Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

onusida

  • Lancement du rapport Onusida à la mairie de Paris

    Anne Hidalgo a invité Michel Sidibé pour le lancement du rapport Onusida 2017, "En finir avec le sida: progresser vers les cibles 90-90-90.
    Cette présentation se déroule ce jeudi matin à la mairie de Paris et démontre une nouvelle fois l'engagement fort de la maire de Paris contre le VIH/sida.

  • Ma vidéo pour ONUSIDA - #HLMAIDS2016

  • Mon 4ème vœu politique pour 2014 : l’accès universel aux traitements pour les séropositifs dans le monde

    Aujourd’hui, plus de 34 millions de personnes vivent avec le VIH/sida dans le monde dont 160 000 en France. 1,8 millions de personnes en meurent encore tous les ans soit près de 5000 personnes par jour.
    Qui s’en soucie encore aujourd’hui ?
    Pourtant, on sait qu’avec l’accès universel à la prévention, au dépistage et aux traitements, le sida pourrait disparaître dans les 30 ans qui viennent.
    Une merveilleuse nouvelle ternie par le fait qu’on ne donne pas de médicaments à près de 10 millions de personnes qu’on laisse donc mourir dans une indifférence glacée.
    Pour 2014, j’émets le vœu d’une prise de conscience mondiale. Permettre l’accès universel aux traitements, c’est assurer la fin de sida. N’est-ce pas un beau vœu/défi pour 2014 ? Et en plus,  il est réalisable…

  • Rendez-vous avec le Dr Mamadou Diallo d'ONUSIDA

    Onusida.JPG

    En fin d'après-midi, j'aurai une réunion de travail avec le docteur Mamadou Diallo, directeur régional de l'Onusida pour l'Afrique de l'Ouest et centrale.
    Ce sera l 'occasion de nouer des nouveaux partenariats avec le CRIPS et ELCS et Onusida.

  • 21 associations contre le sida à République !

    A l’occasion de la journée mondiale contre le sida, 21 associations ont répondu à l’appel du Crips que je préside. Un village associatif sera donc ouvert ce dimanche 1er décembre, de 10 à 17h00, sur la belle place de a République afin que les Parisiens puissent rencontrer les associations qui luttent au quotidien contre le sida.
    N’hésitez pas à passer durant la journée !

     

  • 35,3 millions de séropositifs : jamais autant de gens n’ont vécu avec le VIH

    Ces derniers jours, l’Onusida a annoncé une baisse des nouveaux cas de VIH de 30% depuis 2001. Bonne nouvelle. La mortalité dans le monde baisse aussi puisqu’elle est passée de 2,3 millions en 2005 à 1,6 million de morts par an. Enfin, 9,7 millions de personnes vivant avec ce virus ont eu un traitement…
    Tout ceci est bien sûr très encourageant.
    Mais, il est aussi important de rappeler qu’avec 35,3 millions de personnes séropositives, jamais autant de gens n’ont vécu avec le sida dans le monde !
    Surtout, alors qu’il faudrait 24 à 25 milliards de dollars pour soigner celles et ceux qui en ont besoin, moins de 19 milliards seraient trouvés !
    Il est donc vraiment temps que la communauté internationale prenne la mesure de cette pandémie qu’elle peut enfin faire disparaitre si elle y met vraiment les moyens ! Le sida se soigne aussi par la politique !

    sida,jean-luc romero,onusida,aids

     

  • 28% des adolescentes sud-africaines séropositives !

    La lutte contre le sida ne fait plus partie de l’agenda politique et médiatique mais la maladie est toujours là !
    La semaine dernière, le ministère de la santé d’Afrique du Sud a communiqué des chiffres sur la situation du VIH qui nous rappellent à la réalité du sida en Afrique Sub-Saharienne.
    Sur 51 millions d’habitants en Afrique du Sud, six millions vivent avec le sida soit 11% de la population.
    Pire, 28% des adolescentes sud-africaines sont séropositives !
    Pour mémoire, l’ancien président Mbeki estimait qu’il n’y avait aucun lien entre la séropositivité et la maladie sida.
    Heureusement, depuis son départ, la politique de lutte contre le sida a enfin évolué et les traitements sont devenus accessibles. Mais que de temps perdu ? Que de vies sacrifiées ?
    Les chiffres de la lutte contre le sida dans ce pays nous rappellent aux responsabilités de la communauté internationale.
    Le sida concerne plus de 34 millions d’être humains et près de 2 millions en meurent toujours !

     

  • 45 pays imposent toujours des restrictions à la circulation des séropositifs

    En mars 2013, alors que cela n’a aucun sens en termes de santé publique, 45 pays imposent toujours des restrictions à la circulation et à l’établissement des personnes vivant avec le VIH à cause de leur séropositivité ! Parmi ces 45 pays, on retrouve même Andorre !!!
    5 pays interdisent totalement leur pays aux séropositifs – Brunei, Emirats Arabes Unis, Oman, Soudan, Yémen – et 5 autres exigent qu’une personne puisse prouver qu’elle est séronégative pour séjourner – Egypte, Iles Turques-et-Caïques, Irak, Qatar, Singapour.
    Enfin, 20 pays expulsent les personnes vivant avec le VIH quand leur séropositivité est découverte.
    Ces interdictions sont attentatoires à la liberté de circulation et surtout à la dignité humaine. Lever ces interdictions n’est pas compliqué, mais il faut une vraie volonté politique. On attend désespérément un appel de chefs d’Etat qui demanderaient la levée immédiate de ces lois liberticides !

     

  • Lettre de Jean-Paul Huchon sur la circulation des personnes séropositives

    LettreHuchoncirculation.JPG

  • Lettre d'ELCS spécial "Liberté de circulation des séropositifs"

    A l'occasion du congrès international sur la sida qui se tiendra à Washington fin juillet, Elus Locaux Contre le Sida sort une sa lettre d'infos 32 en anglais et en français. Elle est centrée sur la question de l'interdiction d'entrée ou d'installation faite aux séropositifs par 48 pays. Cette discrimination n'est basée sur aucun argement sérieux de santé publique et j'ai d'ailleurs eu l'occasion d'en toucher un mot au Président de la République. Il faut, en effet, que la France porte cette question sur la scène diplomatique internationale.

    Page 1 ELCS INFO 30.jpg

  • CP d'ELCS sur la rencontre Romero/Sidibé, directeur exécutif d'Onusida

    M. Jean-Luc Romero, président d'Elus Locaux Contre le Sida, a rencontré ce jeudi 5 juillet 2012 en fin de journée, M. Michel Sidibé, directeur exécutif de l'ONUSIDA, Sous-secrétaire général des Nations Unies. 
    La discussion, très constructive, a porté sur de nombreux dossiers, bien évidemment la liberté de circulation des personnes touchées dans le monde mais aussi l'accès aux soins, les droits des personnes touchées, les financements innovants, les droits LGBT... La discussion a été longue et intense car, au-delà de leurs fonctions, il s'agissait bien d'un dialogue entre militants ! 
    Dans ce combat pour la vie, Jean-Luc Romero et Michel Sidibé étaient tout à fait d'accord pour dire qu'il était nécessaire et urgent de retrouver sur la scène internationale des personnalités politiques avec une vraie volonté d'oeuvrer et de porter de manière très forte la lutte contre le VIH/sida. 
    Parce que, oui, le sida se soigne aussi par la politique !

    MichelSibidéJLR2012B.jpg

  • Rencontre avec le directeur d’Onusida

    Ce jeudi, en début de soirée, je recevrai le directeur exécutif d’Onusida, Michel Sibidé, au CRIPS Ile-de-France. Ce sera l’occasion de faire un point sur les dossiers internationaux comme l’accès universel aux traitements antirétroviraux, les restrictions à la liberté de circulation et d’installation des personnes séropositives mais aussi la conférence internationale du sida qui se déroulera fin juillet à Washington.

  • Inquiétude pour le Fonds mondial contre le sida

    Depuis quelques temps, de très nombreuses incertitudes entourent l’avenir du Fonds mondial contre le sida, le paludisme et la tuberculose. Ainsi, récemment on a appris que 140 postes pourraient être supprimés au sein du Fonds.
    Mais surtout, les donateurs se font plus pingres pour alimenter ce fonds qui permet notamment aux malades de nombreux pays pauvres d’obtenir des traitements antirétroviraux et donc de vivre. Pour mémoire, près de deux millions de personnes continuent à mourir annuellement du VIH/sida alors qu’on pourrait éviter l’immense majorité de ces décès.
    Il est donc temps que les Etats se mobilisent, notammentla France, pour éviter cette scandaleuse hécatombe.
    Avec un peu de volonté politique, on peut sauver des millions d’enfants, de femmes et d’hommes. Ca vaut la peine, non ?

  • Trouver 10 milliards d’euros pour sauver 2 millions d’êtres humains !

    La semaine dernière se déroulait la conférence francophone sur le sida à Genève. Le constant est terrible. La crise frappe d’abord les plus faibles puisque les crédits dans la lutte contre le sida s’effondrent.
    Pour éviter la mort de près de 2 millions d’êtres humains, il ne faudrait que 25 milliards de dollars : on n’en trouve que 15 ! Sans vouloir faire de comparaisons hasardeuses, on a quand même trouvé 3000 milliards de dollars pour sauver les banques.
    Alors que 34 millions de personnes vivent avec le sida, il est urgent que les gouvernements se ressaisissent. On ne peut sauver des banques, des pays et laisser mourir dans une indifférence glacée des millions d’êtres humains.

  • 19ème conférence sur le sida en 2012 à Washington !

    La 18ème conférence internationale sur le sida est à peine terminée que déjà se prépare la 19ème conférence. Elle se réunira à Washington aux Etats-Unis en 2012.

    Un moment important pour les 20.000 congressistes attendus car cette conférence n’a pu avoir lieu ces dernières années aux Etats-Unis car ils interdisaient leur territoire aux personnes séropositives.

    Faire la prochaine conférence aux USA est un signal aux 51 pays qui continuent à discriminer les personnes vivant avec le sida.

    Mais d’ici 2012, combien d’entre nous auront disparu : le sida tue 2 millions de personnes par an. Au congrès de Washington, 4 millions de personnes seront décédées depuis le dernier congrès de Vienne…

  • La Déclaration de Vienne

    A l’occasion de la 18ème conférence internationale sur le sida, la Déclaration de Vienne est uneLogoaids2010.png déclaration officielle qui vise à améliorer la santé et la sécurité communautaires par le biais de l’intégration de preuves scientifiques dans les politiques sur les drogues illicites. De nombreux scientifiques, professionnels de la santé et des citoyens appuient ce document afin de porter ces enjeux à l’attention des gouvernements et des organismes internationaux, et de montrer que la réforme des politiques sur les drogues est une question d’importance primordiale à l’échelle mondiale.

    La déclaration a été rédigée par une équipe de spécialistes internationaux et mise de l’avant par plusieurs des plus importants organismes scientifiques qui œuvrent en politiques sur le VIH et le sida à l’échelle mondiale: la Société internationale sur le sida, le Centre international pour la science dans les politiques sur les drogues (ICSDP) et le Centre d’excellence de la C. B. en VIH/sida. Pour lire et surtout signer la Déclaration, cliquez (ici).

  • 25.000 participants à la conférence internationale sur le sida à Vienne

    La 18ème conférence internationale sur le sida, qui se déroule à Vienne du 18 au 23 juillet 2010, réunitLogoaids2010.png plus de 25.000 participants : médecins, chercheurs, militants associatifs, personnes vivant avec le sida, responsables politiques et d’ONG. Cette conférence, à laquelle je participe en qualité de président du CRIPS, qui gère le stand France, et de président d’Elus Locaux Contre le Sida se veut, cette année, la « conférence des sans voix ». Cela veut dire que les organisateurs ont choisi sous le thème « Des droits ici et maintenant » de mettre l’accent sur les droits des malades des populations marginalisées.

    La conférence sur le sida est devenue l’une des plus grandes conférences au monde et un moment politique particulièrement fort même si cette année peu de responsables politiques de premier plan sont présents.
    Pour mémoire, le sida, c'est 33 millions de séropositifs dans le monde, 2 millions de mort par an. Seuls 5,2 millions sur 15 millions de personnes qui en ont besoin bénéficient de traitements. Il faudrait 25 milliards de dollars pour soigner tous les maldes en 2010 : on ne dispose que de 13,7 milliards cette année...

  • HAART truth: Life with AIDS drugs (AFP)

    PARIS — HIV may be dismissed by some as a treatable disease, but as middle-aged Frenchman Jean-Luc Romero can attest, living with antiretroviral drugs means a daily battle with queasiness.
    Side effects are an often-overlooked downside of highly active antiretroviral therapy (HAART), the drugs that have turned HIV from a death sentence to a manageable illness.
    If the media chirpily dub HAART a drug "cocktail", HAART is definitely not a fun experience, Romero said.
    The powerful drugs can have toxic side effects and, unless a cure for AIDS is found some day, have to be taken for the rest of one's life.LOGOafp.JPG
    "They are like tiny bombs which prevent the AIDS virus from replicating, but also they destroy a host of other things," the 51-year-old councillor for the Paris region said an interview.
    In his long litany of woes, Romero suffers from aching muscles, acute diarrhoea and lipodystrophy, a notorious HAART-related condition in which fat can accumulate on the belly or as a "buffalo hump" on the back of the neck, yet disappear from the face, leaving a patient looking sunken-eyed.
    He is haunted especially by exhaustion, a never-ending feeling of being unwell and of "premature ageing", that his body and a mind have become old before their time.
    "I don't know what it's like to sleep for more than three hours in one go," said Romero. "Even when I come back from holiday, I can't say, 'I feel really relaxed.'"
    Life for Romero is dictated by the pill box. He takes six HAART tablets a day, four tablets for diabetes -- another HAART risk -- and throughout the day takes quantities of medication for the diarrhoea.
    Even so, Romero, as president of an association gathering local officials in the fight against AIDS, is the first to praise HAART as a lifesaver.
    In 1987, at the age of 27, he learned that he had the human immunodeficiency virus (HIV).
    At that time, such news heralded a long, painful and inevitable descent towards death. The only medication was AZT, which had "horrifying" side effects and had to be taken every four hours.
    "We lived from day to day. There was no point planning beyond that. We saw people dying all around us, and we would say, 'That will be us one day.' We didn't think about the future, because the present was all we had. I remember thinking, 'I won't live beyond 30'."
    All that changed in 1996, when HAART became available -- in rich countries at least, for it would take another decade for the lifeline to be cast to poorer nations in Africa.
    Today, millions of people are not only kept alive by HAART but able to hold down jobs, have a social life or a family.
    The drug regimen, initially a punishing 27 pills a day, has been hugely simplified -- some take a single pill a day -- and some of its side effects, including lipodystrophy, are not as bad as before.
    In the light of this success, experts at the six-day International AIDS Conference opening in Vienna on Sunday will debate whether treatment guidelines should be overhauled, so that HAART is given to patients when their infection is at a lower threshold. Reducing mortality will have to be balanced against side effects.Logoaids2010.png
    If HIV has been reduced in the public's mind to the status of a chronic illness, many people have still not placed it on the same footing as routine conditions such as cancer or heart disease, said Romero.
    In France, shame, stigma and discrimination, especially in employment, are deeply rooted, he said.
    "At the time when I found out I was infected, there was compassion. Today, the notion of blame is even stronger," said Romero.
    Living with HIV "is something that you never get used to", he said.
    "For nearly 25 years I have had to live in the consciousness of death, and that has forced me to squeeze every single drop out of life."

  • Ouverture de la 18ème conférence internationale sur le sida à Vienne

    C’est ce dimanche 18 juillet que s’ouvre la 18ème conférence internationale sur le sida à Vienne en Autriche. Elle s’achèvera le 23 juillet.LOGO aids2010Logo.png
    J’assisterai aux premiers jours de cette grande conférence en ma qualité de tout nouveau président du CRIPS-Ile-de-France – Le CRIPS gère le stand France – et bien sûr de président d’Elus Locaux Contre le Sida. Cette conférence réunit des milliers de soignants, chercheurs, politiques, militants associatifs, labos tous les deux ans. C’est le plus grand événement international de la lutte contre le sida.

  • Communiqué de presse d’ELCS du 16 juillet 2010

     Alors que s’ouvre ce week-end à Vienne la 18ème conférence sur le sida,

    Jean-Luc Romero appelle le président français

    à reprendre le leadership dans ce combat

    pour la vie et la classe politique à se remobiliser.

     

    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) et du CRIPS Ile-de-France - qui gère le stand France à Vienne -, membre du Conseil national du sida, appelle les autorités françaises et notamment le président de la République, à reprendre le leadership dans la lutte contre le sida au niveau mondial et à refaire du VIH une priorité de santé publique dans notre pays.

    La récente commission d’enquête parlementaire sur la grippe A a montré que lorsqu’il y a une volonté gouvernementale de se mobiliser, les financements sont là. On sait aujourd’hui que si l’accès universel à la prévention et aux traitements était mis en place dans le monde, la pandémie de sida pourrait être drastiquement enrayée.

    Avec Jacques Chirac, la France avait été à la pointe du combat mondial contre cette pandémie et à l’origine du fonds mondial contre le sida ainsi que de la taxe sur les billets d’avion et d’Esther. Ce leadership, comme l’a rappelé récemment un avis du Conseil national du sida et de la conférence nationale de santé, n’est plus assuré par notre pays.

    Jean-Luc Romero qui sera, une fois de plus, l’un des rares élus français à se déplacer à Vienne, regrette le manque de mobilisation actuel de la classe politique et espère que contrairement à Mexico où le gouvernement français n’avait dépêché aucun ministre, des membres du gouvernement viendront témoigner de la volonté française de se mobiliser et d’apporter le soutien français aux contributions innovantes qui pourraient être mises en place pour financer l’accès des plus pauvres aux traitements.

    ELCS édite à l’occasion de la conférence de Vienne des flyers sur les interdictions de circuler et de s’installer pour les personnes séropositives dans encore 51 pays du monde et publie un plaidoyer sur cette question en anglais et en français. Jean-Luc Romero compte aussi sur le gouvernement français pour vaincre définitivement les réticences de ces gouvernements qui, au lieu de s’attaquer à la maladie, continuent à s’attaquer aux malades.

    logo elcs 15 ans jpg.JPG