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  • Pour la mise en place de salles d’injection en France !

    Cela fait bien des années que je réclame la mise en place de salles d’injection pour les usagers de drogue. J’avais longuement développé les raisons, notamment de santé publique, d’une telle ouverture comme la délivrance de l’héroïne sous contrôle médical dans mon livre « Lette à une droite maladroite » en mars 2003.

    Depuis, je vais chaque année à Genève pour constater l’évolution de ces programmes qui ont près de 10 ans et qui donnent des résultats spectaculaires. Et sont même plébiscités par les riverains !

    Roselyne Bachelot a annoncé à Vienne qu’elle lancerait une expérimentation.  C’est une excellente nouvelle même si on a beaucoup perdu de temps. Désormais, il faudra que le président de la MILDT porte enfin cette politique de santé publique innovante mais avec l’actuel titulaire de ce poste on peut douter de sa bonne volonté et de son empressement…

  • Préparer la rentrée pour ELCS et le combat contre le sida

    Ce soir, j’ai une réunion de travail avec les collaborateurs d’Elus Locaux Contre le Sida pour préparer la rentrée de cet automne. Elle sera chargée.
    Après une quinzaine de jours de vacances, je reprendrai dès début septembre mes réunions en province pour continuer ce bruit de fond autour de la lutte contre le sida et en solidarité avec les personnes touchées.
    Nous aurons bien sûr les 15èmes états généraux d’ELCS en fin d’année et la sortie d’un livre de photos et de témoignages de personnes séropositives. J’avais annoncé dans « Virus de vie », le livre où je révélé ma séropositivité, que je voulais publier un livre qui montre à chacun que tout le monde peut être touché par le sida. Le livre que nous préparons permettra à chacun de se dire : cette personne cela pourrait être moi. Si tout se passe bien, ce livre de témoignages et de photos sera prêt pour la journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre prochain et marquera ainsi solennellement le 15ème anniversaire d’ELCS.

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  • Communiqué de presse d'ELCS

    Communiqué de presse du 30 juillet 2010

     

    Pas un mot de Nicolas Sarkozy sur les discriminations imposées par Andorre aux séropositifs …

    Nicolas Sarkozy ne peut avoir un discours humaniste en France et discriminatoire en Andorre! 

     

     

     

    Suite à la visite de Nicolas Sarkozy en Andorre, Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, se dit très déçu de l‘absence de prise de parole du président de la République française et coprince d’Andorre quant aux restrictions imposées, par cette principauté, à la liberté d’établissement des personnes séropositives.

    Le président d’ELCS rappelle que ce sont près de 17 des 53 pays constituant la région Europe de l'OMS qui pratiquent des restrictions à l'entrée ou au séjour sur leur territoire des personnes séropositives. Cette liste de pays ne comporte pas la France - respectant ainsi un engagement historique de promotion des droits de l’homme - mais la principauté d’Andorre y figure notamment en ce qui concernant le volet de la liberté d’établissement.

    Alors que son intervention avait été réclamée, Jean-Luc Romero dénonce l’absence de prise de position de Nicolas Sarkozy : en tant que coprince, ce dernier a bien évidemment le pouvoir de faire changer les choses face à une discrimination inhumaine, injustifiable et intolérable.

    Nicolas Sarkozy ne peut avoir un discours humaniste en France et discriminatoire en Andorre!
    Alire aussi la dépêche AFP sur Romandie.com (ici). 

  • La révélation du sida dans L'Hebdo (grand hebdo suisse)

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  • La Déclaration de Vienne

    A l’occasion de la 18ème conférence internationale sur le sida, la Déclaration de Vienne est uneLogoaids2010.png déclaration officielle qui vise à améliorer la santé et la sécurité communautaires par le biais de l’intégration de preuves scientifiques dans les politiques sur les drogues illicites. De nombreux scientifiques, professionnels de la santé et des citoyens appuient ce document afin de porter ces enjeux à l’attention des gouvernements et des organismes internationaux, et de montrer que la réforme des politiques sur les drogues est une question d’importance primordiale à l’échelle mondiale.

    La déclaration a été rédigée par une équipe de spécialistes internationaux et mise de l’avant par plusieurs des plus importants organismes scientifiques qui œuvrent en politiques sur le VIH et le sida à l’échelle mondiale: la Société internationale sur le sida, le Centre international pour la science dans les politiques sur les drogues (ICSDP) et le Centre d’excellence de la C. B. en VIH/sida. Pour lire et surtout signer la Déclaration, cliquez (ici).

  • 25.000 participants à la conférence internationale sur le sida à Vienne

    La 18ème conférence internationale sur le sida, qui se déroule à Vienne du 18 au 23 juillet 2010, réunitLogoaids2010.png plus de 25.000 participants : médecins, chercheurs, militants associatifs, personnes vivant avec le sida, responsables politiques et d’ONG. Cette conférence, à laquelle je participe en qualité de président du CRIPS, qui gère le stand France, et de président d’Elus Locaux Contre le Sida se veut, cette année, la « conférence des sans voix ». Cela veut dire que les organisateurs ont choisi sous le thème « Des droits ici et maintenant » de mettre l’accent sur les droits des malades des populations marginalisées.

    La conférence sur le sida est devenue l’une des plus grandes conférences au monde et un moment politique particulièrement fort même si cette année peu de responsables politiques de premier plan sont présents.
    Pour mémoire, le sida, c'est 33 millions de séropositifs dans le monde, 2 millions de mort par an. Seuls 5,2 millions sur 15 millions de personnes qui en ont besoin bénéficient de traitements. Il faudrait 25 milliards de dollars pour soigner tous les maldes en 2010 : on ne dispose que de 13,7 milliards cette année...

  • Interview sur France 24

    Vous pouvez retrouver l’interview que j’ai donnée à Julien Peyron pour France 24 en cliquant ici. Elle concerne la XVIIIème conférence internationale, qui se déroule à Vienne, et bien sûr les grands enjeux dans la lutte contre le sida. J’ai par ailleurs répondu aux questions de BFM TV, France Culture et Europe 1.

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    Aujourd’hui, j’ai regretté que le plan national de lutte contre le sida 2010-2014 soit reporté à l’automne comme l’a annoncé la ministre. Déjà 7 mois de perdus… Bonne nouvelle quand même, Roselyne Bachelot s’est prononcée en faveur de l’expérimentation des salles d’injection lors de son passage à Vienne.
    Lire aussi ma réaction à Yagg sur l'itw de R. Bachelot à Libération (ici).

  • Invité du JT d’Europe 1 à 12H40

    Logoaids2010.pngA l’occasion de la 18ème conférence internationale sur le sida, qui se tient à Vienne, et à laquelle je participe, je serai l’invité du JT d’Europe 1 en direct de 12h40 à 13 heures. Ce sera pour moi l’occasion de revenir sur les grands enjeux de cette conférence, notamment les inquiétudes concernant le financement des traitements pour les malades des pays pauvres. En 2010, il faudrait 25 milliards de dollars pour soigner les 15 millions de malades qui en ont besoin actuellement et … d’urgence. On a à peine 13,7 milliards…
    Alors que lors de la crise bancaire, on a su trouver plusieurs milliers de milliards de dollars, on est aujourd’hui incapable d’en trouver une dizaine supplémentaire pour éviter qu’en 2010, 2 millions d’êtres humains meurent !

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    J’évoquerai aussi la France. Aujourd’hui, la ministre de la santé vient à Vienne mais il semble qu’elle n’annoncera pas le plan de lutte contre le sida 2010-2014 attendu. Ce retard est grave car il s’agit aujourd’hui de faire évoluer notre prévention en intégrant les traitements et notre politique de dépistage sachant que sur les 160.000 personnes vivant avec le sida en France, 40 à 50.000 ne connaissent pas leur statut.

     

  • Vienne aux couleurs de la lutte contre le sida !

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  • AFP : « Séropositif, une vie pas comme tout le monde »

    LOGOafp.JPGAvant l’ouverture de la 18ème conférence internationale sur le sida, j’ai donné une interview à Christine Courcol de l’AFP sur la vie avec le sida. Une longue dépêche est sortie dans laquelle, la journaliste de l’AFP spécialisée dans les questions de santé reprend mes propos. Cette dépêche que je vous reproduis a aussi été traduite en anglais (ici).

    Vous pouvez la lire sur Google (ici), Romandie.com (ici), Actu politique (ici), L'Hebdo (ici), Atlas Info (ici), The Gazette-Montréal (ici).

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  • HAART truth: Life with AIDS drugs (AFP)

    PARIS — HIV may be dismissed by some as a treatable disease, but as middle-aged Frenchman Jean-Luc Romero can attest, living with antiretroviral drugs means a daily battle with queasiness.
    Side effects are an often-overlooked downside of highly active antiretroviral therapy (HAART), the drugs that have turned HIV from a death sentence to a manageable illness.
    If the media chirpily dub HAART a drug "cocktail", HAART is definitely not a fun experience, Romero said.
    The powerful drugs can have toxic side effects and, unless a cure for AIDS is found some day, have to be taken for the rest of one's life.LOGOafp.JPG
    "They are like tiny bombs which prevent the AIDS virus from replicating, but also they destroy a host of other things," the 51-year-old councillor for the Paris region said an interview.
    In his long litany of woes, Romero suffers from aching muscles, acute diarrhoea and lipodystrophy, a notorious HAART-related condition in which fat can accumulate on the belly or as a "buffalo hump" on the back of the neck, yet disappear from the face, leaving a patient looking sunken-eyed.
    He is haunted especially by exhaustion, a never-ending feeling of being unwell and of "premature ageing", that his body and a mind have become old before their time.
    "I don't know what it's like to sleep for more than three hours in one go," said Romero. "Even when I come back from holiday, I can't say, 'I feel really relaxed.'"
    Life for Romero is dictated by the pill box. He takes six HAART tablets a day, four tablets for diabetes -- another HAART risk -- and throughout the day takes quantities of medication for the diarrhoea.
    Even so, Romero, as president of an association gathering local officials in the fight against AIDS, is the first to praise HAART as a lifesaver.
    In 1987, at the age of 27, he learned that he had the human immunodeficiency virus (HIV).
    At that time, such news heralded a long, painful and inevitable descent towards death. The only medication was AZT, which had "horrifying" side effects and had to be taken every four hours.
    "We lived from day to day. There was no point planning beyond that. We saw people dying all around us, and we would say, 'That will be us one day.' We didn't think about the future, because the present was all we had. I remember thinking, 'I won't live beyond 30'."
    All that changed in 1996, when HAART became available -- in rich countries at least, for it would take another decade for the lifeline to be cast to poorer nations in Africa.
    Today, millions of people are not only kept alive by HAART but able to hold down jobs, have a social life or a family.
    The drug regimen, initially a punishing 27 pills a day, has been hugely simplified -- some take a single pill a day -- and some of its side effects, including lipodystrophy, are not as bad as before.
    In the light of this success, experts at the six-day International AIDS Conference opening in Vienna on Sunday will debate whether treatment guidelines should be overhauled, so that HAART is given to patients when their infection is at a lower threshold. Reducing mortality will have to be balanced against side effects.Logoaids2010.png
    If HIV has been reduced in the public's mind to the status of a chronic illness, many people have still not placed it on the same footing as routine conditions such as cancer or heart disease, said Romero.
    In France, shame, stigma and discrimination, especially in employment, are deeply rooted, he said.
    "At the time when I found out I was infected, there was compassion. Today, the notion of blame is even stronger," said Romero.
    Living with HIV "is something that you never get used to", he said.
    "For nearly 25 years I have had to live in the consciousness of death, and that has forced me to squeeze every single drop out of life."

  • Ouverture de la 18ème conférence internationale sur le sida à Vienne

    C’est ce dimanche 18 juillet que s’ouvre la 18ème conférence internationale sur le sida à Vienne en Autriche. Elle s’achèvera le 23 juillet.LOGO aids2010Logo.png
    J’assisterai aux premiers jours de cette grande conférence en ma qualité de tout nouveau président du CRIPS-Ile-de-France – Le CRIPS gère le stand France – et bien sûr de président d’Elus Locaux Contre le Sida. Cette conférence réunit des milliers de soignants, chercheurs, politiques, militants associatifs, labos tous les deux ans. C’est le plus grand événement international de la lutte contre le sida.

  • Des immeubles de Vienne arborent leur solidarité avec les sidéens

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  • 51 pays interdisent toujours leur territoire aux séropositifs !

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    Alors que s’ouvre demain, à Vienne, la 18ème conférence internationale sur le sida, 51 pays interdisent toujours leur territoire aux personnes séropositives.

    2010 avait pourtant bien commencé avec le levée des interdictions aux Etats-Unis, en Chine puis, plus récemment, en Namibie. Il faut plus que jamais continuer la mobilisation, car il est scandaleux que les sidéens soient considérés comme des terroristes.

    ELCS publie une carte flyer sur cette question à l’occasion du congrès mondial de Vienne et a remis à jour son plaidoyer pour la fin des interdictions de s’installer ou de circuler des personnes séropositives. Vous pouvez les demander à ELCS en cliquant ici.

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  • Communiqué de presse d’ELCS du 16 juillet 2010

     Alors que s’ouvre ce week-end à Vienne la 18ème conférence sur le sida,

    Jean-Luc Romero appelle le président français

    à reprendre le leadership dans ce combat

    pour la vie et la classe politique à se remobiliser.

     

    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) et du CRIPS Ile-de-France - qui gère le stand France à Vienne -, membre du Conseil national du sida, appelle les autorités françaises et notamment le président de la République, à reprendre le leadership dans la lutte contre le sida au niveau mondial et à refaire du VIH une priorité de santé publique dans notre pays.

    La récente commission d’enquête parlementaire sur la grippe A a montré que lorsqu’il y a une volonté gouvernementale de se mobiliser, les financements sont là. On sait aujourd’hui que si l’accès universel à la prévention et aux traitements était mis en place dans le monde, la pandémie de sida pourrait être drastiquement enrayée.

    Avec Jacques Chirac, la France avait été à la pointe du combat mondial contre cette pandémie et à l’origine du fonds mondial contre le sida ainsi que de la taxe sur les billets d’avion et d’Esther. Ce leadership, comme l’a rappelé récemment un avis du Conseil national du sida et de la conférence nationale de santé, n’est plus assuré par notre pays.

    Jean-Luc Romero qui sera, une fois de plus, l’un des rares élus français à se déplacer à Vienne, regrette le manque de mobilisation actuel de la classe politique et espère que contrairement à Mexico où le gouvernement français n’avait dépêché aucun ministre, des membres du gouvernement viendront témoigner de la volonté française de se mobiliser et d’apporter le soutien français aux contributions innovantes qui pourraient être mises en place pour financer l’accès des plus pauvres aux traitements.

    ELCS édite à l’occasion de la conférence de Vienne des flyers sur les interdictions de circuler et de s’installer pour les personnes séropositives dans encore 51 pays du monde et publie un plaidoyer sur cette question en anglais et en français. Jean-Luc Romero compte aussi sur le gouvernement français pour vaincre définitivement les réticences de ces gouvernements qui, au lieu de s’attaquer à la maladie, continuent à s’attaquer aux malades.

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  • Départ pour Vienne

    Logoaids2010Logo.pngJe décolle, ce soir, pour Vienne en Autriche afin d’assister à la 18ème conférence internationale sur le sida qui débutera dimanche.
    J’aurai l’occasion de vous parler de cette conférence dans les tous prochains jours.

  • Le plan national de lutte contre le sida : une occasion ratée, pour JP Huchon et JL Romero

    Communiqué de Presse du 29 juin 2010
    Le plan national de lutte contre le sida : une occasion ratée

    Le plan national sida 2010-2014 n’est absolument pas à la hauteur des enjeux, déplorent Jean-Paul Huchon, Président de la Région Ile-de-France, et Jean-Luc Romero, conseiller régional et président du CRIPS.
    Jean-Paul Huchon et Jean-Luc Romero partagent totalement les critiques de la Conférence nationale de santé et du Conseil national du sida. Ils regrettent la précipitation dans laquelle le projet de plan a été soumis aux deux instances consultatives. Les deux instances ont dû rendre leur avis sur la base de quelques pages et en très peu de temps.
    Sur le fond, les réponses du plan, copier-coller du précédent, ne sont pas à la hauteur des grands enjeux de la prévention. Le plan n’a pas retenu la proposition d’un dépistage systématique qui avait été faite par la Haute autorité de santé. On sait pourtant que proposer un dépistage à toutes les personnes de 15 à 70 ans serait le meilleur moyen de faire reculer le VIH.
    Le plan n’est pas non plus à la hauteur des enjeux internationaux. Avec ces propositions, la France ne fait plus de la lutte contre le sida une priorité de santé publique au plan international.
    Pour Jean-Luc Romero, « avec ce plan, la France ne se donne absolument pas les moyens d’enrayer l’épidémie. C’est une occasion ratée ».
    Région française la plus touchée par l’épidémie, l’Ile de France est mobilisée depuis plus de 20 ans sur la prévention du Sida et l’accompagnement des personnes touchées. Chaque année, elle y consacre un budget de 5 M€ pour, notamment, financer le Centre régional d’information et de prévention du Sida, qui mène des actions dans les collèges et les lycées. Le CRIPS lancera dans les prochains mois une campagne de communication vers la population francilienne pour inciter au dépistage général.
    La Région Ile-de-France a aussi fait de la lutte contre le sida une priorité de sa politique internationale. Un nouveau rapport cadre sera bientôt proposé à l’assemblée régionale pour soutenir les projets des associations et des ONG franciliennes dans ce domaine.

  • Ma lettre sur le sida et la RDR à Claude Evin dans EGO

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  • Inauguration du stand du Crips et de l’ADMD aux Solidays

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    Après la Marche des fiertés LGBT, j’accompagnerai le président aux Solidays qui sont largement financés par al région Ile-de-France – 800.000€ en 2009. Nous en profiterons pour inaugurer le stand du CRIPS Ile-de-France dont je suis le président de puis hier. Nous visiterons le village associatif et bien sûr je ne pourrai manquer le stand des Jeunes de l’ADMD coordonné par Christophe Michel et Geoffroy.

     

  • Elu président du CRIPS

    Ce matin, j’ai été élu à la présidence du Centre Régional d’Information et de Prévention du Sida (Crips - Île-de-France), dont je suis vice-président depuis 12 ans succédant à mon amie Anne Hidalgo.
    Le Crips - Ile-de-France joue un rôle très important dans la lutte contre le sida, les addictions et les questions de prévention santé en Ile-de-France. Doté d’un budget de 5 millions d’euros en 2010, le CRIPS emploie 55 salariés.
    C’est Jean-Paul Huchon, président de la région Ile-de-France, qui a souhaité présenter ma candidature. Pour la 1ère fois depuis sa création, le Crips sera présidé par une personne vivant avec le sida, ce qui est un symbole fort pour ce centre qui forme plus de 160.000 lycéens et apprentis franciliens tous les ans et gère la représentation de la France aux Conférences biannuelles sur le sida (la prochaine à Vienne en juillet 2010). C’est donc un honneur pour moi-même si cette charge, que je n’ai pas demandé, va se rajouter à mes nombreuses autres responsabilités associatives.
    J’aurai notamment à mes côtés dans le nouveau bureau du CRIPS, aux postes de vice-président, Daniel Canepas, le préfet d’Ile-de-France, et le maire de Carrières-sous-Poissy, mon collègue Eddie Aït.
    En ces périodes tourmentées, je précise que comme pour ELCS et l’ADMD, la présidence du CRIPS, aussi importante soit-elle, est une fonction bénévole et non rémunérée…
    Au moment où je prends cette nouvelle repsoabilité dans la lute contre le sida, jai une pensée forte pour mon amie Anne Hidalgo qui m'a précédé à la tête du CRIPS et bien sûr pour... Hubert qui m'a poussé à transformer mon combat individuel contre la maladie en un combat collectif.