Invité de France Bleu Ile-de-France lundi à 8h40
Demain, lundi 2 novembre, à 8h40, journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, je serai l'invité politique de France Bleu Ile-de-France (107.1).
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Demain, lundi 2 novembre, à 8h40, journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, je serai l'invité politique de France Bleu Ile-de-France (107.1).
A l'occasion de la 8ème journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui se déroule ce lundi 2 novembre - 100 manifestations en France dont une à Paris, place de la République dès 17h, j'ai invité plusieurs associations européennes à cette occasion.
Seront à nos côtés des associations anglaise, allemande, suisse et espagnole.
Nous en profiteront pour échanger sur nos différentes stratégies ce dimanche.
Ce samedi 31 octobre, à 15h00, j'animerai une réunion publique de l'ADMD à Bourges.
Cette réunion, ouverte à toutes et à tous, sera suivie d'une dédicace de "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?"
Demain, samedi à 6h20, je serai l'invité du JT de France Bleu Berry à l'occasion de ma réunion publique de Bourges qui se déroulera samedi à 15h00.
L'interview sera rediffusée à 8h40.
Ce mardi, à 19h, à La Bellevilloise, se déroule un forum sur le climat et la pollution en présence de Claude Bartolone, Anne Hidalgo et Marie-Pierre de la Gontrie.
Vous êtes tous conviés à ce forum organisé à l'occasion des élections régionales en Ile-de-France.
Avec Marie-Pierre de la Gontrie, tête de la liste Bartolone à Paris pur les élections régionales, nous échangerons en fin d'après-midi avec des associations Franciliennes sur la question du VIH-sida en Ile-de-France qui concentre la moitié des cas de tout le pays.
Ce mardi 27 octobre 2015, à 7h50, je serai l'invité de France Bleu Saint-Etienne Loire. Il s'agira d'évoquer l'affaire Jean Mercier dont le tribunal de Saint-Etienne annoncera, en début d'après-midi, le verdict le concernant.
Je reviendrai aussi sur l'actualité liée à la fin de vie.
Lire sur le site de France Bleu : (ici)
Ce lundi, dans le 12ème arrondissement de Paris, je présiderai le bureau national de l'ADMD.
A une semaine de la 8ème journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité, il s'agit de finaliser notre mobilisation qui se fera dans 100 villes de France dont Paris, à la République, le 2 novembre, à 17h00.
Après BFM TV, je serai à LCI pour commenter le verdict du docteur Bonnemaison.
Ce samedi 24 octobre 2015, je serai l'invité de BFM TV pour commenter le verdict du docteur Bonnemaison.
Ce jeudi soir, je rencontrerai une partie des membres du comité d'honneur de l'ADMD.
Ce sera notamment l'occasion de remercier Guy Bedos qui a donné de nombreuses interviews sur le droit de mourir dans la dignité.
117 députés ont été cosignataires de l’amendement n°64 de Jean-Louis Touraine, pour le Parti socialiste (amendement travaillé conjointement avec les Ecologistes, dont Véronique Massonneau, et les Radicaux, dont Roger-Gérard Schwartzenberg), visant à légaliser une assistance active à mourir (pièce jointe). Les Radicaux ont déposé le même amendement, le n°84, cosigné par 14 députés. Ces deux amendements, identiques, ont fait l’objet d’une discussion commune.
Pourtant, seuls 26 députés ont voté cet amendement (pièce jointe ou http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/14/(num)/1166). Comparez les noms…
18 députés ont été cosignataires de l’amendement n°257 de Véronique Massonneau visant à légaliser une assistance au suicide (pièce jointe).
Pourtant, seuls 11 députés ont voté cet amendement (pièce jointe ou http://www2.assemblee-nationale.fr/scrutins/detail/(legislature)/14/(num)/1165). Comparez les noms...
A l’issue de la discussion en 2ème lecture de la proposition de loi Claeys/Leonetti, le 6 octobre, le texte a été adopté (à noter que les Radicaux ont refusé de prendre part au vote en raison de l’absence de scrutin public).
Le texte doit retourner à présent au Sénat, mais nous connaissons d’ores et déjà l’issue de ce très long processus législatif entamé depuis 2012 par l’engagement 21 du président de la République. L’engagement ne sera pas tenu et les Français – nous – continueront à mal mourir !
Plus de trente-cinq années que nous revendiquons le droit, pour nous même, à une bonne mort. Plus de 90% des Français y sont favorables. Malgré cela – et les belles promesses faites – le pouvoir exécutif a fait le choix de maintenir notre fin de vie sous l’autorité des médecins et sous la tutelle de Jean Leonetti.
Pouvons-nous laisser faire cela sans réagir ? Que devons-nous dire à présent à ceux qui, au printemps 2017, viendront demander notre vote pour se faire élire président de la République ou députés ? Je vous laisse le choix de votre réponse…
Pour ma part, je continuerai à interpeller nos élus et je demanderai des comptes sur cette question aux candidats qui se présenteront aux prochaines élections.
Plus que jamais, restons mobilisés. Soyons fiers des valeurs que nous portons. Soyons fiers de nous battre pour un nouveau droit.
Avec mon amicale considération,
Jean-Luc Romero
Président de l’ADMD
Après ma rencontrez avec les délégués ce matin, j'animerai, aux côtés de Claudine Crang, une réunion publique de l'ADMD à Bordeaux.
Je vous y attends nombreuses et nombreux !
Ce samedi matin, j'animerai une réunion régionale de délégués ADMD à Bordeaux.
Comme mardi, à Paris, il s'agit de travailler sur notre stratégie face à la surdité des pouvoirs publics sur la fin de vie.
Je serai l'un des invités du "téléphone sonne" sur France Inter, ce jeudi, à 19h15.
Alors que les affaires de fin de vie - Jean Mercier, Vincent Lambert et le docteur Bonnemaison - ne cessent de se succeder et que le Parlement s'obstine à "améliorer" une loi qui ne fonctionne pas, le débat sur l'euthanasie ne cesse d'être relancé.
N'hésitez pas à poser vos questions au téléphoine sonne ou à donner vos témoignages...
Ce lundi, 12 octobre à 12h15, je serai l'un des invités de Daphné Bürki dans La Nouvelle Edition sur Canal Plus sur la fin de vie, le fiasco du débat parlementaire sur la proposition Leonetti, l'ADMD, les affaires Mercier, Lambert et Bonnemaison et bien sûr mon livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ?
Après une actualité en septembre marquée par le lancement des autotests de dépistage du VIH, le mois d’octobre, avec la tenue de la Journée nationale du dépistage de l’hépatite C, continue sur cette lancée thématique: au cœur du débat, la très attendue et espérée autorisation des TROD VHC.
Pour rappel, le VHC en France, c’est 74.100 personnes non diagnostiquées pour une hépatite virale chronique : en somme près de la moitié des personnes atteintes d’hépatite C chronique l’ignore. 10% des personnes présentent une forme avancée de la maladie au moment du diagnostic. Le VHC cause 2600 morts par an… En somme, soyons clairs, le VHC en France constitue une urgence sanitaire où le dépistage, comme pour le VIH, se retrouve au cœur de la réponse, d’autant que, comme nous le savons tous, des traitements révolutionnaires existent, certes d’un coût indécent -, traitements qui permettent d’envisager sérieusement l’éradication de la maladie.
La Haute Autorité de Santé a émis, en mai 2014, ses recommandations pour la mise en place de TROD VHC, dispositif qualifié d’« offre de dépistage complémentaire intéressante ». Sans surprise, la HAS a ciblé prioritairement deux populations: « les personnes à risque éloignées des structures d’accès communs tels que les usagers de drogue les plus marginaux ou les personnes originaires ou ayant reçu des soins dans des pays à forte prévalence du VHC » et « les personnes à risque fréquentant les structures d’accès aux soins et chez qui les avantages des TROD arriveraient plus facilement à convaincre de l’intérêt d’un dépistage immédiat tels que les usagers de drogue suivis dans des programmes de traitement substitutif des opiacés, les personnes détenues ou les personnes vivant avec le VIH ».
Bien sûr, les TROD VHC ne régleront pas tout : comme certains médecins hépatologues le rappellent, un pourcentage important des personnes touchées par l’hépatite C ne relèvent pas des catégories de personnes précitées ; d’où cette volonté de mise en œuvre d’une mesure à laquelle je souscris évidemment totalement : dépister une fois dans leur vie tous les hommes qui ont entre 18-60 ans et les femmes au moment d'une grossesse.
Les TROD VHC ne sont pas un outil miracle. Ils sont un des éléments du maillage de prévention, tout comme l’est l’autotest VIH.
Nul doute que coupler les dépistages VIH, VHC (mais aussi VHB) permettrait de « maximiser » les opportunités du dépistage et c’est sans nul doute vers cela que les acteurs de santé espèrent avancer rapidement … si on les y autorise !