Option B de Sheryl Sandberg et Adam Grant, pour retrouver l’aptitude au bonheur !
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J’ai récemment fait deux posts sur les livres de l’enseignant spirituel et auteur à succès Eckhart Tolle, notamment sur son best seller « Le pouvoir du moment présent. »
Dans la même veine, je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans son opuscule « L’art du calme intérieur. »
Ce n’est certes pas un livre à proprement parler, mais une suite de réflexions et de conseils de sagesse. De véritables « soutras » que l’Inde millénaire ne renierait pas !
Cet opus a vraiment sa place sur votre table de nuit. Vous pouvez l’ouvrir, lire quelques conseils ou citations au hasard - la chronologie n’est pas essentielle - puis n’y revenir que quelques jours plus tard.
J’ai bien sûr été très sensible au chapitre « la mort et l’éternel » et je termine par une citation de l’auteur à ce sujet : « Une culture qui nie la mort finit par devenir superficielle, préoccupée uniquement par la force extérieure des choses. Lorsque l’on nie la mort, la vie perd sa profondeur. »
Parcourez ce livre qui vous amène un peu de sagesse dans ce monde bien trop souvent si violent !
Mon éditeur Yves Michalon m’avait adressé ce livre paru dans son autre maison d’édition « Fauves. »
Le livre s’est malencontreusement retrouvé sous la pile des livres en attente et j’avais fini par l’oublier. Pardon Yves, désolé cher Robert Branche...
Heureusement, en triant mes piles de livres, je suis tombé sur ce roman autobiographique « Coming in » de Robert Branche.
Ce livre, souvent surprenant et parfois cru, raconte le long - très long - cheminement d’un homme qui niera une grande partie de sa vie son homosexualité. Comment faire face à « cet Allien qui le dévore de l’intérieur ? »
Arriver à s’assumer passera par une première étape, un voyage, seul, en Inde pour mener son introspection.
Entre vie de famille avec sa femme et ses enfants et les escapades dans des lieux anonymes de consommation sexuelle gay, sa vie devient de plus en plus insupportable jusqu’au jour où une belle histoire d’amour avec un jeune homme va tout chambouler ! Vraiment tout.
Ce roman est merveilleusement bien écrit. La plume est vive et les références littéraires fréquentes et toujours bienvenues.
Robert Branche décrit courageusement et sans aucun tabou sa quête désespérée de sexe afin de ne pas se poser la seule question qui vaille : celle de sa véritable identité sexuelle.
Ce roman autobiographique est fort et émouvant !
Ne faites pas comme moi, n’attendez pas trop longtemps pour le découvrir...
Celles et ceux qui lisent mes posts sur mes sites ou les réseaux sociaux se rappelleront que j’ai évoqué récemment le livre « Mettre en pratique le pouvoir du moment présent » du même auteur. En fait, j’ai commencé par la suite avant de lire le livre fondateur de la pensée positive de Todde. Pas très judicieux...
En tous cas, je ne regrette vraiment pas d’avoir lu cet opus qui m’a permis de mieux comprendre comment vivre « autrement » sans s’enfermer dans le passé ou rêver d’un futur forcément hypothétique. Forcément !
Je lis depuis peu des ouvrages de ce type, mais je dois reconnaître que sans tout approuver, un tel livre vous oblige à réfléchir à votre façon de vivre, d’appréhender la vie et de ... penser.
Il est impossible de synthétiser en quelques lignes l’enseignement de ce livre mais sachez qu’il vous apprendra sûrement à comprendre pourquoi vivre dans le moment présent est le seul moyen de se sentir bien et de s’accomplir.
Je ne peux donc que vous inciter à le lire au moins pour changer ... votre regard sur la vie !
Ce vendredi 10 novembre, j'étais ému de finir le service de presse du magnifique livre de Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) présentant 15 « Portraits de VI(H)ES » de personnes séropositives aux éditions Le Cherche Midi et qui sortira pour le 1er décembre pour la journée mondiale contre le sida.
Je veux affectueusement remercier les 15 personnes qui ont accepté de témoigner pour leur détermination et leur courage. Parler de son virus reste encore si difficile en 2017 ! Et pourtant, nous pourrions être vos fils, vos filles, vos pères, vos mères, vos amants, vos amis...
Nous sommes et devons être fiers de ce que nous sommes. C'est ce que je rappelais aussi dans mon livre "SurVivant - mes 30 ans avec le sida"
Une chose est sûre : Luttons ensemble contre le sida et pas contre les
"Portraits de VI(H)ES", bientôt dans les bonnes librairies !
Ce livre a longtemps traîné dans la pile de ceux que j’avais prévu de lire. En cet automne, il est revenu sur la haut de la pile. Et, je ne le regrette. Et, ici, d’ailleurs, je ne parle que des livres que j’ai aimé...
Ce n’est bien sûr pas un roman. Mais cet opus se lit facilement. Vite même pour ces 250 pages. Quand même...
Le docteur Saldmann sait intéresser ses lecteurs. Vraiment.
En fait, il nous rappelle souvent plein de conseils de bon sens. Se laver les mains par exemple. Évident, mais précaution oubliée par tant d’entre nous. Parfois, même plus enseignée par certains parents à leurs enfants...
Tous les thèmes concernant notre santé y sont évoqués même les plus intimes, comme la sexualité. Aucun thème n’échappe donc à notre médecin médiatique qui se montre d’ailleurs parfois bien moins orthodoxe que ses collègues notamment dans le chapitre étonnant « magnétisme, clairvoyance, guérisons mystérieuses » ou encore sur l’avenir de la cryoconservation ou des cellules souches.
Incontestablement, ce livre est utile pour qui s’intéresse vraiment à sa santé et veut en être un acteur. A lire et à garder à porter de mains...
Les Editions French Pulp ont gentiment envoyé des exemplaires de « Souffles coupés » de Nataly Breda à l’Admd à laquelle 50 centimes par livre seront reversés.
Face à cette délicate et militante attention, j’ai bien sûr immédiatement fait la promo de ce livre dans #LeTalkDuLundi que j’anime sur Périscope. Sans avoir lu le livre...
J’ai ramené un exemplaire chez moi et l’ai laissé traîné dans la pile de ceux que j’ai à lire.
Quelle merveilleuse idée j’ai eu un soir de le sortir de cette pile car j’ai presque lu d’un trait ce merveilleux roman.
Nataly Breda a l’art de vous entraîner dans sa si bouleversante histoire. Elle ne vous lâche pas. Son roman est une drogue. Une drogue dure. On ne peut sans sortir tant qu’on n’est pas arrivé à son épilogue.
Ce livre est celui d’une passion, celle qu’on ne vit qu’une fois dans une vie. La situation des amoureux, atteints chacun de pathologies graves, donne un piment très particulier à ce roman.
Il ne serait pas juste que je vous raconte l’histoire. Je suis juste là pour vous donner l’envie de dévorer ce roman vraiment exceptionnel.
Les militants du droit de mourir dans la dignité y trouveront des merveilleux passages qui confortent la légitimité de notre combat.
Peut-être certains ou certaines seront gênés par les scènes de ce roman. Ils ne devraient pas car notre combat, c’est celui de la vie et le sexe y a une part importante. Ne soyons ni pudibonds ni hypocrites!
Ce livre fort je vous le conseille sans réserve. Un livre pour ne pas oublier qu’il vaut mieux se perdre dans l’amour que d’en manquer !
Belle lecture ...
Effectivement, j’ai eu tort de lire d’abord « Mettre en pratique le pouvoir du moment présent » avant « le pouvoir du moment présent » du désormais célèbre Eckhart Tolle.
Et, je vais réparer cela en commençant, dès ce soir, ce premier ouvrage et best seller du célèbre auteur et enseignant spirituel.
Ne pas être familiarisé à la base de l’enseignement de cet auteur m’a certes handicapé dans cette lecture que j’ai, à certains moments, trouvée difficile et complexe. Mais ces exercices pratiques et ces conseils de méditation m’ont aidé à mieux me connaître et à déjouer certaines de mes réactions négatives récurrentes.
Ce livre qui veut donner le droit de choisir, le droit de pardonner mérite qu’on s’y arrête même si je suis sur ces questions un véritable profane.
Incontestablement, le contenu de ce livre m’a intrigué et donné envie d’aller plus loin pour comprendre les méditations essentielles qui peuvent aider, selon l’auteur, « à ne plus tomber dans les schémas automatiques de la souffrance, des peurs et des jugements. » Un livre que je vous conseille et qui peut-être vous aidera à être plus sage ?
Si septembre - les 25 et 27 - sont des dates importantes dans mon propre combat pour la vie, ce mois est aussi celui où débute le bouleversant journal d’hospitalisation d’Hervé Guibert qu’il a intitulé Cytomegalovirus.
Pour les plus jeunes qui n’ont pas connu cet auteur réaliste et prolixe, je leur conseille de lire immédiatement sa fiche Wikipedia ! D’autant qu’il avait aussi bien d’autres talents que l’écriture.
Guibert est né en 1955 et meurt du sida en 1991 après avoir tenté de se suicider tant il ne supportait plus cette longue et terrible agonie que lui imposait ce virus affamé de vies.
Imaginez : en 1991, les séropositifs mourraient dans d’atroces souffrances - les traitements efficaces ne sont arrivés qu’en 1996.
Dans plusieurs livres, l’auteur a longuement évoqué son combat contre le virus. Sans fausse pudeur et parfois très crûment. Son œuvre a donc marqué les années sida et a incontestablement aidé à la prise de conscience du grand public.
Ce journal d’hospitalisation se lit d’une traite. Il reste d’une actualité incontestable. Il est écrit sans fioritures sur les 3 semaines d’hospitalisations de Guibert qui, à cause du cytomegalovirus, perd peu à peu la vue. On y retrouve les manques de moyens humains des hôpitaux, le rapport forcément inégalitaire du malade allongé et du médecin debout et bien sûr notre relation souvent ambiguë face à la mort.
Je vous conseille ce livre qui permet aussi de se remémorer ou connaître, en se mettant ici dans la peau d’un malade, l’horrible époque des années noires du sida.