Plus vivant que jamais ! Merci à Tatiana de Rosnay !
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J’avais déjà lu « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » de la canadienne Lise Bourbeau.
Ce livre - un best seller - m’avait aidé a prendre conscience de certaines de mes failles.
Je viens donc d’achever la lecture de la puissance de l’acceptation.
Ce livre qui pose souvent les bonnes questions interroge. Certes, je ne partage pas les références divines qu’exprime parfois l’auteure, mais elle pointe le doigt sur l’une des questions essentielles de la vie : comment arriver à s’accepter ? Pas simple...
S’appuyant sur l’histoire de certains des patients qu’elle suit, Lise Bourbeau nous donne des clés pour arriver à trouver la voie de l’acceptation.
Je vous conseille sa lecture. Vraiment.
Un livre utile. Indispensable même...
« Dans le murmure des feuilles qui dansent » de Agnès Ledig, encore un nouveau livre positif qui mérite vraiment d’être lu en ces temps si anxiogènes de Covid19.
Quatre histoires, quatre destins parallèles que tout sépare.
Anaëlle, suite à un accident est handicapée et doit abandonner ses rêves professionnels. Un menuisier Thomas consacre son temps à son jeune frère Simon atteint d’une grave maladie. Hervé, enfin, un procureur qui s’ennuie de sa vie totalement réglée. Trop réglée…
S’en suivent de beaux mais aussi tristes rebondissements, à l’image de nos vies jamais lisses et jamais parsemées d’un lit de roses.
Malgré les malheurs de nos héros, l’auteur nous dresse des portraits attachants et positifs. Une histoire pleine de bienveillance.
Un roman qui nous rappelle qu’il faut profiter pleinement des petites choses de la vie. Que la vie peut être belle et l’amour une réalité. Et que, bien sûr, la vie et l’amour sont plus forts que tout !
Pendant ce confinement, comme beaucoup d’entre vous, j’ai besoin de lectures positives.
J’avais lu « Demain est un autre jour » de Lori Nelson Spielman et j’avais, comme tant de lecteurs, dévoré ce livre. C’est donc tout naturellement que j’ai eu envie de lire son dernier roman « Tout ce qui nous répare. »
Erika Blair, l’héroïne de ce livre a tout pour être heureuse quand sa vie bascule avec la mort de sa fille. La culpabilité l’envahit comme pour son autre fille Annie. Une incompréhension naît entre les deux femmes avec son cortège de malentendus. Je ne vous ferai pas le pitch de ce livre. Ce serait dommage de connaître l’histoire si vous ne l’avez pas encore lu.
Et ce serait triste de passer à côté d’une telle pépite.
Ce livre sur l’acceptation de la mort d’un être aimé aidera bien des personnes qui ont été affectés par un deuil brutal. En cette période où le COVID-19 fait tant de victimes et empêche aux survivants de rendre un dernier hommage à leur bien aimé, il est plus que jamais utile. Indispensable même.
A lire pour comprendre ce qui compte dans la vie…
"L’épreuve de la douleur. On ne peut pas passer en-dessous. Ni au-dessus. Il faut la traverser."
J'ai aimé cette citation de Nori Nelson Spielman dans son très beau livre, "Tout ce qui nous répare". A lire et d'actualité...
Il y a des livres qui vous marquent par leur évidence. Cet essai « Moi, Valentina née par GPA » de Valentina Menesson en fait partie. On a jusqu’à présent peu donné la parole à ceux et à celles qui sont les plus concernés : les enfants nés de GPA.
Dans ce livre paru chez mon fidèle éditeur Yves Michalon, on est saisi par la simplicité, la clarté et l’évidence des propos de Valentina.
Cette jeune femme, âgée à peine de 18 ans, nous explique avec des mots simples mais clairs ce que fut sa vie et celle de sa jumelle. Rien ne les distingue des autres adolescentes si ce n’est que la France ne veut pas les reconnaître comme ses enfants. Comme des enfants français à part entière. Et malgré son intelligence, elle n’arrive pas à comprendre comment un État qui se doit de défendre les droits des enfants, préfère plutôt les considérer comme les fantômes de la République.
Dans ce récit, on comprend que Valentina, ou sa sœur Fiorella, à qui la vérité a été dite dès qu’elles ont été en âge de comprendre, sont des jeunes filles comme les autres. Totalement comme les autres.
Que ce que disent tant d’opposants à la GPA n’est qu’un ramassis de contre-vérités et même d’insultes.
Il serait donc temps que notre pays aborde la question de la GPA avec sérénité et qu’on écoute enfin les premiers concernés les enfants.
Ce livre donne bien des éléments pour un tel débat. C’en est une pierre essentielle.
A lire pour enfin comprendre !
Merci à Valérie Trierweiler pour l’envoi de son nouveau livre On se donne des nouvelles ! Déjà plongé dedans et ému par le superbe chapitre « Mon président » consacré à ... Julien Lauprêtre, l’incroyable président du Secours Populaire récemment disparu.
À lire absolument !!!
Alors qu’on entend tant d’inepsies sur l’homophobie, la Pma où la GPA, deux livres dans la collection "Que sais-je ?" de Caroline Mecary nous donnent tous les bons éléments de réponse.
L’homophobie écrit avec Daniel Borillo et Pma/Gpa, des livres vraiment indispensables pour le débat bioéthique bientôt au Parlement ! A lire, vraiment...
En ouvrant ce livre que m’a gentiment envoyé et dédicacé la journaliste Michèle Fitoussi, j’avoue que je n’avais jamais entendu parler de la journaliste américaine Janet Flanner.
Pourtant comme le rappelle l’auteure, elle fut avant-gardiste et inspira bien d’autres de ses collègues. Le fait d’être une femme l’a peut-être privée de cette notoriété qui aurait dû être la sienne. Mais avec ce livre Michèle Fitoussi lui rend justice. Et, avec talent.
La biographie de cette journaliste féministe, qui a traversé un siècle d’histoire et a sûrement été celle qui a fait du célèbre journal américain le New Yorker ce qu’il est aujourd’hui, est saisissante.
Cette femme qui consacra sa vie à l’écriture et au reportage fut aussi une amoureuse passionnée mais incapable de choisir entre les trois femmes de sa vie.
Je vous conseille vivement ce livre passionnant, inspirant et éclairant !
J’ai lu d’une seul traite le livre de Serge Marquis « Le jour où je me suis aimé pour de vrai ». Les vacances se prêtent à ce style de roman bien écrit mais qui a aussi du sens. Qui fait réfléchir…
L’auteur raconte l’histoire d’une mère autocentrée déstabilisée par un fils sensible et très mature qui va la confronter à son propre narcissisme et au manque de sens de sa vie.Grâce au roman, le docteur Serge Marquis, qui avait aussi commis « On est foutu, on pense trop ! », nous interroge sur nos propres existences.
Ne nous regardons nous pas le nombril plutôt que de vivre le temps présent ? Ne courrons-nous pas toujours vers plus d’argent, d’honneurs et de biens matériels ?
Ce roman bien écrit nous oblige à réfléchir à ces questions sans jamais nous ennuyer.
Un livre pour réfléchir sur notre égo !