Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

politique - Page 31

  • Intervention sur la fin de vie au colloque de la MGEN

    Ce mercredi après-midi, j’interviendrai au colloque de la MGEN sur la question de la fin de vie.
    Je participerai à une table ronde intitulée « Fins de vie : volonté, dignité, liberté, quelles réponses ? » animé par la journaliste Corinne Bensimon.

    mgen,jean-luc romero,euthanasie,politique

     

  • Article dans l'Est Eclair sur mon déplacement à Troyes

    L'EstEclair2mars2013.jpg

  • « Invité du Jour » de France Musique mercredi à 8h10

    france musique,jean-luc romero,homopoliticus,politique,franceDemain, mercredi 6 mars, je serai « l’invité du Jour » de France Musiquede 8h10 à 8h40.
    Alors que le DVD d’Homopoliticus est désormais dans toutes les bonnes boutiques depuis hier, je reviendrai notamment sur ce documentaire et mon livre du même nom.
    Bien sûr, j’interviendrai sur l’actualité du jour.

    france musique,jean-luc romero,homopoliticus,politique,france

     

  • Réunion publique de l’ADMD à la mairie du XIXème à 18h00

    A l’initiative de Sophie Grassano, la nouvelle déléguée de l’ADMD dans le 19ème arrondissement de Paris, j’animerai une réunion publique ce mardi 5 mars 2013 à 18h00 dans la salle des mariages de la mairie du 19ème.
    Pour mémoire, j’ai entamé depuis janvier un nouveau tour de France pour mobiliser pour que nous obtenions enfin une loi d’Ultime Liberté. Le gouvernement doit déposer un projet de loi en juin.

     

  • Bureau du Crips Ile-de-France

    Ce lundi, se déroule le bureau du CRIPS Ile-de-France. A ce bureau, nous travaillerons sur le projet associatif, le thème prioritaire choisi pour 2013 mais aussi sur le séminaire d’équipe.

  • Pour la majorité à 16 ans !

    Il y a plus de 10 ans dans ma « Lettre à une droite maladroite », je développais la proposition que je porte depuis très longtemps d’abaisser la majorité à 16 ans.
    Cette proposition que défendent aussi d’autres élus - notamment Noël Mamère – a, ces dernières années, totalement disparue de l’agenda politique.
    Pourtant, il y a une vraie hypocrisie autour de cette question.
    Beaucoup d’élus nous expliquent qu’un jeune est incapable d’être un citoyen à 16 ans. Au passage, on nous disait la même chose quand la majorité est passée en 1974 de 21 à 18 ans !
    Les mêmes élus qui sont totalement opposés à une telle mesure, notamment les élus UMP, sont ceux qui n’ont cessé de se battre depuis des années pour que la majorité pénale soit abaissée. Ils ont d’ailleurs en grande partie réussi…
    Dès 13 ans, un jeune délinquant peut non seulement subir des sanctions éducatives pour ses infractions mais aussi des peines de prison. Dès 16 ans, les peines de prison sont les mêmes que pour les adultes.
    Comment peut-on alors sérieusement dire qu’un jeune ne peut avoir sa majorité à 16 ans et dans le même temps estimer que s’il se met hors la loi, il est pleinement responsable de ses actes ?
    Avoir imposé toute la rigueur de la loi pénale dès 16 ans impose, par parallélisme, qu’on octroie aussi la majorité civile à 16 ans.
    C’est une mesure de bon sens qui nous fait sortir du « deux poids deux mesures » dans lequel nous ont enfermés bien des conservateurs.
    Alors osons faire des jeunes de 16 ans des citoyens à part entière !

     

  • Réunion publique de l’ADMD à Troyes à 18h00

    Avec Michèle Skowron, déléguée de L’ADMD pour l’Yonne et Philippe Lohéac, nous animerons une réunion publique à Troyes ce vendredi 1er mars à 18h00. Cette réunion ouverte à toutes et tous se déroulera à la maison des associations, 63 avenue Pasteur.
    Nous vous attendons nombreux !

     

  • Mon edito à la lettre de l'ADMD 124

    Un rapport pour presque rien…

    Ainsi donc, le 18 décembre dernier, le Pr. Sicard a remis au président de la République son rapport sur la fin de vie. Certains, mal intentionnés à l’égard de notre association, ont trouvé notre réaction trop peu nuancée, considérant qu’il y avait beaucoup d’avancées à saluer et que nous devrions nous contenter de ce qui nous est proposé – un suicide assisté hyper médicalisé et hyper contrôlé – à un horizon si lointain que la majorité d’entre nous ne le verra jamais ; le Pr. Sicard restant opposé à toute légalisation d’une aide active à mourir.

    Eh bien non ! Notre liberté, ne se négocie pas.

    Nous ne quémandons pas le droit de disposer de notre corps et d’abréger une agonie, lorsque la vie n’est plus que de la survie. Nous le revendiquons. Nous obtiendrons notre ultime liberté, sans transiger sur nos valeurs. Contrairement aux préconisations du Pr. Sicard, le président de la République a annoncé un texte en juin prochain. L’ADMD sera au rendez-vous.

     

    Hôtel de Ville de Paris

    Le 26 janvier dernier, les adhérents de l’ADMD étaient conviés à une grande réunion publique dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris. La très forte mobilisation, due à la qualité des intervenants et à la motivation de nos militants, ne nous a pas permis, malgré l’ouverture d’un deuxième salon, d’accueillir tous nos amis. D’un côté, j’ai conscience du désagrément éprouvé devant une porte close ; d’un autre côté, je suis heureux du grand succès de cette réunion. Je présente des excuses à celles et ceux qui, faute de places, n’ont pu participer à cette manifestation, très fortement relayée sur les réseaux sociaux et dont le film intégral a été envoyé à tous nos adhérents pourvus d’une adresse électronique.

     

    Hommage aux délégués de notre association

    Les 33èmes Journées des délégués de l’ADMD se sont tenues à Paris, les 25 et 26 janvier dernier. Comme vous – comme moi – ils sont des adhérents de notre association. Des bénévoles qui donnent, sans contrepartie, leur temps, leur savoir pour porter nos revendications au plus près des élus. Je remarque parfois, à leur encontre, des mouvements d’humeur bien injustes. Moi qui suis engagé dans plusieurs associations, je sais l’énergie qu’il faut pour travailler bénévolement et la violence ressentie des critiques adressées souvent par ceux qui en font le moins. À ceux qui considèrent que les choses ne vont pas assez vite, je dis « militez ! ». A ceux qui trouvent que leurs représentants ne sont pas assez actifs, je dis « retroussez vos manches et aidez-les ! ».

    Comme président de l’ADMD, j’ai confiance dans nos délégués et je respecte leur travail. Mon devoir, lorsqu’ils représentent le conseil d’administration et mettent en oeuvre ses décisions, est de les soutenir.

    Pour chacun d’entre vous, je souhaite que bientôt la France se dote d’une loi humaine et respectueuse des volontés de chacun, pour qu’au moment où la vie ne ressemble plus qu’à de la survie, qu’à un long cauchemar, une assistance à mourir puisse être enfin proposée.

     

    Jean-Luc Romero,

    président

    @JeanLucRomero

    ADMD124.jpg

     

  • NKM et les associations : un discours de méfiance illégitime et injuste

    “ Je fais une proposition qui sera de rendre publique, très facilement accessible, l'ensemble des subventions qui sont données.” Roulement de tambours, les attachés de presse se concentrent prêts à répondre à la déferlante d’appels des médias, Twitter et Facebook vont s’enflammer, les élus de droite préparent leurs bons mots et ... rien. Rien du tout. Rien non pas parce que la proposition est mauvaise – rendons justice à NKM, elle est plutôt bonne. Rien parce que c’est déjà le cas... Soyons francs: cette mesure daterait seulement de quelques jours, cette méconnaissance serait sûrement excusable, après tout l’erreur est humaine, surtout pour une élue qui découvre les dossiers parisiens, mais cela fait ... roulement de tambours (bis) ... 12 ans que c’est le cas ! 12 ans !
    Soyons sérieux : être au service des Parisiens, c’est déjà connaître son sujet et être force de proposition. Cela prend du temps, cela se réfléchit, cela se pense. Je vous le dis : l’improvisation est une forme d’injure, tout au moins une forme de brutalité envers les Parisiens. Assez d’approximation, de contre-vérités et d’effet de manche sans queue ni tête. Je fais partie de ces gens, et je crois que nous sommes tous un peu comme ça, qui pensent que le débat est une nécessité absolue dans une démocratie et que, dans la plupart des cas, cela nous permet d’avancer. Qui dit débat dit argument … Alors à quand le débat avec NKM ? L’improvisation est-elle une nouvelle méthode de travail de la droite au service des Parisiens ? Je suis désolé, je suis peut-être un peu dur avec NKM mais je me sens blessé. Je suis un élu mais d’abord un militant associatif, président bénévole de trois associations. Je donne de mon temps pour les causes auxquelles je crois et cela, au détriment de ma vie privée. C’est mon choix, je l’assume totalement mais j’avoue que j’ai du mal à accepter ce discours de méfiance envers les associations. Car c’est bien de cela dont il s’agit. Si l’on regarde ce que cache cette proposition « révolutionnaire », on voit bien en filigrane se développer un discours très dur envers les associations, un discours anachronique, illégitime et injuste. Suspicieux.
    Depuis l’arrivée de Bertrand Delanoë et d’Anne Hidalgo, les choses sont formalisées et transparentes. On ne fonctionne pas « à la malette » !
    Illégitime car mettre en cause les associations, c’est mettre en cause les structures qui agissent au plus près des Parisiens, qui sont en somme les garants de leur qualité de vie, de notre qualité de vie ! Les associations ne sont pas qu’une unité économique. Je suis désolé mais que doit-on dire par exemple à une association comme les Petits Bonheurs qui œuvre au plus près des malades séropositifs, des plus précarisés, auprès de celles et ceux qu’on oublie ? On doit leur dire merci, courage, continuez, on vous soutient ou doit-on leur dire qu’ils sont seulement une case dans un formulaire comptable ?
    Injuste pour les personnes qui donnent de leur temps personnel, au service des autres que ce soit dans le monde sportif, culturel, social, caritatif ou autres. Je fais partie de ces personnes bénévoles. Je crois dans les associations. Je crois qu’elles sont une richesse. Je crois que donner de soi, de son temps est une belle chose. Je crois que Paris doit être fier de soutenir les associations et de les accompagner comme elle le fait.
    Créer le lien social, c’est aussi notre rôle d’élu. Alors, bien sûr, la droite parisienne aura à cœur de prouver qu’il y a un malentendu sur ses propos, qu’on ne sait pas lire, qu’on a mal entendu, etc…
    Soyons francs, le discours de NKM est inquiétant et il n’annonce rien de bon pour le monde associatif à Paris … Il lui appartient aujourd’hui de le rassurer car on ne peut construire une ville où il fait bon vivre ensemble sans la mobilisation du tissu bénévole et associatif.

     

  • Hommage à Henri Caillavet

    Henri Caillavet, qui fut le président de l’ADMD de 1986 à 1991 puis de 1996 à 2001, est décédé ce matin.
    Nous savons tous ce que notre association lui doit.
    Il a porté très haut nos revendications, dans les médias et au Parlement, durant trois décennies.
    Nous lui consacrerons un hommage.
    Le conseil d’administration de l’ADMD à une pensée émue pour sa famille.

  • Communiqué du 26 février 2013 de l'ADMD sur le drame de Béziers

    Communiqué du 26 février 2013

     

     

    Le mal mourir en France n’en finit pas de provoquer des drames

     

    A Béziers, un homme en fin de vie se suicide en pleine rue

     

     

     

     

     

    Alors qu’une grande partie de la classe politique n’en finit pas de tergiverser pour mettre en œuvre une vraie loi qui permette aux patients en fin de vie de bénéficier d’une aide active à mourir, un vieil homme, apparemment atteint d’une pathologie grave et incurable selon les premières informations, se suicide à Béziers pour protester contre la surdité des autorités sanitaires à sa demande de bénéficier d’une « bonne mort ».

     

    Ce drame montre encore une fois combien il est nécessaire, pour ceux qui le souhaitent, de disposer d’une aide médicalisée à mourir lorsque les conditions de la fin de vie sont réunies. Une telle aide serait préventive des suicides prématurés et violents, principalement des personnes âgées et des grands malades dont le taux de suicide est l’un des plus élevés des pays de l’OCDE.

     

    Combien de drames faudra-t-il encore pour que les lobbys religieux et médicaux, qui bloquent toute évolution législative, comprennent qu’il existe une place, comme aux Pays-Bas, en Belgique et au Luxembourg, pour une loi qui permettra à chacun de maîtriser les conditions de sa propre fin de vie ?

     

    Ce nouveau drame ne peut que conforter le Gouvernement qui a annoncé un projet de loi en juin 2013. Ce texte devra aller aussi loin que ce que demandent 94% des Français (Ifop, août 2011) et 60% des médecins (Ipsos, janvier 2013), c'est-à-dire la légalisation de l’euthanasie.

     

    L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité avec ses 50 000 adhérents soutiendra toute évolution législative allant dans ce sens.

  • Mon itw dans La Semaine du Boulonnais

    sdb romero 20 fev 2013.JPG

  • 60% des médecins favorables à l’euthanasie « active » !

    Si les medias ont beaucoup parlé d’une pseudo avancée du Conseil de l’ordre des médecins sur l’euthanasie, ils ont oublié l’information la plus importante : 60% des médecins se disent favorables à l’euthanasie.
    C’est un sondage réalisé par l’Ipsos auprès de 605 médecins représentatifs qui a bien dérangé nos grands mandarins opposés à l’euthanasie et qui sont les seuls à être réellement entendus dans les medias.
    Depuis longtemps, l’un des principaux arguments des opposants à la légalisation de l’euthanasie était de d’affirmer que l’immense majorité des médecins était totalement opposée à toute loi. Intéressant de noter que c’était aussi l’argument massue qui était utilisé dans les années 70 pour empêcher la légalisation de l’avortement en France.
    Nos médecins de famille sont confrontés à la fin de vie et savent que bien des malades en phase terminale n’en peuvent plus de leurs souffrances et souhaitent les abréger.
    L’argument de l’opposition du corps médical va donc être de plus en plus difficile à mettre en avant d’autant qu’aussi cette question est d’abord une affaire citoyenne avant d’être une question médicale !

     

  • L’égalité des droits arrive aussi en Allemagne !

    Revers pour le gouvernement conservateur outre Rhin : la Cour Constitutionnelle de Karlsruhe a autorisé les homosexuels allemands à adopter les enfants déjà adoptés par leur partenaire.
    En effet, les juges ont jugé inconstitutionnelle la loi interdisant les gays à adopter l’enfant de leur partenaire alors que cela est possible pour les conjoints des couples hétérosexuels.
    Peu à peu, l’égalité des droits devient une réalité dans l’Europe. Huit pays européens ont déjà adopté l’ouverture aux conjoints de même sexe, la Grande-Bretagne sera le 9ème et la France le 10ème
    Tout ce qui va dans le sens de l’égalité est bon pour la société car reconnaître les familles homoparentales, c’est aussi défendre d’abord les droits des enfants de ces familles.

     

  • Ma dédicace d'Homopoliticus à Boulogne sur OpalTV (à partir d'1mn10)


    JT 18/02/13 par opaltv

  • Petit-déjeuner avec les députés sur l’Ultime Liberté

    La semaine dernière, je rencontrai des sénateurs pour évoquer la fin de vie et la proposition de l’ADMD pour légaliser l’euthanasie et le suicide assisté.
    Aujourd’hui, je recevrai pour un petit-déjeuner des députés qui ont indiqué durant leur campagne qu’ils voteraient une loi d’Ultime Liberté.
    En juin, le gouvernement doit déposer un texte sur la fin de vie et c’est donc le moment de rappeler l’attente de 9 Français sur 10 d’avoir enfin une loi qui place le patient au centre de la décision de fin de vie.

     

  • Podcast de mon itw avec Bruce Toussaint sur Europe 1


    Romero : "La première personne concernée est le... par Europe1fr

  • Réunion des associations LGBT au Crips

    En fin de journée, j’ai invité les associations LGBT d’Ile-de-France au Crips afin de réfléchir aux actions communes que nous pourrions mener cette année.
    Le Crips a choisi, en 2013, de consacrer sa mobilisation annuelle sur la question des discriminations à l’homophobie et la transphobie.
    Cette réunion sera l’occasion de partager sur la mise en œuvre de notre campagne et les collaborations qui pourraient se mettre en place avec les autres associations.

     

  • Compte-rendu du débat sur la fin de vie à Compiègne dans Oise Hebdo

    OiseHebdofévrier2013.jpg

  • Le préfet doit réagir aux manif/prières de rue anti IVG !

    Depuis des mois, des catholiques intégristes envahissent mensuellement, le samedi, le trottoir face au centre IVG de l’hôpital Tenon.
    Armés de pancartes ignobles contre l’avortement, de crucifix, de slogans religieux, ils récitent des « Je vous salue Marie » sans interruption.
    Ces manifestations récurrentes sont tellement craintes que de nombreuses femmes hésitent désormais à venir au centre d’interruption de grossesses de peur d’être interpellées ou/et stigmatisées. Elles sont aussi dures à supporter pour les riverains comme pour les enfants du quartier. Sans oublier les commerçants qui n’en peuvent plus !
    Si leur objectif était de perturber le fonctionnement d’un centre d’IVG, leur but semble malheureusement déjà atteint !
    Le préfet doit donc réagir car cette manifestation récurrente est en totale opposition avec notre pricnpe de laïcité et surtout de continuité du service public !