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1er décembre : ma journée totalement mobilisée pour la lutte contre le sida

Le 1er décembre 1987 – il y a 28 ans – je recevais mon 1er traitement contre le sida, l’AZT.
Le 1er décembre 1988 devenait la 1ère journée mondiale de lutte contre le sida… C’est dire que cette journée mondiale est doublement symbolique pour moi : au plan individuel et au plan collectif.
Cette journée sera donc quasi exclusivement consacrée à ce combat.
Le matin, j’irai au local d’AIDES dans le 12ème arrondissement dont je suis élu et où la ministre de la santé Marisol Touraine devrait passer.

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A 12h30, comme depuis 7 ans, j’assisterai à la rencontre qu’organise Anne Hidalgo avec les associations parisiennes de lutte contre le VIH/sida.
A 15h00, sous ma casquette de candidat sur les listes Bartolone pour les élections régionales, j’accompagnerai ma tête de liste parisienne, Marie-Pierre de la Gontrie, à AIDES où elle rencontrera les équipes qui font du dépistage rapide et donnera l’exemple en en subissant un.
Pour mémoire, 30 000 personnes ne savent pas qu’elles sont séropositives en France.

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A 17h30, en ma qualité de président du CRIPS, j’accueillerai les associations de lutte contre le sida au Grand Rex, puis j’ouvrirai le débat qui s’y tiendra à 20h.
Enfin, je rejoindrai Calude Bartolone, Christiane Taubira et Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Ile-de-France, au Cirque d’hiver pour la soirée organisée par Solidarité sida.
Un 1er décembre, mobilisé…

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Commentaires

  • Vous êtes FORMIDABLE monsieur Romero.
    Ma mère aurait dit : SENSASS! (et sa mort ne le fut pas).
    Aucune ironie dans mon propos, je le dis sincèrement.
    Merci d'exister et, longue vie (choisie) à vous.
    Je suis en train de lire "La Suite à La Dernière leçon" de la non moins FORMIDABLE Noëlle Châtelet :
    "Combien de fois l'ai-je martelé : "Le droit de mourir ne fait pas mourir. Au contraire!" Pour ceux qui voudraient partir, la certitude qu'ils pourront le faire librement, légalement, sans violence, le jour où ils l'auront décidé, cette pensée, oui, les apaiserait tant que, pour la plupart, ils renonceraient à se donner la mort. ce n'est pas de mourir que les Français ont peur, mais de mal mourir.
    [...]
    Combien, parmi ces hommes et ces femmes qui depuis tant d'années m'appellent au secours, sont morts aujourd'hui, et surtout, comment?
    Rien n'a donc bougé depuis douze ans, au pays des droits de l'homme, sur la fin de vie? Honte."
    (Extrait pages 113-114).
    Tout est dit.

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