Invité du JT de TV5Monde à 19h00
A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.
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A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.
Après avoir passé un long moment au village associatif à République, je rejoindrai Puteaux dans l'après-midi. Comme tous les ans, je participerai aux activités de cette ville qui a obtenu le label "ville engagée contre le sida" d'Elus Locaux Contre le Sida.
A l’occasion de la journée mondiale contre le sida, 21 associations ont répondu à l’appel du Crips que je préside. Un village associatif sera donc ouvert ce dimanche 1er décembre, de 10 à 17h00, sur la belle place de a République afin que les Parisiens puissent rencontrer les associations qui luttent au quotidien contre le sida.
N’hésitez pas à passer durant la journée !
Message à l'occasion des XVIIIe États Généraux... par elysee
Au lendemain des 18èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS), et à deux jours de la journée mondiale contre le sida, je serai l’un des invités de Paul Wermus dans « Les matins de Paris » sur France 3 Ile-de-France à 10h15.
Jamais autant de gens n’ont vécu avec le VIH/sida dans le monde – 34 millions – et en France – 160 000 personnes. D’où l’importance de cette journée pour la prévention mais aussi le dépistage et bien sûr la solidarité avec les personnes vivant avec le VIH/sida.
J’animerai le bureau national de l’ADMD ce jeudi 28 novembre dans la soirée. Ce sera l’occasion pour moi de faire un compte-rendu de mon audition devant le jury citoyen sur la fin de vie et de préparer nos réactions au rendu définitif des travaux du CCNE sur la légalisation de l’euthanasie.
Il y a 18 ans, je créais avec de jeunes élus, dont mon ami Philippe Lohéac, Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) afin de mobiliser les politiques dans la lutte contre cette pandémie et partant du principe que le sida se soigne aussi par la politique.
18 ans plus tard, cette association existe toujours alors qu’elle avait été créée pour susciter un sursaut des élus contre le sida.
18 ans plus tard, la sensibilisation des élus reste indispensable tant le sida a disparu de l’agenda politique et médiatique.
N’ayant pas trouvé une personnalité-élue pouvant continuer au quotidien cette lutte, je me suis représenté à la présidence de cette association. C’est une charge lourde mais c’est aussi un honneur.
Un honneur en hommage à celles et ceux qui sont morts de ce terrible virus. Un hommage aux militants associatifs, trop souvent oubliés des responsables politiques et qui portent ce combat pour la vie. Je mettrai dans ce nouveau mandat toute mon énergie et mon cœur et je remercie les membres d’ELCS qui m’ont de nouveau fait confiance.
Présent ce mardi à Bruxelles, j’en profiterai pour rencontrer Jacqueline Herremens, présidente de l’ADMD-Belge et membre de la commission d’évaluation des euthanasies.
Alors qu’en France, le président s’est engagé à déposer un projet de loi sur la fin de vie, j’échangerai de nouveau avec cette militante belge qui a milité tant d’années pour que ce soit le patient qui décide enfin de ce qu’il souhaite en fin de vie.
Après le suicide du couple d'octogénaire Georgette et Bernard, qui, avant de mourir ont laissé une lettre réclamant le droit de mourir dans la dignité, je serai l'un des invités du Grand Journal sur Canal Plus ce lundi soir vers 19h10.
Je pourrai rappeler l'urgence qu'en France, on, ait enfin une loi légalisant l'euthanasie et le suicide assisté.
Ce dimanche, à 9h00, je serai auditionné par la Conférence des citoyens sur le thème de la fin de vie.
Le 30 juin dernier, le CCNE rendait un avis négatif sur la légalisation de l’euthanasie mais ouvrait un débat citoyen.
Le professeur Jean-Claude Ameisen, président du CCNE, a supervisé l’organisation de ce débat et force est de constater que cette fois-ci – enfin ! – je serai auditionné en ma qualité de président de l’ADMD, seule association à réunir plus de 50 000 adhérents dans ce champ et jusqu’alors toujours écartée de ce débat par les pouvoirs publics.
Cependant, je ne connais pas les autres personnes qui seront auditionnées et j’espère que ce ne sera pas encore 90% de militants anti euthanasie comme M. Leonetti, Hisrsh, Sicard ou Mme de Hennezel qui sont les seuls à avoir été entendus ces dernières années.
Je regrette le côté secret de ces auditions. Je pense qu’on a toujours intérêt sur un tel débat de jouer la totale transparence. Mais j’essaie de ne pas juger avant d’avoir rencontré ces citoyens et de lire, le 16 décembre, les conclusions auxquelles ils auront abouti…
Après avoir déjeuné avec les responsables locaux de l’ADMD, j’animerai avec Marielle mas une réunion départementale de l’ADMD à la maison des associations de Grenoble à 14h00.
Cette réunion sera suivie d’une dédicace de « Monsieur le président, laissez-nous mourir dans la dignité ! »
Ce samedi 23 novembre, j’animerai une réunion d’Elus Locaux Contre le Sida à la mairie de Grenoble. Alors que nous approchons de la journée mondiale contre le sida et que la mobilisation n’a jamais été aussi faible, je rappellerai l’importance que les élus se mobilisent contre cette maladie qui reste toujours tabou.
Je serai interviewé par Mikaël Tygreat sur mon livre « Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité ! » et sur l’euthanasie ce mercredi 20 novembre dans l’émission « Le mercredi, c’est Graoully » sur Graou’Live.
Vous pourrez m’écouter en cliquant (ici).
Dans une semaine, le mercredi 27 novembre, se dérouleront les 18èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida. A quelques jours du 1er décembre, journée mondiale contre le sida, ce sera l’occasion de faire le point sur la pandémie et notamment de réfléchir au thème choisi cette année : « Quand la discrimination se dédouble… »
Après le message du président de la République, le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone ouvrira la réunion. Anne Hidalgo, Valérie Pécresse, Thierry Brigaud, Jean-Paul Huchon interviendront aussi à cette manifestation.
Pour plus d’informations sur le programme (ici), et pour s’inscrire par e-mail (ici).
Le débat sur la prostitution ressemble à celui sur la drogue. C’est d’abord un débat idéologique et moralisant avant d’être un débat pragmatique.
Depuis des années, la pénalisation de la prostitution est le fil conducteur de la France qu’elle que soit la majorité au pouvoir.
Un monde merveilleux sans drogues et sans prostitution nous promettent les abolitionnistes de tout poil.
Sûrs d’eux, ils promettent qu’avec des lois très répressives, ces deux problèmes seront définitivement résolus. Un monde sans drogues, un monde sans prostitution. Qui n’adhérerait pas à un tel slogan ?
En y réfléchissant objectivement, chacun sait que cela n’est pas réalisable. Et au fond, est-ce même souhaitable pour la prostitution ?
En globalisant et résumant la prostitution à l’esclavagisme de femmes contraintes – on ne parle jamais des gigolos d’ailleurs ! - par des réseaux mafieux à vendre leur corps, on tente de donner mauvaise conscience à celles et à ceux qui soutiennent les demandes des représentant(e)s des prostitué(e)s libres et volontaires.
Car tout le monde partage l’idée qu’il faut s’attaquer sans fléchir contre les réseaux mafieux qui exploitent des femmes souvent mineures. Cet esclavagisme est immonde et tout doit être fait pour le combattre.
Mais, à côté, ces femmes et ces hommes qui ont choisi librement de vendre leurs charmes ne seraient-ils toutes et tous que des victimes ?
Ainsi, il serait temps d’oublier le moralisme d’antan et un certain féminisme puritain. Mettre tous les moyens pour démanteler les réseaux de prostitution, oui. Pénaliser travailleurs du sexe et clients, non !
Chacun sait bien que la prostitution continuera mais dans une telle clandestinité qu’elle va, comme avec les lois de 2001, 2002 et 2003, fragiliser essentiellement les femmes qui exercent librement cette activité sans démanteler les réseaux esclavagistes.
Le sort des prostitués et de leurs clients semble être scellé en France. Droite et gauche voteront des deux mains ce texte. Parmi les votants, il y aura à n’en pas douter des « élus-clients », qui se tairont.
Car, en ces temps de grand moralisme, essayer de dire que la seule politique qui vaille est la réglementation est un excellent moyen de se faire bannir par les ligues de vertu.
Dommage, car ce débat mérite mieux que les solutions simplistes, moralistes et surtout illusoires et inefficaces.
Avec Cyril Journet, délégué départemental, j’animerai une réunion publique de l’ADMD, le samedi 16 novembre, à 10h00, salle Yvette-Martinet à Annecy.
Ce sera l’occasion de rappeler l’urgence de voter une loi d’Ultime Liberté.
A la fin de la réunion, grâce à la librairie Decitre, je dédicacerai mon dernier livre consacré à la fin de vie : « Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité ! »
PJ: Photo ci-dessous avec une centenaire adhérente depuis 1983 et présente à la réunion d'Annecy de ce 16 novembre.
Annecy, ville engagée contre le sida ! Ce soir, une manifestation contre le sida sera organisée à la mairie d’Annecy. Le conseil municipal, sur proposition de son maire, a voté le principe d’obtenir le label « ville engagée contre le sida. » Ce label est décerné par Elus Locaux Contre le Sida aux villes très engagées contre cette pandémie. Annecy répond à toutes les conditions de ce label et ce sera pour moi un grand plaisir que de le remettre officiellement au maire lors d’une petite cérémonie en fin d’après-midi.
En fin de mois, je remettrai le dossier à Béthune qui sollicite ce label et, le 2 décembre, Montpellier recevra aussi officiellement ce label au cours d’une cérémonie à laquelle je participerai.
Je serai l’invité de l’émission hebdomadaire de RFI consacrée aux livres politiques " LIVRE France" ce dimanche 10 novembre à 7h44 sur 89FM en Ile-de-France. Ce sera à 7h45 sur l'antenne Monde et à 8h16 sur l'antenne Afrique.
Je répondrai aux questions de la journaliste Anna Rzeczyka-Piekarec sur mon livre « Monsieur le Président, laissez-nous mourir dans la dignité » et bien sûr le combat pour l’euthanasie au sein de l’ADMD.
L'interview dans une version plus longue sera aussi publiée sur la page Internet de RFI (ici).