Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS - Page 45

  • Back to Saint-Louis

    Hier matin, j’avais mon rendez-vous médical avec le Pr Rozenbaum à l’hôpital Saint-Louis.sida,jean-luc romero,willy rozenbaum
    Comme d’habitude, je vous donne mes résultats irréguliers, les autres sont dans les normes.
    Avec ce bilan, je veux rappeler à chacun que vivre avec le VIH demeure difficile et pas, contrairement à ce que disent certains, sans conséquences. Aujourd’hui, l’énumération sera courte…
    Si mes Lymphocytes T CD4 ne sont pas dans les normes à 395/mm3, elles remontent puisqu’elles n’étaient en avril que de 211 et la charge virale est toujours indétectable.
    Seul mauvais chiffre, la Protéinurie qui est de 578 mg/l contre 427 en avril et une normale qui la situe à moins de 150.
    Vous voyez, l’avenir dure toujours !

     

  • Mon Edito au Crips Infos de juin 2014

    J’aime à redire cette donnée : 75% des répondants de l’enquête KABP de 2010 jugent que, pour qu’une personne séropositive ne subisse pas de discrimination, la meilleure solution est de ne pas le dire. J’aime à la redire non pas parce que cette donnée est encourageante et pleine d’espoir (sic) mais parce que je la trouve immensément violente. Violente parce qu’au fond, elle part d’un bon sentiment. Qui ne voudrait pas que l’autre ne soit pas discriminé ? Alors voilà la solution miracle, elle est simple : ne dit rien, ne révèle rien, ne te montre pas, fais vœu de silence, deviens invisible. J’exagère ? Aujourd’hui, 40 % des personnes séropositives vivent seules (55 % chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes)…
    Au quotidien, le Crips lutte contre ce phénomène et œuvre largement contre la sérophobie et pour le respect de chacun, quel que soit son statut sérologique, ses différences, ses singularités. Et c’est dans le cadre de cette action globale sur cette thématique, si mise à mal ces derniers temps, du « vivre-ensemble » que ce badge, dont vous voyez l’image en couverture, a été créé. Il l’a été en réaction, entre autre, à ce chiffre pour que vous, chère lectrice, cher lecteur, vous puissiez afficher votre  acceptation pleine et entière des personnes séropositives dans tous les pans de la vie, sociale comme privée : oui, je ne vois aucun problème, ni aucun obstacle à avoir une relation affective et sexuelle avec une personne séropositive et, plus encore, je sais qu’accepter une personne séropositive, c’est aussi et déjà me protéger. Car c’est bien de cela dont il s’agit derrière ce badge : l’appropriation individuelle, pleine et entière, des stratégies de prévention. En somme un badge à porter au quotidien !
    Cette volonté de promouvoir le « vivre-ensemble », l’humain, on la retrouve également quand nous parlons des drogues et des usagers. Dire qu’un monde sans drogues n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais, fait-il de nous des dangereux promoteurs de l’usage ? Voir l’usager comme un citoyen est-il si néfaste que cela ? Penser que la politique de réduction des risques en direction des usagers doit être approfondie nous engage-t-il dans la voie du laxisme face aux drogues ? En lieu et place d’une idéologie caricaturale et culpabilisatrice, nous souhaitons une information grand public, non pas orientée mais simplement pragmatique et qui renvoie à la réalité. Oui, la politique de réduction des risques mérite d’être approfondie tant dans ses lieux d’exercice que ses outils. Oui, les usagers sont des citoyens à part entière. Oui, le regard de la société, notre regard, doit changer. Cela a été affirmé lors de la rencontre organisée par le Crips le 16 juin dernier et cela sera réaffirmé via le lancement d’une campagne de communication interassociative à la rentrée prochaine.
    Le changement de regard et sa concrétisation via des actes et un changement sociétal : assurément une des priorités du Crips Île-de-France.

    crips,jean-luc romero,sida

     

     

     

  • Sortie du guide d'ELCS au ministère de la santé

    A l'invitation de la ministre de la santé, Marisol Touraine, les actes des derniers états généraux d'ELCS et le guide à destination des élus seront présentés au ministère de la santé au cours d'une petite manifestation conviviale ce lundi soir.

    elcs,jean-luc romero,sida,vih

  • Invité de Brigitte Lahaie à 15h20 sur RMC

    A l'occasion de la sortie du guide d'ELCS à destination des élus et des actes des derniers états généraux d'ELCS, je serai l'invité de Brigitte Lahaie à 15h20 sur RMC.
    Ce sera notamment l'occasion de rappeler la situation du sida en France.

    rmc,jean-luc romero,brigitte lahaie,sida,elcs

  • AG et conseil d'administration du CRIPS

    Ce lundi, je présiderai l'AG et le conseil d'administration du Crips-Ile-de-France que je préside.
    Outre les actes réglementaires de telles assemblées, nous évoquerons surtout les actions à venir dans un contexte difficile pour la lutte contre le sida.

  • Inauguration de la nouvelle Maison des familles

    A 15h00, je représenterai le président Jean-Paul Huchon à l'inauguration de la nouvelle Maison des familles.
    C'est avec grand plaisir que je participerai à ce moment convivial d'une belle association de lutte contre le Vih/sida.

  • Invité de "Tout et son contraire" sur France Info [8h40 ;11h10 ; 14h20 ; 16h20 ; 17h25 ; 18h55; 21h25 ; 23h25; 0h45 et 3h15]

    Ce mercredi, dès 8h40, je serai l’invité de Philippe Vandel dans « Tout et son contraire » sur France Info. Un entretien de 15 minutes sur mon parcours sera découpé tout au long de la journée avec es passages prévus à 8h40 ; 11h10 ; 14h20 ; 16h20 ; 17h25 ; 18h55; 21h25: 23h25 et enfin pour l'intégrale 0h45 et 3h15. Ces heures de diffusion ne sont pas complétement garanties.
    Au cours de cet entretien j’y parle de tous mes combats : sida, égalité, droit de mourir dans la dignité, de mon parcours, de mes livres et d’amis qui me tiennent à cœur comme Valérie Trierweiler.
    Vous pouvez retrouver cette émission (ici) et ne ratez pas l'intégrale à 00h45 ou 3h15...

    JlrVandel.JPG

     

  • Mon mot d'accueil à "Reduction des risques : regards critiques et perspectives"

    Mot d’accueil de Jean-Luc Romero-Michel
    Président du Crips Île-de-France
    90e rencontre du Crips Ile-de-France
    « Réduction des risques : regards critiques et perspectives »
    16 juin 2014 – Mairie du 10e arrdt de Paris

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    Je vois beaucoup de visages connus dans l’assistance, beaucoup de visages de personnes qui, depuis longtemps, travaillent sur cette thématique de la réduction des risques et tentent de faire comprendre, faire émerger, faire appliquer une vision de santé publique, une vision de promotion de la santé publique, une vision de promotion de la citoyenneté, une vision de promotion de la dignité.
    J’aurais beaucoup de monde à saluer mais permettez-moi de saluer tout particulièrement deux personnes : Martine Baudin, directrice de Première Ligne, association genevoise qu’on ne présente plus tant elle fait office de modèle dans le monde, que ce soit avec la structure Quai 9 ou avec ses autres activités. Je vais à peu près tous les ans à Genève et cela a été encore le cas en ce début d’année où Martine Baudin a eu la gentillesse de me recevoir. Alors que certains se plaisent à critiquer le modèle suisse remettant en cause tout leur système politique de démocratie directe, et ce même parmi nos anciens présidents de la République, moi je préfèrerai que l’on adopte le pragmatisme suisse et donc leur efficacité et non un idéologisme simple et populiste.
    Je veux également saluer Rémi Féraud. Rémi nous avait déjà accueilli dans sa mairie en début d’année pour un atelier sur les trans’ et aujourd’hui pour cette 90e rencontre du Crips sur la réduction des risques. Vous en conviendrez, on ne peut pas dire que c’est un maire qui se planque sur les sujets sociétaux, même parmi les moins simples ! Vous le savez toutes et tous, il a porté le projet d’ouverture d’une salle de consommation à moindre risque au sein de son arrondissement et je voudrais saluer son courage : croyez-bien que le monde politique n’est pas un monde simple, je le sais bien, et tenir ses convictions sur la thématique des drogues l’est encore moins. Beaucoup parlent de grands principes, d’autres agissent concrètement. Rémi, merci de faire partie de cette seconde catégorie.
    Avant de vous laisser œuvrer tout au long de cette journée, je voudrais dire quelques mots sur la thématique de la rencontre « Réduction des risques : regards critiques et perspectives ». Je ne vais pas refaire l’historique de la RdR, le fait que cette politique ait été portée par la droite comme par la gauche, chose assez rare pour être soulignée ! -, également le fait que cette politique ait été légalisée. Non, je voudrais insister sur quelques autres points :
    Déjà, je veux redire cette évidence : la politique de réduction des risques répond à des besoins humains et sanitaires, notamment liés au VIH/ sida et l’hépatite C. Elle n’est, en aucun cas, une politique laxiste. Elle n’est pas née, elle n’a pas été pensée, elle n’a pas été développée pour se droguer tranquille ! Oui, c’est une évidence mais parfois, c’est bien de le redire. Et puis, si c’était si évident que cela, en 2006, 78 parlementaires n’auraient pas écrit au Premier ministre pour s’étonner des « alliances que la MILDT développait avec les associations revendiquant la légalisation des drogues, telles ASUD et Technoplus, ou bien le maintien dans une toxicomanie supposée “plus propre”, telle SOS Drogue International. ». Si c’était si évident que cela, il n’y aurait pas eu de proposition, en 2009, de classer le Subutex parmi les produits stupéfiants. Si c’était si évident que cela, la MILDT, sous Etienne Apaire, n’aurait pas porté un discours basé sur le tout répressif, discours aussi moralisateur que dangereux sur le plan sanitaire.

    crips,jean-luc romero,paris,sida,oxicomanie

     

    Ensuite, je veux redire que la politique de réduction des risques est une politique de santé mais aussi de citoyenneté. Elle est une des politiques de santé les plus efficaces qu’il soit, notamment pour ce qui concerne le VIH mais elle est aussi une politique qui permet de restaurer l’usager dans la Cité, avec un « c » majuscule. L’usager de drogues est un être multiple : parent, frère, fille, victime, acteur de sa prévention, salarié, commerçant … On pourrait continuer la liste bien longtemps sans dire le mot délinquant! Oui, l’usage de drogues ne fait pas l’identité de la personne. Je le redis : la RdR restaure la dignité de la personne et cela, ça n’a pas de prix. C’est d’ailleurs la vision que le Crips va défendre en lançant à la rentrée prochaine, avec beaucoup d’autres associations, une campgne de communication et d’information sur le sujet.
    Enfin, je veux redire que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles  de consommation à moindre risque. Je le dis sans aucune provocation : au contraire ! J’aimerai saluer l’efficacité des associations qui ont porté ce dossier, qui l’ont sorti de la zone de confort que peut constituer la discussion entre associations et qui l’ont imposé sur la sphère publique, obligeant ce sujet à être un sujet à discuter. Merci à elles ! Vraiment. Quand je dis que la politique de réduction des risques ne se résume pas au débat sur les salles  de consommation à moindre risque, je veux dire que les salles sont un outil du panel global et beaucoup d’autres choses restent à mettre en place : je pense par exemple au programme d’injection d’héroïne sous contrôle médicalisé mais pas seulement. Bien d’autres choses sont à mettre en place ou à imaginer, d’autres méthodes, d’autres outils. Je fais confiance aux associations : même si le secteur s’est professionnalisé avec les CAARUD, la capacité d’innovation est forte, je le sais !
    Je vais conclure pour vous laisser œuvrer et avoir de très constructifs et passionnés débats mais avant, je voudrais simplement vous poser une question, une question que j’aime à poser, même si je sors sans doute quelque peu de mon champ de président du Crips.
    Mesdames, messieurs, de celui qui s’injecte une drogue ou de celui qui refuse l’approfondissement de la politique de réduction des risques en tant que politique de santé, qui est le plus criminel des deux ? Je vous laisser juger.
    Je vous remercie.                                                                                                                                          

  • Soins funéraires pour tous : continuer à signer notre pétition !

    Contrairement à ce que certains pensent, le combat pour l’ouverture de soins de conservation aux morts du sida et des hépatites virales n’est pas terminé ! Loin de là…

    2016Soinsfunéraires.jpg


    Certes, et je m’en félicite, la ministre de la santé, Marisol Touraine a annoncé la fin de cette discrimination pour 2016, mais sans expliquer les raisons de ce très – trop ! - long délai.
    On a vraiment besoin de comprendre cet éventuel calendrier et d’être sûr que ce n’est pas une nouvelle promesse comme l’ont déjà fait ses prédécesseurs.
    Faire tourner notre pétition (ici) qui a dépassé les 97 000 signataires reste donc important et je compte sur vous pour le faire notamment sur les réseaux sociaux !

    sida,jean-luc romero,change.org,politique,santé

     

     

     

  • Mon Edito pour la newsletter du Crips Île-de-France

    Entre les Solidays et la Marche des Fiertés, c’est un mois de juin placé sous le signe du rassemblement associatif qui s’annonce, un mois mêlant fête et revendications, rires et promotion des droits humains, sourires et valeurs. Ces rassemblements sont bien sûr l’occasion pour les associations de porter des messages au plus grand nombre et c’est tant mieux ! Mais cette ambiance festive ne peut nous faire ignorer les difficultés actuelles du monde associatif. Aujourd’hui, le monde associatif souffre ; il souffre de la crise économique, il souffre du manque de bénévoles, il souffre du manque de reconnaissance.
    Je le dis souvent, quitte à être redondant, mais j’y crois profondément : oui les associations ont un rôle de service public ! Je crois aux associations qui ne seraient pas des simples gestionnaires, de simples exécutants de commandes publiques mais des associations qui sauraient dialoguer avec les financeurs, dialoguer pour, non pas s’opposer, mais faire progresser. Que chacun apporte son expertise, quelle que soit la taille de l’association est signe de richesse ! J’y crois parce que, président associatif, je suis sur le terrain que ce soit en Ile-de-France ou en province, depuis 20 ans. Je constate l’efficacité et l’efficience de l’action associative et optimiste de nature, je sais que le monde associatif saura se réformer et avancer, conscient qu’il est de son rôle de transformateur social.
    Au Crips, dans les buts que nous poursuivons, dans ce plaidoyer, non politique, mais en direction de l’individu, de l’Autre, il nous faut encore plus et toujours plus nous intégrer dans les réseaux et dans le champ des acteurs sociétaux ; je pense notamment aux organismes de jeunesse, aux réseaux d’éducation nationale, aux associations de parents, aux associations d’éducation populaire, des structures où le Crips peut insuffler, contribuer à insuffler toujours plus ou faire se développer une approche efficace et humaine d’éducation à la santé. Nous devons sortir de notre zone de « confort » - j’utilise ce mot sans être péjoratif - que constitue nos partenaires habituels. Il nous faut aller plus loin : si nous pensons avoir raison - et je le pense – il ne faut pas en avoir honte mais au contraire, valoriser notre approche de santé et de citoyenneté.
    C’est en cela que nous pourrons maximiser notre impact sociétal et être ainsi le plus utile possible aux franciliens et à la société en générale.
    Jean-Luc Romero-Michel

     

     

     

  • Mon message à HF Prévention

    Message de Jean-Luc Romero-Michel

    Président d’honneur d’HF Prévention

    Président d’Elus Locaux Contre le Sida et du Crips Île-de-France

     

     

    Mesdames, messieurs,

    Chers amis,

     

    Voilà bien une application que nous devons obligatoirement avoir sur notre smartphone ! Une vraie application de santé publique, « fun » tout autant qu’utile, s’inscrivant pleinement dans les besoins et les habitudes de vie des franciliens.

     

    Depuis plusieurs années, je défends la gratuité du préservatif, que ce soit pour les personnes séropositives ou pour les personnes à faibles revenus (rendre gratuit ou remboursable quelque chose qui permet d’éviter une maladie obstinément mortelle, cela mérite au moins de mettre l’idée en débat, non ?), alors je ne peux que souscrire à 100% à cet outil destiné à faciliter l’accessibilité aux outils de prévention et au dépistage.

     

    Alors que la région Île-de-France regroupe la moitié des nouvelles contaminations annuelles au VIH, alors que 50.000 personnes en France ignorent leur séropositivité, alors qu’un étudiant sur trois déclare ne jamais utiliser de préservatifs, nous devons juger cet outil, non pas seulement utile, mais réellement indispensable.

     

    Je veux ici mettre en exergue le partenariat très constructif mis en place entre HF Prévention, son président Jérôme André et MSD : efficacité, impact sociétal, utilité et esthétisme, tout cela réunit dans un même outil, cela mérite de le souligner et de l’apprécier à sa juste valeur ! C’est une application de santé publique que nous devons toutes et tous promouvoir. De mon côté, je m’y engage aussi bien en ma qualité de président associatif que d’élu.

     

    Je ne peux bien évidemment pas terminer ce message sans saluer la nouvelle marraine d’HF Prévention : Marina Carrère d'Encausse, une personnalité que nous connaissons tous tant pour son humanité que pour son engagement ! Merci à elle de s’investir dans la lute contre le VIH/sida, un combat pour la vie, l’égalité et la dignité.

  • Visite de l’association GNP+

    La directrice de GNP+, Suzette Moses-Burton nous recevra aujourd’hui pour présenter les actons de GNP+ aux Pays-Bas et faire visiter ses structures.
    Il sera important pour nous de comparer les différentes approches entre la France et les Pays-Bas sur la question de la lutte contre le sida et la réduction des risques chez les usagers des drogues.

    gnp+,jean-luc romero,sida,pays-bas,aids

     

  • Déplacement à Amsterdam sur la réduction des risques

    Ce jeudi, je serai avec le directeur opérationnel du Crips à Amsterdam pour rencontrer les responsables de l’association Correlation Network/ Fondation De Regenboog Groep.
    Ce sera l’occasion pour nous d’évoquer la manière dont les Pays-Bas gèrent les problèmes d’addiction et de lutte contre le sida au moment où le Crips prépare pour septembre une campagne grand public sur la réduction des risques à destination des usages de drogue.

    crips,jean-luc romero,sida,aids,amsterdam

     

  • Rencontre avec le député-maire Gabriel Serville

    En ma qualité de président d’ELCS, je rencontrerai ce soir l’élu guyanais Gabriel Serville pour parler de la lutte contre le sida.
    Gabriel Serville est en effet député en Guyane région particulièrement touchée par la pandémie de VIH/sida.

     

  • Bureau du CRIPS-Ile-de-France

    crips,jean-luc romero,sida,région ile-de-france

    Ce midi, je présiderai le bureau du CRIPS-Ile-de-France.
    Il s’agira de faire le point sur les grands événements à venir - Solidays, Marche des Fiertés LGBT, campagne sur la réduction des risques chez les usagers de drogues - mais aussi de prendre de nouvelles mesures de protection pour nos agents qui travaillent à la Tour Montparnasse où malgré des réponses rassurantes, je ne veux prendre aucun risque lié à l’amiante quant à la santé de ces agents y travaillant.

     

  • Soins funéraires pour tous : toujours et encore signer la pétition !

    Depuis des années, j’ai bien conscience de vous solliciter souvent sur cette honteuse discrimination qui touche les personnes séropositives même après leur mort.
    Marisol Touraine a annoncé que les soins de conservation seraient autorisés en 2016 pour les morts du sida et des hépatites. C’est une première victoire.
    Mais, je le répète, pourquoi attendre 2016 ?
    Pourquoi les séropositifs devraient faire les frais de lenteurs administratives inexplicables. Pire, ce délai ne cache-t-il pas un autre problème plus grave concernant l’utilisation de produits cancérigènes qui mettent en danger la santé des thanatopracteurs et que les professionnels ne veulent aborder au moment de revoir la réglementation ?
    Il faudra bien que nous ayons des réponses et le calendrier de la suppression de cette discrimination et j’ai demandé à la ministre de me recevoir sur ce sujet.
    En attendant, j’ai toujours et plus que jamais besoin de vous pour faire circuler la pétition et aboutir aux 100 000 signataires (ici) - nous sommes déjà plus de 96 000 !

    2016Soinsfunéraires.jpg

     

     

  • Rencontre avec Roberto Romero, vice-président de la région Ile-de-France

    Je recevrai ce lundi Roberto Romero, vice-président de la région Ile-de-France, au Crips afin de faire un point sur nos actions communes.
    Le Crips est aussi engagé, à la demande de la région Ile-de-France, dans des actions internationales qui concernent son secteur de compétences.
    En 2000, j’avais fait voter un amendement à la région qui fait que dans nos accords de coopération décentralisée, il doit y avoir un volet sida.
    Le Crips, a notamment soutenu la création d’un Criaps au Chili, formé de nombreux médiateurs de santé à travers le monde…

    roberto romero,jean-luc romero,ile-de-france,crips,sida,aids

     

  • Les soins funéraires pour tous en 2016 ! Pourquoi pas en 3016 ???

    La ministre de la santé a fait de nombreuses déclarations sur la suppression de l’interdiction des soins de conservation pour les personnes mortes atteintes du VIH ou des hépatites virales.
    Si je me réjouis des propos forts qu’elle a tenus à de nombreuses reprises, je regrette qu’elle donne une date de suppression très éloignée puisqu’elle parle de 2016…
    Je rappelle que sur cette question, j’ai vu cinq ministres de la santé successifs qui ont tous déclaré s’occuper de ce dossier. Le prédécesseur de Marisol Touraine, Xavier Bertrand, m’avait même envoyé, comme aux autres associations de lutte contre le sida, une lettre indiquant que le décret était prêt et que son successeur n’avait plus qu’à le signer. Deux ans plus tard, rien n’est fait …
    Comment alors croire la parole ministérielle quand tant de promesses ont été faites ?
    Cette question mérite d’être enfin traitée et résolue.
    Les soins funéraires pour tous, c’est maintenant… Pas en 3016 !
    En attendant, signez ma pétition (ici). Vous êtes déjà plus de 96 000 à l’avoir fait !

     

  • Rencontre avec Ieng Mouly, ministre d’Etat du Cambodge

    Ce midi, au Crips Ile-de-France, je déjeunerai avec monsieur Ieng Mouly, ministre d’Etat, président de l’autorité nationale de lutte contre le sida du Cambodge.
    Je pourrai lui présenter les actions que nous menons au Crips mais aussi à la région Ile-de-France pour lutter contre cette pandémie particulièrement présente en Ile-de-France où nous avons 50% des cas de VIH/sida.

    cambodge,jean-luc romero,france,sida,crips,elcs

     

  • Passer de 95 000 à 100 000 signataires pour les Soins funéraires pour tous !

    Ce fut une belle surprise de voir des dizaines de milliers d’internautes – plus de 95 000 à ce jour – signer la pétition que j’ai lancée avec Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) pour que Marisol Touraine autorise enfin les soins de conservation pour les défunts atteints du VIH/sida ou d’hépatites virales.
    Cette discrimination n’a aucun sens en terme de santé publique, n’est pas utile pour la sécurité des thanatopracteurs et est insupportable en terme de discriminations.
    Les séropositifs qui sont déjà discriminés tout au long de leur vie le sont aussi après leur mort. Insupportable !
    Notre pétition a ému comme le prouve le nombre très élevé des signataires. Mais on sait que si 95 000 c’est énorme, il y a des caps symboliques qui marquent.
    100 000 signataires est un objectif. Certes, 5000 signataires supplémentaires ce n’est que 5% de l’ensemble des signataires, mais ce sont ces derniers milliers qui sont les plus difficiles à obtenir.
    C’est pourquoi, nous avons besoin de vous pour relayer cette pétition auprès de vos proches et sur les réseaux sociaux. Ce cap de 100 000 est très symbolique et je sais pouvoir compter sur votre aide. Pour retrouver la pétition (ici). Merci d’avance !

    Pétition30avril2014.PNG