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Santé - Page 148

  • Séminaire du bureau du CRIPS Ile-de-France

    Ce lundi, à mon initiative, se déroulera un séminaire entre le bureau et la direction du CRIPS Ile-de-France.
    Alors que nous avons redéfini nos axes d’action, il importe de prendre un temps pour réfléchir aux valeurs du CRIPS, à sa place dans le paysage associatif et institutionnel et bien sûr de mener une réflexion sur l’avenir.

  • Réunion publique de l’ADMD à Pau à 17h30

    Comme hier à Compiègne, j’ai entrepris un nouveau tour de France pour mobiliser afin d’obtenir une loi d’Ultime Liberté.
    A l’invitation du délégué de l’ADMD des Pyrénées-Atlantiques, André Weiss, j’animerai une réunion publique à 17h30 à l’université de Pau en présence de la députée Nathalie Chabanne.
    Cette réunion sera suivie d’une dédicace des Voleurs de liberté. Venez nombreux !

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  • A Pau contre le sida !

    J’animerai une réunion d’ Elus Locaux Contre le Sida ce vendredi 8 févier à la mairie de Pau à 15h30.
    Ce sera l’occasion de faire le point sur la situation du VIH dans ce département.

  • Débat sur la fin de vie organisé par Laurence Rossignol à Compiègne à 20h00

    Je serai à la mairie annexe de Compiègne ce jeudi 7 février à 20h00 pour débattre de la fin de vie avec Philippe Bataille.
    Ce débat, organisé par la sénatrice de l’Oise, Laurence Rossignol, est ouvert à toutes et à tous.
    Alors que le gouvernement doit déposer un projet de loi sur la fin de vie en juin prochain, j’ai entrepris de nouveau un tour de France pour mobiliser pour que nous ayons une loi légalisant euthanasie et suicide assisté et permettant aussi à tous ceux qui le souhaitent de bénéficier de soins palliatifs. Demain, je serai d’ailleurs à Pau à l’invitation de la délégation départementale de l’ADMD.

  • Assez de polémiques injustes et injustifiées : les SCMR sont une réponse de santé publique et pour la sécurité !

    La polémique stérile et politicienne d’une partie de l’opposition sur les salles de consommation à moindre risque (SCMR) est totalement injuste et injustifiée.
    En 1987, face à la contamination au sida de nombreux usagers de drogues injectables, Michèle Barzach a eu le courage de mettre les seringues en vente libre ; en 1993, Simone Veil, à son tour, organisait la substitution et permettait l’échange de seringues gratuites dans des lieux financés par les pouvoirs publics.
    Ces mesures ont montré une efficacité incroyable : chute des overdoses et baisse spectaculaire des contaminations au VIH/sida.
    En prenant des mesures courageuses, ces deux femmes de droite ont subi exactement les mêmes critiques que celles qu’on entend aujourd’hui. Le FN fut même particulièrement virulent et insultant.
    Mais la majorité de la droite les soutenait.
    Les critiques actuelles des élus UMP sont donc injustes d’autant que les mesures prises à l’époque n’ont pas développé la consommation de drogues dures comme certains Cassandre l’annonçaient alors…
    Ces polémiques sont ensuite injustifiées. Les mesures de réduction des risques (RDR) pour les usagers de drogues ont montré, depuis 20 ans, leur totale efficacité.
    Depuis plus de 10 ans, en allant régulièrement en Suisse, à Quai 9, une salle de consommation ouverte près de la gare, j’ai pu constater personnellement que les salles de consommation à moindre risque sont non seulement utiles pour la santé mais aussi socialement efficaces et indispensables pour la sécurité. Ainsi, les riverains genevois, pourtant opposés lors de la création de ces salles, réclament désormais l’ouverture de ces structures 24h/24 !
    Toutes les études faites ces dernières années et compilées par l’Inserm démontrent que la politique de RDR - notamment les SCMR - est efficace pour la santé des consommateurs de produits illicites, mais aussi pour leur réinsertion sociale.
    Elle démontre aussi son efficacité pour toute la société avec une sécurité accrue pour les riverains et la fin d’une consommation à ciel ouvert ou dans les cages d’escalier particulièrement insupportable pour les voisins et notamment pour les enfants.
    La droite ferait donc mieux de relire les études et de renouer avec la responsabilité qu’elle a su montrer avec Michèle barzach et Simone Veil ! La RDR, c’est une politique efficace de santé publique et de sécurité !

     

  • Mon hommage à Bruno-Pascal Chevalier

    Discours de Jean-Luc Romero
    Hommage à Bruno-Pascal Chevalier
    Espace des Blancs-Manteaux - 26 janvier 2013

     

    Mesdames, Messieurs, Mesdames et messieurs les militants,

    Nous sommes ici pour honorer la mémoire de Bruno-Pascal Chevalier, un homme de valeur, un homme de cœur, un militant, un combattant. Il est très difficile de résumer l’estime que l’on a pour quelqu’un en quelques mots.
    Alors peut-être vais-je commencer par une citation, d’un homme, écrivain, philosophe qui a érigé la révolte comme solution. "Ce n'est pas la révolte en elle même qui est noble mais ce qu'elle exige". Cette phase d'Albert Camus, tout comme moi, beaucoup ici la connaissent. Et je crois que, quand on parle de Bruno-Pascal, cette phrase prend vraiment tout son sens.
    Bruno-Pascal, c'était une voix. La voix de la rage. La voix du combat et de la colère. Une voix qui savait se faire douce pour expliquer mais qui rugissait pour dénoncer et porter les revendications. Une voix qui ne tremblait pas. Une voix qui reflétait bien une vie où le mot compromission n’avait pas droit de cité.
    Bruno-Pascal, c'était un regard. Un regard qui vous transperce. Un regard honnête et droit. Un regard qu'on n'oublie pas. Un regard de feu. Très peu de temps avant sa mort, j’avais revu Bruno-Pascal. Il souhaitait que le Patchwork des noms se restructure afin que ce formidable outil de mémoire soit le plus connu possible par le grand public. Il avait plein de projets, ça je vous le garantis ! Dans ses yeux, dans son regard, je n’ai vu ni fatigue, ni désespoir. Au contraire ! J’y ai vu l’envie, l’énergie, la croyance en quelque chose qui anime tous les militants, la croyance définitive dans le fait que l’on porte une cause juste.
    Bruno-Pascal, c'était un corps. Un corps meurtri par le combat au quotidien contre la maladie. Un corps qu'il avait décidé de faire souffrir encore plus pour lutter contre cette profonde injustice que sont les franchises médicales. Rappelons-nous toutes et tous qu’il y a quelques années, il avait décidé de faire une grève des traitements. Ce geste était bien sûr très fort mais aussi et surtout très dangereux pour sa santé. Ce n’est pas bien sûr pas la reconnaissance individuelle qu’il cherchait, loin de là ! Ce qu’il voulait, c’était la justice, la justice envers les malades. Rendre le malade coupable de sa propre maladie, en voilà une belle idiotie, une idiotie dangereuse car populiste à souhait. Bruno-Pascal défendait l’idée d’une société humaine et justice, où le mot solidarité n’est pas qu’un vain mot balancé dans tous les préambules des lois ou dans les discours. Non ! Bruno-Pascal avait fait de ce mot solidarité un moteur de vie et un but concret. Faire d’un combat individuel un combat collectif, voilà ce qu’il a réussi à porter.
    Bruno-Pascal, c'était un cœur. Un grand cœur, un gros cœur. Un homme amoureux, un homme généreux, un homme pour qui donner allait de soi. Il n’attendait pas qu’on lui rende quelque chose. C’est rare à notre époque …
    Bruno-Pascal, c'était tout ça. Une voix, un regard, un corps, un cœur. 
    Bruno-Pascal, c'était tout ça mais pas seulement. Bruno-Pascal, c'était un esprit. Cette phrase, je la mets au passé mais, je sais que nous en sommes tous persuadés, elle doit se décliner au présent. Car oui, Bruno-Pascal, c'est un esprit. C'est un esprit militant. Un esprit de combattant. Un esprit qui met l'humain au-dessus de tout. Un esprit qui nous a appris que la mémoire est un guide pour notre futur, pour la lutte mais aussi pour la vie. Nous avons perdu un être rare mais son esprit nous accompagnera pendant très longtemps car, nous le savons, un esprit, lui, ne meurt jamais !

     

  • Débat sur l'euthanasie sur Numéro 23 à 20h45

    Le débat sur l'euthanasie auquel j'avais participé, il ya quelques semaines, dans "Hondelatte Dimanche" est rediffusé ce dimanche 3 février à 20h45 sur la chaîne Numéro 23. Pour celles et ceux qui l'ont raté, ils peuvent se rattraper ce soir !

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  • Mon discours de l'Hôtel de ville du 26 janvier 2013

    Discours de Jean-Luc Romero
    Réunion publique – Hôtel de Ville
    Paris – samedi 26 janvier 2013

     

     

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    Chère madame le Maire et chère Anne,
    Mesdames et Messieurs,
    Chers amis, militants et sympathisants de l’ADMD,

    Permettez-moi tout d’abord de vous dire – de nous dire – combien je suis fier que nous soyons si nombreux dans ces magnifiques salons de l’Hôtel de Ville de Paris, ce samedi. Nous devons remercier chaleureusement le maire de Paris, Bertrand Delanoë, et Anne Hidalgo, sa première adjointe qui nous soutient si fidèlement et qui est, avec Alain Fouché, sénateur de la Vienne, notre conseiller politique. Ce n’est pas rien. Les délégués de l’ADMD qui sont présents dans cette salle, aujourd’hui, après avoir passé presque deux jours en formation, le savent bien. Obtenir une salle municipale n’est pas toujours une chose aisée. Mais une salle de cette splendeur est un honneur pour nous et une reconnaissance de la légitimité de notre combat et de la justesse de notre revendication. Non, nous ne portons pas un message de désespoir et de mort. Nous portons le message de la laïcité et de la liberté. Ce message, il est porté par vous tous qui êtes présents aujourd’hui dans ce lieu magnifique, par tous ceux qui – j’en suis très sincèrement désolé – faute de place, n’ont pas pu accéder jusqu’à nous ; c’est la rançon du succès et nous devons nous en réjouir. Et, au-delà, par tous ceux qui, à travers la France, composent cette force de 50 000 adhérents actifs et motivés qui forme l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité.

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    Nous voulons une loi maintenant.
    Un seul mot d’ordre, aujourd’hui. Respect de la proposition 21.
    La proposition 21, c’est celle faite par le candidat Hollande, élu à la présidence de la République en mai dernier, afin que « toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité. »
    Cette proposition, qui converge évidemment vers la proposition de loi que les adhérents de l’ADMD ont votée en juin 2011 lors de notre 32èmeassemblée générale, qui converge également vers les législations néerlandaises, belges et luxembourgeoises, est un engagement fort que le président de la République, maintenant élu, doit entendre et mettre en œuvre. D’ailleurs, 89% des Français – 9 Français sur 10 – selon un sondage Ifop d’octobre 2012, demandent la mise en œuvre sans délai de cette réforme.

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    Alors, j’ai entendu ici ou là que l’ADMD, son président, roulait pour François Hollande. Non ! L’ADMD ne roule pour personne. Démocrate, respectueuse du vote des électeurs, oui ! Partisane, non ! L’ADMD soutient et soutiendra, au niveau national comme au niveau local, tout élu qui s’engagera sur ce chemin de notre liberté, de celle de chaque Française et chaque Français qui, le moment venu, ne veut pas se faire imposer sa fin de vie par des mandarins éloignés de leurs patients, et qui revendiquent la primauté de leur science sur nos souffrances, ou par des idéologues qui pensent que les citoyens ne seraient que des sujets entre les mains d’une puissance supérieure.
    Pour répondre rapidement à ces deux points, je citerai l’ancien président de la République, Nicolas, Sarkozy : « La souffrance appartient à celui qui est dans le lit, et non à celui qui le regarde ». Quant aux extrémistes religieux de tout poil, je crois pouvoir leur dire qu’aucun Dieu honnête ne demanderait à ses fidèles de souffrir. Tout ceci n’est que le maquillage d’une peur face à la mort. Face à notre propre mort.

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    J’ai entendu aussi, durant cette période électorale, que l’ADMD ne devrait pas faire de politique. Mais c’est une obligation qu’elle en fasse. Elle ne peut pas être autre chose, si nous souhaitons faire évoluer la loi dans le sens que nous souhaitons depuis bientôt 33 ans, qu’une association politique, citoyenne. Sinon, comment imaginer convaincre les parlementaires de la nécessité d’une législation plus moderne, plus laïque, plus démocratique, plus à l’écoute des citoyens ? L’ADMD n’est pas une association aux petits arrangements entre amis qui permettrait d’aider tel ou tel, et pas tel autre, au seul motif que l’un est connu et l’autre pas. Notre association, fidèle à ses initiateurs, Michel Landa, Mireille Jospin et d’autres encore, souhaite qu’une solution soit trouvée pour l’ensemble des Français en fin de vie, dans la transparence, la liberté, l’égalité et la fraternité. Je reçois parfois des lettres me disant que nous sommes trop mous et que les Droits de l’Homme, sans la révolution de 1989 et la prise de la Bastille, n’existeraient pas. Certes. Mais combien d’entre nous, assis ici, cette après-midi, sous ces lambris dorés d’un palais qui a lui-même connu tant de révolutions, de destructions et de reconstructions, sont prêts à mourir pour défendre notre cause ? Nous attendons toujours celui ou celle qui accepterait de faire de son combat personnel un combat collectif. Mais il ne vient pas. Je le comprends parfaitement, tant la fin de vie est une période difficile à affronter sur le plan physique et psychologique.
    Cette proposition 21, c’est notre mot d’ordre depuis que le candidat vainqueur l’a faite. Ce sera le nôtre jusqu’à juin 2013.

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  • Mon itw au Parisien Mag sur la pénalisation de la prostitution

    LeParisienMag18janvier2013.jpg

  • Meeting pour notre Ultime Liberté à la Marie de Paris à 14h30

    Après ces deux journées passées à travailler avec les délégués, il est temps de mobiliser nos soutiens et militants pour qu’en 2013 une loi sur la fin de vie promise par le président Hollande soit votée.
    A 14h30, à la Mairie de Paris, nous invitons tous les Parisiens à venir réclamer une loi qui légalise l’euthanasie et le suicide assisté.
    De nombreuses personnalités sont d’ores et déjà attendues.
    Outre Anne Hidalgo qui ouvrira cette grande réunion publique, nous retrouverons les parlementaires Alain Fouché, Jean-Pierre Godefroy et Noël Mamère, les journalistes François de Closets, Louis Blériot et Mireille Dumas ou les artistes Piem et l’écrivaine Benoite Groult.
    On vous attend donc nombreux ! Mobilisez-vous !

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  • 33èmes Journées des délégués ADMD à Bagnolet

    Les 130 délégués de l’ADMD sont réunis pour deux jours à Bagnolet.
    Ces journées annuelles sont l’occasion d’offrir certaines formations aux délégués répartis sur tout le territoire national mais aussi de mutualiser leurs expériences. Ces journées continuent demain samedi.
    J’ouvrirai ces journées à 14h30 et participerai à plusieurs débats.

  • Conseil d’administration de l’ADMD

    Les deux jours qui s’ouvrent vont être largement consacrés à l’Association pour le Droit de Mourir dansla Dignité. Conseild’administration ce matin ; 33èmes journées des délégués cet après-midi et grand meeting samedi après-midi.
    Le conseil d’administration de ce matin revêt beaucoup d’importance car il va nous permettre de recentrer notre stratégie pour obtenir une loi d’Ultime Liberté la plus proche de nos convictions alors qu’un projet de loi sur la fin de vie doit être présenté en juin.

  • Mon discours d'ouverture au 1er séminaire de la réduction des risques

    Intervention de Jean-Luc Romero
    Conseiller régional d’Ile-de-France
    Président du Crips-Ile-de-France
    1er séminaire de la réduction des risques
    "Au-delà de l’ouverture de salles de consommation,
    quels accompagnements des injections et autres consommations ?"
    Conseil régional d’Ile-de-France / 11 janvier 2013

     

     

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    J’ai le grand plaisir de vous accueillir ici au nom de Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France. Celui-ci ne pouvant malheureusement être à vos côtés ce jour, il m’a demandé de le représenter ce que je fais bien sûr avec grand plaisir.
    Le thème qui va être discuté tout au long de la journée est le suivant : « Au-delà de l’ouverture de salles de consommation, quels accompagnements des injections et autres consommations ? ».
    Alors, la RDR où en est on en 2013? Une légalisation en 2004, une centaine de CAARUD créés, la Déclaration de Vienne qui érige le RDR comme solution face à des politiques répressives coûteuses et inefficaces… Autant d’éléments qui pourraient laisser penser que tout va bien. Mon introduction serait courte mais heureuse ! Malheureusement ce n’est pas le cas : prévalence très forte du VHC, absence de la RDR en milieu carcéral, vulnérabilité sociale …  Autant de défis pour lesquels il était et, il est nécessaire, que les acteurs de la RDR fassent preuve d’une valeur moteur, d’une valeur qu’ils mettent en œuvre au quotidien : le sens de l’innovation. Sens de l’innovation qui, je le crois, n’a pas été freiné par la professionnalisation du secteur, ou qui, dans tous les cas, ne doit pas l’être.
    L’expérimentation des salles de consommation à moindre risque est une revendication déjà ancienne et on ne peut que se féliciter que cela soit enfin en très bonne voie aussi bien à Paris, à Marseille qu’à Bordeaux. Je ne vais pas revenir sur l’utilité de ce type de structure, leur efficacité notamment au regard de ce qui se passe à l’étranger, le rapport de l’INSERM, du CNS... Je crois que nous avons ici tous les spécialistes pour nous expliquer cela mieux que moi. Les acteurs du secteur étaient convaincus par ce dispositif, restait à convaincre le politique qui, on le sait, dès qu’il s’agit de drogues, est très prudent, d’autant que nous avons eu la malchance d’avoir M. Apaire pendant quelques années à la tête de la MILDT. Heureusement les choses ont changé et Mme Daniele Jourdain Menninger a une posture équilibrée et, je pense, une vraie vision des choses.
    Je voudrais rappeler que la région Ile-de-France a porté avec détermination ce dossier et a joué un vrai rôle en apportant un soutien financier dès 2010 aux études sur les SCMR. Je crois que c’est tout à l’honneur de la région d’avoir su avoir une vision juste des choses, de ne pas tomber dans la gueguerre de mots et d’avoir porté politiquement dès le début ce dossier avec pragmatisme, humanité et efficacité.

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  • Mon itw dans Var Matin

    VarMatin19janvier2013.jpgA lire sur le site de Var Matin (ici).

  • Réunion publique ADMD à Toulon à 18h30

    A l’invitation de Carole Gouyé, déléguée ADMD du Var-Ouest, j’animerai une réunion publique de l’ADMD en présence du délégué de Var-Est, Christian Baloy et de la députée Geneviève Lévy à la salle Méditerranée de Toulon à 18h30.
    Alors que contrairement à l’avis du Pr Sicard, le président Hollande a annoncé qu’il y aurait une loi sur la fin de vie en juin prochain, il nous appartient à nous militants de l’Ultime Liberté de nous mobiliser pour que cette loi légalise enfin l’euthanasie et le suicide assisté.
    A partir de ce jour, je reprends donc mon bâton de militant pour parcourir la France comme je l’ai fait en 2012 et mobiliser les Français et les élus pour que 2013 soit enfin l’année où le patient sera mis au centre des décisions qui le concernent.
    Cette réunion pibloque est bien sûr ouverte à tous.

  • Mes voeux au Crips-Ile-de-France

    Les vœux sont un moment important non seulement pour la convivialité mais aussi pour les résolutions.
    Alors que le CRIPS est un des acteurs essentiels dans la lutte contre le sida en Ile-de-France, je serai heureux de recevoir nos partenaires et les élus franciliens pour une amicale cérémonie de vœux au CyberCrips ce lundi soir à partir de 18h30.

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  • Bureau national d’ELCS

    C’est ma journée bureau et lutte contre le sida… Après le bureau du CRIPS, je participerai au bureau national d’Elus Locaux Contre le Sida. Le constat est clair : il est aujourd’hui très difficile de mobiliser contre le sida d’où l’importance que les élus continuent le combat.

  • Bureau du CRIPS Ile-de-France

    Ce midi, je présiderai le 1er bureau du CRIPS pour l’année 2013. Nous nous pencherons sur l’état d’avancement des nouvelles actions lancées l’année dernière par le CRIPS.

  • Débat de l’Avenir Jeune au Horse's Tavern sur l’euthanasie

    Je participerai à un débat sur l’euthanasie organisé par le think tank « L’avenir jeune » ce soir à 18h00 au Horse's Tavern.

  • Réunion des délégués ADMD de l’Ile-de-France

    Afin de préparer la grande réunion publique de l’ADMD, qui se déroulera le 26 janvier à 14h00 à l’Hôtel de ville de Paris, je réunis ce matin et pour le déjeuner les délégués de l’ADMD d’Ile-de-France.
    Il s’agit de se donner tous les moyens pour que cette réunion mobilise les partisans de la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté.