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Politique internationale - Page 66

  • Rencontres avec des médecins belges

    Souvent, les militants anti euthanasie, comme M. Leonetti, expliquent les graves dérives qui existeraient en Belgique, pays qui a légalisé l'euthanasie.
    Ces affirmations sont absurdes mais certains esprits peu informés y croient parfois. Ils ne se posent jamais la question de savoir pourquoi aucun parti sérieux, en Belgique, ne veut revenir sur cette loi d'Ultime Liberté.
    Afin d'avoir encore de meilleurs arguments pour défendre le système belge, qui est d'ailleurs plébiscité par son peuple, je rencontrerai, ce jeudi, les docteurs Rossignol et de Locht qui pratiquent eux-mêmes des aides médicales à mourir en Belgique.

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  • Emouvante réunion avec le bureau de Shams

    Hier, à Tunis, j'ai eu la chance d'être l'invité de la réunion du bureau de Shams, une association de LGBTI dont plusieurs membres militent à visage découvert dans un pays où l'homosexualité est pénalisée et où les condamnations sont en recrudescence. J'ai été ému par les terribles histoires que plusieurs gays m'ont raconté. J'ai surtout été impressionné par leur volonté de continuer à militer malgré les dangers et les menaces qu'ils subissent.
    Comme je l'ai dit à l'Ambassadeur de France en Tunisie, nous devons les soutenir. Défendre les droits humains est la tradition de la France, pays des droits de l'homme.

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  • Rencontre avec l'Ambassadeur de France à Tunis

    A l'occasion de mon déplacement privé en Tunisie, je rencontrerai l'ambassadeur de France, François Gouyette, ce mardi en fin d'après-midi.

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  • Rencontre avec les militants LGBTI de Shams à Tunis

    Je rencontrerai en tout début de semaine les militants LGBTI de Shams, qui essaient, en Tunisie, de se battre contre la pénalisation de l'homosexualité qui sévit toujours dans ce pays. Si la révolution a permis de réelles avancées démocratiques, les homosexuels sont toujours exclus de ces progrès. J'irai donc rencontrer ces militants très courageux qui, souvent au risque de leur vie, se battent pour une vraie société tunisienne inclusive.

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  • Escapade à Tunis !

    Après le vote du budget à la région Ile-de-France, nous partons quelques jours près de Tunis. C'est un choix militant car il faut soutenir ce pays qui essaie sa transition démocratique. C'est si rare dans cette partie du monde. Il reste beaucoup à faire et c'est pour cela que je rencontrerai des militants de Shams, l'association qui se bat pour le respect des homosexuels. Leur travail est important et il faut les soutenir !

  • Visite de Ex International à Berne

    Ce samedi matin, je continue mon déplacement pour rencontrer les associations suisses d'aide au suicide assisté.
    Ce matin, je rencontrerai avec Jacqueline Jencquel, vice présidente de l'ADMD, Madeleine Schleiss, présidente de Ex international, à Berne. Nous visiterons les locaux de cette association qui accueille des étrangers en fin de vie qui souhaitent bénéficier d'un suicide assisté. De plus en plus de Français font appel aux associations suisses.

  • Rencontres sur le suicide assisté à Genève

    Ce vendredi, à Genève, je rencontrerai la présidente et le vice-président de la nouvelle association d'aide au suicide assisté Liberty Life. Cette association accueille aussi des étrangers qui ne peuvent mourir comme ils le souhaitent dans leur pays...
    Je rencontrerai aussi Elke Baezner, présidente de al grande association allemande, DGHS, qui est présente ce jour à Genève.

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  • Appel de personnalités pour le Droit de Mourir dans la Dignité !

    Communiqué de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité :
    De nombreuses personnalités en faveur d’une loi de liberté

     

    De nombreuses personnalités se sont réunies en collectif à l’initiative de Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), pour redire haut et fort leur profonde insatisfaction à la suite de l’adoption de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie. Les noms des premiers signataires* ont été publiés en couverture du Journal n°136 de l’association, diffusé ce jour.
    Artistes, responsables politiques, écrivains…, tous sont intimement convaincus de la nécessité absolue de légiférer en faveur d’une loi de Liberté légalisant enfin l’euthanasie et le suicide assisté.
    Ensemble, ils demandent au Président de la République, au Gouvernement et au Parlement d’entendre enfin les attentes de plus de 90% des Français qui se sont prononcés en faveur d’une loi permettant à chacun, selon ses propres volontés, de mourir dans la dignité.
    Comme déjà plusieurs pays d’Europe, il est temps que la France permette à ses concitoyens de choisir leur fin de vie, grâce à un accès universel aux soins palliatifs, à l’euthanasie active ou encore au suicide assisté, respectant ainsi leurs volontés et celle de leurs proches.
    Pour Jean-Luc Romero, pour les 66.000 adhérents de l’ADMD et pour les nombreuses personnes qui les soutiennent, le combat en faveur d’une loi d’ultime liberté continue !

     

     

     

     

    APPEL

     

     

    Nous, membres du comité d’honneur et amis de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, revendiquons la liberté de choisir le moment et la manière de terminer notre vie, comme cela est déjà possible dans plusieurs pays d’Europe, que ce soit

    • grâce à un accès universel aux soins palliatifs,
    • grâce à une euthanasie active,
    • grâce à un suicide assisté.

    Notre mort nous appartient et nul n’a le droit, au moment où notre vie ne sera plus que de la survie, de décider pour nous-mêmes et de nous imposer des choix qui ne seront pas les nôtres.

    Nous demandons au président de la République, au Gouvernement, aux parlementaires, d’entendre notre demande – qui  est également celle de plus de 90% des Français – et de doter la France d’une loi de liberté, d’une loi d’égalité, d’une loi de fraternité, d’une loi républicaine, qui permette à chacun de mourir en dignité.

    Nous, membres du comité d’honneur et amis de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, encourageons les Françaises et les Français qui souhaitent une fin de vie douce et apaisée à rejoindre notre revendication pour le droit de mourir dans la dignité.

     

  • Procès de 6 étudiants pour homosexualité en Tunisie : esprit de la révolution, es-tu là ? (Ma tribune sur l'Obs.com)

    Procès de 6 étudiants pour homosexualité en Tunisie : esprit de la révolution, es-tu là ?
    A lire sur Le Plus Obs (ici)

     


    Il y a quelques semaines, le 14 janvier, la Tunisie fêtait sa révolution, celle qui a mis fin à la dictature. Celle qui était porteuse de tant d’espoirs pour le peuple tunisien. Celle qui a consacré les libertés individuelles… en tout cas qui aurait dû les consacrer.
    Car, si personne ne peut remettre en cause l’extraordinaire portée de ce printemps arabe, nous ne pouvons que constater que certaines populations en Tunisie sont totalement exclues des bénéfices de celles-ci, au premier desquelles les personnes LGBT.
    Un exemple dramatique parmi tant d’autres : le 10 décembre dernier, six étudiants étaient condamnés à la peine maximale de prison pour homosexualité. Ils étaient également bannis pour cinq ans de la ville de Kairouan. Ils repassent en procès demain, le 25 février et à l’heure où j’écris ces lignes, j’attends, nous attendons encore et toujours, une réaction des pouvoirs publics français…
    Soyons concrets : être gay en Tunisie, c’est tout simplement risquer la prison sur la base de l’article 230 du Code pénal. Un article comme la marque indigne d’une dictature dont les tunisiens n’ont pas encore réussi à enlever toutes les traces…
    Cet article 230 du code pénal tunisien n’est pas un article oublié. C’est un article appliqué. Cet article 230 est une honte. De très nombreuses associations et surtout, de très nombreux citoyens et associations tunisiennes ont demandé sa suppression. Publiquement et dans les médias.
    Cette répression aveugle des personnes LGBT en Tunisie est un peu à l’image du monde actuel. Ce sont encore aujourd’hui près de 80 pays qui condamnent pénalement les relations homosexuelles. Dans huit pays, l'homosexualité est punie de mort … Dans de nombreux pays, une véritable traque aux homosexuels est installé et encouragé par les pouvoirs publics. En Inde, dans la plus grade démocratie du monde, la Cour suprême a rétabli la pénalisation de l'homosexualité. Au Maroc, il y a quelques temps, un magazine titrait en une, en 2015: "faut-il brûler les homos?".
    Il y a quelques mois, le prix Nobel de la paix était attribué au quartet menant le dialogue national en Tunisie, qui, je cite, s’était distingué pour « sa contribution décisive dans la construction d’une démocratie pluraliste en Tunisie après la révolution du jasmin de 2011 ».
    La Tunisie a été à l’avant-garde de ce printemps arabe. Ce pays est beau, ce pays est grand. Et la suppression de cet article 230 ne le rendrait que plus beau et plus grand !

  • Réunion sur la fin de vie à Aix-en-Provence à 18h

    Je suis l'invité de la Ligue des Droits de l'Homme ce mardi à l'IEP d'Aix-en-Provence sur le thème "Vieillir et mourir dans la dignité : un droit pour tous ?" Je vous attends nombreux !

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  • Mon intervention à la région Ile-de-France sur l'aide aux victimes de l'Etat Islamique

    Madame la Présidente, Messieurs les Vice-Présidents, Chers collègues,

    Plus de 250 000 morts, dont près d’un tiers de civil parmi lesquels plus de 12 000 enfants. C’est le terrible bilan provisoire de la guerre qui fait rage en Syrie depuis plus de quatre ans. Nous le savons tous.
    Comme si la guerre ne suffisait pas, cette région du monde a vu naitre et se développer un nouveau groupe de terroristes djihadistes qui se fait appeler l’Etat islamique, mais qui n’a d’état que le nom. Ces terroristes persécutent sans relâche ceux qu’ils estiment ne pas être conformes à leurs préceptes, des préceptes prônant l’intolérance, la haine et la violence.
    Des hommes et des femmes sont chassés, pourchassés, réduits en esclavage ou massacrés parce qu’ils sont issus d’une ethnie différente, qu’elles pratiquent une autre religion, qu’ils défendent des positions politiques non conformes, ou qu’ils ont une orientation sexuelle différente, ou qu’ils sont transexuels.
    Nous sommes aujourd’hui les témoins de crimes de guerres, d’une épuration ethnique, culturelle, religieuse et des homosexuels. Vous l’avez rappelé dans l’exposé des motifs, c’est la diversité même de cette si riche région du monde, berceau de nombreux trésors de notre civilisation, qui est en péril.
    Nous saluons les différentes initiatives, celles du Conseil de Sécurité des Nations Unies, mais aussi de Paris qui en raison de l’urgence a su se mobiliser rapidement et je veux saluer ici Anne Hidalgo.
    Mais ce sujet, nous l’avons déjà abordé à la Région Ile-de-France, dans sa globalité. Je ne parle pas seulement du vœu du groupe LR de l’année passée, mais aussi et surtout, du fond exceptionnel débloqué par le précédent exécutif, par Jean-Paul Huchon, Roberto Romero pour venir en aide aux populations qui fuient cette région en guerre.
    Une aide décidée et votée par l’Assemblée délibérante et dont nous espérons voir rapidement tous les crédits versés aux porteurs de projets retenus.
    Avec ce rapport vous proposez des actions pour venir en aide, sur place, à ces populations victimes de violences ethniques et religieuses. Cela est vraiment nécessaire, il faut en effet permettre à ces femmes et ces hommes de rester chez eux quand ils le souhaitent. Si nous partageons le but recherché, nous regrettons cependant une vision trop étroite, comme si vous ne perceviez le problème qu’au travers de la seule situation des Chrétiens d’Orient qui est dramatique mais qui n’est pas la seule. Vous en conveniez-vous-même en commission sur les homosexuels, persécutés, torturés et tués.  
    Or si vous prévoyez une aide, elle doit avant tout refléter l’universalité, pour n’oublier personne. Nous espérons à ce titre que les amendements déposés par les différents groupes de gauche seront acceptés. Tout comme nous espérons que vous nous indiquerez que les crédits votés pour les réfugiés seront bientôt versés aux bénéficiaires, afin que nous puissions voter favorablement et sans réserve sur ce rapport.
    Ce serait symboliquement important de le voter d’une seule voix. La balle est dans votre camp.

  • Pour un accueil digne des réfugiés LGBT (tribune dans le Huffington Post)

    Avant d'entrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous dresser en quelques mots un tableau, celui qui reflète la réalité de vie de millions d'homosexuels et de transsexuels dans le monde. Un tableau noir.
    En 2016, dans huit pays, l'homosexualité est punie de mort. Près de 80 pays condamnent pénalement les relations homosexuelles. Plus des trois-quarts des pays africains criminalisent l'homosexualité. Une véritable traque des homosexuels, une traque institutionnalisée, est organisée et favorisée par les pouvoirs publics au Nigeria, en Ouganda, en Egypte, au Cameroun... En Russie, le président Poutine a instauré une homophobie d'Etat avec une loi de 2013 qui sanctionne la "propagande homosexuelle". En Inde, la Cour suprême a rétabli la pénalisation de l'homosexualité. Au Maroc, un magazine titrait en une, en 2015: "faut-il brûler les homos?". Je pourrais continuer à remplir des pages et des pages...
    La réaction de la communauté internationale s'est trop longtemps fait attendre. Mais en juin dernier (enfin!), pour la première fois de son histoire, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni pour parler spécifiquement des droits des homosexuels. La raison? Les atroces lapidations et autres exécutions sommaires, souvent filmées, dont sont victimes les homosexuels en Syrie et en Irak. C'est une véritable chasse à l'homme que Daech organise contre les homosexuels.
    La France, pays des droits de l'Homme -oui, j'y crois et je le défends- doit prendre toute sa part dans ce combat pour les droits de personnes persécutées simplement en raison de leur orientation sexuelle ou identité de genre. Nous nous devons de le faire plus fortement. Comment? En travaillant sur ce dossier en forme de serpent de mer que constitue la dépénalisation universelle de l'homosexualité mais aussi en mettant en œuvre, concrètement, des solutions adéquates à l'accueil des réfugiés LGBT.

    LIRE LA SUITE > Sur le Huffintonpost 

  • ELCS Infos 39

    Le numéro 39 d'ELCS Infos est enfin disponible. Ce numéro évoque notamment le nouveau bureau d'ELCS, la loi de Santé, le Guide API, l'engagement de la ville de Paris, ... 

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    >> Pour consulter la revue d'ELCS, en ligne, c'est sur elcs.fr / ELCS Infos 

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  • Le légitime soutien aux Chrétiens d'orient à la session de la région Ile-de-France. Mais quid des LGBT persécutés ?

    Avec mon groupe à la région Ile-de-France, j'ai déposé un amendement pour étendre le soutien que la région veut légitimement apporter aux Chrétiens d'Orient qui subissent de terribles persécutions.
    En effet, dans ce rapport les homosexuels sont oubliés alors qu'ils sont dans une situation similaire de persécution. Ils n'ont rien commis de mal. Mais ils sont juste persécutés, torturés, tués parcequ'ils sont... homosexuels ou transsexuels.
    Ils doivent donc aussi béneficier de notre total soutien comme les Chrétiens d'Orient et c'est ce que je demande à Valérie Pécresse.

  • Mon combat contre le sida à ELCS continue…

    Au moment où je quitte la présidence du Crips, il me paraissait important de ne pas abandonner le champ militant de la lutte contre le sida.
    En effet, alors que jamais autant de gens n’ont vécu avec ce virus, la lutte n’est plus à l’agenda politique et médiatique.
    Avec des élus de toutes tendance, car le sida n’est ni de droite ni de gauche, nous voulons continuer à nous mobiliser car le sida se soigne aussi par la politique !

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  • Conférence "Vivre avec le VIH" àau Centre gai et lesbien de Namur (Belgique)

    A quelques jours de la journée mondiale contre le sida du 1er décembre, ce jeudi, à 18h30, j'animerai une conférence sur "Vivre avec le VIH".
    Cette conférence organisée par le Centre Gay et Lesbien de Namur se déroulera dans les locaux de Arc-en-Ciel Wallonie à Namur.

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  • Halima, Lola, Luis Felipe, Milko, Amine, ... c'était eux, ça aurait pu être nous ! (Tribune dans Yagg)

    Elles s’appelaient Halima, Lola, Marie, Hodda, Hélène… Ils s’appelaient Luis Felipe, Valentin, Milko, François-Xavier, Amine… Ils sont 129 à être morts ce soir-là, 352 à être blessés de manière plus ou moins grave. Des femmes et des hommes, des filles et des garçons, des enfants. Des êtres aimés et aimants. Des femmes et des hommes comme nous. C’étaient eux, ça aurait pu être nous…
    Ils sont tombés sous les balles d’hommes qu’ils ne connaissaient pas, à qui ils n’avaient jamais causé le moindre tort.
    Ils sont tombés sous les balles d’assassins alors qu’ils partageaient un moment de joie, en terrasse d’un restaurant, dans une salle de concert.
    Ils sont tombés sous les balles de fanatiques aveugles alors qu’ils sont les citoyens d’une société ouverte, généreuse, accueillante.
    Paris, la France, le monde également, ne seront plus tout à fait comme avant. Une fois encore, la folie meurtrière pousse une démocratie à mettre un genou à terre. Les Etats Unis, la Grande-Bretagne, l’Espagne…pour ne rappeler que quelques souvenirs abjects, ont souffert comme nous souffrons aujourd’hui. Nous nous relèverons plus forts, plus unis, plus solidaires.
    Loin de se replier sur elle-même, la France sera plus ouverte sur le monde et plus respectueuse des différences. Ceux qui pensent que ces actes odieux nous conduiront à suspecter tous les autres se trompent. Au contraire… Nous témoignerons à chacun, quelle que soit son origine, quelle que soit sa religion, quelle que soit la couleur de sa peau la solidarité qui a construit la France et en a fait un pays multiculturel, pluriethnique, qui accepte tous les modes de vie, qui reconnaît toutes les libertés.
    A celles et ceux qui sont restés à terre, à celles et ceux qui sont encore entre la vie et la mort, à celles et ceux qui sont soignés, à celles et ceux pour qui ils sont chers, je dis ma compassion, mon estime et mon amitié.
    Aux forces de l’ordre, aux secouristes, à toutes celles et tous ceux qui, en portant assistance ou en ouvrant leur porte ce vendredi soir pour recueillir la détresse, je veux dire que notre Nation est fière de vous.
    Sur la place de la République, la devise de notre ville a été déployée « Fluctuat Nec Mergitur »… La plus belle des réponses à apporter à ceux auxquels notre liberté fait peur…

  • Mon itw sur 20 minutes

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  • Rencontre avec des ADMD étrangères à Paris

    A l'occasion de la 8ème journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui se déroule ce lundi 2 novembre - 100 manifestations en France dont une à Paris, place de la République dès 17h, j'ai invité plusieurs associations européennes à cette occasion.
    Seront à nos côtés des associations anglaise, allemande, suisse et espagnole.
    Nous en profiteront pour échanger sur nos différentes stratégies ce dimanche.