Santé - Page 101
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Invité de France Bleu Touraine à 15h45
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Vendredi 29 avril : Débat à l'Auberge de la Treille autour de Ma mort m'appartient !
Ce vendredi, à 18h30, je suis invité de l'Auberge des Treilles à Saint-Martin-Le-Beau pour un débat autour de mon livre "Ma mort m'appartient" et la question de la fin de vie. Je vous y attends nombreuses et nombreux.
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Sur Radio Grenouille à Marseille.
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"Le Talk du Lundi" sur Périscope ce lundi à 12h sur la fin de vie
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A Marseille, vendredi ... contre le sida !
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Table-ronde d'ELCS sur la sida à Marseille
Ce vendredi, en fin d'après-midi, aux côtés de Patrick Padovani, maire-adjoint, j'animerai une table-ronde sur la situation du VIH/sida à Marseille. Jamais autant de gens n'ont vécu avec le VIH et pourtant ,cela devient une maladie invisible. D'où l'importance des de se mobiliser. pour les élus
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Rencontres avec des médecins belges
Souvent, les militants anti euthanasie, comme M. Leonetti, expliquent les graves dérives qui existeraient en Belgique, pays qui a légalisé l'euthanasie.
Ces affirmations sont absurdes mais certains esprits peu informés y croient parfois. Ils ne se posent jamais la question de savoir pourquoi aucun parti sérieux, en Belgique, ne veut revenir sur cette loi d'Ultime Liberté.
Afin d'avoir encore de meilleurs arguments pour défendre le système belge, qui est d'ailleurs plébiscité par son peuple, je rencontrerai, ce jeudi, les docteurs Rossignol et de Locht qui pratiquent eux-mêmes des aides médicales à mourir en Belgique. -
Réunion publique ADMD à Paris 19ème
Ce lundi 18 avril, à 18h00, je vous attends pour une réunion publique de l'ADMD dans le 19ème arrondissement. J'animerai cette réunion avec Sophie Grassano, déléguée du 19ème.
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A Toulouse, hier samedi ...
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Débat public sur la fin de vie à Toulouse !
Ce samedi, à Toulouse, je suis l'invité de la Libre Pensée pour débattre sur la question de la fin de vie. J'espère vous retrouver nombreuses et nombreux !
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Légalisation du cannabis : opération « enfumage » du gouvernement (tribune dans Le HuffingtonBlog)
Le déni de réalité … et bien, si c’était un délit, on trouverait bon nombre de politiques derrière des barreaux ! Excusez-moi cette entrée en matière un peu brutale mais c’est sincèrement ce que je pense.
De ce déni de réalité, nous en avons eu encore une belle illustration aujourd’hui avec ce « débat » sur la légalisation du cannabis. Aussitôt ouvert, aussitôt refermé et de manière particulièrement sèche : « Si le Parti socialiste veut débattre, c'est tout à fait légitime, mais il n'y a pas sur ce sujet d'autres positions que celle qui a été exprimée par le Premier ministre et le président de la République». En somme, pas de débat, rien à signaler, circulez, il n’y a rien à voir !
Et bien si, il y a beaucoup voir. Et là, il ne s’agit pas de faire des grands discours académico-philosophiques mais de parler de la vie, de la réalité, de ce que refuse de voir certains politiques. Il faut le dire et l’assumer : une société sans drogues n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais. Raconter autre chose, c’est une vaste fumisterie même si évidemment, la démagogie c’est plus simple et plus porteur …
Alors quel est le coût exact de la lutte contre le cannabis ? 568 millions. Oui, 568 millions d’euros par an sont directement consacrés à la lutte contre le cannabis. Ce chiffre incroyable, je doute que beaucoup de nos concitoyens l’imaginent aussi élevé. Mais, après tout, on peut se demander si les résultats cette politique ultra-répressive basée sur la loi de 1970 sont à la hauteur de cet immense investissement ? Je vous laisse en juger : malgré plus 100.000 interpellations par an, ce sont 8,4% de la population des 15-64 ans a déjà consommé du cannabis dans l’année. Plus de 20% chez les 15-24 ans, soit, après le Danemark, le taux le plus élevé d’Europe. Et au-delà de ces coûts directs sur l’aspect économique des choses, il faut ajouter le coût social indirect lié au développement d’organisations criminelles, ce qui est la cause de terribles drames humains …
En France, on aime railler les autres pays, cela fait partie de nos travers. Bien souvent, notre première victime, ce sont d’ailleurs les Etats-Unis dont on pointe allégrement le côté conservateur, religieux et moraliste. Il n’empêche que ce pays a entamé un vrai débat sur la question, un débat pragmatique, avec à la clé le constat assumé d’un échec du tout-répressif et la légalisation du cannabis au Colorado et dans l’État de Washington. Pas mal pour des réacs !
Aujourd’hui, les français en ont assez des discours politiciens, ils réclament, fort légitimement, la fin des vielles recettes, ils exigent que l’on sorte de postures stériles, ils demandent des discours de vérité.
Les chiffres que je viens de citer, il faut les donner. Il faut replacer les choses dans leur contexte global. Il faut dire que l’alcool cause 50.000 morts par an, le tabac 80.000. Ces chiffres sont terribles et pour autant les lobbys de l’alcool et du tabac font en sorte de les cacher avec la coupable complicité de certains parlementaires.
Les Français réclament le débat, il est venu le temps de les entendre, de sortir des postures entre permissifs et répressifs : la santé de nos concitoyens l'exige ! -
"Le Talk du Lundi" sur la fin de vie à 12h00
Ce rendez-vous est désormais hebdomadaire. Tous les lundis, je vous retrouve sur Périscope à 12H00 pour évoquer les questions liées à la fin de vie. Désormais, vous pouvez me poser vos questions sur mon site www.jeanluc-romero.com !
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Vidéo de "Le jour où" sur LCI
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Sur LCI et le sida ...
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Sidaction 2016: Invité de "Le jour où" sur LCI à 14h45 (rediffusion)
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"Le Talk du lundi" à 12h sur Périscope !
Comme tous les lundis, vous pouvez me retrouver, en direct à 12h00, pour "Le Talk du lundi" sur la question de la fin de vie.
J'en profite pour remercier Jordan, membre de l'équipe des Jeunes ADMD, qui a diffusé, sur Périscope, samedi dernier, notre débat avec Noëlle Châtelet à "Lire à Limoges". -
Mon itw pour Limoges Tv à Lire à Limoges
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Mon itw à GayVox : Autotest : "28 euros, c'est trop!"
Jean Luc Romero est un homme politique français, maire adjoint chargé de la culture et du tourisme dans le 12ème arrondissement de Paris. C’est le premier à avoir révéler sa séropositivité publiquement en 2002. Selon lui, l’autotest est un outil supplémentaire de dépistage du virus du VIH. Mais il juge son prix trop elevé.
L'autotest de dépistage du virus du VIH est en vente libre en pharmacie depuis le 15 septembre 2015. A qui s'adresse ce test ? Quel est le public visé ?
Je pense qu’il faut replacer l’autotest dans le dispositif global afin d’avoir une bonne vision des choses : l’autotest ne remplace rien, il est un outil supplémentaire aux côtés des TROD et des tests faits en laboratoire ou en CeGIDD. Concrètement, ce test vise donc les personnes qui n’ont pas envie ou pas la possibilité de parler à leur médecin ou aux associations.
Mais quel que soit la cible, le plus important, honnêtement, c’est de se dépister en fonction des situations d’exposition au VIH et ce, quel que soit le mode de dépistage !Son coût de 28 euros est jugé trop cher. Savez-vous comment les laboratoires justifient ce prix ?
J’ai comme tout le monde entendu les justifications du laboratoire comme j’ai entendu celles des officines. Mais j’avoue que quand on parle de santé publique, j’ai toujours un peu de mal à me dire que le dépistage, priorité absolue de la lutte contre le sida et qui est la première étape pour envisager réellement la fin de cette maladie, pourrait être freiné par des histoires d’argent !
Selon vous, y aurait-il un moyen de le baisser ?
Le monde associatif a fait part de ses inquiétudes dès que le prix a été annoncé mais de notre côté, comme je vous le disais, nous ne pouvons qu’influencer, pas décider. Après, si l’on regarde les annonces récentes, il y aurait un deuxième autotest proposé dans les mois qui viennent. Peut-être que cela pourrait être facteur de baisse de prix mais cela, pour le moment, personne ne peut le dire.
Son prix freine-t-il certaines personnes jugées "à risques" ?
Assurément ! Car avant de parler d’appropriation de l’outil, il faut bien parler d’accessibilité. Et ce critère n’est pas respecté en l’état ! Nous attendons impatiemment de pouvoir en disposer de façon gracieuse via le ministère de la santé afin de le distribuer aux personnes en situation de vulnérabilité.
Que doit faire une personne si elle découvre que le test est positif ?
Tout l’enjeu était et est bien évidemment de ne pas laisser la personne seule en cas de résultat positif. Et les études ont démontré qu’une mise sous traitement la plus rapide possible suite à la découverte de séropositivité était essentielle. Alors concrètement, si le test est positif, il faut appeler Sida info service au 0800 840 800 qui orientera la personne concernée. Et permettez-moi de dire ici mon soutien à l’association qui traverse actuellement de graves difficultés financières. On a clairement ici un exemple fragrant de la nécessité de cette ligne d’information : comment pourrait faire une personne qui vient d’apprendre sa séropositivité si elle n’a pas possibilité d’appeler tout de suite et toute heure des spécialistes ?
Quels sont selon vous les avantages et les limites des autotests ?
Cet outil complète un dispositif global. Il ne remplace rien. Mais c’est vrai que l’avantage le plus important c’est la proximité. Cela « rapproche » en quelque sorte la personne de la possibilité de se dépister. Les limites, elles sont simples : il n’en est rien une solution miracle et son prix est un obstacle important !
A lire aussi sur GayVox : (ici) -
Sidaction 2016: Invité de "Le jour où" sur LCI à 13h45 (rediffusion)