puteaux
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Vidéo du Stand up de Puteaux pour l'ADMD Tour (live Facebook)
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A Puteaux pour l'étape 2 de l'ADMD Tour !
A l'occasion d e la 2ème étape de l'ADMD Tour à Puteaux, j'interviendrai vers 11h30...
Encore bravo aux Jeunes de l'ADMD ! -
Conférence-dédicace au Palais de la culture de Puteaux à 19h
Ce mardi 29 septembre, à 19h00, j'animerai une conférence sur la fin de vie au Palais de la Culture de Puteaux. Cette conférence s'achévera par une dédicace de "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?"
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A Puteaux contre le sida
Après avoir passé un long moment au village associatif à République, je rejoindrai Puteaux dans l'après-midi. Comme tous les ans, je participerai aux activités de cette ville qui a obtenu le label "ville engagée contre le sida" d'Elus Locaux Contre le Sida.
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Puteaux, ville engagée contre le sida
Ce soir, aux côtés de la maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud, j’inaugurerai la plaque « Puteaux ville engagée contre le sida ».
Après Carrières-sous-Poissy, ville dirigée par Eddie Aït, Puteaux est la seconde commune à obtenir ce label lancé par Elus Locaux Contre le Sida. -
Hélène Ségara et Puteaux contre le sida
Comme tous les ans, je participerai à la mobilisation de Puteaux contre le sida aux côtés de la députée-maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud. Grâce à la mobilisation du Banana Café et de mes amis Michel Michel et Stéphane Turland, Hélène Ségara offrira un concert au profit de la lutte contre le sida au théâtre des Hauts-de-Seine. Il sera précédé d’un mini récital des Melo men. A cette occasion les expos « Histoire de… » et celle d’ELCS « Paroles et vies au positif » seront aussi exposées à Puteaux.
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Mon discours à la remise de décoration à Rudoph Brazda* (*dernier survivant de la déportation homosexuelle)
Madame le député, chère Joëlle,
Madame la présidente,
Chère Marie-José Chombart de Lauwe,
CherRaymond Aubrac,
Cher Rudolf Brazda, Cher Jean-LucC’est seulement quelques jours après le 66e anniversaire de la libération des camps nazis, après la Journée nationale du souvenir de la déportation, que vous avez choisi, madame le député, de distinguer Marie-José Chombart de Lauwe, Raymond Aubrac et Rudolf Brazda, ici présents, dans l’éclatant triomphe de la vie sur la barbarie, sur la nuit et sur le brouillard.
Avant de parler de Marie-José, de Raymond et de Rudolf, quelques mots très simples, madame le député, très affectueux, pour vous dire combien je suis sensible à votre détermination exemplaire et admirable afin que la Nation française distingue aujourd’hui les survivants d’une époque effroyable, ceux dont la vie a été soumise à l’arbitraire et la sauvagerie. A vous madame le député, chère Joëlle, au-delà de l’amitié sincère et fidèle que je vous porte, je veux dire mes remerciements.
Je me tourne vers vous trois, Marie-José Chombart de Lauwe, Raymond Aubrac, Rudolf Brazda. Comment ne pas être ému devant vous ?A côté de vous trois – et comment ne pas penser à Lucie Aubrac également – nous voyons s’élever les belles mémoires de Marie-Claude Vaillant-Couturier, de France Bloch-Sérazin, d’Henry Frénay, d’Emmanuel d’Astier de La Vigerie, d’Yvon Morandat, de Raymond-Losserand, de Charles Delestraint. Nous voyons aussi se refermer les portes de la Santé, de Ravensbrück, de Mauthausen, de Buchenwald.
Regardez bien, jeunes gens. L’histoire se projette aujourd’hui devant vous. Ce qu’ils ont vécu, ce qu’ils ont souffert constitue votre héritage. Le plus ignoble des héritages, mais aussi le plus beau.
Il n’y a pas si longtemps de cela, des hommes, parce qu’ils étaient juifs, homosexuels, tziganes, différents ont franchi le styx vers un enfer insondable d’où ils ne devaient pas revenir.
Il n’y a pas si longtemps de cela, des femmes et des hommes se sont dressés au risque de leur vie – mais leur vie leur semblait si peu de chose au regard des valeurs qu’ils défendaient – pour résister à l’envahisseur casqué et botté.
Il n’y a pas si longtemps de cela, des hommes ont pleuré. Le frère que l’on séparait de sa sœur. La mère, de ses enfants. L’homme, de son amant.
Cet héritage, jeunes gens, il vous appartient de le défendre. Chaque renoncement est un pas vers la barbarie. Vous ne devez accepter aucune compromission. L’intolérance, la bêtise, le rejet conduisent forcément à l’abject, à l’ignoble, à l’irréparable.
Malgré mon émotion, je pourrais parler des heures durant de vos vies, de vos combats, de votre humanisme. Malgré mon angoisse à l’évocation de ces moments si sombres, je pourrais également parler des heures durant de la honte qu’en tant qu’homme j’éprouve au souvenir de ce que d’autres hommes ont commis.
Permettez-moi d’avoir un mot plus personnel pour Rudolf Brazda à qui la République française, si justement mais si tardivement, a décidé de remettre les insignes de chevalier de la légion d’honneur. Un mot auquel s’associe notre éditeur Florent Massot retenu à l'étranger cet apres-midi. -
Remise de la Légion d’Honneur à Rudolf Brazda
C’est aujourd’hui que sera remis la Légiond’Honneur à celui qui est probablement le dernier survivant des déportés pour cause d’homosexualité, Rudolf Brazda, actuellement âgé de 97 ans. Il y a un an, alors qu’il sortait son livre, notre éditeur commun, Florent Massot nous avait invités à un déjeuner. En rencontrant Rudolf Brazda dont le récit de son calvaire m’a bouleversé, j’étais persuadé qu’il avait forcément reçu la Légiond’honneur. C’était bien la moindre des choses ! Et bien non, la Républiquene l’avait pas encore honoré !
En coordination avec « les Oubliés de la Mémoire », je suis donc intervenu auprès du président de la République. Après bien des contacts avec l’Elysée, dans un courrier du 21 avril, le président Sarkozy me confirmait la bonne nouvelle en ces termes : « Vous avez exprimé le souhait de voir Monsieur Rudolf Brazda nommé au grade de chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur. J’ai le plaisir de vous informer que j’ai retenu cette candidature. J’ai en effet décidé d’attribuer, sur la réserve présidentielle, cette distinction à l’intéressé eu égard à son engagement au service de la France […] »
Cette remise se déroule à Puteaux en présence de la députée-maire qui est aussi intervenue récemment en faveur de cette demande. Un moment émouvant en perspective. -
150 personnes à Puteaux pour « Les voleurs de liberté »
A l’invitation de la députée-maire, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, 150 personnes se pressaient à la conférence littéraire que j’ai donnée lundi dernier au Palais de la Culture de Puteaux autour de mon livre « les voleurs de liberté. » C’est pour le modeste auteur que je suis un grand plaisir de constater que mon dernier livre a touché de nombreux lecteurs comme l’important courrier que je reçois me le prouve chaque jour. Merci à chacune et chacun d’entre vous pour vos témoignages qui démontrent à quel point nous sommes nombreux à attendre une loi de liberté sur la fin de vie.
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Conférence littéraire à Puteaux
A l'invitation de la députée-maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, je serai au Palais de la Culture (19-21, rue Chantecoq), ce lundi 25 janvier 2010, à 19 heures pour une conférence littéraire sur la fin de vie autour de mon dernier livre Les voleurs de liberté.
En fin de conférence je dédicacerai mon livre.
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A 11H30, dans « Y’a une solution à tout ! »
Pour mémoire, je suis invité à la nouvelle émission d’Evelyne Thomas « Y’a une solution à tout ! », sur Direct 8, ce mercredi de 11h30 à 12h30. L’émission sera consacrée au coming out, mais bien sûr mon dernier livre sera évoqué.
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Sortie des actes d’ELCS en photos
C’est la semaine dernière que s’est déroulée la sortie des actes des 13èmes états généraux d’ELCS à la mairie de Puteaux. Quelques photos de cette manifestation précédée d’une réunion de bureau.
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Sortie des actes d’ELCS à la mairie de Puteaux
Pour la première fois, la sortie des actes des 13èmes états généraux d’ELCS sera décentralisée hors de murs de Paris. Cette manifestation se déroulera à 19h00 dans la salle du conseil municipal de Puteaux ce lundi 22 juin. Avant la sortie des actes, une réunion du bureau national d’ELCS se tiendra aussi à Puteaux à l‘invitation de Joëlle Céccaldi-Raynaud, députée-maire de la ville.