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aids - Page 25

  • Mon discours à Dakar du 28 septembre 2010

    CEREMONIE DE LANCEMENT DE SOLIDARITE INFO SANTE AFRIQUE, CENTRE DE RESSOURCES SUR LA RELATION D’AIDE A DISTANCE

     HOTEL DE VILLE DE DAKAR
    MARDI 28 SEPTEMBRE 2010 A 18H30

     

    Monsieur le Maire de Dakar, Monsieur le 1er Vice-Président du conseil régional de Dakar, cher partenaire, Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, Monsieur le représentant du Bureau régional de l’ONUSIDA en résidence à Dakar, Mesdames et Messieurs les Présidents d’associations, Mesdames et Messieurs, chers invités,

    C’est un honneur et un grand plaisir pour moi de pouvoir être parmi vous ce soir pour participer à cette grande aventure qu’est la création de SIS Afrique et d’y représenter le président Jean-Paul Huchon. C’est une première, ça a déjà été dit, sur le continent. L’explosion de la téléphonie mobile, l’excellente couverture des réseaux et l’accès à tous de ce nouvel outil qui permet de s’informer de manière anonyme et gratuite est un immense progrès dans la prévention et le traitement du VIH, mais aussi d’autres pandémies.
    La relation d’aide à distance dans le domaine de la santé sexuelle et reproductive, si elle devient indispensable, ne peut malgré tout être improvisée. Les écoutants doivent être formés, les réponses doivent être adaptées. C’est tout le travail d’expertise et d’observation que mène l’association francilienne Sida Info Service, sur le territoire d’Île-de-France – et de France – et je tiens à lui rendre hommage et notamment à son président Amédée Thevenet.

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  • Appel d'ELCS aux élus favorables à l’expérimentation des salles de consommation à moindre risque

    Appel d'ELCS

     

    Parce que, contrairement à ce que certains affirment de façon malhonnête, le débat sur l’expérimentation des salles de consommation à moindre risque (SCMR) n’a rien à voir avec une position idéologique sur la question de la dépénalisation de l’usage de drogues. L’expérimentation des SCMR est uniquement une question de santé publique !
    Parce que nous savons que la réduction des risques est une des politiques de santé les plus efficaces qu’il soit. Elle a ainsi permis une baisse très importante du nombre de contaminations au VIH/sida des usagers de drogues : moins de 2 % aujourd’hui contre près de 30% dans les années 90. Dans ce cadre, les SCMR seront un outil complémentaire au panel déjà existant d’outils de réduction des risques, sans que les politiques d’éducation et de prévention soient négligées, au contraire !
    Parce que les SCMR sont des lieux de prévention et d’accompagnement (et en aucun cas des lieux
    d’incitation !) où les usagers de drogues sont informés sur les pratiques sûres en matière d’injection. Grâce à la présence de personnels médicaux, les surdoses et les contaminations par le VIH ou le VHC pourront être évitées et une démarche vers le sevrage envisagée et concrètement mise en place,
    Parce que les SCMR sont un outil de santé déjà adopté par 6 de nos voisins européens et que l’INSERM, organisme d’expertise reconnu, a conclu, après l’étude de plus de 700 publications nationales et internationales, à l’utilité et à l’efficience de ces structures,
    Parce que le coût de création et de fonctionnement d’une SCMR est bien moins important que les coûts engendrés par la prise en charge des traitements liés aux contaminations au VIH et au VHC, contaminations qui auraient pu être évitées.
    Parce que nous sommes contre l’hypocrisie : on distribue des seringues aux usagers de drogues et ensuite on laisse les usagers s’injecter dans la rue, dans les parcs ou dans les cages d’escalier, faisant ainsi peser un risque sur les riverains à cause de la dissémination des seringues dans l’espace public,
    Parce que, conscient des désordres que peuvent provoquer les usagers de drogues, il est de notre devoir de réagir ; dans ce cadre, les salles de consommation à moindre risque apparaissent comme un outil de médiatino sociale.
    Parce qu’être élu, c’est prendre ses responsabilités, apporter des réponses concrètes et efficaces à un problème et agir avec comme but unique la satisfaction de l’intérêt général,
    Nous sommes favorables à l’ouverture, à titre expérimental
    et sous le contrôle d’un comité de suivi rendant régulièrement compte,
    d’une salle de consommation à moindre risque en France.
    Pour signez l'appel: cliquez ici.
    Lire aussi AFP (ici), TV5Monde (ici), Citegay (ici), L'Express (ici), Le Parisien (ici).

    logo elcs 15 ans jpg.JPG

  • Appel au témoignage de personnes séropositives

    Elus Locaux Contre le Sida a 15 ans. Pour célébrer cet engagement dans la lutte contre le sida, l’association que j’ai créée et que je préside, prépare la réalisation d’un ouvrage de témoignages original, basé sur la rencontre entre des personnes séropositives et des élus politiques.
    15 ans et 15 rencontres illustrées par des photographies et témoignages écrits. L’association entend ainsi remobiliser l’ensemble des acteurs politiques ainsi que les médias sur la vie quotidienne avec le VIH et la prise en charge des personnes atteintes.
    Si vous souhaitez apporter votre témoignage sur l’impact social de la maladie, la sexualité, vieillir avec le virus… et participer à l’une de ces rencontres, vous pouvez appeler le 01 42 72 36 46 ou écrire à info@elcs.fr afin d’obtenir toutes les informations utiles pour prendre votre décision.

  • Journées de rencontres autour du sida à Dakar

    Ce matin, dès 8h30, je visiterai le centre de traitement ambulatoire de l’hôpital de Fann et de la ligne d’écoute nationale. Le midi, j’inaugurerai les locaux de l’association Solidarité Info Santé Afrique puis rencontrerai différents associations de lutte contre le sida au Sénégal durant l’après-midi.

  • Mon débat face à Jacques Myard dans Soir 3 (partie 1)

  • Mon débat face à Jacques Myard dans Soir 3 (2ème partie)

  • Invité de Soir 3 vers 22h30 sur France 3

    A l’invitation du présentateur du Soir 3, Francis Letellier, je débattrai de l’importance d’expérimenter des salles d’injection en France. Je serai opposé à l’ultra conservateur Jacques Myard, député UMP des Yvelines. Ca promet !
    Notre débat devrait avoir lieu vers 22h30 sur France 3.

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  • Les 20 ans de Diagonale

    J’interviendrai ce matin, en ma qualité de président d’ELCS et du CRIPS mais aussi au nom du président Jean-Paul Huchon, aux 20 ans de l’association Diagonale qui se dérouleront à Juvisy dans l’Essonne.

    Diagonale mène un travail remarquable dans l’accueil et le soutien des personnes séropositives et de celles atteintes de pathologies lourdes.

  • Les derniers mois de Lula… Il manquera !

    Dans quelques mois, le président brésilien, Luiz Inacio Lula de Silva va quitter la présidence de son pays. Arrivant à l’échéance de son deuxième mandat, la constitution lui interdit de briguer un troisième mandat.

    Il est rare qu’un président en fin de mandat fasse autant l’unanimité. Chez lui. Mais aussi dans le monde.

    Le départ de Lula, même s’il est normal démocratiquement, laissera un vrai vide. Une figure internationale manquera pour défendre les plus modestes. En ce qui me concerne, je n’oublie pas le rôle considérable qu’il a joué dans la lutte contre le sida – souvent de concert avec Jacques Chirac – et sa sensibilité aux 33 millions de malades à travers la planète fera défaut car aujourd’hui, aucun chef d’état ne semble emboîter son pas dans ce combat.

  • Article de l'Indépendant

    L'indépendant 11sept2010.jpg

  • RDV avec Fadela Amara

    J’ai rendez-vous, ce soir, avec la secrétaire d’état  chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, pour évoquer la lutte contre le sida et contre l’homophobie dans les banlieues. Je la rencontrerai en fin d’après-midi alors qu’elle doit poser bientôt avec un malade du sida dans le cadre du livre de photos et de témoignages que publiera ELCS en fin d’année à l’occasion des 15 ans de l’association. Un livre qui montrera les mille visages de la maladie puisque pour la 1ère fois, des malades et des séropositifs poseront à côté d’élus et évoqueront la vie avec le sida en 2010.

  • Déplacements à Perpignan, Juvisy et Aix-en-Provence en septembre

    Avec cette rentrée, je reprends mes déplacements pour une fin de vie digne et la lutte contre le sida. Dans une semaine, le 11 septembre, je serais à Perpignan pour une réunion ELCS, une réunion publique ADMD à 18h00 suivie d’une dédicace des « Voleurs de liberté ». Le 16 septembre, je représenterai le président Jean-Paul Huchon mais aussi ELCS aux 20 ans de Diagonale, association de lutte contre le sida, à Juvisy dans l’Essonne. Enfin, le 25 septembre, j’animerai une réunion de l’ADMD à Aix-en-Provence, suivie d’une dédicace des « Voleurs de liberté ».

    Un bon début d’automne pour reprendre la mobilisation !

  • Retour aux réalités !

    Après une quinzaine de jours à Miami, retour aux réalités !

    Me voici de nouveau à Paris avec bien des défis en cette rentrée d’automne : défis professionnels à Vigneux-sur-Seine, défis électifs à la région Ile-de-France, défis militants à l’ADMD, ELCS et au Crips Ile-de-France. Sans oublier de continuer à faire connaître mon dernier livre « Les voleurs de liberté » qui, presque un an après sa sortie, suscite toujours beaucoup d’intérêt lors de mes déplacements en province. Preuve que la question de la fin de vie préoccupe nos concitoyens. Contrairement à nos gouvernants !

    Bref une rentrée bien chargée !

  • 19ème conférence sur le sida en 2012 à Washington !

    La 18ème conférence internationale sur le sida est à peine terminée que déjà se prépare la 19ème conférence. Elle se réunira à Washington aux Etats-Unis en 2012.

    Un moment important pour les 20.000 congressistes attendus car cette conférence n’a pu avoir lieu ces dernières années aux Etats-Unis car ils interdisaient leur territoire aux personnes séropositives.

    Faire la prochaine conférence aux USA est un signal aux 51 pays qui continuent à discriminer les personnes vivant avec le sida.

    Mais d’ici 2012, combien d’entre nous auront disparu : le sida tue 2 millions de personnes par an. Au congrès de Washington, 4 millions de personnes seront décédées depuis le dernier congrès de Vienne…

  • Itw dans les JT de RTL et de France Bleu Nord

    Logo_rfi.jpgJ’ai beau être en vacances depuis une petite semaine, je suis quand même resté en contact permanent avec la France pour suivre les dossiers qui me tiennent à cœur. Cette semaine, j’ai répondu à plusieurs interviews sur Florence Cassez, mais aussi sur l’interdiction de circuler des séropositifs… c’était un direct sur RFI à… 5H30 du matin pour moi, 11h30 en France.logo RTL.gif
    Hier, j’ai répondu aux questions de France Bleu Nord à l’occasion de ma visite à Florence Cassez que je ferai ce lundi. Vous pourrez entendre cette interview dans les JT de lundi matin sur France Bleu Nord.
    Aujourd’hui, j’ai répondu aux questions de RTL sur l’étude très sérieuse et étonnante faite pas deux chercheurs auprès de 904 homosexuels et qui démontre que les gays, à compétence égale, sont payés 6,5% de moins dans le privé que les hétérosexuels. L’interview passe dans les JT de RTL. Pour plus d’infos sur cette étude qu’il serait stupide de mettre en cause sans l’avoir lue, cliquez ici.

  • Le gouvernement devra rendre compte de son irresponsabilité sur la santé publique !

    Dans un sondage Ifop pour La lettre de l’Opinion, rendu public aujourd’hui, 53% des Français sont favorables à l’ouverture de salles de consommation supervisées pour usagers de drogue.
    Dans le détail, 11% sont “très favorables” et 42% “plutôt favorables”, tandis que parmi les 47% d’opposants, 23% y sont “plutôt opposés” et 24%“ très opposés”.
    Pour mémoire, des salles de consommation existent dans plus de 45 villes de 8 pays, (Allemagne, Pays-Bas, Luxembourg, Espagne, Norvège, Suisse, Canada, Australie,…), destinés aux toxicomanes les plus précarisés.
    L’étude de l’Inserm, publiée cet été, a montré l’intérêt indiscutable de ces salles pour la santé publique. Malgré cela, le gouvernement continue a refusé de prendre en compte les éléments scientifiques pour revenir sur sa décision de refuser l’expérimentation des salles d’injection. Sa décision est lourde conséquence pour la santé publique. Un jour, il devra rendre compte de son irresponsabilité dans ce domaine.

  • A 11h45 dans « Priorité Santé » sur RFI

    J’interviendrai, en direct et par téléphone, dans l’émission « Priorité Santé » sur RFI ce jeudi à 11h45.Logo_rfi.jpg Je répondrai aux questions de la journaliste Claire Hédon sur les interdictions de circuler des personnes séropositives. L’occasion de faire le point alors qu’en 2010, trois nouveaux pays ont enfin levé les interdictions d’entrées imposées aux sidéens – les Etats-Unis, la Chine et la Namibie. Je répondrai d’ailleurs des Etats-Unis où je peux désormais séjourner depuis le 1er janvier et pour moi, il sera 5h45 du matin… Vive les vacances !

  • Refus de l’expérimentation des salles de consommation à moindre risque : non assitance à personnes en danger !

     

    Communiqué de presse du 12 août 2010

     

    A l’heure où le gouvernement choisit de stigmatiser les populations émigrées et les populations défavorisées, il ajoute à sa triste liste les malades.

     

     

     

    Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, déclare trouver incompréhensible la déclaration de Matignon qui clôt - pour le moment il l’espère - le débat sur l’expérimentation des salles de consommations à moindre risque et ce contre l’avis de l’INSERM, de Roselyne Bachelot, ministre de la santé.

    Selon lui, Matignon se trompe totalement de débat : il n’est pas de se demander si l’on est pour ou contre les drogues mais bel et bien de prendre en charge ou non des personnes en situation d’extrême précarité et par là-même d’améliorer ou non la santé et la sécurité publique. Manifestement, Matignon a préféré l’immobilisme idéologique à un pragmatisme efficace …

    Le président d’ELCS affirme que ne pas expérimenter ces structures en France relève de l’hypocrisie la plus complète : en France, on donne des seringues à des usagers de drogues en leur disant d’aller se piquer on ne sait où, dans la rue ou dans les halls d’immeuble. On donne des traitements de substitution mais on sait très bien que certains se les injectent. La mise en place de ces structures innovantes serait un vrai gain en termes de  santé pour les usagers de drogues mais aussi en termes de sécurité et d’ordre public.

    Jean-Luc Romero rappelle également que les salles de consommation à moindre risque existent déjà chez nos voisins européens notamment en Espagne, en Suisse, en Allemagne. Les résultats obtenus sont à chaque fois très bons et les structures totalement acceptées par les riverains.

    Jean-Luc Romero regrette vivement que Matignon ait choisi une position populiste inefficace et dangereuse pour la santé et la sécurité publique plutôt qu’une approche humaine et scientifique, dégagée d’arrières pensées idéologiques. Cette décision constitue une non-assistance à personne en danger comme ce fut le cas quand la France a tardé à permettre la vente libre de seringues ce qui entraîna des milliers de contaminations qu’on aurait pu éviter.

    A l’heure où le gouvernement choisit de stigmatiser les populations émigrées et les populations défavorisées, il ajoute à sa triste liste les malades.
    Lire aussi France 24 (ici), Le Parisien (ici), Afrique Actu (ici), Nousvousils (ici), Paperblog (ici).

  • Les capotes doivent être gratuites, notamment pour les séropos !

    Communiqué de presse du 11 août 2010

     

    Face à la crise, il n’y a pas que les banques qui ont besoin d’aide …

    la prévention doit être une priorité !

     

    Les capotes doivent être gratuites,

    notamment pour les personnes séropositives !

     

     

     

    Face à la crise et la précarisation grandissante de nos concitoyens, Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, réclame que l’Etat prenne ses responsabilités d’acteur de santé publique : il demande donc aux pouvoirs publics la gratuité totale des préservatifs masculins et féminins !

    Il est bien évident que face aux difficultés financières des Français, même si des efforts importants ont été faits quant au coût des préservatifs, comme par exemple la campagne des préservatifs à 20 cents, l’achat de préservatifs masculins peut malheureusement devenir une dépense secondaire. Il en est de même pour les préservatifs féminins qui coûtent plus de 1 euro !

    L’Etat doit donc prendre en charge le coût des préservatifs. Ce faisant, il joue son rôle d’acteur de santé mais également de bon gestionnaire des dépenses publiques : en effet, il est évident que, sur le plan économique, prévenir coûte bien moins cher que traiter.

    Concrètement, l’espérance de vie d’une personne contaminée par le VIH/sida à 20 ans étant aujourd’hui de 69,4 ans et le coût moyen mensuel d’un traitement de 1500 euros, cette personne « coûtera » à la société 900.000 euros. Le coût global de la gratuité totale des préservatifs serait bien moins important ! Au-delà de l’intérêt premier patient qui doit primer et sans tomber dans le cynisme, cela prouve bien, sur le plan économique et financier la justification d’une prévention généralisée.

    Concrètement, plusieurs systèmes peuvent être envisagés :

    - mise en place de la gratuité totale via des contrats passés entre Etat et fabricants et mise à disposition dans les lieux publics (mairies, gymnases, hôtels des impôts, centres de la sécurité sociale…) comme dans les cafés, les restaurants et, bien sûr, les pharmacies.

    - remboursement des préservatifs via une prescription faite par un médecin pour les personnes séropositives et pour ceux pour qui le coût est un réel obstacle comme les jeunes de moins de 25 ans et les personnes vivant avec les minima sociaux.

    Une multitude de circuits peuvent être imaginé, le tout étant une question de volontarisme politique. Les banques ont été aidées de façon massive, pourquoi pas la prévention et notamment les personnes séropositives ?

    Le débat mérite d’être enfin lancé !
    Lire aussi CiteGay (ici).

  • Dîner avec les séropositifs isolés à Basiliade car la maladie ne prend pas de vacances !

    Lors de la campagne électorale, nous étions allés, avec mon amie Anne Hidalgo, dîner à Basiliade, seule association qui organise tous les soirs, près de République, un dîner pour les personnes séropositives.logoBasiliade.JPG

    J’avais promis d’y revenir. Je tiens ma promesse et j’irai ce soir dîner avec les séropositifs isolés qui trouvent, grâce à Basiliade, non seulement un repas mais aussi un peu de chaleur humaine. C’est pour eux d’autant plus important à cette époque de l’année où Paris est désert et où bien des institutions d’accompagnement sont fermées.

    Ce sera la quatrième fois que je vais à ce dîner mais je sais d’avance à quel point ce moment sera fort. Merci à Didier Arthaud et ses bénévoles de Basiliade d’être là même quand tout le monde est parti. Car pour les malades, la maladie ne prend pas de vacances.