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  • Paris appelle à la libération de Coline Fay !

    Coline Fay, française de 26 ans est incarcérée depuis le 17 novembre au Sénégal pour complot contre l’Etat après avoir « simplement » manifesté pacifiquement son soutien à @SonkoOfficiel, principal opposant à Macky Sall. Elle est emprisonnée avec 35 autres détenues politiques.
    Paris appelle à la libération de Coline Fay et témoigne sa solidarité à ses proches.

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  • Quel effroi devant les images de cette épouvantable scène de haine homophobe au Sénégal.

    Quel effroi devant les images de cette épouvantable scène au Sénégal.
    La dépouille d’un homme exhumée et brûlée, parce qu’homosexuel, par une foule en liesse à Kaolack samedi soir. Comment cette barbarie peut être réelle en 2023?
    Je vais saisir l’Ambassadeur du Sénégal en France pour lui faire part de ma stupeur ainsi que l’Ambassadeur Berthon. La France, qui se bat pour la dépénalisation universelle de l’homosexualité, doit réagir.
    Mes plus profondes pensées vont à la famille du défunt.

     

  • Échange très intéressant avec Art express !

    Échange très intéressant avec Art express au sujet des répressions violentes lors des manifestations qui ont lieu depuis le début du mois au Sénégal.
    Des dizaines de morts dont des enfants. C’est inacceptable.
    Les autorités doivent cesser ces violences et permettre l’expression démocratique.

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  • Pensées pour les courageux LGBTQI sénégalais  !

    Sidéré des 7860 commentaires reçus ici sur Facebook après mon post sur les propos choquants du chanteur sénégalais Youssou Ndour sur l’homosexualité !
    Sans compter les centaines de mails de menaces de morts reçus.
    Tant de haine.
    Pensées pour les courageux LGBTQI sénégalais  !

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  • Au Sénégal, ils veulent faire de l’homosexualité un crime !

    Les personnes LGBTQI étaient déjà passibles d’amende et de prison au Sénégal.
    Ça ne suffit pas aux religieux et aux politiciens : ils veulent faire de l’homosexualité un crime !
    Et qu’en dit l’Europe ???
     

  • L’ecrivain sénégalais Mohamed MBougar Sarr recoit le prix Goncourt.

    L’ecrivain sénégalais Mohamed MBougar Sarr recoit le prix Goncourt.
    Une récompense tant méritée !
    Plume d’exception, c’est aussi un écrivain courageux qui, dans son 2ème livre « De Purs Hommes », y décrit l’homophobie au Sénégal où la situation des personnes LGBTQI y est dramatique.

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  • Sénégal : Les homosexuels sont considérés comme des animaux ...

    Lors de la manifestation contre l’homosexualité à Dakar, Djamil Bangoura, Pt de Prudence a confié à france info :
    « Les homosexuels sont considérés comme des animaux qui n’ont pas le droit de vivre au Sénégal. »
    Et ce pays est considéré sûr pour les LGBTQI par la France !!!

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  • Hello maman, ce matin, j’ai décidé d’être gay !

    Hello maman, ce matin, j’ai décidé d’être gay !
    Au Sénégal, se déroulera une marche pour dire Non à l’homosexualité ? Comme si l’homosexualité, la bisexualité ou l’hétérosexualité étaient un choix !
    Battons-nous pour une dépénalisation universelle de l’homosexualité ! 

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  • Signez la pétition pour la grâce des 7 Sénégalais condamnés pour être ...gays !

    Après la nouvelle condamnation de 7 hommes au Sénégal pour homosexualité, en accord avec des activistes sénégalais, j'ai lancé récemment une pétition pour demander au président sénégalais de les gracier.
    Le Sénégal, pays avec lequel la France a des liens très forts, ne peut plus condamner des êtres humains sur la base de ce qu'ils sont alors qu'ils n'ont commis aucun acte préjudiciable à qui que ce soit.
    Il faut que le président du Sénégal entende cette demande puis entame, comme Barack Obama, l'a demandé à plusieurs reprises dans ses voyages officiels en Afrique, la dépénalisation de l'homosexualité dans son pays où elle peut être condamnée de 5 ans de prison.
    D'ailleurs si les 6 gays condamnés ne l'ont été qu'à six mois (sic), il leur a cependant été précisé qu'en cas de récidive, la peine serait de 5 ans d'emprisonnement...
    Aussi, je compte sur vous pour signer et faire signer cette pétition (ici).

  • Chasse aux homosexuels au Sénégal : assez ! (Tribune parue sur le Huffington Post)

    Chasse aux homosexuels au Sénégal : assez !

    Par Jean-Luc Romero-Michel

     

    De la prison. Une peine de 6 mois. Voilà ce à quoi, aujourd’hui, ont été condamnés 7 sénégalais. De quoi étaient-ils accusés pour être condamnés à cette lourde peine ? D’actes contre-nature. Concrètement ? D’être homosexuels ! Il y a un mois, ces 7 personnes étaient arrêtées, sur dénonciation, dans un appartement privé et donc un mois plus tard … 6 mois de prison pour homosexualité !

    J’étais moi-même en mission au Sénégal au moment de l’arrestation de ces personnes. J’y rencontrais, comme à chaque fois, les activistes des droits LGBT qui œuvrent de manière extrêmement courageuse pour rendre la société sénégalaise plus tolérante et respectueuse des différences. Je le constate d’ailleurs, et avec beaucoup de peine, à chacun de mes déplacements au Sénégal : la situation n’avance pas sur cette question des droits humains malgré sa totale légitimité.

    Rappelons ici la situation juridique: au terme du Code pénal sénégalais, de l’article 319 plus précisément, les actes homosexuels sont passibles de 5 années d’emprisonnement. Alors bien sûr, les autorités sénégalaises ont déjà affirmé que l’homosexualité n’est pas criminalisée en tant que telle se basant sur une lecture littérale du texte de l’article de loi qui dispose que: « quiconque aura commis un acte impudique contre nature avec un individu de même sexe sera puni d'un emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amende de 100 000 à1 500 000 francs. Si l'acte a été commis avec un mineur de moins de 21 ans, le maximum de la peine sera toujours prononcé ». Si le Code pénal ne définit pas explicitement ce qu’est un « acte impudique contre nature », il est clairement utilisé contre des personnes en raison de leur orientation sexuelle. C’est une évidence objectivement constatable et constatée !

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    Par le passé déjà, le Sénégal a utilisé cet article, je pense notamment à l’arrestation, en janvier 2009, de 9 hommes qui ont été condamnés à 8 années d’emprisonnement pour « conduite indécente et actes contre nature et association de malfaiteurs ». Ils étaient homosexuels et faisaient de la prévention au VIH … Une mobilisation internationale extrêmement forte s’était alors déclenchée pour dénoncer cette condamnation et en avril 2009, la Cour d’Appel de Dakar l’a annulée. Cela n’a pas empêché les médias de relayer des messages dramatiquement homophobes en appelant à agresser les homosexuels … Ce traitement médiatique, c’est aussi celui qu’ont dû subir ces 7 personnes : je le répète, j’étais sur place, et j’ai lu les « une » des journaux, j’ai lu la haine. C’était terrible…

     

    Le Sénégal doit faire évoluer sa législation. C’est ma conviction profonde. Il ne s’agit pas là de donner des leçons de démocratie, de se poser en donneur de leçons ; il s’agit simplement que le Sénégal respecte ses obligations internationales issues du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, notamment son article 17 (« nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes illégales à son honneur et à sa réputation ») ou de la Charte africaine des droits de l’Homme et des peuples. Depuis longtemps, les acteurs associatifs comme Human Rights Watch ou Amnesty International demandent au Sénégal la mise en place d’une politique respectueuse des droits des personnes. C’est également la même demande qui est faite par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Sans succès jusqu’à maintenant.

     

    Aujourd’hui, il est temps. Il est temps pour le Sénégal de faire preuve d’un réel volontarisme dans la mise en place d’une politique respectueuse des droits humains. Il est temps de mettre en place une politique de promotion de la tolérance, une politique d’éducation à la tolérance et au respect des différences. Il est temps pour l’Etat sénégalais de faire en sorte que chacun de ses citoyens aient les mêmes droits.

     

    Quel meilleur signe cela pourrait être que le président sénégalais, M. Macky Sall, gracie ces 7 personnes ?

  • 7 personnes condamnées au Sénégal …Assez de cette chasse aux homosexuels !

    Le président d’Elus Locaux Contre le Sida, Jean-Luc Romero-Michel, se dit consterné après la condamnation à 6 mois de prison pour 7 sénégalais, accusés, sur la base de l’article 319 du code pénal sénégalais, d’actes contre-nature : en somme d’homosexualité !
    Pour rappel, ces 7 sénégalais avaient été arrêtées, sur dénonciation, dans un appartement privé il y a un mois et depuis, la presse sénégalaise s’est déchaînée faisant preuve d’une terrible homophobie, c’est ce qu’a pu constater Jean-Luc Romero-Michel, présent à Dakar au moment des arrestations.

     

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    Le président d’ELCS rappelle que la pénalisation de l’homosexualité au Sénégal est une réalité dramatique qui conduit à des arrestations mais aussi, plus largement, à des injures et des violences homophobes au quotidien pour les personnes LGBT.
    En lien avec les activistes sénégalais, Jean-Luc Romero-Michel appelle à une mobilisation d’ampleur pour demander au président sénégalais la grâce de ces 7 personnes.
    A cet effet, il a lancé, ce jour, une pétition sur le site change.org. 

  • Faites que la France et l’Europe se mobilisent pour qu’aimer ne soit pas un crime ! (Tribuen dans The Huffington Post)

    « Quand aimer devient un crime », Cette expression que je reprends à mon compte pour cette tribune est en fait le titre du rapport d’Amnesty International de 2013 sur la criminalisation des relations sexuelles entre personnes de même sexe en Afrique sub-saharienne. C’est une phrase qui, je crois, prend tout son sens quand on se rappelle que dans près de 40 pays en Afrique, l’homosexualité est un délit. Alors bien sûr, certains auront à cœur de répondre que dans le droit français aussi, il est possible de trouver quelques vieilles dispositions oubliées, non-appliquées et qui n’ont pas été abolies…Ce serait là une réponse terriblement médiocre et éminemment inhumaine : on parle de prison, voire même de peine de mort, pour des personnes dont le seul crime est d’aimer une personne du même sexe qu’elle ! Regardez les actualités sur une période de un ou deux ans, on ne compte plus le nombre de condamnations, le nombre de lynchages, le nombre d’appel à la chasse aux homosexuels de la part d’officiels africains au pouvoir ou de représentants religieux.
    Face à cette situation absolument dramatique, doit-on attendre une réaction de l’Union Africaine : je pense que clairement la réponse est non ! Pourquoi ? Tout simplement, parce que son président est Robert Mugabe, un dictateur chez qui l’on constate une haine viscérale à l’encontre des LGBTI depuis bien des années. Un exemple de ces diatribes ? « Cela dégrade la dignité humaine. C'est contre nature, et il n'est pas du tout question de permettre à ces personnes de se comporter pire que des chiens et des porcs. Si les chiens et les porcs ne le font pas, pourquoi les êtres humains le doivent-ils ? ». J’aurais pu aussi choisir des extraits de ces interventions où il appelle au meurtre des homosexuels… Avec Mugabe, sur cette question, on a dramatiquement le choix …
    Mais si la réaction ne vient pas de cette institution, l’espoir existe bel et bien.
    D’une part parce que le focus est mis sur cette question par Barack Obama, actuellement en déplacement en Afrique et que l’on aime ou pas, on connaît la puissance diplomatique des Etats-Unis et leur capacité à impulser le changement. Au Kenya, ce samedi, il a été très clair en affirmant : « J'ai été constant à travers toute l'Afrique là-dessus. Je crois au principe selon lequel chacun doit être traité de manière égale devant la loi (...) et que l'Etat ne devrait discriminer personne sur la base de son orientation sexuelle ». Il a rajouté : « En tant qu'afro-américain aux Etats-Unis, je suis douloureusement conscient des conséquences de la discrimination ».
    D’autre part, et c’est là un élément sur lequel il faudra savoir s’appuyer, certains pays en Afrique font preuve de progressisme sur cette question des droits des LGBTI, cassant ainsi l’image qu’on pourrait avoir de l’Afrique comme continent unanimement homophobe. Prenons le cas le plus évident avec l'Afrique du Sud, pays qui a autorisé l'adoption par des couples de même sexe en 2002 et légalisé le mariage entre personnes de même sexe en 2006. Certains disent que ce pays est un peu à part, moi je pense plutôt, pour bien connaître ce pays qu’il peut faire cas d’école et que cela peut être un modèle à suivre !
    Je le disais : l’espoir est de mise mais la question que je me pose, c’est que faisons nous, nous, pour le créer et l’entretenir ? Pas grand-chose …
    Et surtout qu’allons nous faire alors que 7 sénégalais risquent la prison pour relations homosexuelles.  Oui, au Sénégal, pays où beaucoup aiment à passer leurs vacances ! On y jette en prison les homosexuels ! Je reviens de Dakar, j’y ai rencontré les rares activistes qui résistent courageusement, et 7 personnes ont donc été arrêtés pour je cite des actes contre-nature. Ils vont être jugés aujourd’hui. Cela devrait nous révolter, nous mettre en colère, cela devrait faire l’objet d’une réaction de la diplomatie française et européenne. Cela devrait et cela ne fait rien. Tout le monde s’en fiche. Ce sont les vacances, on lit les magazines people. Alors mesdames et messieurs du Quai d’Orsay, mesdames et messieurs de l’Union européenne, faites-moi mentir ! Faites que la France et l’Europe se mobilisent pour qu’aimer ne soit pas un crime !
    A lire sur The Huffington Post (ici).

  • La France, l’Europe, Amnesty International doivent soutenir les gays emprisonnés au Sénégal !

    Alors que j’étais jeudi et vendredi, à Dakar, en mission pour la région Ile-de-France pour notre coopération décentralisée VIH/sida/santé, Djamil Bangoura, président de Prudence, un des rares activistes gays à oser parler ouvertement au Sénégal - l’homosexualité y est toujours criminalisée ! - est venu me parler des 7 gays qui venaient d’être arrêtés et qui ont fait l’objet, jeudi dernier, d’un véritable lynchage médiatique.

    La lecture de la Une du quotidien Grand Place est édifiante :
    « Retour sur l’arrestation d’homosexuels à Golf
    Comment la police a démantelé le réseau
    Les 7 déviants sont des tailleurs
    Surpris nus sous la douche. »

    Quant à la couverture médiatique de cette affaire, elle sera édifiante dans les journaux télévisés du soir où la parole ne sera donnée qu’à des représentants religieux qui expliqueront les terribles dangers de l’homosexualité pour la société sénégalaise et la nécessité de punir très sévérement les « déviants » !
    Evidemment, comme toutes les affaires d’arrestation de gays qui se multiplient au Sénégal, on noie cela au milieu d’autres accusations. Ici, l’un aurait volé de l’argent à sa mère, d’autres auraient fumé du cannabis, d’autres enfin étaient nus sous la … douche !!!
    Djamil a essayé de nous obtenir une autorisation pour aller voir ces jeunes gens en prison mais n’y est pas parvenu vendredi.
    Les nouvelles dont il dispose sont cependant inquiétantes : les 7 hommes devraient être jugés mardi. On ne connait pas encore la totalité des charges. Mais, tout semble fait pour accélérer la procédure judiciaire et empêcher quiconque de réagir en cette période estivale pour bien des diplomates !
    Nous ne pouvons évidemment laisse tomber nos amis homosexuels au Sénégal.
    Alors que Barak Obama, samedi, a osé rappeler, en Afrique, la nécessité de donner des droits aux homosexuels, les diplomaties française et européenne ne peuvent être aux abonnés absents. J’en appelle donc à elle mais aussi à des ONG comme Amnesty International qui est implantée et très respectée au Sénégal.
    Nous ne pouvons fermer les yeux et laisser, une fois de plus, un pays ami avec qui nous partageons tant de combats, bafouer ainsi les droits humains. Il en va de la défense de nos valeurs mais aussi de la défense universelle des droits humains !

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  • Soutien aux militants sénégalais contre le sida

    Depuis quelques années, le Crips-Ile-de-France et la région Ile-de-France invitent des militants de la lutte contre le sida de nos zones de coopération décentralisée pour les former et leur permettre de coopérer avec les associations franciliennes. Récemment, ce furent des militants sud-africains, cette semaine, à l’occasion de la conférence francophone sur le VIH qui se déroule en France, nous avons invité un activiste sénégalais à y assister et à être formé au Crips. Arrivé jeudi, il reste une dizaine de jours en France. Je me réjouis de sa présence et que notre région et le Crips aient un rôle dans la mobilisation internationale contre le sida et dans l’aide aux militants des pays émergents.

  • Inauguration du laboratoire d’analyses et de l’appareil de charge virale du CTA de Dakar

    Ce lundi, je rejoints le vice-président Romero en déplacement à Dakar pour la l‘accord de la région Ile-de-France avec la région de Dakar.
    Pour la région, je porte depuis plusieurs années des projets pour le centre de traitement ambulatoire de Dakar qui suit un grand partie des séropositifs du Sénégal. Si je viens juste pour cette journée – ce qui n’est pas de tout repos ! -, c’est qu’il est important que j’assiste à la réalisation d’une de nos plus gros projets : un nouveau laboratoire d’analyse et l’achat d’un appareil de charge virale. Le matin avant l’inauguration de ces réalisations, je rencontrerai les associations de lutte contre le sida afin d’évoquer l’avenir de notre coopération dans ce domaine. De telles réalisations qui vont aider à sauver des vies sont une vraie satisfaction pour le modeste élu régional que je suis. On se sent un peu utile…

     

  • 24h à Dakar !

    Je m’envole ce soir pour Dakar afin de rejoindre la délégation régionale qui y est depuis quelques jours. Je ne resterai que samedi pour des rendez-vous liés à la lutte contre le sida pour laquelle la région est particulièrement investie.

  • Visite des quartiers inondés de Dakar

    La journée de la mission à Dakar de la région Ile-de-France sera surtout consacrée aux inondations. Après avoir visité les quartiers inondés, nous aurons différentes réunions notamment avec le maire de Guédiawaye. La journée s’achèvera par une réunion avec la commission coopération de la région de Dakar.

  • Visite du CTA et rencontres officielles à Dakar

    Avec le vice président Philippe Kaltenbach et mon collègue Ali Soumaré, nous poursuivons notre mission à Dakar pour le conseil régional d’Ile-de-France. Ce matin, je retourne au Centre de traitement ambulatoire de l’hôpital Fann, visite qui sera suivie d’un déjeuner offert par l’ambassadeur de France puis d’une réunion avec le comité de suivi de notre accord de coopération. L’après-midi s’achèvera par un cocktail offert par le président de la région de Dakar.

  • Mon soutien à Abdou expliqué à Yagg


    Soutien de Jean-Luc Romero à Abdou, réfugié gay sénégalais
    envoyé par yaggvideo. - L'info video en direct.

  • Manifestation de soutien à Abdou à Grenoble à 17h00

    Communiqué de Presse
    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, à Grenoble pour soutenir Abdou !


    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida et conseiller régional Ile-de-France, sera présent au rassemblement de soutien à Abdou qui se tiendra devant la préfecture de l’Isère le 05 novembre à 17h00.
    Abdou est un jeune homosexuel menacé d’expulsion au Sénégal, pays où l’homosexualité est passible de 5 ans d’emprisonnement. Revenant d’une mission au Sénégal dans le cadre d’un accord de coopération de la région Ile-de-France, Jean-Luc Romero a pu constater le climat d’extrême hostilité et de profonde haine qui croît au Sénégal envers les homosexuels. Lors de son séjour, trois militants gays lui ont été présentés et ils lui ont raconté leur quotidien : les arrestations, les insultes, les violences, les menaces de mort … Jean-Luc Romero affirme qu’accorder un titre de séjour « vie privée et familiale » à Abdou serait totalement justifié. Dans ce sens, le président d’ELCS a donc saisi le préfet de l’Isère mais également Eric Besson et Carla Bruni-Sarkozy.
    Pour Jean-Luc Romero, renvoyer Abdou au Sénégal revient à le condamner à mort.
    Lire aussi Paper Blog (ici).