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Politique française - Page 6

  • Il y a 10 ans, l’attentat de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes brisait des vies

    Il y a 10 ans, l’attentat de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes brisait des vies et laissait une cicatrice profonde dans notre mémoire collective.
    En ce jour de commémoration, Paris rend hommage aux victimes et exprime sa solidarité envers leurs familles et la communauté juive. Ne jamais oublier, pour que de tels actes de barbarie ne se reproduisent plus.
    Paris reste fermement engagée dans la lutte contre l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination.

     

  • Le 1er février marquera les 1 000 jours de détention arbitraire de Cécile Kohler, de Jacques Paris et de Olivier en Iran.

    Le 1er février marquera les 1 000 jours de détention arbitraire de Cécile Kohler, de Jacques Paris et de Olivier en Iran.
    Comme je l'ai fait, j’appelle à ce que chacun signe la pétition demandant leur libération immédiate.
    Leurs conditions de détention inhumaines, décrites comme une véritable torture par la Prix Nobel de la paix 2023, Narges Mohammadi, sont une violation flagrante des droits humains.
    Mobilisons-nous pour les soutenir : signez et partagez la pétition.
    #FreeCecileKohler #FreeJacquesParis
    @FreeCecile_

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  • Le choix courageux de Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.

    Dans La Voix-du-Nord, on pouvait lire le choix courageux qu'ont fait Jean-Claude et Maurie Mausner de « rejoindre les étoiles main dans la main » grâce au suicide assisté en Suisse.
    Un dernier acte d'amour et de dignité
    que la France refuse encore de permettre. Il est temps de briser ce tabou et d'offrir à chacun la liberté de choisir une fin de vie digne.
    Un article à retrouver en ligne sur le site de @lavoixdunord

     

  • Il y a 10 ans, la barbarie frappait Charlie Hebdo...

    Il y a 10 ans, la barbarie frappait Charlie Hebdo et le cœur du pays de la liberté d'expression. Un attentat ignoble marquant à jamais notre histoire et nous rappelant que la liberté de penser, de critiquer et de caricaturer est un droit fondamental.
    Aujourd'hui, nous nous souvenons de cette tragédie, des vies fauchées, et réaffirmons notre engagement à défendre les valeurs de la République : la liberté, la laicité, et la tolérance. Face à la haine et à l'obscurantisme, nous restons unis et déterminés à protéger ces principes qui nous définissent collectivement.
    #CharlieHebdo

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  • On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance du Dalaï-Lama !

    Plus que jamais émouvant - et plein de bon sens - d’entendre sa sainteté le Dalai-Lama, prix Nobel de la paix, citoyen d’honneur de la ville de Paris nous souhaiter une belle année 2025…
    Pas
    Un changement d’année pas seulement fait de festivités, mais surtout de paix intérieure. De paix tout simplement !
    On a plus que jamais besoin des paroles de paix et de bienveillance en ce monde si troublé.
    #Dalailama
    @NobelPrize

  • « Le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo, lecture saisissante et d’actualité en ces temps troublés

    La coïncidence a fait que j’ai entrepris la lecture du roman « Le dernier jour d’un condamné » de Victor Hugo, le jour même, où Donald Trump tenait des propos immondes sur les condamnés à mort que Joe Biden avait, dans un geste d’humanité, gracié.
    Cela m’a immédiatement rappelé à quel point ce livre est malheureusement plus que jamais d’actualité avec 1153 mises à mort dans le monde en 2023. Peut-être plus en 2024, dont nous n’avons pas encore le sinistre recensement…
    En 1829, quand parait la première édition de ce livre, la peine de mort fait enfin débat. Et Hugo veut « raturer de nos dispositifs pénaux la pénalité barbare de Louis XI, de Richelieu, mais aussi du révolutionnaire Robespierre. »
    Idéaliste et visionnaire, il voulait inscrire au front de la loi l’inviolabilité de la vie humaine. Il nous faudra pourtant attendre 1981 pour y parvenir !
    La force de ce texte réside dans le fait que l’auteur nous fait entrer dans ls tète du condamné peu avant son exécution. Juste avant que sa tête ne soit décapitée par la guillotine, sur la place de grève – la place de l’hôtel de ville…
    De ce condamné, nous ne connaissons presque rien. Même pas la raison de sa condamnation. Ce livre veut concerner tous les condamnés à mort. Hugo le souhaite universel. Déconnecté d’affaires qui, en fonction de la nature des faits, peuvent faire débat.
    Ces moments d’attente et de questionnement intime du futur supplicié sont glaciaux.
    Ils mettent mal à l’aise le lecteur qui se sent impuissant et comprend qu’aucun homme ne peut ôter à la vie à un autre. Cet autre, fût-il même un assassin.
    Notre qualité de membre du genre humain devrait, pour Hugo, nous conduire à refuser la barbarie de l’œil pour l’œil et la vanité dévastatrice de la vengeance.
    Victor Hugo produit ici un livre contemporain dont les arguments s’imposent toujours. Il est d’une actualité brulante quand 55 pays dans le monde condamnent toujours à mort. Avec en tête, la Chine et ses tristes records…
    A lire ou à relire…

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  • Les droits des personnes LGBTQIA+ sont des droits humains !

    La situation des personnes LGBTQIA+ en Afrique sub-saharienne n’a cessé de se dégrader en 2024, comme encore récemment, l’immonde chasse aux personnes gays lancée par un influenceur de premier plan en Côte d’Ivoire.
    Sénégal, Cameroun, CoteD'Ivoire, Ghana, Ouganda et tant d’autres pays assument une homophobie d’Etat totalement décomplexée !
    L’Union Européenne et la France doivent enfin réagir à cette dérive alarmante et ne plus laisser une occasion de dénoncer au plus haut niveau ces atteintes aux droits humains en 2025, dans ces pays.
    Car OUI et incontestablement, les droits des personnes LGBTQIA+ sont des droits humains !

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  • Dans le dernier numéro de Strobomag

    Dans le dernier numéro de Strobomag, je reviens sur l'action de la Ville de Paris en matière de lutte contre les discriminations.
    Bilan, engagements tenus et perspectives pour l'avenir.

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  • L’année 2024 s’achève !

    L’année 2024 s’achève !
    Elle fut difficile à de nombreux égards, mais aussi, à Paris, exaltante avec les @jeuxolympiques et @Paralympics !
    Ce récapitulatif en images de mon année militante nous rappelle que pour #Paris comme pour mes combats sur la fin de vie, pour l’égalité et contre le #sida, les défis restent nombreux !
    A mon niveau, je continuerai à les relever en 2025.
    Forcément, comme pour chacun d’entre vous, mon coeur souffre en ce 31 décembre pour nos compatriotes de #Mayotte, mais aussi forcément pour les otages israéliens des terroristes du Hamas et la population civile de Gaza subissant de terribles crimes de guerre.
    Sans oublier nos amis ukrainiens…
    Ce soir, je vous souhaite un merveilleux réveillon avec une pensée particulière pour celles et pour ceux qui sont malades et/ou seuls.

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  • Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir !

    Encore un message déchirant d'une personne qui n'en peut plus de souffrir ! J'ai envie de le partager avec vous pour vous rappeler l'inhumanité de nos lois sur la fin de vie.
    Il faut que ça change !
     
    Cher Monsieur Romero-Michel,
     
    Quelque chose d'inexpliqué m'a décidé, en vous voyant il y a quelques semaines dans un reportage télévisé sur une drogue de synthèse qui fait des ravages chez les jeunes, à reprendre contact avec vous pour essayer de relancer une conversation que j'avais tenté d'entamer Il y a maintenant une quinzaine d'années (voir messages ci-dessous).
     
    J'étais parvenu à l'époque à entrer en contact avec Mme Marie Humbert après quelques recherches sur Internet, qui m'avait gentiment appelé pour une conversation qui avait finalement duré une bonne heure. Vous m'étiez apparu à l'époque comme un bon point de continuation pour discuter de l'aspect légal de la question de la fin de vie. Comme vous pouvez le constater ci-dessous, j'avais fini par renoncer votre emploi du temps très occupé. J'imagine que cette situation n'a pas vraiment changé vu les fonctions que vous occupez, mais je vais cette fois me contenter de vous envoyer quelques remarques en espérant simplement qu'elles soient lues et trouvent un jour leur place dans le débat national.
    Je fait partie de la catégorie de personnes que j'appelle les laissés pour compte des lois sur la fin de vie. Ces personnes qui ne sont pas mourantes, mais vivent un calvaire au quotidien qui peut se prolonger indéfiniment. Je ne voudrais pas vous ennuyer avec l'histoire de ma vie, mais quelques informations sur mon passé vous donneront peut-être une meilleure idée de ce que je ressens au quotidien.
    J'ai passé toute mon enfance en Côte d'Ivoire où je suis né, avant de finir ma terminale et de passer une année en faculté de médecine à Nice. Je me suis tout de suite rendez compte que ce n'était pas vocation, et je suis parti aux États-Unis pour continuer mes études, en finance et comptabilité. J'ai eu la chance d'être diplômé de bonnes écoles (Wharton et Columbia Business School) et de pouvoir commencer une carrière professionnelle à Philadelphia, New York puis Washington. En tout, un séjour d'une douzaine d'années qui s'est terminé après un accident en 2002.
    Depuis l'enfance, j'ai mené une vie faite d'activités physiques, en extérieur, ou les deux. Judo, tennis, planche à voile, aviation, moto... Malgré ce que pourrait suggérer mes diplômes, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un stimulé par l'activité intellectuelle. Mes loisirs à l'âge adulte étaient essentiellement l'aviation (j'ai une licence de pilote professionnel) et la course moto en amateur, que je pratiquais en alternance l'hiver et à la belle saison. C'est lors d'une compétition sur un circuit en Virginie Occidentale que j'ai subi un grave accident en 2002 auquel j'ai eu la malchance de survivre. Je mesure bien le poids de mes mots.
    Cet accident est pour moi l'équivalent de la peine capitale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis, avec des procédures d'appel à répétition s'étalant sur des décennies. Lors de mon premier séjour hospitalier à Washington après l'accident, un médecin m'a informé qu'une personne dans mon état avait une espérance de vie moyenne d'environ 7 ans. Je trouvais déjà que cela faisait 7 ans e trop pour une personne en perte totale d'autonomie sur le plan moteur, incapable de tenir un verre d'eau ou un morceau de pain. J'étais prêt à partir le jour même si l'option m'était présentée, et mon avis n'a pas changé en 22 ans.
    Je suis revenu en France un an après l'accident à l'insistance de mes parents pour des opérations chirurgicales et de la rééducation, et j'attends depuis que les lois changent et permettent à des personnes comme moi de mourir dignement. Lors de mon premier séjour hospitalier en France en 2003, ma famille s'inquiétait de mon état d'esprit et m'a fait évaluer par mon médecin rééducateur à Berck.  Celui-ci est rapidement parvenu à la conclusion que j'étais parfaitement rationnel et que mon désir à ne pas vivre avec une forme lourde de tétraplégie n'était en aucun cas lié à une quelconque forme de dépression.
    Beaucoup de personnes lourdement handicapées trouvent des raisons personnelles de s'accrocher à la vie, quelque soit sa qualité. Je les admire et les envie. Ce n'est simplement pas mon cas. Je ne souscris pas à la croyance que toute vie est sacrée et vaut mieux que la mort. Dans un sens, c'est un peu comme la foi. Certains l'ont, d'autres pas. Ça n'en fait ni de meilleures, ni de plus mauvaises personnes. Les gens sont juste différents face à certaines situations et je pense qu'il faut respecter ces différences, à défaut de les comprendre. Personnellement, ma position sur le sujet a été forgée par une visite avec mon père chez mon arrière-grand-mère quand j'avais 15 ans, pour ce qui s'est révélé plus tard avoir été ma dernière occasion de la voir vivante. Je me souviens les avoir laissés tous les deux et être sorti de la chambre pour aller pleurer dans une autre pièce de la maison. Et j'ai ressenti pour la première fois de ma vie ce sentiment de préférer qu'elle ne soit plus de ce monde plutôt que de la voir dans cet état de fatigue et de démence mentale. Mon opinion sur la question de fin de vie n'a donc rien à voir avec ma situation personnelle et s'était déjà construite 15 ans auparavant.
    Incapable de produire quoi que ce soit, je ne suis d'aucune utilité à la société. Je représente juste un coût Imposé à des personnes qui travaillent et paient des impôts. Pourquoi donc cette société dans son ensemble s'oppose-t-elle par le biais de ses politiques à mon droit de disposer comme je l'entends de ma vie, en rendant illégaux des produits qui pourraient m'aider à mourir dignement sur mes propres termes, et en menaçant toute personne qui aurait la générosité de m'y aider? Comment peut-on justifier de traiter des animaux de compagnie avec plus de compassion que des personnes humaines? Pourquoi décide-t-on qu'un chien souffre trop pour continuer de vivre alors qu'il est impossible d'obtenir son consentement, alors que l'on refuse ce droit à une personne qui peut t'exprimer son choix ?
    La cause fondamentale de cette situation, que les personnes l'admettent ou pas, est enracinée dans l'histoire religieuse de nos sociétés modernes. Je ne suis pas fondamentalement opposé à toute influence religieuse dans l'écriture de textes loi de la vie civile, mais il faut savoir faire la part des choses. Dans "Tu ne tueras point", des personnes rationnelles devrait être capables de faire la différence entre un meurtre et une personne désireuse d'en finir avec une vie insoutenable. Faire du zèle en empêchant des personnes de choisir d'elles-mêmes de vivre ou non dépasse, à mon avis, le cadre de l'influence acceptable de convictions religieuses sur la vie des personnes qui ne les partagent pas. J'ai conscience d'assez mal exprimer mon opinion sur ce sujet. J'étais plutôt mauvais en philosophie au lycée, principalement parce que je trouvais cela subjectif et inutile, et c'est la seule matière où je n'ai pas eu la moyenne au baccalauréat. La piètre qualité de mes compositions reflétait de façon trop évidente mon manque de respect pour la matière. Mais j'ai toujours cru très fort au principe selon lequel la liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.
    On pourrait me répondre que si je voulais vraiment mourir, il suffirait de me laisser aller sur le plan de l'hygiène et des soins, et d'arrêter de m'alimenter. Mais comme je l'ai expliqué au médecin qui avait été chargé de m'évaluer sur le plan psychologique à Berck, je n'ai pas le moindre désir de souffrir inutilement dans une agonie prolongée. Je ne suis pas suicidaire. Je suis juste fatigué d'une vie pénible passée sur un lit médicalisé. À cause de complications survenues très tôt sur lesquelles je ne me suis pas étendu ici, je ne sors de chez moi qu'en brancard, lorsque je dois me rendre à un rendez-vous médical à l'hôpital. Et parce que je fais le nécessaire pour rester en bonne santé, Il m'est arrivé à plusieurs reprises de passer plus de 5 ans sans mettre le nez dehors. D'une certaine façon, mon quotidien s'apparente à celui d'un nourrisson, fait du lever au coucher d'une succession de tâches humiliantes pour un adulte, contrairement au nourrisson qui n'est pas encombré par le fardeau du concept de dignité qu'il n'a pas encore connue.
    Je ne prétendrai pas que je serais intéressé par des sorties au musée ou dans des parcs floraux si je pouvais m'asseoir confortablement dans un fauteuil roulant, mais le fait est que ma vie se résume à rester vivant en évitant les escarres ou une septicémie. Cela est difficile à imaginer pour des personnes menant d'une vie normale, mais il y a là de quoi presque remplir une journée sans avoir rien accompli. Alors non, je ne suis pas mourant, mais j'aimerais que les politiciens m'expliquent la différence. Parce que le pire, c'est que je serai un jour non seulement dans mon état actuel, mais également mourant d'autre chose. Probablement quelque chose qui n'aura pas été diagnostiqué à temps parce que je ne ressens rien dans plus de 80% de mon corps. Et j'aurai passé des décennies à végéter inutilement pour en arriver au même point.
    Voilà donc, en gros, la perspective d'une personne non-mourante, mais pas vraiment vivante, laissée en marge du débat sur la fin de vie. Je n'attends pas forcément de réponse, et encore moins de solutions de votre part, mais j'espère que vous serez au moins arrivé au bout de ce message et que certaines de ces opinions seront intégrées à vos pensées lors de futurs débats dans le combat que vous menez. Si je croyais au Père Noël, je vous demanderais d'imprimer et envoyer ce courrier au président Macron et à son ministre de la santé. Mais je suis conscient qu'il existe de nombreuses personnes en plus grande souffrance immédiate qui méritent la priorité dans ce combat.
    Je reste néanmoins à votre disposition pour toute information supplémentaire ou témoignage que je pourrais vous apporter. Je vous souhaite de joyeuses fêtes une très bonne année 2025.
     
    Bien cordialement,

  • Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex

    Pensées attristées pour cette personne décédée suite à une soirée chemsex, comme ce fut le cas pour mon mari  Christophe.
    Il est urgent que le gouvernement mette en place les préconisations du rapport @Prabenyamina : des années d’attente qui conduisent à tant de drames.
    @CaVautrin nous comptons sur vous pour prendre à bras le corps ce sujet de santé publique, comme vous me l’aviez promis lors de votre premier passage au ministère des solidarités et de la santé.
    Il y a urgence !
    Avec Anne Hidalgo Anne-Claire Boux et Anne Souyris, à Paris, nous sommes pleinement mobilisés !
    En attendant, n’hésitez pas à signer la pétition d’Elus Locaux Contre le Sida : change.org/p/urgence-chemsex

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  • Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal

    Paris réaffirme son soutien indéfectible à Boualem Sansal, auteur franco-algérien injustement emprisonné pour ses idées.
    Au #ConseildeParis, j’ai porté une délibération exigeant sa libération immédiate. Un geste fort et symbolique de Paris sera prochainement proposé.
    À Paris, défendre la liberté d’expression et les droits humains n’est pas seulement une priorité : c’est une nécessité.

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  • Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

    L’épouse de Stéphane Hessel a dû fuir notre pays pour mourir paisiblement et dignement en Belgique, pays humaniste qui reçoit annuellement une centaine de Français qui n’en peuvent plus de leurs souffrances et qui n’ont pas le droit d’éteindre la lumière en France.
    Son texte est émouvant et digne.
    Elle appelle à un débat sur la fin de vie dans un esprit de tolérance et de respect.
    M. Le Premier ministre François Bayrou tiendrez-vous l’engagement de Michel Barnier de reprendre le débat sur une loi d’ultime liberté en février et saurez-vous être un homme d’Etat qui saura dépasser ses propres convictions religieuses opposées à l’euthanasie ?
    Les Français n’en peuvent vraiment plus d’attendre !

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  • Honoré d’avoir remis la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.

    Honoré d’avoir remis, au nom de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, la citoyenneté d’honneur de la Ville de Paris à Oleg Orlov.
    Alors qu’il était dans les prisons de Poutine il y a quelques mois pour s’être opposé à l’invasion de l’Ukraine, sa présence à Paris est un soulagement et un grand honneur.
    Comme Oleg Orlov l'a rappelé aujourd’hui devant nous, la décision du #ConseildeParis de lui remettre la citoyenneté d’honneur ainsi qu’à Ilya Yashin, deux prisonniers politiques russes, était notre cri de soutien à tous les prisonniers politiques injustement enfermés en Russie.
    Paris est une ville-refuge, un port d’attache pour celles et ceux qui, partout dans le monde, luttent contre l’oppression et défendent les droits humains.
    Et nous continuerons de dénoncer ces injustices et de soutenir, avec toutes nos forces, celles et ceux qui luttent pour la liberté, que ce soit en Russie ou ailleurs.
    Leur combat est aussi le nôtre.

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  • Je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.

    Dans le JT de France 2 de 20h, j’ai rappelé que je ne veux plus qu’il y ait d’autres Christophe qui meurent.
    On ne peut plus fermer les yeux sur l’augmentation des morts dues aux  drogues de synthèse, liées notamment au chemsex.
    L’absence de mobilisation des pouvoirs publics et la politique répressive qui n’est plus adaptée à la situation ne font qu’aggraver la situation.
    D’où d’ailleurs la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida et que je vous invite à signer : t.co/w31AfXaKNh

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  • Le VIH ne disparaîtra pas en silence !

    Supprimer le groupe d’études VIH/sida à l’Assemblée nationale, c’est dire que la lutte contre cette épidémie n’est plus une priorité.
    À Paris, nous refusons ce désengagement. Notre combat pour atteindre zéro transmission d’ici 2030 reste plus vivant que jamais.
    Le VIH ne disparaîtra pas en silence !
    Retrouvez notre tribune avec Anne Souyris et Arthur Delaporte dans Libé : liberation.fr/idees-et-debat…

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  • Rennes : Plus que jamais, les militants sont impatients !

    Malgré les incertitudes politiques, heureux d’avoir retrouvé des Rennais vraiment mobilisés et très interactifs dans la réunion ADMD-FRANCE, que j’ai animée avec le docteur Jacques Orvin, membre de notre commission médicale, ce jeudi soir, à Rennes.
    Plus que jamais, les militants sont impatients : ils ne comprennent toujours pas qu’une loi d’ultime liberté, qui respecte effectivement TOUTES les consciences, mette autant de temps à être adoptée !
    Ils ne lâchent rien et sont mobilisés pour février 2025 : le nouveau gouvernement doit enfin entendre 90% des Francais ! Vraiment…

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  • Un entretien avec Élie Ducos réalisé le 6 décembre pour Bleu Bourgogne.

    Dijon, ville engagée dans la lutte contre le sida :
    “Il faut se battre contre le VIH, pas contre les personnes qui vivent avec.”
    Un entretien avec Élie Ducos réalisé le 6 décembre pour Bleu Bourgogne.
    À lire ici : francebleu.fr/infos/societe/…

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  • La défense des droits humains et celle des droits de la nature sont indissociables.

    En cette Journée internationale des droits humains, j’ai eu l’honneur d’intervenir lors de la conférence « Protéger la nature et ses défenseurs » organisée à l’Hôtel de Ville de Paris.
    À Paris, sous l’impulsion de la Maire, Anne Hidalgo, nous réaffirmons une conviction forte : la défense des droits humains et celle des droits de la nature sont indissociables. Protéger la nature, c’est protéger l’humanité.
    Ce matin, la Maire de Paris, @Anne_Hidalgo, a remis la citoyenneté d’honneur de la Ville à Paul Watson, militant écologiste et fondateur de Sea Shepherd. Cet hommage témoigne de notre engagement indéfectible à soutenir celles et ceux qui défendent la biodiversité, souvent au péril de leur vie.
    Face aux défis climatiques et aux menaces pesant sur les défenseur·es de la planète, Paris, ville des libertés, s’affirme comme un refuge et un acteur global de la justice climatique.
    Un immense merci à l’ensemble des intervenants·es qui se mobilisent pour faire vivre ces questions dans le débat public. 

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  • Ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !

    Plus que jamais, il faut continuer la mobilisation pour une loi d’ultime liberté sur la fin de vie.
    Je serais encore ce jeudi soir à 17h, à Rennes, pour une réunion publique ADMD-FRANCE !
    Je vous y attends nombreuses et nombreux.
    On ne peut plus attendre : le texte doit être discuté début février comme s’y est engagée la présidente de l’@AssembleeNat @YaelBRAUNPIVET !

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