller sur le plan de l'hygiène et des soins, et d'arrêter de m'alimenter. Mais comme je l'ai expliqué au médecin qui avait été chargé de m'évaluer sur le plan psychologique à Berck, je n'ai pas le moindre désir de souffrir inutilement dans une agonie prolongée. Je ne suis pas suicidaire. Je suis juste fatigué d'une vie pénible passée sur un lit médicalisé. À cause de complications survenues très tôt sur lesquelles je ne me suis pas étendu ici, je ne sors de chez moi qu'en brancard, lorsque je dois me rendre à un rendez-vous médical à l'hôpital. Et parce que je fais le nécessaire pour rester en bonne santé, Il m'est arrivé à plusieurs reprises de passer plus de 5 ans sans mettre le nez dehors. D'une certaine façon, mon quotidien s'apparente à celui d'un nourrisson, fait du lever au coucher d'une succession de tâches humiliantes pour un adulte, contrairement au nourrisson qui n'est pas encombré par le fardeau du concept de dignité qu'il n'a pas encore connue.Je ne prétendrai pas que je serais intéressé par des sorties au musée ou dans des parcs floraux si je pouvais m'asseoir confortablement dans un fauteuil roulant, mais le fait est que ma vie se résume à rester vivant en évitant les escarres ou une septicémie. Cela est difficile à imaginer pour des personnes menant d'une vie normale, mais il y a là de quoi presque remplir une journée sans avoir rien accompli. Alors non, je ne suis pas mourant, mais j'aimerais que les politiciens m'expliquent la différence. Parce que le pire, c'est que je serai un jour non seulement dans mon état actuel, mais également mourant d'autre chose. Probablement quelque chose qui n'aura pas été diagnostiqué à temps parce que je ne ressens rien dans plus de 80% de mon corps. Et j'aurai passé des décennies à végéter inutilement pour en arriver au même point.Voilà donc, en gros, la perspective d'une personne non-mourante, mais pas vraiment vivante, laissée en marge du débat sur la fin de vie. Je n'attends pas forcément de réponse, et encore moins de solutions de votre part, mais j'espère que vous serez au moins arrivé au bout de ce message et que certaines de ces opinions seront intégrées à vos pensées lors de futurs débats dans le combat que vous menez. Si je croyais au Père Noël, je vous demanderais d'imprimer et envoyer ce courrier au président Macron et à son ministre de la santé. Mais je suis conscient qu'il existe de nombreuses personnes en plus grande souffrance immédiate qui méritent la priorité dans ce combat.Je reste néanmoins à votre disposition pour toute information supplémentaire ou témoignage que je pourrais vous apporter. Je vous souhaite de joyeuses fêtes une très bonne année 2025.Bien cordialement, -
Interview engagée avec Judy Tseng, de l’agence de presse de Taïwan.
Interview engagée avec Judy Tseng, de l’agence de presse de Taïwan.Taïwan est un exemple de démocratie qu’il faut féliciter dans une région du monde aux multiples défis.Taïwan fut, comme aujourd’hui l’est aussi la Thaïlande, un exemple dans l’égalité des droits en ayant été les premiers à favoriser l’égalité entre toutes et tous dans cette région du monde.Face aux destructeurs des droits fondamentaux, face à l’autoritarisme et aux privations de la liberté des peuples partout autour du globe, nous devons nous rassembler pour défendre nos valeurs démocratiques. -
Notre détermination face à l’augmentation alarmante des actes antisémites (+192 % en 2024)
Au Conseil de Paris, j’ai réaffirmé notre détermination face à l’augmentation alarmante des actes antisémites (+192 % en 2024) et racistes (+32 % en 2023).À Paris notre mobilisation totale :Sécurisation renforcée des lieux de culte, écoles et espaces fréquentés par les communautés.Prévention et éducation avec des dispositifs comme les Collèges pour l’égalité.Commémorations, hommages et travail de mémoireInvestissement dans la recherche avec les bourses de la Ville de Paris sur l’antisémitisme et la xénophobie et notamment la bourse Gil Taïeb.Des événements majeurs comme le Festival Paris Ciné contre les discris’ et les Semaines parisiennes de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (7e édition en mars 2025).Soutien aux associationsUn plan ambitieux pour 2025 : en conformité avec la promesse républicaine, ce plan viendra intensifier nos actions et inscrire cette lutte au cœur de nos priorités.Et malgré un contexte budgétaire national incertain, la Ville de Paris fait le choix d’augmenter de 50 000 € les financements dédiés à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.Paris, ville d’accueil et de diversité, agit pour protéger notre vivre-ensemble et contre toutes les formes de discrimination. -
Honoré d’avoir remis la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.
Honoré d’avoir remis, au nom de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.Alors qu’il était dans les prisons de Poutine il y a quelques mois pour s’être opposé à l’invasion de l’Ukraine, sa présence à Paris est un soulagement et un grand honneur.Comme Oleg Orlov l'a rappelé aujourd’hui devant nous, la décision du #ConseildeParis de lui remettre la citoyenneté d’honneur ainsi qu’à Ilya Yashin, deux prisonniers politiques russes, était notre cri de soutien à tous les prisonniers politiques injustement enfermés en Russie.Paris est une ville-refuge, un port d’attache pour celles et ceux qui, partout dans le monde, luttent contre l’oppression et défendent les droits humains.Et nous continuerons de dénoncer ces injustices et de soutenir, avec toutes nos forces, celles et ceux qui luttent pour la liberté, que ce soit en Russie ou ailleurs. -
Je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.
Dans le JT de France 2 de 20h, j’ai rappelé que je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.On ne peut plus fermer les yeux sur l’augmentation des morts dues aux drogues de synthèse, liées notamment au chemsex.L’absence de mobilisation des pouvoirs publics et la politique répressive qui n’est plus adaptée à la situation ne font qu’aggraver la situation.D’où d’ailleurs la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida et que je vous invite à signer : t.co/w31AfXaKNh -
Le VIH ne disparaîtra pas en silence !
Supprimer le groupe d’études VIH/sida à l’Assemblée nationale, c’est dire que la lutte contre cette épidémie n’est plus une priorité.À Paris, nous refusons ce désengagement. Notre combat pour atteindre zéro transmission d’ici 2030 reste plus vivant que jamais.Le VIH ne disparaîtra pas en silence !Retrouvez notre tribune avec Anne Souyris et Arthur Delaporte dans Libé : liberation.fr/idees-et-debat… -
Conseil Territorial de Santé à la Mairie du 12e
Ce matin, j’ai participé au Conseil Territorial de Santé à la Mairie du 12e, un moment clé avec l’@ARS_IDF pour renforcer la coordination entre les acteurs de santé et rappeler l’engagement historique de Paris dans la lutte contre le VIH/sida.Un grand merci à @EPierreMarie pour son accueil chaleureux, ainsi qu’à @annesouyris et @anneclaire_boux pour leur engagement sans relâche auprès des populations les plus vulnérables.Paris, ville pionnière, reste en première ligne sur le #chemsex et sur le VIH : 23 % des nouvelles infections en France se concentrent dans notre capitale.Prévention, dépistage et accompagnement : Paris continuera à porter haut l’objectif de #zérotransmission, #zérodiscrimination, et un accès universel aux soins pour toutes et tous. -
Réunion préparatoire de la 7e édition de la Semaine parisienne de lutte contre le racisme et l’antisémitisme 2025.
J’ai eu l’honneur d’ouvrir mercredi après-midi la réunion préparatoire de la 7e édition de la Semaine parisienne de lutte contre le racisme et l’antisémitisme 2025.Alors qu’on observe une explosion de 32% des actes racistes pour 2023 et de 192% des actes antisémitismes au premier semestre 2024, il est urgent d’échanger avec les associations, coordonner les actions et renforcer notre engagement commun à Paris. -
La défense des droits humains et celle des droits de la nature sont indissociables.
En cette Journée internationale des droits humains, j’ai eu l’honneur d’intervenir lors de la conférence « Protéger la nature et ses défenseurs » organisée à l’Hôtel de Ville de Paris.À Paris, sous l’impulsion de la Maire, Anne Hidalgo, nous réaffirmons une conviction forte : la défense des droits humains et celle des droits de la nature sont indissociables. Protéger la nature, c’est protéger l’humanité.Ce matin, la Maire de Paris, @Anne_Hidalgo, a remis la citoyenneté d’honneur de la Ville à Paul Watson, militant écologiste et fondateur de Sea Shepherd. Cet hommage témoigne de notre engagement indéfectible à soutenir celles et ceux qui défendent la biodiversité, souvent au péril de leur vie.Face aux défis climatiques et aux menaces pesant sur les défenseur·es de la planète, Paris, ville des libertés, s’affirme comme un refuge et un acteur global de la justice climatique.