Santé - Page 109
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Débat de l’ADMD-Tour sur MCE jeudi à 20h45
Lors du lancement de l’ADMD-Tour, le 30 juin dernier, à Paris, place de la République, plusieurs débats ont été organisés par Ma Chaine Etudiante (MCE).
J’ai participé au deuxième débat aux côtés de Christophe Michel et Nicole Labarre. Nous y parlons de l’ADMD mais aussi de mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Ce débat sera diffusé ce jeudi16 juillet à 20h45 sur MCE et repassera, vendredi 17 juillet, à six reprises. -
Invité de France Info mercredi à 7h15
Ce mercredi 15 juillet, a 7h15, je serai l'invité de France Info sur l'affaire Vincent Lambert et la fin de vie.
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A l’ADMD-Tour à Toulouse
Après avoir rejoint les jeunes de l’ADMD à Montpellier samedi, avec le trésorier adjoint de l’ADMD, nous serons de nouveau avec eux pour les encourager pour cette étape toulousaine et en cette veille de fête nationale.
L’ADMD-Tour s’arrêtera ensuite deux jours pour reprendre le jeudi 16 juillet à Anglet, puis sera à Mimizan Plage le 17 juillet et à Bordeaux le 18 juillet, etc… La dernière étape se déroulera le 26 juillet à Lille… -
Ma conférence-dédicace de "Ma mort m'appartient" à Marseille dans La Provence
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Dédicace à la librairie Sauramps de Montpellier à 17h00
Alors que l’ADMD-Tour sera à Montpellier demain, je dédicacerai ce vendredi à 17h00 « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? » à la célèbre Librairie Sauramps (Triangle) de Montpellier.
Je vous y attends nombreuses et nombreux ! -
Retrouvez-moi à la librairie Sauramps de Montpellier vendredi à 17h00 !
Alors que l’ADMD-Tour sera à Montpellier samedi prochain, je dédicacerai « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir les politiques le savent-ils ? » à la célèbre Librairie Sauramps (Triangle) de Montpellier vendredi 10 juillet à 17h00.
J’espère vous y retrouver nombreuses et nombreux ! -
Vidéo du lancement de l'ADMD Tour
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Conseil d’administration de l’ADMD
Ce samedi, se réunira le conseil d’administration de l’ADMD.
Alors que l’ADMD-Tour a commencé il y a quelques jours, que le texte sur la fin de vie va revenir à l’Assemblée nationale, il faut plus que jamais faire entendre notre voix dans le débat actuel ! -
Conférence débat sur « Ma mort m’appartient » et la fin de vie à la librairie Prado-Paradis de Marseille à 16h
Ce vendredi 3 juillet, à 16h00, je serai l’invité de la librairie Prado-Paradis de Marseille pour évoquer mon nouveau livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Ce débat sera suivi d’une dédicace.
Je vous espère nombreuses et nombreux ! -
Intervention à la 8ème rencontre des acteurs publics au CESE
Ce jeudi, j’interviendrai à la 8ème Rencontre des Acteurs publics qui se déroule au Conseil économique social et environnemental ces 1er et 2 juillet.
J’y interviendrai sur la question de la fin de vie. -
Mon Edito dans le Journal 133 de l'ADMD : Ma mort m'appartient !
Tout cela pour ça…
Des années de rapports, d'avis, de missions, de commissions. Des heures de discussion au Parlement. Au final avec la mouture votée par les sénateurs (mais il y aura une seconde lecture) un texte qui flatte la frange la plus conservatrice des parlementaires, les militants anti-choix, les médecins les plus jaloux de leur pouvoir.
Hydratation et alimentation ne seraient pas considérées comme des traitements. Il sera donc toujours possible de « gaver » des patients en fin de vie pour les empêcher de partir…
Les directives anticipées ne seraient ni opposables ni contraignantes, même sous conditions.
La sédation ne serait pas terminale.
Voilà… Voulant ménager la chèvre et le chou, le pouvoir exécutif a réussi à ôter aux patients la moindre chance, non seulement de mourir en dignité, mais également de pouvoir user d'une porte de sortie, très éprouvante certes, mais abrégeant les agonies bien trop longues.
Par leur inaction et leur incapacité à entendre les Français, les pouvoirs publics, notamment M. Leonetti, sont, par leur impuissance depuis 10 ans, responsables du drame de Vincent Lambert qui n'en finira plus de végéter, du drame de Jean Mercier qui sera toujours considéré comme un assassin, et de toutes les fins de vie brutales et douloureuses à venir de ceux que nous aimons et dont la volonté ne sera pas respectée.
Quand se lèvera dans notre pays une nouvelle Simone Veil qui portera fièrement au Parlement notre combat de liberté, au nom du respect et de la dignité de chacun ?
En seconde lecture, devant l'Assemblée nationale, les députés pro-euthanasie devront se compter. Ils seront sollicités. Ils devront répondre devant leurs électeurs. En 2017, il y aura des élections globales (présidentielle et législatives). Les 63 000 adhérents de l'ADMD ne seront pas amnésiques. Car, pour eux, n'en déplaisent aux élus anti choix, leur mort leur appartient... Ma mort m'appartient !
Jean-Luc Romero,
président de l'ADMD
t : @JeanLucRomero -
Départ de l’ADMD-Tour, le bus de la liberté !
A l’initiative de Christophe Michel, co-président des Jeunes de l’ADMD, l’ADMD-Tour partira aujourd’hui de Paris à 17h00.
Pour sa première étape, le bus de la liberté sera ce mardi 30 juin stationné place de la république de 12h à 17h00. Avec Anne Hidalgo, nous l’inaugurerons à 16h30 et à 17h il s’élancera sur les routes de France où il effectuera 21 étapes.
Vous pourrez le rencontrer sur vos lieux de villégiature.
En attendant, venez nous rejoindre place de la République et soyez nombreux à 16h30 pour l’inauguration du bus et pour assister à son départ ! -
Séminaire du personnel de l’ADMD
Comme tous les ans, avant la trêve estivale, je participerai au séminaire du personnel de l’ADMD que j’ai initié depuis que j’en suis président.
C’est notamment l’occasion de faire le point avec celles et ceux qui travaillent au quotidien pour notre association et ses 63 000 adhérents sur l’année écoulée. -
J-1 avant le départ de l'ADMD Tour : le bus de la liberté !
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Trans … ou le syndrôme de l’invisiblité : ça suffit ! (Tribune dans L'Humanité)
Samedi : la Marche des Fiertés de Paris. Cette Marche, c’est tout simplement la manifestation annuelle qui regroupe le plus de personnes en France. Concrètement, des centaines de milliers de personnes vont marcher pour plus de respect, plus d’égalité, plus de solidarité. Au-delà de l’objectif de visibilité, cette marche a une portée sociétale extrêmement forte et constitue un beau moment d’engagement en faveur des LGBTI et, plus largement, d’un modèle de société républicaine. Réellement républicaine.
Alors bien sûr, le débat sur le mariage pour tous aura, pendant quelques temps, « éclipsé» les autres thématiques, tant cette question était légitimement centrale. Mais sachons ne pas oublier que « LGBTI », cela signifie lesbienne, gay, bi, trans, intersexe. Assurément, tous les mots sont importants et devraient être égalitairement importants. Assurément, le mot « trans » souvent mis de côté. Ecarté. Oublié. Rendu invisible. Limite déshumanise.
Et pourtant les besoins sont immenses, notamment en termes de santé : oui, les personnes trans sont dans une situation sanitaire que beaucoup, et j’en fais partie, considère comme dramatique. Devrais-je ici rappeler la définition du terme santé donnée par l’OMS ? « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Comment être en bonne santé quand, selon une enquête de l’IDAHO en 2014, 85% des trans déclarent avoir déjà subi un acte transphobe au quotidien et 64% avoir été rejetés du système de sante à cause de leur transidentité? Alors que cette même enquête indique que les personnes interrogées ont perdu un contact avec un ou des amis dans 69% des cas, un contact avec un ou des membres de la famille dans 42% des cas, un travail dans 28 % des cas, comment imaginer être en bonne santé quand l’expression de son propre genre est facteur d’exclusion et de rejet ? Comment se sentir dans « un état de complet bien-être physique, mental et social » quand le ressenti le plus profond de son identité de genre est continuellement facteurs de moqueries et d’humiliations ? Pour rappel, alors que le niveau de discriminations est très élevé, 3% des personnes trans vont porter plainte. Seulement 3% … Cela veut tout dire …normalisation et intériorisation des discriminations…
En fait, les spécificités de la sante des personnes trans, c’est un sujet très délicat. Délicat car, finalement, on ne sait pas exactement de quoi l’on parle. Imaginez quand même que, jusqu’en 2007 et l’enquête menée conjointement par Act Up-Paris et le Crips Île-de-France, il n’y avait pas de données sur le sujet des trans et du VIH. Depuis peu, les pouvoirs publics se sont intéressés très légitimement au sujet. Outre le rapport de la Haute autorité de santé de 2010 et celui de l’IGAS de 2011, c’est bien l’enquête INVS « Trans et santé sexuelle » de 2011 qui doit retenir notre attention et nous apporte des informations importantes, notamment, sur la prévalence au VIH/sida : ainsi, l’enquête indique que 10,9% des MtF (personnes transgenres effectuant ou ayant effectué leur transition du genre masculin vers le genre féminin) interrogés nées à l’étranger sont séropositives. 17,2 % des MtF ayant déjà été en situation de prostitution sont séropositives, sachant que 20,6 % des MtF ayant répondu au questionnaire indiquent avoir été en situation de prostitution au moins une fois dans leur vie.
Soyons francs, évoquer le problème du VIH au sein de la population trans, c’est constater une prévalence élevée, c’est un peu, excusez cette familiarité, regarder le problème par le « petit bout de la lorgnette ». Bien sûr si des facteurs individuels peuvent contribuer à expliquer cette vulnérabilité spécifique au VIH, ce sont bien les politiques publiques qui sont un frein à la prévention et donc favorisent cette même vulnérabilité : obstacles à l’accès aux soins et à la prise en charge, difficultés juridiques liées au changement d’état civil, à l’accès à l’emploi et au logement … je pourrai continuer longtemps cette liste à la Prévert tant les difficultés sont grandes. Je vous renvoie à la lecture du rapport IGAS pour en avoir un aperçu exhaustif.
La santé des personnes transgenres doit être vue et travaillée sous un angle global : épidémiologique, sanitaire, médical, social, juridique, éducationnel, sociétal. Les revendications des associations, nous les connaissons, elles sont portées depuis longtemps, elles sont légitimes : meilleure prise en charge médicale des transitions, simplification de la procédure de changement, développement de recherches sur les traitements médicaux et les effets de l’hormonothérapie, formation et sensibilisation pour les personnels médicaux, campagnes de lutte contre la transphobie …
Alors qu’attendent les pouvoirs publics? Qu’attendre des pouvoirs publics ? Comme souvent, il est fort possible que la solution se trouve du côté européen. Le 22 avril 2015, le Conseil de l’Europe votait la résolution 2048 qu’on peut vraiment qualifier d’historique sur les droits des personnes trans. Toutes les thématiques sont abordées : législation contre la transphobie, traitements de conversion sexuelle, soins de santé et bonnes pratiques, reconnaissance juridique explicite faisant référence à l’identité de genre du genre, sensibilisation du grand public formation des professionnels de santé.
Le Conseil de l’Europe a tracé une feuille de route, une feuille de route, que certains peuvent qualifiés d’ambitieux. En ce qui me concerne, je la considère extrêmement urgente. A l’Etat français de savoir désormais quelle direction prendre : celle de la République, du respect des droits, de l’intérêt général ou celle de l’ostracisme et de l’exclusion.
En marchant, ce samedi de juin, j’aurai une pensée toute particulière pour les personnes trans et le nécessaire respect de leurs droits. Car, pour elles, pour eux, l’invisibilité, ça suffit ! -
Tous aux Solidays !
Comme tous les ans, après la marche des Fiertés LGBTI, je rejoindrai les Solidays où le CRIPS gère le stand Ile-de-France et où sont aussi présents, dans le village associatif, les Jeunes de l’ADMD.
Les Solidays, ce sont trois jours de concerts mais aussi de débats sur le sida et la solidarité avec les pays les plus pauvres.
La région Ile-de-France est le principal financeur de ce grand événement dont Antoine de Caunes est le président d’honneur.
Ce sera donc un immense plaisir que de retrouver tous les militants et activistes des droits humains ce samedi en fin d’après-midi… -
Débat sur Public Sénat sur la fin de vie
débat à partir de 9 min
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Réunion publique ADMD à Créteil à 18h00
Je continue mon tour de France pour l’ADMD et serai ce soir à Créteil pour une réunion publique autour de la nouvelle déléguée du Val-de-Marne, Catherine Ruault.
La réunion se déroulera à 18h00 à la maison des Syndicats Michel Germa et sera suivie d’une dédicace de « Ma mort m’appartient. »
Je vous espère nombreuses et nombreux !
A lire aussi dans Le Parisien (ici) et 94 Citoyens (ici). -
Mon itw dans Nice Matin et Var Matin