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Mes loisirs - Page 20

  • Les dossiers noirs du Vatican, un livre dont on ne sort pas indemne !

    En mai dernier, Paul Williams, enseignant américain et consultant du FBI durant 7 ans, a publié un livre stupéfiant sur les côtés sombres du Vatican « Les dossiers noirs du Vatican » chez H&O. Avec plus de 50 milliards de dollars en titres, des réserves en or qui dépassent celles de nombreuses nations, des biens immobiliers dans le monde, l’église catholique est aujourd’hui immensément riche.

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    Ce qui trouble dans ce livre c’est de constater qu’en 1929, le Vatican est au bord de la faillite. Grâce à un accord avec Mussolini « Les accords du Latran », l’Eglise va se refaire ! Dans ce livre, on y découvre par le détail les rapports troubles entre Pie XI et l’Italie fasciste puis les accords avec l’Allemagne nazie. Les passages sur les rapports entre mafia et Vatican sont étonnants. Le sandale de la pédophilie sans oublier la mort mystérieuse de Jean-Paul 1er qui voulait mettre de l’ordre dans les compromissions de nombreux prélats font de cet essai un véritable roman qui se lit d’un trait. On finit ce livre en comprenant mieux le bandeau qui l’accompagne : « L’Eglise peut-elle encore dicter sa morale ? » Question plus que jamais pertinente !

  • Joyeuse fête nationale !

    On a beau être privé de Garden party - du moins certains privilégiés ! -, il n’en reste pas moins que nous célébrons aujourd’hui notre fête nationale et donc notre révolution française.
    Alors même en période de crise, permettez-moi de vous souhaiter une belle fête et pour beaucoup d’entre vous une belle journée de repos !

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  • Armistead Maupin et sa « voix dans la nuit ».

    Bien sûr les amoureux des « Chroniques de San Francisco » qui espèrent toujours qu’un huitième tome viendra un jour, pourront être déçus à la lecture d’« une voix dans la nuit » du génial Armistead Maupin. Pourtant, ils y retrouveront des références aux chroniques avec l’évocation de certains personnages récurrents de cette série. Mais ce livre est plein de suspens et reste dans cet univers « Maupinien » que j’aime tant. Le héros est bien sûr écrivain et ressemble à Armistead. Il est gay et a un compagnon séropositif. Les habitués des chroniques retrouveront donc leur marque dans cette histoire étrange entre un écrivain et un gamin atteint du sida. Des rebondissements à attendre et de beaux sentiments à retrouver. Comme toujours avec Armistead. Un beau livre pour l’été !

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  • Un été de plus…

    Le temps file à une telle vitesse que j’ai encore l’impression de sortir de la belle fête que m’avaient offerte mes amis du Banana Café pour mes 50 ans. C’était pourtant le 29 juin 2009. Un an déjà !
    Merci du fond du cœur à celles et ceux qui, déjà, m’ont envoyé de beaux e-mails ou ont mis d’amicaux commentaires sur mes pages Facebook, Twitter ou Myspace.

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  • Une belle surprise : la Pentecôte à Barcelone !

    J'avais comme consigne d'être à 8 heures dimanche matin devant chez moi et d'emmener mon nécessaire pour deux jours. Pas très heureux sur le coup de devoir me lever tôt après tous ces déplacements successifs pour mes combats militants. J'aspirais au repos. J'avais tort ! Pour la première fois, on m'emenait pour un week-end surprise - à 50 ans, c'est la première fois qu'on me fait un tel cadeau. Et me voilà jusque lundi à Barcelone. Que du bonheur !

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  • James Purdy nous retourne dans ses « Chambres étroites » !

    Je vous ai déjà écrit que lors d’une dédicace des « Voleurs de liberté », le parton de la librairie du Divan à Paris m’avait offert « Je suis vivant dans ma tombe » et m’avait ainsi permis d’entrer dans l’univers noir mais fulgurant de l’écrivain américain James Purdy. La lecture de ce livre m’a donné envie d’aller plus loin dans la connaissance de cet écrivain controversé mort à 94 ans en 2009… un vendredi 13 !

    Cet écrivain assuma son homosexualité à une époque où cela aurait pu nuire à sa carrière prometteuse et aurait surtout pu sonner comme un arrêt de mort social.

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    Avec « Chambres étroites » (Editions Le serpent à plumes), les pudibonds trouveront de bonnes raisons de détester Purdy qui va loin, je le reconnais, dans la provocation. Meurtre, amour, sado-masochisme se mêlent dans ce récit tragique d’un amour fou qui se termine dans un bain de sang. Mais ce roman, magnifiquement écrit et plein de suspens, est au final un acte militant face à une société trop pudibonde qui fait du plus beau sentiment, un sentiment interdit pour celles et ceux qui aiment autrement… A lire absolument ! Vraiment…

  • Escapade à Londres

    Je pars cet après-midi jusque dimanche matin à Londres (ma photo prise à Noël 2009). Deux jours  d’escapade dans la capitale anglaise que j’aime tant. J’espère que j’aurai l’occasion de voir une de ces comédies musicales qui font la grandeur des soirées londoniennes !
    Bon week-end.

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  • « J’ai oublié de te dire »… A voir absolument !

    Laurent Vinas-Raymond présente son magnifique film « J’ai oublié de te dire » dans tous les bons cinémas. Ce film qui raconte la fin de vie d’un artiste-peintre qui, peu à peu, perd la mémoire et s’enfonce dans la maladie, nous ramène à la question des maladies dégénératives comme Alzheimer et aux fins de vie douloureuses auxquelles sont de plus en plus confrontées les seniors et leurs familles.

    Ce film, magnifiquement interprété par Emilie Dequennne et Omar Sharif, a été réalisé avec beaucoup de pudeur et nous interroge sur des fins de vie qui risquent d’être de plus en plus fréquentes et de nous concerner personnellement.

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    Ce film ne peut laisser indifférent celles et ceux qui réfléchissent au sens de leur vie et à leur propre finitude. Il nous rappelle aussi que l’amour permet de faire des choses exceptionnelles : donner la vie mais aussi « libérer » l’être aimé quand la survie n’est plus conforme à la vie et aux vœux qu’il avait formulés tant qu’il était encore conscient…

    J’ai oublié de te dire, à voir absolument !

  • Bon pont !

    Cette année, le calendrier a allégé le mois de mai se son cortège habituel de ponts. Une raison de plus de profiter pour celles et ceux qui le peuvent d’un des seuls point de l’année : celui de l’Ascension qui s’ouvre aujourd’hui.

    Alors à celles et ceux qui peuvent en profiter, bon pont. Et courage aux autres !

     

  • Hervé Guibert et l’ami qui ne lui a pas sauvé la vie…

    Relire les livres d’Hervé Guibert pour le survivant du sida que je suis a souvent le goût de la nostalgie. Cela s’apparente parfois à une démarche masochiste.

    Dans « A l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie », roman dans lequel Guibert révèle sa séropositivité, j’ai l’impression de revivre au quotidien toutes les étapes de la maladie que j’ai connues au début des années 90. Les espoirs suscités par les nouveaux traitements, les déceptions, les peurs de souffrir et même de mourir jeune, de ne pas connaître la trentaine. Tout y est. Avec une différence de taille, j’ai eu bien plus de chance qu’Hervé Guibert car je suis toujours là…

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    Ce livre, qui permit à l’auteur de se faire connaître du grand public, est le premier d’une trilogie dans laquelle il nous fait vivre les assauts de la maladie. Ce livre, écrit dans un style vif, est aussi une leçon de vie, une leçon de courage. Car le combat que mène Hervé Guibert contre le sida est un combat guerrier. Un combat sans concession. Mais un combat qu’il veut gagner totalement. Le perdre en partie n’est pas acceptable et cela conduira l’auteur à tenter de se suicider comme il l’annonce déjà dans ce livre.

    Un livre à lire et relire pour celles et ceux qui n’ont pas connu le début des années sida. Ils comprendront peut-être à quel point ces premiers combattants du sida ont fait évoluer notre société.

  • Rapide escapade à Prague

    N’ayant pas trouvé de vol direct pour rentrer à Paris après mon séjour militant à Vilnius, il me fallait faire un transit par Prague. J’en profiterai donc pour passer une petite soirée dans cette merveilleuse ville que j’ai découverte l’an passé…
    Quelques photos souvenirs de ma participation à la Baltic Pride.

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  • Report de la sortie de l’iPad… désolé !

    L’arrivée de l’iPad est reportée en Europe - au mieux ! - à la fin mai. Je vais finir par avoir honte d’avoir eu la chance d’être aux Etats-Unis au moment de sa sortie mondiale et d’avoir pu en ramener un exemplaire à Paris…

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    Car, il faut le reconnaître, l’iPad n’est pas seulement le gadget que certains dénoncent – sans l’avoir d’ailleurs utilisé ou eu entre les mains. C’est un vrai petit ordinateur qui vous permet de rester connecter, de surfer sur Internet et d’envoyer des e-mails avec une facilité extraordinaire. Il n’est pas encombrant et vous pouvez l’emmener au milieu d’un dossier. Et en plus il est ludique – beaucoup d’applications gratuites sont aussi utiles - et le prix pas excessif pour une telle nouveauté. Encore un peu de patience : vous ne le regretterez pas !

  • Suivez « Les cœurs fêlés » de Gayle Norman !

    A priori, « Les cœurs fêlés » le dernier roman de Gayle Norman, récemment paru chez Oh édition, par celle qui est l’auteur du best seller « Si livre coeurs f^lés 2.jpgje reste », n’était pas un livre qui aurait dû m’attirer. A priori… Une histoire de teenagers écrites pour des ados fans de Twilight, ce n’était vraiment pas pour moi. Pourtant et incontestablement, j’ai bien fait de dépasser ma première impression et ma réticence instinctive car j’ai adoré ce livre. L’écriture vivante, l’histoire crédible, haletante et qui interroge, la psychologie des héros : tout m’a séduit dans ce roman.

    Décrire l’enfer quotidien de jeunes filles, qui se retrouvent injustement dans une espèce de maison de correction, « Red Rock », digne du XIXème siècle, est enrichissant car, au-delà de la belle histoire d’amitié et d’amour que Gayle Forman nous raconte merveilleusement bien, c’est une dure question de société qu’elle décrit et dénonce. Car pour écrire son roman, l’écrivaine s’est beaucoup renseignée sur le suivi des adolescents dits difficiles. Des maisons, comme Red Rock, existent toujours aujourd’hui et on y mate les ados dits difficiles, comme le raconte l’auteur en fin de livre dans une postface, plutôt que de les aider. A la psychologie est préférée la matraque. Bref, suivez « les cœurs fêlés » pour la belle histoire, mais aussi pour réfléchir sur notre société qui n’entend pas toujours le drame de ses plus jeunes.

  • Séjour à New York sous le signe de la lutte contre le sida !

    Quand vous voulez trouver des signes et un sens à un moment de votre vie, vous les trouvez. Toujours.

    Incontestablement, avec mon retour aux Etats-Unis, après des années où je n’avais plus osé y mette les pieds suite à un contrôle humiliant à l’aéroport de Fort Lauderdale où j’avais été contraint de mentir et de dire que mes médicaments étaient contre le cancer et non contre le sida, j’ai trouvé, pour ce séjour, à New York bien des signes sur le sida dans ce pays qui, au 1er janvier dernier, interdisait encore son territoire aux 33 millions de séropositifs…

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    Premier signe, en réservant mon billet d’avion et en ayant comme 1er élément de mon numéro de réservation « 4AZT ». AZT, comme « le » et mon 1er traitement contre le sida. 4, comme toutes les 4 heures où je devais prendre ce médicament contre le sida à la fin des années 80.

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    Deuxième signe, le 1er jour en passant devant la résidence officielle du maire de New York, je tombe sur cette place : « People with A.I.D.S. plaza », la « place des gens vivant avec le sida ». Un symbole fort pour moi. Imaginez, la place de l’hôtel de ville de Paris rebaptisée place des gens vivant avec le sida…

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    Puis suivant jour, en visitant Harlem, je tombe une publicité géante, sur un mur, avec ce titre « HIV treatment is power », le traitement contre le sida c’est avoir le pouvoir… Un beau message de prévention et d’appel à se faire soigner !

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    Et enfin, - rassurez-vous ! Dernier signe… -, je réserve des places pour la comédie musicale «  A little night music », avec les stars Angela Lansbury et Catherine Zeta-Jones, et, le soir, au final, l’héroïne du « Masque de Zorro » nous remercie, avec émotion, pour les dons que nous feront et nous apprend que cette soirée pour elle « vraiment très spéciale » était au profit de le lutte contre le sida…

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    Voilà, je voulais juste vous dire cela car j’ai passé un beau séjour à New York fort en émotion et j’ai été heureux de ces coïncidences qui ne veulent certes pas dire grand-chose mais qui ont fait plaisir au survivant du sida que je suis encore… et qui était surtout heureux de ne plus être interdit de séjour dans le pays de Lady Liberty.
    Nb: Je n'ai pas manqué de passer devant la statue de l'ange, située au coeur de Central Parc, où s'achève la belle série sur le sida "Angels in America."

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  • Back to Paris !

    Les meilleures choses ont toujours une fin. That’s life !

    Mon escapade à New York est terminée. Ce retour pour moi aux Etats-Unis était, vous le savez, très symbolique. Revenir dans un pays qui fut interdit si longtemps aux 33 millions de personnes infectées par el virus du sida. Une interdiction que rien ne justifiait. Une discrimination insupportable que continuent encore à appliquer tant de pays. Même dans la zone Europe !

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    Avoir eu un numéro de dossier de vol pour New York commençant par « 4AZT » c'est-à-dire mon premier traitement contre le sida (AZT) pris toutes les quatre heures (4) a donné encore plus de force symbolique à ce retour… dans le pays de la statue de la liberté !

  • Retour à New York !

    Je n’avais plus osé revenir aux Etats-Unis après avoir dû cacher, à l’aéroport de Fort Lauderdale, il y a quelques années, ma séropositivité… En effet, jusqu’au 1er janvier dernier, les Etats-Unis étaient totalement interdits aux personnes séropositives. Une mesure injustifiable et inexplicable qui concerne encore 12 autres pays et même près de la moitié des pays de l’ONU pour l’installation des personnes séropositives.

    C’est donc un moment important pour moi que de pouvoir revenir à New York, ville qui m’a toujours fascinée.statue et liberté usa 2.jpg

    Le hasard est d’ailleurs assez incroyable. Ma réservation de billet d’avion avait comme référence au début : 4AZT… AZT, premier médicament contre le sida que j’ai pris dès le 1er décembre 1987. 4 comme 4 heures car ce médicament devait être pris, à un moment, toutes les quatre heures. Une coïncidence heureuse et amusante pour mon retour dans un pays jusqu’alors interdit aux séropos !

  • Les chroniques de San Francisco… le miroir de nos vies !

    La lecture des « Chroniques de San Francisco » d’Armistead Maupin dans le métro, le RER, le soir au coucher, m’a permis de m’évader souvent entre travail et activités de campagne électorale. Je viens d’achever le 7ème et dernier épisode « Michael Tolliver est vivant ». La magie a encore opéré dans cet ultime épisode – j’espère que ce ne sera pas le dernier !

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    A 55 ans, le héro, Michael, est un peu plus vieux que moi, mais avoir suivi ce personnage, séropositif comme moi et contaminé presque au même âge, m’a donné le sentiment de voir ma vie – et surtout la gestion de ma maladie – re-défiler. La description de la vie ou de la suivie avec le sida est remarquable. Touchante même. On sent que l’auteur connaît son sujet. Evidemment, ce dernier épisode ne se résume pas du tout à la maladie de Michael et au sida. Loin de là. Les principaux héros de cette saga sont toujours là : Anna, Brian et même, pour le final, Mary-Ann. Ce livre c’est la chronique de nos vies. Une chronique attachante et émouvante. Un miroir de nos vies.

  • « Je suis vivant dans ma tombe » de James Purdy

    Je n’avais jamais lu James Purdy, cet américain né en 1923, dans l’Ohio et à la réputation d’écrivain maudit. Lors de ma récente rencontre dédicace des « voleurs de liberté » au Divan, dans le 15ème ardt de Paris, le patron de ce beau lieu m’a offert  un des livres de Purdy « Je suis vivant dans ma tombe » paru dans la collection Motifs du Serpent à plumes.livre james purdy.gif

    J’ai lu avec passion ce petit livre qui raconte la survie d’un rescapé de la guerre tellement mutilé que bien des gens ne supportent pas sa vue. Ce livre ne laisse pas indemne et interroge. Passions violentes, sentiments ambigus, séduction sont les ingrédients de ce livre à lire sans modération !

  • « Cytomégalovirus » de Guibert pour se rappeler que le sida est toujours là…

    J’ai relu le petit livre d’Hervé Guibert « Cytomégalovirus » qui évoque les trois semaines qu’il a passées à l’hôpital quand il a appris qu’il était atteint d’une maladie opportuniste due au sida, le fameux Cytomégalovirus (CMV) qui finit par faire perdre la vue. Hervé Guibert est mort en 1991 après avoir tenté de se suicider car le sida le dévorait. Celui qui avait écrit « Des aveugles » en 1985 et malgré la souffrance, revient avec un certain humour sur ce livre précédent qui fut bien involontairement prémonitoire. Ce journal d’hospitalisation entre plaintes, coups de gueule - « l’hôpital, c’est l’enfer » -, humour - « le somnifère a l’air d’être des amphétamines »-, nous rappelle que le sida reste une maladie mortelle.

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    La Cour des comptes a pointé récemment le manque d’investissement du gouvernement actuel dans la prévention et le dépistage du sida. Ce livre, comme tous ceux qu’Hervé » Guibert a consacré au sida, à son sida, nous interpelle forcément.

    Plus personnellement, à chaque page, je pensais à tous mes amis, à leurs hospitalisations. A Hubert bien sûr, qui avant de partir, a aussi connu la perte de la vue avec ce salop de CMV. A chaque page, je me disais que j’avais bien de la chance d’avoir survécu. Mais en même temps, à quel prix !

  • Courte escapade à Madrid

    J’ai pris quelques jours de congés qui ont surtout été consacrés à la campagne électorale pour les élections régionales en Ile-de-France et mes activités associatives. Mais je vais faire une pause ce week-end avec un petit voyage privé à Madrid, dans la capitale de mon pays… d’origine ! Bon week-end à toutes et tous.

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