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Politique française - Page 189

  • Appel à François Hollande : respect de l'engagement 21

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  • Rdv sur le sida avec George Pau-Langevin, ministre de l’Outre-Mer

    Ce lundi, en fin de journée, je rencontre la ministre de l’outre-mer, George Pau-Langevin afin d’évoquer la lutte contre le sida en outre-mer.
    Nous parlerons aussi de la mobilisation du ministère pour la journée mondiale contre le sida du 1er décembre.

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  • La nouvelle campagne d'ELCS sur le sida

     Plus que tout autre maladie, le VIH/sida est encore et toujours une maladie tabou, très largement porteuse de préjugés et de fausses idées tant sur les modes de contamination que sur les personnes séropositives.

    A cause de ce manque flagrant d’information et de connaissances, plus de 6.000 personnes découvrent leur séropositivité chaque année ; 30% des malades ne se savent pas séropositif ; près de la moitié des personnes touchées sont discriminées tant dans la sphère privée que sociale ou professionnelle… comment imaginer alors pouvoir dire sa séropositivité ?

    C’est dans ce contexte qu’ELCS lance une nouvelle campagne destinée à promouvoir l’information en direction du grand public sur le VIH/sida. Pour casser le tabou, nous devons agir : agir pour une meilleure information de toutes et tous…et cela passe aussi par l’humour !

    Ces 4 visuels sont des répliques bien évidemment inventées entre des personnages historiques ou de fiction, des répliques destinées à faire sourire tout qu’autant qu’à faire réfléchir tant elles sont représentatives des fausses croyances ou des préjugés les plus répandus : sur le dépistage, la prévention, les personnes touchées, les effets de la maladie… Le but est d’inciter le grand public à se connecter sur mieuxsinformer.fr pour, réellement, s’informer, comprendre, accepter.

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  • Article dans La Nouvelle République sur le débat fin de vie de Châtellerault

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  • Invité de « Affaires sensibles » sur France Inter à 15h30

    Ce jeudi 23 octobre 2014, vers 15h30, je serai l’invité de Fabrice Drouelle pour son émission « Affaires sensibles. »
    Le thème de l’émission de ce jeudi sera la dépénalisation de l’homosexualité en 1981 voulue et promise par François Mitterrand. L’émission débute à 15h00.

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  • Mon itw dans La Nouvelle République sur la fin de vie

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  • Débat après la Première du film « Le moment et la manière »

    Je participerai à un débat sur la fin de vie à l’issue de la première du film « Le moment et la manière ».
    En effet, ce beau film d’Anne Kunvari sort sur les écrans français dans quelques jours et pose avec pudeur de belles et grandes questions, sur la maladie et bien sûr la fin de vie.

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  • Plaque en l’honneur des derniers condamnés et brûlés pour homosexualité à Paris

    Samedi dernier, la maire de Paris, Anne Hidalgo a dévoilé la plaque commémorative en hommage à Bruno Lenoir et Jean Diot, condamnés pour homosexualité et brûlés en Place de Grève le 6 juillet 1750.
    C’est un geste symbolique fort d’Anne Hidalgo pour rappeler le calvaire qu’ont longtemps vécu les homosexuels de notre pays.
    C’est aussi un signe à tous ces pays qui condamnent encore pour homosexualité, notamment l’Iran qui a pendu encore récemment deux adolescents pour homosexualité. Une cruauté inimaginable mais toujours d’actualité en … 2014 !
    La plaque se situe à l’angle des rues Montorgueil et Bachaumont dans le 2ème arrondissement de Paris.

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  • Inscrivez-vous pour les 19èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida !

    Déjà 19 ans qu’ELCS tente de mobiliser les élus contre le VIH/sida !
    Je ne vous cache pas que ces dernières années, il devient très difficile de faire comprendre aux élus et aux Français qu’il n’y a jamais eu autant de gens vivant avec le VIH en France et que la vie quotidienne est difficile pour ces malades tant la discrimination et la précarité augmentent.
    ELCS continue donc son bruit de fond autour du sida et organise ses 19èmes Etats Généraux à la mairie de Paris sous le haut patronage de François Hollande et en présence notamment de Anne Hidalgo, les ministres George Pau-Langevin, Geneviève Fioraso ou encore les anciennes ministres de la santé Roselyne Bachelot et Dominique Gillot. Sans oublier Bernard Jomier, Jean-François Delfraissy ou Frédéric Dabi, etc...
    Ces EG auront lieu le 26 novembre 2014 à 16h00 (ouverture dès 15h30) .
    Pour vous inscrire, cliquez (ici).

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  • Soutien à la 18ème édition de l’Existrans

    Ce samedi se déroule la 18ème édition de l’Existrans et je soutiens totalement les revendications légitimes du collectif qui organise cette mobilisation.
    Outre la reconnaissance de la transphobie, il devient urgent de légiférer pour une procédure de changement d’état civil respectueuse des droits humains.

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  • Mon itw sur le sida dans Transversal

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  • Mon texte pour l'Almanach Insolite

    « Quel objet emporteriez-vous sur une île déserte ? »

     

    Voilà le genre de questions que les magazines aiment à glisser entre « Quel est votre principal trait de caractère ? » et « Quid du casting d’un dîner idéal selon vous ? ». Vous m’accordez ce fait, non vérifiable mais hautement probable, que vous aurez plus de chances d’être interrogé en sortie de métro par un journaliste stagiaire sur cette île déserte plutôt que de vous retrouver réellement sur une île déserte. Attention : vraiment déserte, pas comme sur les belles pages photoshopées des magazines. Déserte, ça veut dire sans accès internet … Imaginez comment cela doit être rageant de faire un selfie façon Robinson Crusoé sans pouvoir le partager sur les réseaux !

     

    Bon passons sur ces quelques réflexions technico-connectées. Moi, je n’ai pas du tout envie de vous parler de l’objet que je souhaiterais hypothétiquement emmener sur une île déserte mais bien plus d’un objet que j’ai sur moi au quotidien. Ou, pour être plus précis, qui m’accompagne au quotidien : un ruban rouge. Un simple ruban rouge. Un ruban que je porte parce que d’un combat individuel contre la maladie, moi qui suis séropositif depuis 25 ans, j’ai décidé d’en faire un combat collectif en révélant publiquement ma séropositivité. Un ruban rouge, symbole de la lutte contre le sida.

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    Ce ruban rouge, pour beaucoup, c’est un symbole un peu dépassé, voire un peu vieillot. Un symbole d’un autre temps, un temps que les jeunes de 20 ans ne peuvent pas connaître ? Regardons la réalité en face : on parle moins du VIH/sida, c’est un fait ; cela fait moins la « une » des médias. Est-ce pour autant une épidémie endiguée ? Je vous en laisse seul juge : la réalité, aujourd’hui, c’est que jamais autant de personnes n’ont vécu avec le VIH que ce soit en France ou dans le monde. La réalité, aujourd’hui, c’est que 20% des personnes séropositives en France ne connaissent pas leur statut sérologique. La réalité, c’est qu’aujourd’hui, plus de 4.000 personnes vont mourir du sida dans le monde. Alors, dépassé le ruban rouge ?

     

    Ce ruban rouge est un hommage aux morts. A nos morts. A nos amours, nos proches, nos familles. A celles et ceux qui nous quitté dans une indifférence glacée, désignés par la société comme coupable de leur maladie. Pour tous ceux qui ont connu les années noires du sida, la cicatrice est toujours ouverte. Tant de jours et de nuits à veiller nos proches, mourants, avec comme seule projection possible celle d’atteindre le lendemain. Alors oui, il est vrai que les progrès médicaux font qu’aujourd’hui, une personne séropositive peut vivre, espérer, se projeter, avoir des enfants. Il n’en reste pas moins que le VIH/sida reste une maladie obstinément mortelle et que, épée de Damoclès du quotidien pour les malades, le virus aura le dernier mot.

     

    Ce ruban rouge est un cri de colère. Un cri contre les gouvernements irresponsables comme la ministre de la santé sud-africaine qui affirmait, il y a quelques années, que le sida se soignait avec de l’ail et du citron. Résultat pour l’Afrique du Sud : un taux de prévalence au VIH de 18% pour les 15-49 ans. Un cri contre certaines firmes pharmaceutiques qui font des procès pour empêcher l’accès aux génériques. Un cri contre une société qui stigmatise les malades au lieu de promouvoir l’entraide et la solidarité. Un cri de colère comme moteur à la mobilisation. Pour la vie, l’égalité et la dignité.

     

    Ce ruban rouge est un cri d’espoir. Un cri du cœur lancé à la face du monde pour dire que oui, la fin du sida est envisageable. Non pas comme une utopie portée par quelques activistes ou chercheurs. Mais comme un rêve atteignable, tangible, presque palpable. La condition sine qua non de la réalisation de rêve : l’accès universel aux traitements avec donc un engagement financier à la hauteur, c’est-à-dire 5 milliards de dollars US par an. C’est beaucoup en période de crise me diriez-vous, voire impossible à trouver ? Alors que penser du budget annuel de l’armement dans le monde: 1753 milliards de dollars US… Quel camp allez-vous choisir ?

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    Chère lectrice ou cher lecteur : sans doute que la prochaine fois qu’un journaliste vous demandera « Quel objet emporteriez-vous sur une île déserte ? », vous ne répondrez pas « un ruban rouge ». Assurément pas. Mais peut-être que, demain, certains d’entre vous vont vouloir porter sur leur sac, au revers de leur veste, sur leur sweat, ce ruban rouge, symbole international de la lutte contre le VIH/sida. Ils auront raison.

     

    Un ruban rouge comme un concentré d’humanité.

  • Mon mot d'introduction aux journées AFR

    Mesdames, messieurs,

    Chers amis,

     

    Je suis très heureux d’être à vos côtés aujourd’hui pour ouvrir et animer cette dernière plénière intitulé « l’Adieu aux Armes », plénière au cours de laquelle deux experts que vous connaissez tous nous font le plaisir d’intervenir. Je vous les présente :

     

    • Marie Nougier, consultante à l'IDPC, Consortium international sur les politiques des drogues, réseau regroupant plus de 120 organisations de la société civile à travers le monde,

    • Olivier Weber, grand reporter, ancien ambassadeur de la France à l'ONU chargé de la lutte contre le crime organisé.

     

    Cette plénière est bien sûr centrée sur la prochaine Session spéciale de l’Assemblée générale des Nations-Unies, à l’été 2016, session qui peut potentiellement révolutionner les choses.

     

    Vous connaissez tous le cadre dans lequel nous évoluons, donc je ne vais pas être bien long. Rappelons tout de même que le slogan de la Session spéciale de 1998 était : « Un monde sans drogues – nous pouvons le faire ». Résultat constaté ? Il est éloquent ! Des sommes énormes englouties dans la répression pour une consommation qui est en constance augmentation. Dont act... Cette politique répressive, cette politique de la guerre à la drogue qui s’apparente bien souvent à la guerre aux usagers, à quoi a-t-elle conduit finalement ? A un marché criminel de centaines de milliards de dollars, à l’augmentation des violences et la stigmatisation des consommateurs, à des politiques de santé mises à mal et l’augmentation très nette des dommages sanitaires liés au VIH et à l’hépatite C, à une incarcération massive des consommateurs, à des vies gâchées, notamment pour les plus pauvres et les plus fragiles, qui sont celles et ceux qui ont à subir le plus ces politiques aussi coûteuses qu’inefficaces. C’est une des questions que j’aimerai d’ailleurs poser à nos intervenants : la guerre à la drogue a-t-elle plus tué que sauver des vies ? Tous ici nous sommes convaincus que cette session spéciale de 2016 peut, enfin, faire changer le curseur et rééquilibrer les choses.

     

    Mais, avant de laisser la parole à nos deux éminents intervenants, permettez-moi de dire un mot en tant qu’élu sur la situation en France.

     

    En France, en ce qui concerne le domaine des drogues, la décision politique ne se fait pas via un processus rationnel à la recherche de l’intérêt général; elle est, sans nul doute plus encore que pour d’autres domaines, intimement lié à l’opinion publique. Les élus sur-réagissent face aux drogues.

     

    La bataille de l’opinion publique est, ce faisant, totalement essentielle. Il faut sortir le champ de la réduction des risques du cercle qui peut été intimidant des associations. Il faut sortir cette question de la sphère des acteurs des addictions, du VIH Oui, nous nous sommes convaincus car nous connaissons la réalité mais comment convaincre quelqu’un qui ne veut pas voir la réalité ? Il y a donc un réel effort à faire de dialogue, de compréhension, de déconstruction des stéréotypes, des préjugés, des fausses représentations. Un vrai effort de pédagogie. Oui de pédagogie. C’est ce qu’un nombre important d’acteurs font au quotidien notamment dans les conseils de quartier et réunions de riverain. J’aimerai dire que vous portez la bonne parole mais je craints qu’en ce moment, cela fasse un peu trop « Manif pour tous ». Mais vous faites tous un travail essentiel et je crois que les élus peuvent vous en remercier, réellement vous en remercier.

     

    En fait, pour améliorer la politique de réduction des risques et innover, il faut donc informer le grand public sur ses résultats, travailler sur l’image de l’usager de drogues et ainsi convaincre nos concitoyens de sa pertinence et de son utilité, aussi bien pour les usagers que pour la société dans son ensemble. Je veux ici mettre en exergue la nouvelle campagne d’information du Crips, une campagne interassociative que l’AFR a d’ailleurs signé, une campagne qui se base sur l’humour et qui a ouvert cette plénière.

     

    En fait, selon moi, c’est l’opinion publique qui favorisera les évolutions politiques. C’est donc aussi aux acteurs de la RDR de créer le moment politique propice à la prise de décision, j’en veux pour preuve le débat sur les salles de consommation à moindre risque, sujet technique, très « casse-gueule ». Grâce à un vrai travail de fourmi, c’est en train de payer. Aujourd’hui, grâce aux efforts des acteurs de ce combat, peut-être même que le fait de se demander de celui qui se drogue ou de celui qui refuse la politique de réduction des risques, qui est le criminel des deux, peut-être que cette question légitime se posera concrètement.

     

    Je conclus là-dessus et laisse la parole à nos deux intervenants.

  • Animation d’une table-ronde aux Journées de l’AFR

    Ce mercredi, j’animerai la dernière session plénière des Journées de l’AFR « l’Adieu aux Armes ».
    Je rappellerai en ouverture de cette plénière qu’en France, les élus sur-réagissent face aux drogues illicites et qu’il faut gagner la bataille de l’opinion sur ces questions qui sont déformées et instrumentalisées par certains responsables politiques.

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  • Intervention sur les institutions à la semaine bleue de Vigneux-sur-Seine

    Dans le cadre de la semaine bleue à Vigneux-sur-Seine, la maire-adjointe aux seniors m’a demandé de présenter nos institutions à la réunion intergénérationnelle organisée entre une délégation de seniors et des élèves de CM2. Ce sera un beau défi que de réussir à intéresser deux publics différents – enfants et seniors – à notre vie démocratique.

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  • Election du président du nouveau groupe PS de la région Ile-de-France

    guillaume ballas,jean-luc romer,ps,région ile-de-franceGuillaume Ballas, actuel président du groupe PS à la région Ile-de-France, avait annoncé que s’il était élu député européen, il ne cumulerait pas un mandat de parlementaire et de président de groupe. Il a tenu parole.
    Pour le remplacer, un vote se déroulera ce lundi. En ma qualité d’apparenté, je participerai bien sûr à ce vote.

     

  • Réunion publique ADMD à Ajaccio à 14h00

    A l’invitation de Robert Cohen, délégué de l’ADMD pour la Corse, après Bastia hier, j’animerai une réunion publique sur la fin de vie à Ajaccio ce samedi à 14h00 à l’hôtel Best Western Amirauté. Je vous attends nombreux !

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  • Réunion publique ADMD à Bastia à 15h00

    A l’invitation de Robert Cohen, délégué de l’ADMD pour la Corse, j’animerai une réunion publique à Bastia ce vendredi à 15h00 au conseil général de la Haute-Corse. Je vous attends nombreux !

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  • Table-ronde contre le sida vendredi 10 octobre à Bastia à 18h00

    A l’initiative du maire de Bastia et d’ELCS, je participerai à une table-ronde sur le sida ouverte aux élus de Bastia demain vendredi 10 octobre à 18h00, à l’Hôtel de ville de Bastia.
    Plus que jamais, il est important que les élus se mobilisent contre le VIH/sida qui tue chaque jour 4000 personnes dans le monde.

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  • Débat « Des citoyens en bonne santé dans des villes en bonne santé » à Métropolis

    De 16h00 à 16h30, en ma qualité de conseiller régional d'Ile-de-France et de président du Crips, je participerai à la session « Des citoyens en bonne santé dans des villes en bonne santé » lors du congrès de Métropolis.
    Le thème qui m’a été attribué est celui-ci : « Le rôle de la société civile dans les actions de mobilisation pour une meilleure santé des citoyens dans nos villes. » Interviendront aussi dans cette session animée par le directeur du centre de santé de Kobe de l’OMS, Amit Prasad, S. Srinath Reddy, et Karen Lee.

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