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Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS - Page 49

  • 49 000 signataires pour l’accès aux soins de conservation des morts du sida

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    En moins de 10 jours, plus de 49 000 citoyens se sont mobilisés sur le site change.org pour que les soins de conservation soient enfin autorisés aux personnes décédées porteuses du VIH/sida.
    Cette interdiction méconnue du grand public est infondée scientifiquement comme l’ont reconnu le Conseil national du sida et le Haut conseil de la santé publique. Les trois ministres de la santé qui se sont succédés depuis que j’ai posé ce problème et fais des recours ont tous reconnu que cette interdiction était discriminatoire. Pourtant, rien n’avance !
    Outre la mobilisation des associations de lutte contre le sida, il est donc important que le mouvement s’amplifie sur Internet. Déjà, à côté des citoyens, des personnalités se mobilisent comme la chanteuse Juliette, Brigitte Lahaie, Laurence Rossignol, Rémi Féraud ou encore Anne Hidalgo.
    Je compte donc sur vous pour signer cette pétition (ici) et surtout la diffuser sur vos blogs et les réseaux sociaux. Plus nous serons nombreux, plus nous serons entendus : je compte vraiment sur vous !

     

  • Article dans La Voix du Nord sur Béthune, ville engagée contre le sida

    la voix du nord 01 12 2013 bethune romero.jpg

  • Mon discours d'ouverture à la 89ème rencontre du Crips

    Intervention de Jean-Luc Romero
    Président du Crips Ile-de-France
    9 décembre 2013 –Paris

     

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    Plus de 30 ans que le virus du sida a été découvert. Plus de 30 ans que les acteurs de la lutte contre le VIH/sida se battent pour la vie, l’égalité et la dignité. Avec courage, engagement et ferveur militante.
    30 ans après, quel constat peut-on dresser ? Simplement que les grandes avancées scientifiques n’ont pas été suivies d’avancées sociétales à la hauteur de celles-ci. Que, grâce aux traitements, l’on peut vivre avec le VIH même si le sida reste une maladie obstinément mortelle. Il m’est impossible ici de ne pas évoquer Bernard Sellier, un grand militant de ce combat, emporté comme tant d’autres de nos proches par le virus. Grégory Bec aura sans doute à cœur de vous dire que oui, on meurt encore du sida en France, et souvent dans une indifférence glacée, les moyens des associations comme les Petits Bonheurs étant bien trop limités. Que voulez-vous, le militantisme ne permet pas aux journées de dépasser les 24 heures !
    Alors oui, les multithérapies peuvent faire beaucoup mais elles ne peuvent être une solution à tout. Loin de là. On peut vivre avec le virus mais de quelle vie parlons-nous ? Nul ici ne peut le contester : le sida est une maladie sociale qui discrimine, isole et précarise. Voilà les conséquences du VIH/sida : la discrimination, l’isolement, la précarité !
    Les chiffres des différentes enquêtes sont très clairs : je ne vais pas commenter les chiffres de l’enquête Vespa2, on va vous les détailler dans quelques instants, mais je veux juste vous livrer deux données très parlantes sur la précarité des personnes vivant avec le VIH/sida. 31,5 % ne parviennent pas à faire face à leurs besoins sans s’endetter et une personne séropositive sur cinq rencontre des difficultés à se nourrir au quotidien par manque d’argent. Une personne sur cinq !

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    Pourquoi est-il si essentiel de travailler sur la précarité, thème de cette 89e rencontre ? Tout simplement parce que la précarité augmente les effets de la maladie, l’environnement et les conditions de vie étant bien évidemment une composante essentielle quant à l’adhésion aux traitements. Si je schématise sans caricaturer : comment penser à ses traitements quand on doit d’abord penser à trouver ou garder son logement, ou penser à manger ? Ce sentiment d’urgence qui habite les personnes touchées par le VIH/sida, ce sentiment de vivre au jour le jour n’a, en aucun cas, un goût de romantisme mais bel et bien celui, bien plus amer, de l’anxiété et de la peur.
    Cette précarité qui touche les personnes séropositives prend bien sûr plusieurs formes et elle a trait au revenu, à l’emploi, à l’accès aux soins au logement, à la vie sociale, à la vie affective. Autant de thématiques que les intervenants à cette rencontre vont développer, forts de leur expérience de terrain, au plus près des réalités humaines, des peurs des personnes, leurs difficultés, leurs espoirs.
    Avant de leur laisser la parole, permettez-moi de dépasser quelque peu mon statut de président du Crips. Lutter contre la précarité des personnes touchées par le VIH/sida nécessite un engagement fort et clair du politique, sur le logement, l’accès aux soins, la facilitation des démarches administratives, la prise en charge des personnes - comme le dit le rapport Morlat - en situation de précarité légale ou administrative. Mais aussi sur le 100%, si régulièrement attaqué et grignoté de toute part.
    Une vraie réflexion sur la place du malade dans notre société doit se faire jour. Je le dis sans ambages : la précarité des personnes touchées par le VIH/sida constitue une insulte à notre République, à cette République qui proclame fièrement au fronton des mairies cette tryptique : Liberté, Egalité, Fraternité. Faisons en sorte que les séropositifs puissent lire ces mots, sans se sentir en dehors et exclu de cette République.
    Je vous remercie et vos souhaite des débats constructifs et engagés.

     

  • Cocktail de clôture de l’opération Flash Test en Ile-de-France

    Ce soir, à 19h00, j’interviendrai au cocktail de clôture de l’opération « Flash Test » qui s’est tenue avec la coopération de l’ARS, des cinq Corevih parisiens, du Sidaction et du CRIPS Ile-de-France que je préside.
    Cette opération a constitué la plus importante opération de dépistage rapide auprès des publics les plus exposés…

     

  • Signez l’appel pour l’ouverture des soins de conservation aux personnes décédées du sida : déjà 40 000 signataires !

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    Aujourd'hui encore, les soins funéraires sont refusés aux personnes séropositives au VIH/Sida ou à une hépatite virale.
    Ne pouvant rendre un dernier hommage à leurs proches décédés, des familles ne peuvent faire leur deuil comme les autres, ajoutant à la peine de perdre un être cher, le traumatisme de ne pouvoir préserver le corps de ceux-ci.
    En 2013, ce n’est pas acceptable et pourtant rien n’avance  sur cette question.
    Avec ELCS, j’ai lancé cette semaine une pétition sur change.org et je compte sur vous pour la, signer et la faire connaître notamment sur les réseaux sociaux !
    Déjà, sans aune médiatisation, plus de 40 000 internautes l’ont signé en quatre jours...
    Signez l’appel : (ici)

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  • Dans la Voix du Nord...

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  • Interview aux EG d'ELCS de JOL Presse

  • Rendez-vous avec le Dr Mamadou Diallo d'ONUSIDA

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    En fin d'après-midi, j'aurai une réunion de travail avec le docteur Mamadou Diallo, directeur régional de l'Onusida pour l'Afrique de l'Ouest et centrale.
    Ce sera l 'occasion de nouer des nouveaux partenariats avec le CRIPS et ELCS et Onusida.

  • Montpellier, ville engagée contre le sida !

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    En fin de journée, je participerai à la mobilisation contre le sida de la mairie de Montpellier. A 18h30, je remettrai le label « ville engagée contre le sida » d’Elus Locaux Contre le Sida à la maire de Montpelier.
    Montpellier deviendra ainsi que la 5ème ville à obtenir ce label.

     

  • Invité du JT de TV5Monde à 19h00

    A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.

  • A Puteaux contre le sida

    Après avoir passé un long moment au village associatif à République, je rejoindrai Puteaux dans l'après-midi. Comme tous les ans, je participerai aux activités de cette ville qui a obtenu le label "ville engagée contre le sida" d'Elus Locaux Contre le Sida.

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  • 21 associations contre le sida à République !

    A l’occasion de la journée mondiale contre le sida, 21 associations ont répondu à l’appel du Crips que je préside. Un village associatif sera donc ouvert ce dimanche 1er décembre, de 10 à 17h00, sur la belle place de a République afin que les Parisiens puissent rencontrer les associations qui luttent au quotidien contre le sida.
    N’hésitez pas à passer durant la journée !

     

  • Message du Président de la République aux Etats Généraux d'ELCS


    Message à l'occasion des XVIIIe États Généraux... par elysee

  • « Sida, la guerre de trente ans » sur France 3 à 23h15

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    A deux jours de la journée mondiale contre le sida, France 3 diffuse ce soir le magnifique documentaire de Frédéric Biamonti « Sida, la guerre de 30 ans. »
    Ce documentaire, dans lequel j’interviens, raconte les 30 années qui se sont écoulées depuis l’arrivée du VIH. Il dresse la liste des drames que ce virus a causé mais aussi les espoirs d’aujourd’hui. Il montre aussi la lutte qu’ont dû mener les homosexuels pour obtenir l’égalité des droits car ce virus a pointé les discriminations dont ils étaient les premières victimes.

     

  • Débat sur le sida à Béthune à 18h30

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    A l’invitation du député-maire, Stéphane Saint-André (photo), je participerai à un débat sur le sida à Béthune salle Olof Palme à 18h30. C’est avec grand plaisir que je réponds à cette invitation qui me permet d’intervenir de nouveau dans ma commune de naissance à laquelle je reste très attaché.
    A la fin de la réunion, je remettrai le dossier de candidature « Béthune, ville engagée contre le sida », car la mairie souhaite obtenir ce label.

     

  • Invité des Matins de Paris de Paul Wermus sur France 3 Ile-de-France à 10h15

    Au lendemain des 18èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida (ELCS), et à deux jours de la journée mondiale contre le sida, je serai l’un des invités de Paul Wermus dans « Les matins de Paris » sur France 3 Ile-de-France à 10h15.
    Jamais autant de gens n’ont vécu avec le VIH/sida dans le monde – 34 millions – et en France – 160 000 personnes. D’où l’importance de cette journée pour la prévention mais aussi le dépistage et bien sûr la solidarité avec les personnes vivant avec le VIH/sida.

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  • Invité du JT de France 3 Ile-de-France à 12h00

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    Après ma réélection à la tête d'Elus Locaux Contre le Sida hier à l'Assemblée nationale, et à J-3 de la journée mondiale contre le sida, je serai l'invité du JT de France 3 Ile-de-France à 12h00.

  • Mon discours aux 18èmes Etats Généraux d'ELCS

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    Je suis toujours très heureux de vous retrouver à l’occasion de nos traditionnels Etats généraux d’Elus Locaux Contre le Sida, colloque qui permet, autour de la Journée mondiale de lutte contre le sida, de faire le bilan des politiques publiques sur le sida mais aussi de se projeter dans l’avenir avec des propositions, techniques ou sociétales.
    Je vais commencer par un constat global. Aujourd’hui, lequel peut-on dresser ? Celui d’une France abimée. Je veux vous préciser aussitôt qu’il n’est pas question de faire de la politique politicienne. Cela n’a jamais été le cas à ELCS ; ce ne l’est pas aujourd’hui et ne le sera jamais. ELCS peut s’enorgueillir, depuis sa création, de compter une gouvernance composée d’élus de tous bords et cela a été confirmé par l’assemblée générale qui s’est tenue aujourd’hui à 14h. Toutes les mouvances sont représentées et c’est notre raison d’être ; le cœur tout autant que la richesse de notre association.
    Donc, il ne s’agit pas de faire de la politique politicienne, mais de parler de notre société. Celle dans laquelle nous vivons. Celle dans laquelle nous voulons vivre.
    A quoi assiste-t-on depuis quelques temps ? A la montée du racisme, à un dénigrement machiste, à un déferlement homophobe sans précédent… Une parole libérée, véhiculée par des outils de communication débridés. Le tout venant aussi bien du citoyen que des élus de la République, les uns et les autres se comportant en véritables délinquants dès lors qu’ils enfreignent les lois de notre République. Y compris celles relatives à la liberté d’expression, aux discriminations, aux insultes, aux appels à la haine…

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    Au vu du nombre de ces débordements, personne ne peut plaider la simple maladresse ! Ou l’erreur. Il s’agit bien d’un mouvement profond, d’une volonté délibérée de diviser la société entre ceux qui seraient convenables, avec un sens de la morale et des valeurs, et les autres, les pervers, les détraqués, les profiteurs.
    Tout ceci m’effraie. Comme malade – dont on dit que je couterais cher à la société ; comme homosexuel – dont on dit que je serais contre-nature ; comme fils d’immigré – dont on dit que je profiterais de la France.
    Face à la montée de l’extrémisme dans les esprits, quid de la France, pays des droits de l’homme ? Quid de notre devise républicaine : « Liberté, Egalité, Fraternité », devise si fièrement proclamée mais qui a malheureusement du plomb dans l’aile ? Quid de notre contrat social qui permet de vivre ensemble ? Quid d’une France progressiste, tolérante et humaniste face à une France rétrograde, discriminante et moyenâgeuse voulue par certains ? Ne nous y trompons pas. Le respect des libertés individuelles ne s’inscrit pas dans un courant individualiste, mais bien dans l’intérêt général. A l’inverse, le moralisme que certains promeuvent, sous couvert de spiritualité, n’est que la volonté presque sectaire d’assurer la mainmise sur notre esprit et sur nos corps.

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  • Réélu président d’Elus Locaux Contre le Sida

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    Il y a 18 ans, je créais avec de jeunes élus, dont mon ami Philippe Lohéac, Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) afin de mobiliser les politiques dans la lutte contre cette pandémie et partant du principe que le sida se soigne aussi par la politique.
    18 ans plus tard, cette association existe toujours alors qu’elle avait été créée pour susciter un sursaut des élus contre le sida.
    18 ans plus tard, la sensibilisation des élus reste indispensable tant le sida a disparu de l’agenda politique et médiatique.
    N’ayant pas trouvé une personnalité-élue pouvant continuer au quotidien cette lutte, je me suis représenté à la présidence de cette association. C’est une charge lourde mais c’est aussi un honneur.
    Un honneur en hommage à celles et ceux qui sont morts de ce terrible virus. Un hommage aux militants associatifs, trop souvent oubliés des responsables politiques et qui portent ce combat pour la vie. Je mettrai dans ce nouveau mandat toute mon énergie et mon cœur et je remercie les membres d’ELCS qui m’ont de nouveau fait confiance.

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  • AG et 18èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida

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    Ce mercredi après-midi se dérouleront successivement l‘assemblée générale et les 18èmes états généraux des élus locaux contre le sida.
    Face à la difficulté à mobiliser sur le thème du sida, je solliciterai un nouveau mandat de deux ans pour présider ELCS. Après 18 tours de France contre le sida, j’aurai bien pris un peu de champ mais le risque de voir s’effondrer ce travail de sensibilisation m’a convaincu de mener notre association vers ses 20 ans… en espérant qu’elle finisse par devenir enfin inutile ! Je crains malheureusement que dans un contexte de démobilisation autour du VIH, ELCS ait encore des raisons de perdurer un certain temps !
    A l’issue de l’AG, se déroulera les 18èmes Etats Généraux à l’Assemblée nationale sous le haut patronage du président de la République et la présidence du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone.