Invité de I-Télé à 12h45
A l'occasion de la Marche des Fiertes LGBT, je serai invité en duplex du départ de la marche sur I-Télé à 12h45.
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A l'occasion de la Marche des Fiertes LGBT, je serai invité en duplex du départ de la marche sur I-Télé à 12h45.
Journée chargée en opération de solidarité car depuis hier se déroulent les Solidays !
Grands moments de concerts et de solidarité sur le sida garantis.
Président du CRIPS-Ile-de-France, j’y retrouverai mes équipes qui gèrent le stand de la région Ile-de-France mais aussi les Jeunes ADMD qui, grâce à la mobilisation de Christophe Michel, ont un stand durant ces trois jours !
A Paris, le dernier samedi de juin rime toujours avec défense de l’égalité LGBT. En effet, aujourd’hui se déroule la marche des Fiertés LGBT de Paris dans un climat morose car beaucoup d’homosexuels estiment que l’égalité réelle n’est toujours pas au rendez-vous. La PMA n’était certes pas dans les 60 propositions du candidat Hollande mais bien dans les engagements qu’il avait pris auprès des associations.
Beaucoup de manifestants seront là pour rappeler cette légitime demande.
Comme tous les ans, je serais heureux de manifester, notamment avec le CRIPS Ile-de-France et la région capitale, qui seront, une nouvelle fois, présents au grand rendez-vous de l’égalité.
En ce jour de marche des Fiertés LGBT, je serai l’invité politique de Benjamin Petrover à 8h20 sur Europe 1.
Outre les questions LGBT, nous reviendrons sûrement sur l’actualité de la fin de vie de cette semaine.
Pour écouter le podcast: (ici)
Alors que selon un nouveau sondage 9 Français sur 10 sont favorables à la légalisation de l'euthanasie, et que le gouvernement tergiverse sur la fin de vie, je participerai au débat de RTL sur la fin de vie ce jeudi à partir de 13h00.
Je serai l'invité de Sud Radio sur la question de la fin de vie à 18h15.
Suite au verdict concernant le docteur Bonnemaison, je serai l'invité du JT de France Inter à 18h00.
J’aime à redire cette donnée : 75% des répondants de l’enquête KABP de 2010 jugent que, pour qu’une personne séropositive ne subisse pas de discrimination, la meilleure solution est de ne pas le dire. J’aime à la redire non pas parce que cette donnée est encourageante et pleine d’espoir (sic) mais parce que je la trouve immensément violente. Violente parce qu’au fond, elle part d’un bon sentiment. Qui ne voudrait pas que l’autre ne soit pas discriminé ? Alors voilà la solution miracle, elle est simple : ne dit rien, ne révèle rien, ne te montre pas, fais vœu de silence, deviens invisible. J’exagère ? Aujourd’hui, 40 % des personnes séropositives vivent seules (55 % chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes)…
Au quotidien, le Crips lutte contre ce phénomène et œuvre largement contre la sérophobie et pour le respect de chacun, quel que soit son statut sérologique, ses différences, ses singularités. Et c’est dans le cadre de cette action globale sur cette thématique, si mise à mal ces derniers temps, du « vivre-ensemble » que ce badge, dont vous voyez l’image en couverture, a été créé. Il l’a été en réaction, entre autre, à ce chiffre pour que vous, chère lectrice, cher lecteur, vous puissiez afficher votre acceptation pleine et entière des personnes séropositives dans tous les pans de la vie, sociale comme privée : oui, je ne vois aucun problème, ni aucun obstacle à avoir une relation affective et sexuelle avec une personne séropositive et, plus encore, je sais qu’accepter une personne séropositive, c’est aussi et déjà me protéger. Car c’est bien de cela dont il s’agit derrière ce badge : l’appropriation individuelle, pleine et entière, des stratégies de prévention. En somme un badge à porter au quotidien !
Cette volonté de promouvoir le « vivre-ensemble », l’humain, on la retrouve également quand nous parlons des drogues et des usagers. Dire qu’un monde sans drogues n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais, fait-il de nous des dangereux promoteurs de l’usage ? Voir l’usager comme un citoyen est-il si néfaste que cela ? Penser que la politique de réduction des risques en direction des usagers doit être approfondie nous engage-t-il dans la voie du laxisme face aux drogues ? En lieu et place d’une idéologie caricaturale et culpabilisatrice, nous souhaitons une information grand public, non pas orientée mais simplement pragmatique et qui renvoie à la réalité. Oui, la politique de réduction des risques mérite d’être approfondie tant dans ses lieux d’exercice que ses outils. Oui, les usagers sont des citoyens à part entière. Oui, le regard de la société, notre regard, doit changer. Cela a été affirmé lors de la rencontre organisée par le Crips le 16 juin dernier et cela sera réaffirmé via le lancement d’une campagne de communication interassociative à la rentrée prochaine.
Le changement de regard et sa concrétisation via des actes et un changement sociétal : assurément une des priorités du Crips Île-de-France.
Ce mercredi, à 7h30, je serai l'invité du JT de France Bleu à 7h15 pour évoquer la décision du Conseil d'Etat et de la Cour européenne sur Vincent Lambert.
Le Conseil d'Etat se prononce en faveur de la délivrance de Vincent Lambert, mais dans des conditions qui restent cruelles par l'application d'une loi hypocrite et inhumaine
Oui, il faut une nouvelle loi sur la fin de vie. Non, à une loi Leonetti de gauche
Dans sa décision rendue ce mardi, le Conseil d'Etat autorise les médecins du jeune Vincent Lambert à mettre en oeuvre la loi du 22 avril 2005 et les décrets qui s'y rattachent, notamment celui du 29 janvier 2010. C'est ainsi qu'une sédation sera appliquée et que, selon les termes en vigueur, la médecine va se retirer (retrait des sondes). C'est donc l'application du « laisser mourir », selon l'expression même de Jean Leonetti.
Vincent Lambert, sédaté, va donc mourir de dénutrition et de déshydratation. Espérons, dans un souci d'humanité, que cela ne sera pas trop long et trop pesant pour lui et pour ceux qui l'aiment, au premier rang desquels son épouse courageuse, Rachel, et son neveu François.
Jean-Luc Romero, président de l'ADMD, rappelle tout de même la cruauté de ce qu'a enduré Vincent Lambert : des années d'état végétatif, des mois de déchirement familiaux pour se rendre à l'évidence : Vincent Lambert, par un coup du sort tragique, est à la fin de sa vie et il ne sert à rien de maintenir artificiellement ce sursis cruel, contre sa volonté maintes fois exprimée.
Plus que jamais, la loi Leonetti a fait la preuve de son incapacité à régler les difficultés de fin de vie que rencontrent nos compatriotes. Devant ses imprécisions, plus personne ne prend de décision et les familles se déchirent, et c'est à la justice, in fine, qu'il appartient de trancher. Ce n'est pourtant pas son rôle. Il faut donc qu'une nouvelle loi remplace la législation actuelle pour replacer le patient et ses volontés au centre de toutes décisions de fin de vie. C'est ainsi que l'on évitera les drames, c'est ainsi que l'on évitera les conflits d'intérêt. C'est ainsi, enfin, que plus personne ne connaîtra le destin tragique du jeune Vincent Lambert, jeune corps supplicié et empêché de s'éteindre sereinement et dignement.
Par ailleurs, l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité conteste le choix du Gouvernement de confier à Jean Leonetti le soin de modifier la législation sur la fin de vie. Comment celui qui s'est toujours opposé à placer le patient au coeur de toute décision de fin de vie, y compris l'administration d'un produit létal, pourrait-il répondre à la promesse faite aux Français par François Hollande et satisfaire le rapporteur de la proposition de loi relative au droit de finir sa vie dans la dignité que fut Manuel Valls en 2009 ? L'ADMD sera très vigilante au texte qui sera présenté au Parlement. En aucun cas, il ne devra s'agir d'une loi Leonetti de gauche, rédigée dans un consensus mollasson. Il faut une loi de rupture, et pas la énième version de la loi du 22 avril 2005 dont on connaît l'incapacité à trouver des solutions dignes et humaines.
A l'occasion de la décision sur l'affaire Vincent Lambert, je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus à 19h05.
A 18h05, je serai l'invité de Olivier Truchot dans BFM Story sur BFM TV sur la question de la fin de vie et bien sûr de la décision sur Vincent Lambert.
Je commenterai la décision du Conseil d'Etat qui devrait être rendue à 16h00 par le Conseil d'Etat à 16h30, en direct, sur I-Télé.
A l'occasion du procès Vincent Lambert, je suis l'invité du JT de la radio du sud Totem ce mardi à 8h05.
A l'invitation de la ministre de la santé, Marisol Touraine, les actes des derniers états généraux d'ELCS et le guide à destination des élus seront présentés au ministère de la santé au cours d'une petite manifestation conviviale ce lundi soir.
A l'occasion de la sortie du guide d'ELCS à destination des élus et des actes des derniers états généraux d'ELCS, je serai l'invité de Brigitte Lahaie à 15h20 sur RMC.
Ce sera notamment l'occasion de rappeler la situation du sida en France.