Invité du Grand Journal de Canal Plus à 19h00
Je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus sur l'affaire Vincent Lambert alors qu'est diffusée une vidéo volée et tronquée dans les médias et les réseaux sociaux de Vincent.
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Je serai l'un des invités du Grand Journal de Canal Plus sur l'affaire Vincent Lambert alors qu'est diffusée une vidéo volée et tronquée dans les médias et les réseaux sociaux de Vincent.
Alors que le Sénat va discuter de la proposition de loi sur la fin de vie, je rencontrerai ce matin les sénateurs qui sont favorables à la légalisation de l’euthanasie.
Même si le rapport de force au Sénat ne nous est pas favorable, nous tentons de faire passer des amendements qui permettront aux Français d’être enfin respectés en fin de vie…
Dans une semaine, les sénateurs discuteront de la proposition de loi sur la fin de vie. Avec le bureau national d’ l’ADMD, nous ferons le point ce soir sur notre stratégie.
Après ma réunion de La Roche-sur-Yon d’hier soir, je serai ce samedi matin à Nantes pour une conférence dédicace à la librairie Coiffard – 7, rue, de la Fosse – à 11h00.
Je vous espère nombreuses et nombreux pour vous faire découvrir notre combat à l’ADMD et mon nouveau livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
A l’invitation de la déléguée de la Vendée, Maryse Kalsh, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à l’hôtel Kyriad de La Roche-sur-Yon à 17h30.
Cette réunion publique ouverte à tous sera suivie d’une dédicace de « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Je vous attends nombreuses et nombreux !
Suite à la décision concernant le jeune Vincent lambert, et juste avant de prendre mon train pour La Roche-sur-Yon, je serai invité de France Info à 11h23 et France Bleu à 12h05.
A l'occasion de mon déplacement à La Roche-sur-Yon (ce vendredi) et Nantes (samedi) pour l'ADMD et pour mon livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?", je suis l'invité de France Bleu Loire Océan ce vendredi à 7h40.
Alors que la décision concernant Vincent Lambert sera rendue vendredi en fin de matinée, je serai l'invité de France Bleu Alsace dans l'émission Place Publique à 7h15.
J’avais accepté de préfacer le livre de Mélanie Raphaël-Béthune intitulé « L’euthanasie, un débat volontairement étouffé ! » récemment paru et je ne le regrette vraiment pas.
Mélanie est une jeune militante de l’ADMD. Elle m’impressionne depuis longtemps par sa détermination et son militantisme. Et ce livre est le reflet de la belle et intelligente personnalité de Mélanie : il donne envie de se battre pour notre Ultime Liberté.
Ce livre est la suite logique de son mémoire qu’elle avait consacré à la fin de vie.
Cet ouvrage donne toutes les clés nécessaires pour comprendre le débat actuel sur la fin de vie mais aussi fait comprendre les raisons pour lesquels les décideurs sont si frileux dès qu’on parle de la mort.
Je ne peux que vous conseiller ce livre paru aux éditions « Les points sur les i ».
Au moment où le Sénat débat de la proposition de M. leonetti, ce livre vous démontre, comme j’ai aussi tenté de le faire dans mon dernier livre, que la loi actuelle et son projet de modification ne sont pas à la hauteur du défi de la fin de vie en France.
Un livre à lire…
Acteur de la scène politique depuis plus de 15 ans, Jean-Luc Romero était très présent sur les plateaux télévisés lors du débat sur le mariage pour tous. Cette fois, dans un entretien pour L'Incisif, il partage son opinion en faveur de l'euthanasie. D'un sujet de société qui divise à un autre, le maire-adjoint chargé de la culture et du tourisme du 12ème arrondissement, montre qu'il est avant tout un homme de combat.
A lire sur le site de l'Incisif (ici).
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Par sa proposition 21, François Hollande a promis de légaliser «une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité». Ce qui reviendrait, même si le mot n’a jamais été prononcé, à autoriser l’euthanasie «sous certaines conditions». Un débat de société qui une fois de plus est susceptible de fortement diviser?
Cette question est la seule question sur laquelle il y a un consensus dans ce pays. Hors classes politiques, cette question interpelle le peuple. Que ce soit Libération, Le Figaro ou La Croix qui publie un tel sondage, l’écart entre ceux qui sont pour et ceux qui sont contre est toujours assez conséquent. Aujourd’hui, les Français veulent légaliser l’euthanasie. Moi qui connaît bien le débat sur le mariage pour tous, pour y avoir grandement participer, le contexte n’est ici pas du tout le même. La question religieuse peut avoir un poids, mais contrairement au mariage gay, la question ne se scinde pas en deux camps: gauche ou droite. Je suis président de l’association pour le droit de mourir dans la dignité, qui compte aujourd’hui 63 000 adhérents, et tous ne votent pas à gauche, loin de là. C’est l’une des questions-consensus, les plus compliquées pour la sphère politique aujourd’hui. Le problème, c’est qu’un certain nombre de responsables politiques, traumatisés par le débat sur le mariage pour tous, ont bien du mal à se plonger dans cette nouvelle problématique. C’est dommage car cela interpelle beaucoup de gens, on le voit aujourd’hui.
La loi Leonetti ne «règle» pas tous les cas, aussi parce que chaque situation est unique et nécessite du «sur mesure»…
Même si je pouvais dire le contraire à une époque, pour moi, la loi Leonetti est devenue une régression, parce qu’elle ne place pas celui qui meurt au centre de la décision. Ce sont les personnes autour du lit, comme l’entourage ou les médecins qui décident de tout, et j’aimerai qu’on sorte de ça. Il y a tant de débat aujourd’hui autour de cette loi, cela prouve bien son manque d’efficacité, voire même ses dérives cruelles: je rappelle qu’il y a notamment la clause du «laisser-mourir» où l’on arrête d’alimenter les gens. Ce sont des pratiques ancestrales. La volonté de la personne concernée, du patient, doit être désormais au centre d’une nouvelle législation. Dans mon dernier livre «Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils?» qui vient de paraître chez Michalon, je démontre en cinq exemples l’échec de 10 ans de politique sur la fin de vie: échec du développement des soins palliatifs, échec de la lutte contre l’obstination déraisonnable, échec du développement des directives anticipées, graves dérives avec 3400 personnes qui reçoivent un produit létal sans avoir rien demandé,…
En France, se pratiquent d’ores et déjà des euthanasies. Pour vous, est-il enfin temps de sortir de cette hypocrisie ?
Selon l’Ined, en France, il y aurait 0,8% d’euthanasie pratiquées, dans un pays qui est censé l’interdire. Donc oui, il faut sortir de cette hypocrisie.
L’hypocrisie actuelle ne permet-elle pas la tolérance de la transgression? Ou si l’on devait résumer, n’est-il finalement pas préférable que l’euthanasie soit pratiquée mais reste illégale?
Oui mais qui décide cette transgression? Ce sont les médecins. J’ai un respect immense pour cette profession, mais cette décision ne doit pas appartenir à ces derniers. Les dérives que j’évoquais précédemment existent par manque de cadre légal. Le problème c’est qu’aujourd’hui on fantasme sur les pays qui pratiquent légalement l’euthanasie. On dit de ces pays qu’ils tuent à tout va, qu’il y a des dérives et des abus dans tous les sens. Tout ceci est faux, des études le prouvent. Il y a peu, on entendait que toutes les personnes âgées hollandaises et belges fuyaient leur pays de peur qu’on les euthanasies. Il a fallu l’intervention des pays en question pour dire d’arrêter d’inventer de telles choses. Une loi pour l’euthanasie, ça évite les dérives, et ça protège pour ceux qui veulent vivre jusqu’au bout, parce que ça pose des principes. Cette loi, elle protège les patients. C’est le but ultime d’une loi.
On parle beaucoup de dignité et d’ultime liberté pour appuyer la légalisation de l’euthanasie. Certains cas, de personnes physiquement atteintes, restent très durs à déterminer. L’ultime liberté d’un individu, ne serait-ce pas aussi de pouvoir continuer d’espérer alors que tout s’y oppose? Beaucoup de médecins s’accordent souvent à dire que, dans bien des cas, le dernier à espérer reste le patient lui-même.
Bien-sûr qu’il existe des personnes qui peuvent changer d’avis. S’ils n’ont rien écrit, et qu’ils sont dans l’incapacité de le faire, il y a autre chose à imaginer, évidemment. Ceux qui font des raccourcis hâtifs pensent, qu’en tant que personne favorable au droit de mourir dans la dignité, je suis prêt à condamner toutes celles et ceux qui sont dans un état léthargique, où même communiquer avec le monde extérieur est impossible. C’est évidemment faux.
Qui plus est, il y en a qui ont des vraies convictions dans ce domaine également. Nicole Boucheton, la vice-présidente de l’ADMD (Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité), atteinte d’un cancer, est partie en Suisse et, malgré ses convictions initiales. Elle a changé d’avis. Elle ne voulait pas avoir une vie qui n’en n’était pas vraiment une. Souvenons-nous aussi d’une chose: nous sommes le pays qui compte le plus de suicides chez les personnes âgées parmi nos voisins européens. C’est une donnée à prendre en compte. Encore une fois, l’avis du patient lui-même, doit être au cœur de ce projet de loi.
Les médecins qui sont opposés à l’euthanasie, n’ont pas décidé un jour de se lancer dans la médecine pour tuer les gens mais pour les sauver…
On peut comprendre leurs positions, mais il faut aussi avoir la modestie de savoir que la vie d’un être humain a une fin. Si la personne souhaite être sauver coûte que coûte, cela va sans dire qu’il faut lui apporter toute l’aide possible. Mais si cette personne ne veut pas? Le médecin, aussi charitable soit-il, ne doit pas sortir de son rôle. Il ne faut pas dire «tuer», ici, il s’agit d’accompagner une personne en fin de vie.
Si la loi venait à passer, seriez-vous favorable à une clause de conscience pour les médecins?
Tous les pays qui ont légalisé l’euthanasie, ont cette clause de conscience. J’y suis bien-sûr favorable également. Avec les nombreuses études qui existent sur le sujet, on se rend compte que la majorité des médecins le font et très peu utilisent une clause de conscience. Le cas de la Belgique en est le meilleur exemple.
A lire (ici).
Ce mardi 2 juin, en fin de journée, je serai auditionné par la commission des lois du Sénat sur le projet de loi sur la fin de vie.
Je rappellerai l’opposition de l’ADMD au texte de M. Leonetti et referai le bilan de 10 ans d’échec sur la fin de vie en France reprenant les arguments et chiffres que j’ai longuement développés dans mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Aujourd’hui, je présiderai le bureau du Crips Ile-de-France qui se déroulera au siège du Crips dans le 15ème arrondissement de Paris.
Ce mois de juin est particulièrement chargé avec l’organisation du stand aux Solidays et notre participation à la marche des Fiertés LGBT de Paris.
Avis aux leve-tôt !
Ce dimanche, à 7h50, je serai l'invité de RFI dans Le Livre France pour "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?"
Ce samedi 30 mai, après avoir travaillé avec les délégués ADMD de la région dans la matinée, j’animerai une réunion publique sur la fin de vie à 14h15 à l’hôtel Parc Beaumont de Pau – 1 avenue Edouard VII.
Cette réunion sera suivie d’une dédicace de mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? » organisée par la librairie Tonnet.
Je vous attends nombreuses et nombreux à Pau !
A lire aussi dans Sud Ouest (ici).
Samedi matin, à Pau, je réunirai les délégués des Landes, Hautes Pyrénées et Pyrénées Atlantiques pour travailler sur la stratégie de l’ADMD dans ces départements où le nombre de nos adhérents ne cesse de grossir. Cette réunion sera suivie d'un meeting avec les adhérents de Pau.
A l’occasion de ma réunion publique ADMD à Pau de demain et de la dédicace de « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir les politiques le savent-ils ? », je serai l’invité de Isabelle Young sur France Bleu Béarn vers 18h00.
Ce jeudi 28 mai, à 17h30, je serai l’invité de la librairie Decitre Confluence - 112, cours Charlemagne à Lyon, 2ème ardt - pour une conférence dédicace de « Ma Mort M’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Je serai en compagnie du délégué de l’ADMD, Hubert Sapin, et je vous attends nombreux !
Lire aussi Lyon Mag (ici), Radio Espace (ici).
Dear friends,
What's new since June the third 2014, when I already had the pleasure of addressing your General Assembly ?
You have a new royal princess. We haven't.
Apart from that, London and Paris are both beautiful capitals. One is the temple of Musicals, the other is the temple of gastronomy.
What else ? Well, the reason we are gathered together this Monday afternoon in May.
While the UK is advancing on the - lengthy- legislative process towards active help in dying, France has plunged into the most total hypocrisy.
Instead of legalizing euthanasia, as more than 90% of French people are demanding constantly since over 30 years , we are inventing - once more- the French exception to show how much better and stronger we are than everybody else.
The French president has chosen to lean on a MP from the opposition, who does not suggest giving a lethal product to dying people who would like to die fast, without any suffering. No, what he proposes is to put them to sleep and deprive them of water and food, which is the summit of irony in the country of gastronomy... they are thus allowed to die slowly of hunger and thirst. According to famous medecine professors and to the Catholic church, they do not suffer, they just sleep their way into death, allowing for their families to mourn a little longer and this is not active euthanasia since the suffering body is left to die on its own.
Who are they trying to fool ? The doctor who removes the stomach tubes is perfectly aware of the fact that by doing this, he will cause the death of the patient. He just doesn't know when. Moreover, there have been quite a few scientific reports stating that this deep and continuous sedation causes physical and mental suffering for the sedated patient. And philosophers, as well as witnesses of these sedations, mention how distressed the relatives and the medical teams are. They can only stay around and watch a dying process that may last for days or for weeks even, sometimes more than a month.
What is this country which refuses to listen to the conscious and repeated wish of its citizens at the end of their lives and chooses to plunge them and their relatives into fear and uncertainty ?
This beautiful French exception which the whole world envies us, has been voted nearly unanimously at the National Assembly (Parliament) on March 17th and we can thank Jean Leonetti for having created this infernal machine. It will be presented to the Senate in June.
The goal of ADMD-France is to try and avoid the same voting results in both houses of Parliament. It would mean that in Pantagruel's country the citizens would have no other alternative than dying of hunger and thirst to avoid the qualms of a painful and undignified death. Should it not be the case, the bill would be sent back to the National Assembly in what we call the "parliamentary shuttle" and would be examined once more during 2016. And since the presidential and legislative elections would be coming closer - spring 2017- one will hope for the bill to get lost in the legislative dungeon.
Our members will be asked to mobilize the French senators to bring amendments to the bill. A communication campaign will be launched soon and letters sent to all the senators.
This is the sad reality in France about end-of-life issues. What a difference between us and the country of Shakespeare ?
There is still another possibility for which we are battling as hard as we can : that an amendment legalizing euthanasia and assisted suicide should be adopted at the National Assembly. During the first reading, such an amendment was nearly adopted. A majority of MP's was in favor of it. But many of them just didn't bother to come and vote that day. We will therefore campaign for a second reading at the National Assembly and for all MP's to come and vote.
We are also fighting in all our provinces with our 130 local delegates, who interview the local MP's and try to convince them to vote for the legalizing of euthanasia and assisted suicide. We organize public meetings everywhere in presence of MP's. And, in July, for the first time, we will organize an ADMD-Tour across all our country.
Oh, by the way, do you want to find out about some breaking news in France? From June the third 2014 until today our society grew from 55. 500 active members to 63. 000 in less than a year... 12, 000 new members in one year ! Something quite unheard of since we have started to exist.
Not much of a consolation, facing the awful death this government has in store for us. However, we are not giving up and we multiply our actions to conquer our last freedom...
Like for you, it will happen because it is in phase with history.
Le jeudi 11 juin, à partir de 19h00, se déroulera la soirée des vingt ans d’ELCS à la mairie du 10ème arrondissement de Paris grâce au maire engagé Rémi Féraud.
Cette soirée, placée sous le haut patronage du président de la République, sera animée par Wendy Bouchard et Christophe Beaugrand.
Outre notre présidente d’honneur, Sheila, deux marraines ont été choisies pour cette soirée (#Soirée20), les anciennes ministres de la santé Roselyne Bachelot-Narquin et Dominique Gillot.
De nombreuses personnalités viendront témoigner de la nécessité que les élus se mobilisent dans la lutte contre le sida. Cette soirée réservera, croyez-moi, de nombreuses surprises.
Même si en créant ELCS, il y a 20 ans, j’aurai préféré ne pas souhaiter un tel anniversaire, il est important de rappeler, en 2015, que le sida se soigne aussi par la politique…
Vous pouvez confirmer votre présence en appelant au 01.42.72.36.46 ou par mail (ici).