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Politique internationale - Page 65

  • Soutien à Jean-Pierre Marongiu injustement interné au Qatar

    Récemment, j’ai signé mon soutien à la pétition réclamant la libération de Jean-Claude Marongiu interné au Qatar sans véritables raisons depuis le 9 septembre 2013.
    Ce Français a été piégé et escroqué par son sponsor imposé par la loi qatari. Le Qatar a un régime autoritaire où les droits humains ne sont pas vraiment respectés.
    Comme le Qatar investit dans nos pays occidentaux, on sent que les responsables politiques ont du mal à intervenir pour dénoncer les atteintes aux droits de l’homme qui sont le quotidien dans ce pays.
    J’espère, en tous cas, que la mobilisation du comité de soutien à Jean-Pierre Marongiu va pousser ce pays - ils n’aiment pas la publicité négative … - à libérer rapidement cet innocent.

     

  • Sortie officielle de « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »

    Ca y est !
    C’est officiellement aujourd’hui que mon nouveau livre d’entretien avec la journaliste Claire Bauchart « Ma mort m’appartient - 100% des Français vont mourir les politiques le savent-ils ? » sort en librairie.
    Ce livre, édité par les éditions Michalon, est à la fois une confession sur les raisons qui m’ont conduit au combat collectif pour une fin de mort digne mais aussi un coup de colère contre les responsables politiques qui continuent avec une loi sur la fin de vie faite par des médecins pour des médecins.
    J’espère que ce livre contribuera au débat qui se déroule dans le pays mais aussi au Parlement.
    Bonne lecture !

     

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  • Invité de BFM-TV à 21h00

    A l'occasion de la sortie de mon livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?" -, je serai l'invité de Nathalie Lévy sur BFM-TV à 21h00.

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  • Débat-dédicace de lancement de "Ma mort m’appartient" à l’Arbre à Lettres à 18h

    C’est dans mon cher 12ème arrondissement que je lance officiellement mon nouveau livre d’entretiens avec la journaliste Claire Bauchard « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? » aux éditions Michalon.
    A 18h30, je vous espère nombreux pour une conférence dédicace de lancement de mon livre à la célèbre librairie l’Arbre à lettres – 62, rue du faubourg Saint-Antoine (métro bastille ou Ledru-Rollin).

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  • Invité de France 3 Limousin jeudi à 12h

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  • Podcast du Grand Journal spécial Sidaction

    Vous retrouverez la vidéo du Grand Journal de jeudi où je participe au lancement du Sidaction 2015. Avec le langoureux baiser d'Antoine de Caunes ! Merci à Antoine d'aider à faire tomber les préjugés...

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  • Rencontre avec le rédacteur en chef de 360

    Pour terminer ma journée bien remplie à Genève, je rencontre le rédacteur en chef du magazine LGBT 360, Guillaume Renevey. Ce sera l’occasion de parler égalité des droits et lutte contre le sida.

  • Réunion avec le professeur Daniele Zullino

    Lors de ce déplacement à Genève consacré au sida et à la réduction des risques chez les usagers de drogue, je rencontrerai le professeur Daniele Zulino qui est en charge du programme de délivrance d’héroïne sous contrôle médical.

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  • Rencontre avec le Groupe Sida Genève

    Cet après-midi, je rencontre Déborah Glesjer, porte-parole du Groupe Sida Genève.
    Depuis quelques années, le CRIPS Ile-de-France et ELCS travaillent à l’international. Cette réunion permettra d’envisager les actions communes que nous pouvons mener ensemble.

  • Session du conseil régional d’Ile-de-France et exposition « Vision des jeunes d’Ile-de-France – Auschwitz Birkenau »

    De jeudi à vendredi se déroulera la session du conseil régional d’Ile-de-France présidée par Jean-Paul Huchon.
    A cette occasion, les élus pourront voir une exposition pleine de sens qui sera installée dans l’hémicycle.
    En effet, depuis 15 ans, la région Ile-de-France a un accord avec le Mémorial de la Shoah qui a permis à 6000 lycéens et apprentis franciliens, accompagnés d’anciens déportés, d’effectuer une visite sur le site d’Auschwitz-Birkenau.
    24 lycées et CFA franciliens – 560 jeunes – témoignent de leur visite dans cette expo qui a beaucoup de sens en cette période particulièrement troublée.
    C’est donc une belle opportunité qui est offerte aux élus de pouvoir consulter dans l’endroit où nous siégeons, les photos, les textes de cette exposition qui ensuite ira dans les lycées.

     

  • L’invité de TV5 Monde à 18h50

    Ce jeudi, je suis l’invité de TV5 Monde et de Patrick Simonin sur la question de la fin de vie.
    Ce sera pour moi l’occasion d’évoquer bien sûr Vincent Lambert et le refus de François Hollande de légaliser l’euthanasie sans oublier la mobilisation de l’ADMD pour convaincre les députés de respecter leurs engagements de campagne sur la fin de vie.

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  • Mon 3ème vœu politique pour 2015 : le début de la fin de sida !

    La lutte contre le sida est un combat individuel que j’ai transformé il y a plus de 25 ans en un combat collectif.
    Rarement, la mobilisation contre un virus aura été portée à ce point par les malades eux-mêmes et par la société civile.
    Comme le montre le très beau film « A normal Heart » de la chaîne HBO, en 1981, les responsables politiques du monde entier se moquaient de ce virus qui semblait alors ne toucher que des homosexuels… Le fameux cancer gay !
    L’hécatombe mondiale – encore 4000 morts par jour du sida en 2015 ! – et la mobilisation des malades ont obligé les gouvernements à bouger.
    L’accès à la prévention et au traitement n’est toujours pas universel mais le nombre de personnes sous traitements a heureusement considérablement augmenté.
    La France a donné un mauvais signal en décembre en amputant 25 millions d’euros de la taxe sur les billets d’avion et on sent que la mobilisation politique mondiale faiblit.
    Pourtant aujourd’hui, si on y met les moyens, on a la certude que le sida pourrait disparaître d’ici 20 ans. Imaginez toutes ces nouvelles générations sans sida ! Quel beau rêve !
    Ce rêve est possible et mon 3ème vœu pour 2015 est que la mobilisation mondiale s’opère pour qu’on puisse enfin apercevoir le début de la fin du sida…

     

  • Ma lettre au maire de Vourles sur les propos homophobes d'un de ses élus

     

    M. Serge FAGES

    Maire de Vourles

    26, rue Bertrange Imeldange

    69390 Vourles

     

     

    Paris, le 26 décembre 2014

     

    Monsieur le maire,

     

    « je confirme l'homosexualité EST une abomination tout le monde est d'accord sur cela », « ce n'est rien à côté de ceux qui se taisent et sont horrifiés de la dégénérescence homo », « personnellement je n'ai encore rien trouvé de plus pertinent autoriser la mariage homo est un hymne à la mort », « homophobe = mot bien pratique qui ne veut rien dire » …

     

    Ces quelques propos que je cite et que vous ne pourrez qualifier que d’outranciers et d’inadmissibles, sont ceux d’une personne qui siège au sein du Conseil municipal de votre ville : ces propos sont ceux de M. Marc-Yvan Teyssier tenus en décembre sur son compte twitter.

     

    Monsieur le maire, en votre qualité de maire de Vourles, il vous appartient de dénoncer et de condamner très fermement les propos de cet élu. C’est, non pas seulement une possibilité, mais une une réelle obligation en votre qualité d’élu de la République.

     

    Face à de tels propos qui ne sont que le reflet d’une homophobie très explicite et totalement assumée, nul doute qu’une réaction très forte de votre part est attendue.

     

    En espérant sincèrement pouvoir compter sur vous, je vous prie de croire, Monsieur le maire, en l’expression de mes salutations distinguées.

     

     

    Jean-Luc Romero-Michel

     Lire aussi : Ma chaine étudiante (ici).

     

  • Mon itw sur LCI sur le sida

  • Rencontre de Solidarité internationale LGBT à l’ambassade des Pays-Bas

    L’association Solidarité internationale LGBTI a invité des activistes gays et trans du Congo, d’Algérie, du Sénégal, du Canada, du Burundi, du Sénégal et de la Tunisie à Paris pour construire l’inclusion de l’orientation sexuelle et l’identité de genre à l’agenda global du respect des droits humains.
    En fin d’après-midi, une réception organisée par l’ambassade des Pays-Bas nous permettra d’échanger avec tous ces activistes qui risquent leur vie dans leur pays pour défendre les droits humains…

     

  • 1er décembre 2014 et Lutte contre le sida : les villes au cœur du combat ! (tribune parue dans The Huffington Post le 1er décembre)

    Ce matin, Anne Hidalgo, maire de Paris et Michel Sidibé, directeur de l’ONUSIDA, accompagnés d’une vingtaine de représentants de grandes villes dans le monde, ont lancé l’initiative mondiale « Villes actrices de la transformation sociale », initiative très impactante et qui est appelée à devenir un maillon essentiel de la réponse mondiale au VIH/sida.
    Concrètement, les villes signataires s’engagent à tout mettre en œuvre pour la concrétisation du nouvel objectif stratégique de l’ONUSIDA : « 90 – 90 – 90 », c’est-à-dire l’augmentation à 90% de la proportion de personnes vivant avec le VIH qui connaissent leur diagnostic, l’augmentation à 90% de la proportion de personnes vivant avec le VIH recevant un traitement antirétroviral et l’augmentation à 90% de la proportion de personnes sous traitement du VIH qui ont une charge virale indétectable.
    Moi qui en suit à mon 19e tour de France contre le sida en tant que président d’Elus Locaux Contre le Sida, avec donc des déplacements dans les villes pratiquement toutes les semaines depuis bientôt 20 ans, je ne peux qu’être très heureux et satisfait de cette initiative. Car oui, indéniablement, les villes ont une responsabilité toute particulière du fait de leurs capacités d’action et de leur proximité avec les populations. La limitation voulue quelques fois par les textes doit céder le pas devant le volontarisme politique de s’engager dans ce combat pour la vie, la dignité, l’égalité. Comme j’ai l’habitude de le dire, l’inaction tue !
    Alors bien sûr, au regard de la diversité des villes, des contextes sociétaux et épidémiologiques, il n’y a pas de recette miracle mais, tout au moins, quelques grands axes peuvent être mis en exergue sur la politique à mener.
    La politique mise en place doit débloquer des moyens suffisants pour aider les acteurs de cette lutte et permettre un réel déploiement des dispositifs de prévention et de dépistage du VIH, pierre angulaire d’une réponse efficace au VIH/sida. De manière très concrète, il peut être décidé la mise à disposition des préservatifs masculins et féminins dans tous les lieux publics de la ville ainsi que l’organisation d’opérations de dépistage rapide.
    La politique de la ville doit aussi participer de manière engagée au respect et la promotion des droits des personnes vulnérables : jeunes filles, prisonniers, LGBTI, personnes usagères de drogues ; concrètement, les villes peuvent mettre en place des campagnes de communication locales de lutte contre la stigmatisation ou organiser des séances d’information, des conférences sur la thématique.
    Les élus doivent également soutenir les personnes touchées par le VIH, que ce soit dans l’accès aux droits et au logement par exemple. Ils peuvent décider de former le personnel municipal, notamment le personnel accueillant, à la thématique du VIH et des discriminations ; les villes peuvent également prioriser l’accès aux logements sociaux pour les personnes séropositives. Beaucoup de malades sont touchés de plein fouet par la précarité et je vous le demande : comment gérer et la maladie et la précarité en même temps ?
    Enfin, pour agir efficacement dans la lutte contre le sida, le politique ne doit pas être seul. Les villes doivent œuvrer avec la société civile, être à leurs côtés, pas seulement en tant que soutien financier ou logistique
    Fort des ses 16.000 élus, Elus Locaux Contre le Sida soutient très fortement cette initiative mondiale « Villes actrices de la transformation sociale ». Comme je le dis, comme je le martèle depuis bientôt 20 ans à la tête d’Elus Locaux Contre le Sida : le sida se soigne et se combat aussi par la politique !

  • Edito de Jean-Luc Romero-Michel à la newsletter du CRIPS de décembre

    L’ONUSIDA a lancé sa nouvelle campagne « Close the gap » pour la Journée mondiale de lutte contre le sida. « Combler l’écart » oui, car comme le rappelle l’ONUSIDA, « mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030 est possible, mais seulement en comblant l’écart entre les gens qui ont accès aux services de prévention, de traitement, de soins et de soutien concernant le VIH et les gens qui sont laissés pour compte ».
    Nul doute que cette campagne doit résonner en France tant les défis sont nombreux en termes de promotion du dépistage, d’éducation à la sexualité, de lutte contre la stigmatisation et les discriminations.
    C’est pour cela que le village associatif organisé par le Crips Île-de-France a toute son importance et revêt également une forte portée symbolique : en souhaitant regrouper les acteurs associatifs franciliens le 1er décembre, Place de la République à Paris, notre volonté est bel et bien de montrer la richesse de la réponse au VIH/sida et surtout l’interdépendance des réponses. Politique ambitieuse de prévention et respect et promotion des droits humains sont liés, cette évidence, très largement documentée, il faut le marteler ! Sans cesse et sans relâche ! Et cela en dépit des préjugés que certains peuvent avoir.
    Alors que plus de 6.000 personnes découvrent leur séropositivité chaque année en France, que 30.000 personnes séropositives en France ne connaissent pas leur statut sérologique, que jamais autant de personnes n’ont vécu avec ce virus dans le monde, nul doute que cette Journée mondiale doit être une journée de mobilisation importante. La lutte est une promesse et une promesse est faite pour être tenue !

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  • Anne Hidalgo appelle les maires des capitales à s’engager contre le sida !

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    Anne Hidalgo, qui a toujours été très mobilisée contre le sida, invite des maires de capitales étrangères à s’engager contre le sida.
    Dans une déclaration de Paris qui devraient être signée ce lundi 1er décembre, journée mondiale contre le sida, les villes s’engageraient à atteindre en 2020 l’objectif de 90% de personnes séropositives connaissant leur statut sérologique ; 90% de personnes recevant un traitement ARV et 90% des personnes sous traitement à avoir une charge virale indétectable.
    Cette déclaration sera un moment très fort du combat contre le sida en cette journée symbolique et Paris montre encore qu’elle est à la pointe quand il s’agit de lutter contre cette pandémie.

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  • Ma tribune sur le sida pour le 1er décembre pour Bazoom.ca

    Parler du sida ce n’est pas seulement parler d’une maladie qui touche plus de 2 millions de personnes par an, de cette épée de Damoclès qui demeure au quotidien au-dessus de la tête de 35 millions de malades, c’est parler d’une société, de ses valeurs, de son A.D.N.
    Lutter contre le sida, c’est penser l’individu, ses pratiques, ses prises de risques, les effets de la maladie, lui apporter soutien et information, lui mettre à disposition des outils de prévention mais c’est aussi s’interroger et agir sur le contexte, le collectif, la Cité, ses lois, ses rites et ses symboles. Ces deux pans de la lutte sont complémentaires et tout aussi important l’un que l’autre.
    Plus qu’aucune autre maladie, le sida est une maladie sociale. Une maladie qui précarise et qui discrimine. Ce constat, il peut être fait par tous et il est fait par tous. Prenons l’exemple de la France où les dernières enquêtes indiquent que 30 % des personnes séropositives sont, je cite l’enquête Vespa 2, « pauvres en conditions de vie » et que 23 % d’entre elles éprouvent des difficultés à faire face aux dépenses de la vie quotidienne. Près de la moitié des personnes séropositives ont également subi une discrimination que ce soit dans leur vie privée comme professionnelle. Derrière ces chiffres aussi éloquents que froids qu’on peut lancer tels quels, il y a, sachons ne jamais l’oublier, des vies et des souffrances.
    Les pouvoirs publics devraient donc, en toute logique, si jamais la logique est bien de lutter contre le VIH/sida, mettre en place un cadre sociétal favorisant la dicibilité de la maladie et surtout, globalement, favorisant le respect et la promotion des droits humains. Mais alors comment expliquer cette capacité de certains gouvernements à s’obstiner à penser que la répression et la politique de la haine sont une solution au sida ? Inepties coupables. Politiques criminelles. Bien souvent ces politiques de haine s’appliquent en direction des « populations clés », c’est-à-dire des groupes de population les plus à risques de contracter le virus mais également des populations considérées comme clés car partenaires prioritaires dans la réponse au VIH/sida. Ces populations, ce sont les mêmes partout dans le monde: personnes incarcérées, transgenres, travailleur(se)s du sexe, HSH, usagers de drogues injectables …. Faut-il rappeler que près de 50% des nouvelles contaminations au VIH se produisent au sein de ces populations ? Alors pourquoi certains gouvernements, en dépit de toutes les études internationales dénonçant de telles mesures, pénalise l’homosexualité, l’usage simple de drogues ou le travail du sexe ? Ce faisant, ces gouvernements ne parviennent qu’à renforcer l’épidémie !
    Toutes ces revendications, elles sont portées par des milliers d’associations à travers le monde et elles seront portées encore plus fortement dans quelques jours, lors du 1er décembre, Journée mondiale de lutte contre le sida depuis 1988. Toujours un moment très fort de la lutte contre le sida au niveau international.
    Chère lecteur, chère lectrice, peut-être vous sentez vous concerné(e) mais vous ne savez pas quoi faire pour ce 1er décembre, pour cette Journée mondiale de lutte contre le sida. Permettez-moi cette proposition en forme de conseil : mettez un ruban rouge symbole international de la lutte contre le sida ! En fait, prenez en deux, comme c’était toujours le cas au début : un pour soi, un à offrir. Le ruban rouge comme un hommage aux disparus, à nos morts, à nos amours et nos amis. Le ruban rouge comme un symbole de soutien aux personnes séropositives, en particulier à tous les malades qui ne peuvent pas dire leur séropositivité par peur du rejet et de la stigmatisation. Le ruban comme un cri de colère contre les gouvernements qui pensent que fermer les frontières aux séropositifs est la solution, un cri d’espoir pour un monde sans sida, d’une société où la séropositivité ne serait pas synonyme d’exclusion. Comme chaque jour, et encore plus pour cette Journée mondiale de lutte contre le sida, je porterai ce symbole avec fierté. Et vous ?
    Lire aussi sur le site de Bazoom (ici).