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Mes loisirs - Page 21

  • Belle Saint Valentin !

    C’est peut-être, même sûrement une fête commerciale. Mais bon, une occasion de dire toute la journée je t’aime à sa moitié et de lui faire plein de surprises, pourquoi pas ? Alors bonne Saint-Valentin, même si je l’espère pour les couples, la fête des amoureux, ce doit être tous les jours !
    Permettez-moi une petite pensée affectueuse, en ce jour de fête, pour Florence Cassez...

  • Bye-Bye Barbary Lane d’Armistead Maupin

    Bye-Bye Barbary Lane devait être le dernier épisode des Chroniques de San Francisco du génial Armistead Maupin. Ces 6èmes chroniques ne sont heureusement pas les dernières puisque « Michael Tolliver est vivant » a suivi et conclu provisoirement (?) cette incroyable saga.

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    Je ne peux que conseiller à qui est fasciné par la liberté qui régnait dans les années 70/80 à San Francisco et par l’ouverture d’esprit de cette cité, de lire et relire les Chroniques de San Francisco. Cet épisode m’a beaucoup touché avec un Michael  gérant au jour le jour sa séropositivité. J’ai retrouvé toutes les angoisses, tous les problèmes que j’ai connus dans les années 90 avec ma propre séropositivité. Ce livre m’a rappelé la vie d’enfer que j’ai vécu, comme tant de séropos, avec l’AZT qu’il fallait prendre toutes les 4 heures avec son lot de nuits blanches. (J'en ai aussi parlé dans mon livre "Virus de vie"). A part cela, cet épisode sonne le glas de la belle histoire de l’immeuble de Barbary Lane tenu par la touchante Mme Madrigal. On avait fini par croire que la vie était un long fleuve tranquille dans cette belle maison. L’auteur en a décidé autrement et tous nos héros vivent désormais leur propre destin…

  • From London, Merry Christmas !

    Rassurez-vous, je ne vais pas rédiger ce blog en anglais même s’il m’arrive parfois d’y mettre quelques textes dans la langue de Shakespeare. De Londres, où je passe quelques jours pour Noël, je voulais tout simplement vous souhaiter un très beau Noël, fait de plein d’attentions et d’affection de vos proches.

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    En cette période qui rime avec famille, amis et amour, comme beaucoup d’entre vous, j’ai la chance de ne pas être seul aujourd’hui, d’être avec ma mère. Mais, je pense à celles et ceux qui sont seuls – ce sera sûrement l’un d’entre nous l’année prochaine. Je pense à celles et ceux qui souffrent de maladies et qui, en cette journée de fête, doivent lutter contre la maladie et la douleur qui ne leur laisse aucune journée fériée. Aucune vacance. A celles et ceux qui n’ont pas de toit et qui se désespèrent de leur vie d’errance.

    J’aurai aussi une forte pensée tout au long de la journée pour Florence Cassez qui, bien qu’innocente, croupit dans une prison mexicaine depuis plus de 4 ans.

    Pour toutes et tous, que cette journée soit un moment de répit et de chaleur. Du fond du cœur et tout simplement, très joyeux Noël.

  • Bon réveillon !

    Tout passe vraiment très vite. J’ai l’impression de vous avoir souhaité récemment un bon réveillon… Et bien non, c’était il y a un an. Avec l’âge, le temps passe vite. Trop vite !boules de noël.jpg

    Alors profitez bien de ce réveillon avec, je l’espère, les gens que vous aimez. Bon réveillon !

  • Noël à Londres

    Je perpétue la tradition : tous les ans, j’emmène ma mère dans un endroit différent pour passer avec elle les fêtes de Noël. Alors qu’elle fêtera ses 80 ans en 2010, nous partons cette année à Londres (photo que j'ai prise lors de mon dernier séjour). Un Noël au froid mais sûrement chaleureux. Joyeuses fêtes à toutes et tous.

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  • Babycakes de Maupin, à consommer sans modération…

    Mes nombreux déplacements sont l’occasion de passer un peu de temps à lire ou plutôt à relire les livres qui m’ont marqués.

    Je viens de terminer le quatrième épisode des Chroniques de San Francisco du génial Armistead Maupin. Je dois l’avouer : dans ces moments d’intenses activités, Maupin est l’un des rares auteurs qui me permette de m’évader et qui me donne l’impression d’être au cœur de San Francisco, au 28 Barbary Lane, accueilli par Madame Madrigal et le beau Michael. Mona, Brian voire Dee Dee sont presque devenus des amis qu’il devient pénible de quitter à chaque fin de roman.

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    A celles et ceux qui ne connaissent pas ces chroniques, et qui ont une certaine nostalgie des années 80 ou de la ville libérée qu’était San Francisco, qu’ils n’hésitent pas à se plonger dans cet univers où mêmes les choses les plus  imporpables se produisent. Dans ce quatrième opus où le sida fait son apparition, la magie opère plus que jamais. Et me donne une furieuse envie de retourner à San Francisco… Et ce sera possible dès 2010 puisque Obama a enfin levé les interdictions d’entrée aux USA faites aux séropos !

  • Marguerite Yourcenar et son empereur Hadrien

    Mon récent voyage à Athènes m’a donné l’envie de relire « Mémoires d’Hadrien » de l’académicienne Marguerite Yourcenar. Ce roman historique écrit à la première personne est particulièrement documenté. Sans être une biographie de l’empereur Hadrien, ce roman est assez proche de la vérité historique.

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    L’empereur, arrivé à la fin de son parcours, fait un bilan de sa vie, de son règne, de ses amours et particulièrement de l’amour lumineux qu’il vécut avec le jeune Antinoüs. Sans cacher ses défauts, l’empereur se dépeint en humaniste qui peut aussi se montrer cruel quand il s’agit de ce qu’il estime être « la raison de l’Empire. » Les passages sur la tentation du suicide - alors que la maladie ne lui laisse aucun répit - sont parmi les plus forts et émouvants de ce roman, comme les lignes de désespoir qu’il écrit à la suite de la mort violente et prématurée de son jeune amant. « Tâchons d’entrer dans la mort les yeux ouverts », conclut-il ses mémoires. Une citation qui m’inspire et qui résume mon combat pour une fin de vie digne et choisie. Combat que j'ai développé dans "les voleurs de liberté."

  • Athènes, sur les traces d’Hadrien…

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    J’ai voulu faire un break en cette période plus que chargée  en allant un week-end à Athènes, ville que je ne connaissais pas. Je n’ai pas été déçu par ce déplacement peu reposant mais tant dépaysant. Durant ce beau week-end ensoleillé, j’ai même souvent eu l’impression de suivre les pas de ce cher empereur Hadrien que Marguerite Yourcenar m’a fait découvrir dans ses merveilleuses « Mémoires d’Hadrien. » Hadrien qui fut à sa garçon un bienfaiteur d’Athènes.

    J’avais une chambre d’hôtel qui donnait sur la porte d’Hadrien – drôle de coïncidence…

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    La visite de l’Acropole et du Parthénon et surtout le nouveau musée de l’Acropole m’ont rappelé que 500 ans avant Jésus Christ, c’étaient les grecs qui nous montrant le chemin de la démocratie. Le meilleur mode de gouvernement inventé à ce jour !

    Quelques photos de mes visites. Et si vous allez à Athènes, n’oubliez pas de visiter l’extraordinaire musée de l’Acropole et tout cela pour… Un euro !

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  • Autres chroniques de San Francisco, ça dépote !

    Alors que depuis la rentrée, je multiplie les déplacements et les réunions, j’ai trouvé un moyen de m’échapper dans l’avion ou le train en lisant et relisant les Chroniques de San Francisco. Je reconnais que la lecture de ce 3ème numéro intitulé « Autres chroniques de San Francisco », que j’ai achevé il y a quelques jours, m’a autant dépaysée que les deux précédents volumes.

    Il faut reconnaître qu’Armistead Maupin sait ménager le suspens et nous rendre toujours plus attachants ses héros récurrents : Michael, Mary-Ann, Mme Madrigal et dans cette épisode DeDe pour laquelle, jusqu’alors, je n’avais aucune sympathie. Alors, vous qui ne connaissez pas cet auteur, n’hésitez pas car les « Autres chroniques », ça dépote !

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  • Découverte d’Athènes

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, à 50 ans, je n’ai jamais visité l’un des berceaux de notre civilisation, Athènes. Je vais réparer cela aujourd’hui puisque je m’envole pour la capitale de la Grèce ce mercredi 11 novembre. Comme quoi on découvre à tout âge… Bon 11 novembre à toutes et tous.

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  • Ce ne sera jamais « This is it » avec Michael Jackson !

    Malgré un agenda surchargé, j’ai réussi à aller voir la semaine dernière « This is it », le film des répétitions de ce qui devait être l’ultime spectacle du roi de la pop, Michael Jackson.

    A voir les préparatifs des 50 concerts que MJ devait faire en juillet à Londres, on peut imaginer que ses spectacles auraient été grandioses. Avec des moyens techniques inimaginables ! Mais surtout, en visionnant ses répétitions, on ne peut que s’étonner de tout ce qui a été écrit sur MJ : il n’aurait pas été capable d’assurer un spectacle, il ne savait plus danser, il n’avait plus de cheveux, plus de voix, plus de motivation… Bref, il n’aurait été que l’ombre de lui-même. A presque 51 ans, Michael Jackson n’a rien perdu de son talent. Sa voix est toujours là. Et surtout, il reste un danseur d’exception qui ne fait pas pâle figure à côté des magnifiques et jeunes danseurs qui l’accompagnent. MJ était toujours un énorme artiste, n’en déplaisent aux habituels grincheux. Ce ne sera jamais « This is it » avec Michael Jackson !

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  • Dorian Gray ou la recherche folle de la jeunesse éternelle

    Il y avait bien longtemps que je n’avais relu « Le Portrait de Dorian Gray », le chef d’œuvre d’Oscar Wilde. Ce livre m’a accompagné ces derniers jours dans mes déplacements et mes allers-retours à la mairie de Vigneux-sur-Seine. En relisant ce classique, j’y ai retrouvé une préoccupation bien contemporaine pour l’esthétique, la beauté et bien sûr la jeunesse. Ce roman est terriblement actuel. Il mérite d’être lu et relu par celles et ceux qui prônent une société esthétique où hors la jeunesse et la beauté, rien n’existe. Il doit aussi être relu par ceux qui combattent cette vision réductrice de la vie et la fin du roman ne peut que les conforter. Dans ce livre fantastique et au final « moral », Wilde n’est souvent pas très éloigné de Dorian et démontre l’immensité de son talent d’écrivain. Un livre à lire et relire.

  • Nouvelles chroniques de San Francisco, toujours mieux !

    Je vous ai récemment parlé des Chroniques de San Francisco, cette saga de 6 volumes de chroniques faite au départ pour un quotidien de San Francisco par le génial Armistead Maupin.

    Le deuxième volume se dévore comme le premier. Familiarisés avec les héros du 28 Barbary Lane, le lecteur va de découvertes en découvertes ; ces héros qu’on croyait connaître à l’issue du 1er volume ne sont pas ceux ou celles qu’on croyait ! De rebondissements en rebondissements, pas le temps de s’ennuyer avec ce livre.

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    Un plus, le magnifique « coming out » que Michael écrit à ses parents. Une lettre à méditer et même à utiliser par celles et par ceux qui veulent annoncer leur homosexualité à leurs parents. Les nouvelles chroniques de San Francisco, toujours mieux. Croyez-moi, un régal.

  • A Oslo pour le week-end...

    Petit week-end personnel et de découverte. Pour la première fois, je vais visiter et séjourner à Oslo… la ville des Nobel ! Le Latin que je suis est toujours plus attiré par le sud, mais mon déplacement l’an dernier à Copenhague m’avait ravi.

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  • Homo-ghetto, à lire !

    J’ai connu Franck Chaumont alors qu’il était journaliste sur Beur FM et qu’il m’avait invité à venir débattre avec Annick Lepetit, actuelle députée de Paris. Je l’ai ensuite revu souvent notamment lorsqu’il travaillait à Ni putes, ni soumises. Il m’a gentiment offert son livre « Homo-Ghetto » paru récemment au Cherche Midi. Ce livre est une série de portrait de gays et de lesbiennes de banlieue qui racontent l’enfer de leur vie. Ou plutôt l’enfer de leur double vie.

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    Nadir, Sébastien, Dialo, Nadia, Karim, Farida, autant de prénoms. Autant de parcours difficiles voire impossibles vers l’acceptation d’une identité que tout leur environnement rejette : cité, amis, famille, religion…Ce livre, comme l’écrit si justement Franck, atteste de « l’existence d’une communauté gay à deux vitesses, symboliquement séparée par le périphérique. » A lire absolument.

  • Les chroniques de San Francisco, un must…

    Depuis cet été, je profite de mes nombreux déplacements militants pour relire des livres qui m’avaient un jour marqués. Parmi ceux-ci, les chroniques de San Francisco.

    En 1976, Armistead Maupin renoue avec une vieille tradition et publie des chroniques dans The San Francisco Chronicle qui, immédiatement, connaissent un succès fulgurant. Ce qui n’aurait du rester qu’un événement local a pris une ampleur internationale et les chroniques ont pu devenir une collection de six livres. Et des bests sellers dans le monde.

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    J’ai relu le premier tome et ne rêve plus que de relire les autres. Dans les années 70 qui déclinent, San Francisco - cité de tous les excès et de la liberté - et les habitants singuliers de Barbara Lane vous entrainent dans des aventures où l’humour, l’humanisme et la tolérance sont omniprésents. Plongez-vous dans le monde captivant de Maupin. Un must !

     

  • Houellebecq et ses drôles de particules…

    Cet été, je vous avais confessé avoir lu pour la première fois un roman de Michel Houellebecq – Plateforme – et avoir été en partie séduit par celui qui apporte un ton original à la nouvelle littérature française. Faisant abstraction des déclarations inacceptables de l’auteur sur l’Islam en 2001, je me suis plongé dans « Les particules élémentaires. » Si ce livre m’a moins séduit que Plateforme je reconnais que cet univers désabusé fait de plein de misère affective m’interpelle et m’intrigue.

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    Certes, j’ai souvent décroché dans la lecture de ce livre qui ressemble bien à une autobiographie de l’auteur et surtout décrit sans complaisance ses proches, notamment sa mère et sa demi-sœur ici campée par un demi-frère. Ce livre, qui a obtenu le Prix Novembre, est inégal. A bien des moments, surtout à la lecture des dernières pages, je décrochais. Mais d’autres passages fulgurants m’ont aussi emporté. On y retrouve bien sûr du sexe débridé qu’aime tant à décrire Houellebecq à tel point que tout est fait pour rendre mal à l’aise le lecteur. Mais au final, ce livre m’a encore donné envie d’aller plus loin dans la connaissance de l’univers de ce romancier qui m’énerve parfois mais dont l’univers noir me séduit souvent.

  • Ce soir à 20h35 sur France 2, dans « Les Années bonheur »

    Je vous rappelle que vous pourrez me retrouver dans « Les Années bonheur." L’émission sera diffusée ce samedi 3 octobre vers 20h35 sur France 2 et j’y interviendrai vers 21h30 juste après Stone pour présenter « les voleurs de liberté. ».

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  • Flash-back sur mon été !

     

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    Les vacances sont définitivement terminées. Comme pour chacune et chacun d’entre vous, restent les beaux souvenirs et les photos. Flash-back sur mon été en photos. De Varna à Albena, de Constance à Mamaia, de Balchik à Ibiza…Constance Roumanie - 5 août 2009 022.jpgAlbena - août 2009 020.jpgAlbena - 7 août 2009 004.jpgBalchik - 3 août 2009 009.jpg

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  • Pourquoi le Brésil d’Angot… un univers trop abscons pour moi !

    Cet été fut celui de la découverte d’auteurs que je n’avais jamais lus comme Houellebecq ou Jardin. Christine Angot fait partie de ces auteures dont j’ai lu, pour la première fois, un ouvrage. J’ai toujours été intrigué par cette femme controversée mais dont on sent la forte sensibilité et qui dégage même une certaine forme de désespoir.

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    Son roman « Pourquoi le Brésil ? », paru chez Stock en 2002, ne m’a en tous cas pas convaincu. Ce roman, ou plutôt ce journal intime de 222 pages, je n’arrivais pas à le finir tant il m’ennuyait ou me mettait mal à l’aise. L’écriture d’abord. Cette façon d’exprimer en plusieurs phrases le même sentiment, la même action ne me convainc pas. M’a même très ennuyé. Ensuite, la description du mal être de l’auteure traîne en longueur et ne m’a même pas suscité de compassion. J’ai conscience qu’on ne peut apprécier un travail littéraire sur la lecture d’un livre  - et d’ailleurs, qui suis-je pour juger ? - et je me suis promis de lire un autre ouvrage de Christine Angot pour essayer d’entre un univers à côté duquel je suis passé totalement à côté. En tous cas « Pourquoi le brésil ? », un univers trop abscons pour moi…