Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique française - Page 192

  • AG et conseil d'administration du CRIPS

    Ce lundi, je présiderai l'AG et le conseil d'administration du Crips-Ile-de-France que je préside.
    Outre les actes réglementaires de telles assemblées, nous évoquerons surtout les actions à venir dans un contexte difficile pour la lutte contre le sida.

  • Le Luxembourg vote le mariage pour tous. Boutin ne sait plus à quel Saint se vouer...

    Sans aucune manifestation, dans un grand consensus politique, la chambre des députés du Luxembourg a voté en faveur de l’ouverture du mariage aux couples homosexuels, mercredi dernier, avec plus de 56 voix contre seulement 4 députés qui s’y sont opposés.
    Comme pour la Grande-Bretagne, l’année dernière, dans ce pays catholique, cette mesure d’égalité a été votée sans les drames que nous avons connus en France.
    Le Luxembourg est désormais le 11ème Etat Européen à permettre l’égalité entre homosexuels et hétérosexuels et les mariages pourront être célébrés dès 2015.
    L’égalité ne cesse d’avancer en Europe et même l’Italie, pourtant sous influence du Vatican, pourrait voter un projet d’union civile pour les homosexuels.
    Décidemment, Christine Boutin ne doit plus savoir à quel saint se vouer dans sa croisade anti égalité !

     

  • Session du Conseil régional d’Ile-de-France

    LogoIledeFrance.pngDurant deux jours se déroule la session du conseil régional d’Ile-de-France présidée par Jean-Paul Huchon.
    A l’ordre du jour de cette session : le compte administratif 2013 présenté par Marie-Pierre de la Gontrie, une communication sur la réforme territoriale de la décentralisation, l’actualisation du plan régional en faveur de la mobilité durable, etc…

     

  • Invité de "Tout et son contraire" sur France Info [8h40 ;11h10 ; 14h20 ; 16h20 ; 17h25 ; 18h55; 21h25 ; 23h25; 0h45 et 3h15]

    Ce mercredi, dès 8h40, je serai l’invité de Philippe Vandel dans « Tout et son contraire » sur France Info. Un entretien de 15 minutes sur mon parcours sera découpé tout au long de la journée avec es passages prévus à 8h40 ; 11h10 ; 14h20 ; 16h20 ; 17h25 ; 18h55; 21h25: 23h25 et enfin pour l'intégrale 0h45 et 3h15. Ces heures de diffusion ne sont pas complétement garanties.
    Au cours de cet entretien j’y parle de tous mes combats : sida, égalité, droit de mourir dans la dignité, de mon parcours, de mes livres et d’amis qui me tiennent à cœur comme Valérie Trierweiler.
    Vous pouvez retrouver cette émission (ici) et ne ratez pas l'intégrale à 00h45 ou 3h15...

    JlrVandel.JPG

     

  • Mon mot d'accueil à "Reduction des risques : regards critiques et perspectives"

    Mot d’accueil de Jean-Luc Romero-Michel
    Président du Crips Île-de-France
    90e rencontre du Crips Ile-de-France
    « Réduction des risques : regards critiques et perspectives »
    16 juin 2014 – Mairie du 10e arrdt de Paris

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    Je vois beaucoup de visages connus dans l’assistance, beaucoup de visages de personnes qui, depuis longtemps, travaillent sur cette thématique de la réduction des risques et tentent de faire comprendre, faire émerger, faire appliquer une vision de santé publique, une vision de promotion de la santé publique, une vision de promotion de la citoyenneté, une vision de promotion de la dignité.
    J’aurais beaucoup de monde à saluer mais permettez-moi de saluer tout particulièrement deux personnes : Martine Baudin, directrice de Première Ligne, association genevoise qu’on ne présente plus tant elle fait office de modèle dans le monde, que ce soit avec la structure Quai 9 ou avec ses autres activités. Je vais à peu près tous les ans à Genève et cela a été encore le cas en ce début d’année où Martine Baudin a eu la gentillesse de me recevoir. Alors que certains se plaisent à critiquer le modèle suisse remettant en cause tout leur système politique de démocratie directe, et ce même parmi nos anciens présidents de la République, moi je préfèrerai que l’on adopte le pragmatisme suisse et donc leur efficacité et non un idéologisme simple et populiste.
    Je veux également saluer Rémi Féraud. Rémi nous avait déjà accueilli dans sa mairie en début d’année pour un atelier sur les trans’ et aujourd’hui pour cette 90e rencontre du Crips sur la réduction des risques. Vous en conviendrez, on ne peut pas dire que c’est un maire qui se planque sur les sujets sociétaux, même parmi les moins simples ! Vous le savez toutes et tous, il a porté le projet d’ouverture d’une salle de consommation à moindre risque au sein de son arrondissement et je voudrais saluer son courage : croyez-bien que le monde politique n’est pas un monde simple, je le sais bien, et tenir ses convictions sur la thématique des drogues l’est encore moins. Beaucoup parlent de grands principes, d’autres agissent concrètement. Rémi, merci de faire partie de cette seconde catégorie.
    Avant de vous laisser œuvrer tout au long de cette journée, je voudrais dire quelques mots sur la thématique de la rencontre « Réduction des risques : regards critiques et perspectives ». Je ne vais pas refaire l’historique de la RdR, le fait que cette politique ait été portée par la droite comme par la gauche, chose assez rare pour être soulignée ! -, également le fait que cette politique ait été légalisée. Non, je voudrais insister sur quelques autres points :
    Déjà, je veux redire cette évidence : la politique de réduction des risques répond à des besoins humains et sanitaires, notamment liés au VIH/ sida et l’hépatite C. Elle n’est, en aucun cas, une politique laxiste. Elle n’est pas née, elle n’a pas été pensée, elle n’a pas été développée pour se droguer tranquille ! Oui, c’est une évidence mais parfois, c’est bien de le redire. Et puis, si c’était si évident que cela, en 2006, 78 parlementaires n’auraient pas écrit au Premier ministre pour s’étonner des « alliances que la MILDT développait avec les associations revendiquant la légalisation des drogues, telles ASUD et Technoplus, ou bien le maintien dans une toxicomanie supposée “plus propre”, telle SOS Drogue International. ». Si c’était si évident que cela, il n’y aurait pas eu de proposition, en 2009, de classer le Subutex parmi les produits stupéfiants. Si c’était si évident que cela, la MILDT, sous Etienne Apaire, n’aurait pas porté un discours basé sur le tout répressif, discours aussi moralisateur que dangereux sur le plan sanitaire.

    crips,jean-luc romero,paris,sida,oxicomanie

     

    Ensuite, je veux redire que la politique de réduction des risques est une politique de santé mais aussi de citoyenneté. Elle est une des politiques de santé les plus efficaces qu’il soit, notamment pour ce qui concerne le VIH mais elle est aussi une politique qui permet de restaurer l’usager dans la Cité, avec un « c » majuscule. L’usager de drogues est un être multiple : parent, frère, fille, victime, acteur de sa prévention, salarié, commerçant … On pourrait continuer la liste bien longtemps sans dire le mot délinquant! Oui, l’usage de drogues ne fait pas l’identité de la personne. Je le redis : la RdR restaure la dignité de la personne et cela, ça n’a pas de prix. C’est d’ailleurs la vision que le Crips va défendre en lançant à la rentrée prochaine, avec beaucoup d’autres associations, une campgne de communication et d’information sur le sujet.
    Enfin, je veux redire que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles  de consommation à moindre risque. Je le dis sans aucune provocation : au contraire ! J’aimerai saluer l’efficacité des associations qui ont porté ce dossier, qui l’ont sorti de la zone de confort que peut constituer la discussion entre associations et qui l’ont imposé sur la sphère publique, obligeant ce sujet à être un sujet à discuter. Merci à elles ! Vraiment. Quand je dis que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles  de consommation à moindre risque, je veux dire que les salles sont un outil du panel global et beaucoup d’autres choses restent à mettre en place : je pense par exemple au programme d’injection d’héroïne sous contrôle médicalisé mais pas seulement. Bien d’autres choses sont à mettre en place ou à imaginer, d’autres méthodes, d’autres outils. Je fais confiance aux associations : même si le secteur s’est professionnalisé avec les CAARUD, la capacité d’innovation est forte, je le sais !
    Je vais conclure pour vous laisser œuvrer et avoir de très constructifs et passionnés débats mais avant, je voudrais simplement vous poser une question, une question que j’aime à poser, même si je sors sans doute quelque peu de mon champ de président du Crips.
    Mesdames, messieurs, de celui qui s’injecte une drogue ou de celui qui refuse l’approfondissement de la politique de réduction des risques en tant que politique de santé, qui est le plus criminel des deux ? Je vous laisser juger.
    Je vous remercie.                                                                                                                                          

  • Réunion publique ADMD à Sens à 18h30

    J’animerai une réunion publique de l’ADMD ce lundi 16 juin aux côtés de la déléguée de l’Yonne Michèle Skowron. Cette réunion se déroulera dès 18h30 à l’Institut supérieure de l’Yonne à Sens.
    Je vous y attends nombreuses et nombreux !

    sens,jean-luc romero,admd,euthanasie,politique,santé,france

     

  • Mon débat sur France 24 sur la fin de vie


    Le débat de France 24 - Procès Bonnemaison en... par france24

  • Conseil d’administration de l’ADMD

    Ce samedi 14 juin, je présiderai le conseil d’administration de l’ADMD qui se réunira à Paris.
    La majeure partie de notre conseil sera consacrée aux actions de rentrée que nous comptons mettre en œuvre pour que les pouvoirs publics se décident enfin à voter une loi d’Ultime Liberté.
    Pour la rentrée sont déjà prévus une grande réunion publique à Strasbourg avec des associations sœurs d’Europe, 100 pique-niques militants et un immense meeting à Paris.
    Nous mettrons tout en œuvre pour nos 55 000 adhérents et les 9 Français sur 10 favorables à la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté soient enfin entendus !

     

  • Rendez-vous culturels dans le 12ème arrondissement

    Ma fin d’après-midi de ce vendredi sera consacrée à rencontrer différents acteurs culturels du 12ème arrondissement de Paris dont je suis le maire-adjoint à la culture.

    paris,jean-luc romero,culture,12ème ardt


    C’est ainsi que je rencontrerai Rui Frati, directeur du théâtre de l’Opprimé pour lequel j’ai récemment défendu une subvention au conseil d’arrondissement, Frédéric Golbronn de l’association Videadoc, Caroline Brechet du CEHAT et enfin Christian Mrasilevici de CINAPS.
    Je terminerai mon après-midi culturel par un passage au vernissage « Le Mur » à la Maison Rouge.

    paris,jean-luc romero,culture,12ème ardt

     

  • Invité de BFM à 21h30 et I-télé à 22h30

    Je serai invité de BFM à 21h30 et débattrai sur I-télé à 22h30 sur la question de la fin de vie.

    itélé,jeanlucromero,bfmtv

    itélé,jeanlucromero,bfmtv

  • Débat sur France 24 à 19h10

    Je débattrai sur France 24 ce mercredi à 19h10 sur la question de la fin de vie.

    france 24,jean-luc romero,euthanasie,politique,france

    france 24,jean-luc romero,euthanasie,politique,france

  • Invité de Wendy Bouchard dans Europe Midi à 13h15

    Je serai l'invité de Wendy Bouchard dans Europe Midi sur Europe 1 ce mercredi à 13h15 pour évoquer la question de la fin de vie à l'hôpital.

    wendy bouchard,jean-luc romero,europe 1,santé,admd

  • Vote d’une subvention de 80 000€ pour le 100 Charenton

    Hier soir, en conseil d’arrondissement du 12ème, en ma qualité de maire-adjoint en charge de la culture, j’ai soumis au vote de mes collègues une subvention de 80 000€ visant à reconduire la subvention annuelle de 160 000€ pour un établissement culturel solidaire, la société coopérative d’intérêt collectif le 100 Charenton situé, comme vous le savez, dans notre arrondissement depuis l’été 2007. 80 000€ avaient déjà été adoptés lors d’un précédent conseil. 100 charenton,jean-luc romero,pars 12
    Pour mémoire, les trois associations à l’origine du 100 - le Cent, atelier en commun, le SOCLE et Matière première - ont fusionné le 8 janvier 2013 dans cette SCIC, le 100, dont le gérant est Frédéric de Beauvoir et les 3 autres associés sont les présidents des associations fondatrices du 100.
    Le 100 est devenu la 1ère fabrique culturelle sur Paris, c’est un lieu de référence. Aucune pratique n’y est oubliée : art plastique, art visuel, écriture, multimédia, photographie, vidéo, spectacle vivant, etc… Plus de 1000 artistes y sont inscrits, on approcherait même les 1500.
    Même si le 100 dépasse largement les frontières de notre 12ème arrondissement, cette structure culturelle est pleinement ancrée dans la vie locale notamment avec le festival 12X12 qui permet, en amont de la nuit blanche, de présenter 12 projets culturels dans 12 lieux différents de notre arrondissement. Un moment très fort de la vie culturelle du 12ème.

     

  • Invité du JT de France Bleu national à 7h30

    euthanasie,jean-luc romero,france bleu,admd

    A l’occasion de l’ouverture du procès Bonnemaison, je serai invité du décrochage national de France Bleu ce mercredi vers 7h30. J’y parlerai bien sûr fin de vie et loi pour l’euthanasie.
    L'itw c'est (ici).

     

  • Conseil d’arrondissement du 12ème

    catherine baratti-elbaz,jean-luc romero,parisCe soir se déroule le 3ème conseil d’arrondissement du nouveau mandat sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz.
    Il se déroule à partir de 19h00 à la mairie du 12ème arrondissement et est bien sûr ouvert au public.

     

  • Débat mardi dans Soir 3 a 22h25 sur la fin de vie

    Je suis l'un des invités du Soir 3 de demain, mardi 10 juin, vers 22h25 sur France 3. Alors que s'ouvre le procès du docteur Bonnemaison, accusé d'avoir aidé par compassion des personnes en fin de vie à mourir, nous évoquerons le bilan de la loi actuelle sur la fin de vie et ses lacunes. Je reviendrai bien sûr sur la demande de l'ADMD que l'euthanasie soit enfin légalisée et qu'on écoute enfin ceux qui sont dans le lit, et pas ceux qui sont autour !!!

    soir 3,jean-luc romero,admd,euthanasie,politique,france

    soir 3,jean-luc romero,admd,euthanasie,politique,france

    soir 3,jean-luc romero,admd,euthanasie,politique,france

  • Mon Edito pour la newsletter du Crips Île-de-France

    Entre les Solidays et la Marche des Fiertés, c’est un mois de juin placé sous le signe du rassemblement associatif qui s’annonce, un mois mêlant fête et revendications, rires et promotion des droits humains, sourires et valeurs. Ces rassemblements sont bien sûr l’occasion pour les associations de porter des messages au plus grand nombre et c’est tant mieux ! Mais cette ambiance festive ne peut nous faire ignorer les difficultés actuelles du monde associatif. Aujourd’hui, le monde associatif souffre ; il souffre de la crise économique, il souffre du manque de bénévoles, il souffre du manque de reconnaissance.
    Je le dis souvent, quitte à être redondant, mais j’y crois profondément : oui les associations ont un rôle de service public ! Je crois aux associations qui ne seraient pas des simples gestionnaires, de simples exécutants de commandes publiques mais des associations qui sauraient dialoguer avec les financeurs, dialoguer pour, non pas s’opposer, mais faire progresser. Que chacun apporte son expertise, quelle que soit la taille de l’association est signe de richesse ! J’y crois parce que, président associatif, je suis sur le terrain que ce soit en Ile-de-France ou en province, depuis 20 ans. Je constate l’efficacité et l’efficience de l’action associative et optimiste de nature, je sais que le monde associatif saura se réformer et avancer, conscient qu’il est de son rôle de transformateur social.
    Au Crips, dans les buts que nous poursuivons, dans ce plaidoyer, non politique, mais en direction de l’individu, de l’Autre, il nous faut encore plus et toujours plus nous intégrer dans les réseaux et dans le champ des acteurs sociétaux ; je pense notamment aux organismes de jeunesse, aux réseaux d’éducation nationale, aux associations de parents, aux associations d’éducation populaire, des structures où le Crips peut insuffler, contribuer à insuffler toujours plus ou faire se développer une approche efficace et humaine d’éducation à la santé. Nous devons sortir de notre zone de « confort » - j’utilise ce mot sans être péjoratif - que constitue nos partenaires habituels. Il nous faut aller plus loin : si nous pensons avoir raison - et je le pense – il ne faut pas en avoir honte mais au contraire, valoriser notre approche de santé et de citoyenneté.
    C’est en cela que nous pourrons maximiser notre impact sociétal et être ainsi le plus utile possible aux franciliens et à la société en générale.
    Jean-Luc Romero-Michel

     

     

     

  • Mon discours à DID à Londres

    Chers amis,
    Décidément, plus que jamais, l’Angleterre mérite ce surnom de Perfide Albion qui remonterait à la bataille d’Azincourt. Auriez-vous manqué à un quelconque devoir chevaleresque ? Non, pas cette fois. Vous êtes seulement en train de gagner des batailles toujours si difficiles chez nous, pourtant pays des Droits de l’Homme. Sur le chemin de la liberté, si tortueux, vous avez en fait une bonne avance sur nous.
    En effet, la Grande-Bretagne qui semble, vue de l’autre côté du Channel, la gardienne de toutes les traditions, n’en finit plus de sombrer dans une tourmente réformatrice, presque anarchiste. Pardon, je plaisante…
    Car après avoir aboli la chasse à courre en 2005, vous venez de légaliser le mariage pour les couples de même sexe – sans que cela cause de troubles dans le pays comme cela fut le cas chez nous avec un déferlement homophobe – et vous vous apprêtez à légaliser le suicide assisté.
    Le militant que je suis ne peut que saluer ces performances et vous dire mon respect et mon admiration pour le travail accompli. J’en profite pour féliciter les membres de Dignity in Dying pour votre remarquable travail.
    Rappelez-vous. J’étais venu vous voir en mai 2013. Il y a un an. C’est d’ailleurs toujours au moment de mon stage linguistique londonien et j’espère que vous noterez l’amélioration de mon expression anglaise. Même si je conserve ce maudit accent français. Pardonnez-moi de maltraiter votre belle langue.
    J’étais venu vous dire notre espoir d’obtenir, après l’élection de François Hollande à la présidence de la République – souvenez-vous que nous avons coupé la tête de Louis XVI ! – conformément à son engagement de campagne, une loi de liberté autorisant une aide active à mourir. Je vous avais expliqué les moyens que nous déployions alors pour le soutenir et maintenir la pression.
    Il semble pourtant qu’il lui soit difficile de tenir son engagement de campagne.Et plus de deux ans après son élection, rien ne bouge, rien ne se concrétise. Ses électeurs se sentent trompés. Cocus.

    Pourtant, de commissions en rapports, de jurys citoyens en études, la question de la fin de vie mobilise toujours plus : les technocrates – qui rendent des avis souvent défavorables – et les Français – qui rendent toujours des avis favorables.
    En France, nous vivons dans un pays dans lequel 94% des citoyens se déclarent favorables à la légalisation de l’euthanasie. 60% des médecins se déclarent favorables à l’euthanasie. Mais le Parlement, lui, ne se saisit pas encore de la question, pétrifiés que sont certains élus à l’idée de mettre dans la rue quelques manifestants ultraconservateurs, nostalgiques d’une époque où l’église catholique romaine décidait de notre vie, de la naissance à la mort, en passant par le bûcher des sorcières et les indulgences. Je comprends mieux à présent que, grâce à Henri VIII, vous ayez abandonné le Vatican.

    did,jean-luc romero,adlmd,euthanasie

    did,jean-luc romero,adlmd,euthanasie

    did,jean-luc romero,adlmd,euthanasie

    Lire la suite

  • Intervention à l’AG de Dignity in Dying

    Le hasard fait bien les choses. Alors que j’étudie l’anglais cette semaine à Londres, se déroule l’assemblée générale de Dignity in Dying, l’association anglaise sœur de l’ADMD.
    Comme l’année dernière, j’y ai été invité à intervenir dans une table ronde sur la situation du droit de mourir dans la dignité en France. Après une journée et demie de cours, je pourrai déjà tester mes premier progrès d’anglais !

    dignity in dying,jean-luc romero,did,admd,londres,euthanasie,politique,france,grande-bretagne

     

  • Dans Presse Océan

    Presse Ocean - JLR -ADMD - Presse Ocean - 26 mai 2014.jpg