Aucune parole politique, aucune étude épidémiologique sur le chemsex.
Sur BFM-TV, chez Alice Darfeuille, j’ai réagi à la mort de deux hommes à Bordeaux lors d’une soirée chemsex.
Combien faudra-t-il de morts, de comas et de suicides pour que les recommandations du Pr Benyamina soient enfin mises en oeuvre ?
J’ai redit mon désespoir de revivre les débuts du sida où les gouvernants abandonnaient les associations et ne faisaient rien car ils croyaient que ce virus ne touchait les gays. Ce qui, en plus, était faux…
C’est la même chose avec le #chemsex qui concerne à 85/90% les HSH.
Aucune parole politique, aucune étude épidémiologique.
La ville de Paris est bien seule pour accompagner les associations et les soignants qui sont aux côtés des chemsexeurs, donnent l’information, le materiel de RDR, et organisent le testing.
Merci à elles !
#PlusVivantQueJamais
