Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS - Page 53
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Invité de Tropiques FM à 12h00
Je serai l'invité de Tropiques FM à 12h00 dans l'émission "Tropique Midi", pour évoquer la campagne sur Internet que lance ELCS : "L'homophobie est un choix, l'homosexualité n'est pas un choix."
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Une salle de consommation à moindre risque dans le 10è : le courage d'un maire pionnier !
Rémi Féraud, maire du 10ème arrondissement de Paris, va accueillir l’expérimentation d’une salle de consommation à moindre risque dans son arrondissement dès la rentrée.
Il y a bien longtemps que les militants d’une politique plus responsable et efficace contre les addictions attendaient une telle annonce. Après 5 années d’une politique sur les drogues uniquement centrée sur la répression avec le très sécuritaire Etienne Apaire, il était temps de changer de braquet dans ce domaine.
Il faut donc saluer le courage du maire du Xème arrondissement, qui en étant le 1er élu municipal à accepter une telle structure en France, assume une position de santé publique courageuse et pionnière en France.
On sait que bien des politicards ne vont pas manquer de l’attaquer en criant à l’irresponsabilité. Déjà, des élus UMP de Paris n’ont pas hésité à user de démagogie contre cette expérimentation à l’image du très conservateur maire du 15ème ardt Philippe Goujon.
Cet élu oublie qu’à l’époque de Jacques Chirac et Michelle Barzach ou encore de Simone Veil, des élus de droite avaient eu le courage de permettre la vente puis l’échange de seringues propres et enfin de lancer une ambitieuse politique de substitution.
Cette politique a eu des effets spectaculaires dans la lutte contre le sida mais aussi a permis la chute du nombre d’overdoses dues à l’héroïne.
L’expérimentation qui va être menée dans le 10ème arrondissement de la capitale est donc essentielle car la plupart de nos villes ont besoin de tels lieux.
Ne l’oublions pas, ces salles sont efficaces en termes de santé publique, comme le prouvent bien des études, mais aussi en termes de sécurité.
De telles salles rassurent aussi les riverains tout en permettant aux usagers de drogues d’éviter de graves conséquences sanitaires mais aussi, telle la stratégie du Petit Prince, en les « apprivoisant » leur permettent de se resocialiser, d’être aidés pour le suivi de leur santé ou d’accéder à des droits.
Cette expérimentation sera scrutée par les partisans comme les opposants. Sans oublier les medias.
J’espère qu’à l’issue de cette expérimentation, la France, comme nos principaux voisins, aura enfin une politique des addictions efficaces et humaines. On la devra en partie au courage de ce maire pionnier qu’aura été Rémi Féraud. -
Lancement de la campagne du Crips contre les discriminations LGBT
Ce soir, j’ai invité les associations LGBT pour le lancement de l’année de mobilisation du Crips Ile-de-France contre les discriminations LGBT.
Depuis que je suis président du Crips, j’ai proposé à nos instances que tous les ans, nous nous mobilisions sur un thème lié aux discriminations. L’année dernière, nous avions choisi la sérophobie et, cette année, les discriminations LGBT.
Après l’explosion de l’homophobie ces derniers mois, ce ne sera pas une année pour rien ! -
Mon discours d'ouverture de la rencontre du Crips
« Genre, homosexualité et discriminations aujourd’hui,
quelles implications pour la prévention auprès des jeunes ? »
Intervention de Jean-Luc Romero, président du Crips Ile-de-France
Rencontre du Crips Ile-de-France / 3 juin 2012
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
Je suis très heureux de vous retrouver aussi nombreux pour cette rencontre dont le titre est ambitieux et annonce des débats très constructifs : « Genre, homosexualité et discriminations aujourd’hui, quelles implications pour la prévention auprès des jeunes ? ».
Beaucoup dans cette salle le savent, les discriminations LGBT sont à l’honneur au Crips puisque, après la sérophobie, nous avons décidé de faire des discriminations LGBT le thème prioritaire de l’année. A ce propos une campagne de communication interassociative, mais dont l’initiative revient au Crips, sera lancée dans quelques jours, sous le slogan « ça change tout pour moi, ça change quoi pour toi ? ». Je vous laisse la découvrir très rapidement, j’espère sincèrement que vous la trouverez pertinente, honnêtement je pense que oui : c’est une campagne qui incite à la discussion et à la réflexion.
Des droits LGBT, on en a beaucoup parlé ces derniers temps, je crois que nous le savons tous ! Pour une issue très heureuse ! A ce propos je rappelle que le Conseil d’administration du Crips avait soutenu officiellement les manifestations en faveur du mariage pour toutes et tous et a bien sûr signé le mot d’ordre de la Marche des Fiertés 2013 : « Droits de LGBT : aller au bout de l’égalité ».
Ces derniers mois ont été marqués par ce mouvement hétéroclite contre l’ouverture du mariage pour toutes et tous, qui au-delà des tentatives de récupération politique, a été, non pas l’expression d’un débat démocratique mais bien plus l’expression d’une homophobie intériorisée – aujourd’hui très clairement extériorisée ! Nul doute que les diatribes et les violences homophobes n’ont pu que renforcer et accentuer la difficulté de s’assumer. Mais nul doute également que les premiers mariages permettront d’avancer au mieux sur la dicibilité de son homosexualité et de tout cela découlera une plus grande acceptation sociale.
Mais essayons de prendre de la hauteur et c’est bien le but de ces rencontres. La question des LGBT a énormément évolué depuis la dépénalisation de l’homosexualité il y a 30 ans. Pacs, pénalisation des propos homophobes, visibilité plus importante des LGBT … Autant d’éléments qui ont permis d’avancer sur cette cause mais pour que l’acceptation des personnes LGBT soit totale, je dis bien acceptation pas tolérance, il faut mêler plusieurs approches : plaidoyer pour les droits et l égalité et renforcement des volets éducatif et répressif.
Un de nos publics cible les plus essentiel, c’est bien évidemment les jeunes. Les jeunes auxquelles on s’adresse, se construisent individuellement dans leur sexualité mais aussi dans leurs valeurs, dans leur relation à l’Autre. C’est, par définition, avec eux que notre société évoluera et avancera vers un modèle de société que nous portons au quotidien à travers nos actions au quotidien : une société plus juste et plus humaine.
J’en ai fini avec cette courte introduction et laisse la parole aux intervenants. Je vous remercie.
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Ouverture de la 87ème rencontre du Crips sur l’homophobie
A partir de ce lundi, le Crips Ile-de-France entame un certain nombre d’actions dans la cadre de son année de mobilisation contre les discriminations LGBT.
J’aurai l’occasion de présenter le programme jeudi prochain devant les associations franciliennes.
Ce lundi, la 87ème rencontre du Crips est donc consacrée au thème « Genre, homosexualité et discriminations aujourd’hui, quelles implications pour la prévention auprès des jeunes ? » et se déroulera au Conseil régional d’Ile-de-France. J’ouvrirai cette rencontre. -
Intervention au Corevih de Haute Normandie
Ce jeudi soir, je ferai un saut à Rouen pour intervenir au Colloque Corevih 4 en action. J’interviendrai dans une table ronde sur le thème : « Sida ? une maladie chronique comme les autres ? ». Vous imaginez ma réponse…
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Invité de France Bleu Ile-de-France jeudi à 8h30
Ce jeudi, à 8h30, je serai l’invité politique de France Bleu Ile-de-France pour évoquer bien sûr le mariage pour tous, mais aussi l’euthanasie et la lutte contre le sida.
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4657 morts du sida par jour !
Le sida a quitté depuis bien longtemps nos agendas politiques et médiatiques. Pour beaucoup, c’est devenu une affaire entendue, une simple maladie chronique.
Beaucoup ont aussi oublié que, dans nos pays riches, si on peut soigner les personnes séropositives – pas les guérir ! – près de 8 millions de personnes dans le monde ont un besoin urgent de traitement et ne l’ont pas. Ainsi, en 2013, 4657 personnes meurent chaque jour dans une indifférence glacée.
Le pire, c’est qu’aujourd’hui, on a les clés pour faire disparaître le sida dans 30 ou 40 ans. Mais pour cela, il faut permettre l‘accès universel à la prévention et aux traitements.
C’est donc de volonté politique dans le monde dont on a besoin. Avec François Hollande, la France porte la taxe sur les transactions financières et s’est engagée à en verser une partie à la lutte contre le sida. C’est important mais encore trop peu de pays suivent l’exemple de la France. C’est d’ailleurs la même chose pour la taxe sur les billets d’avion que gère Unitaid.
La crise est bien sûr passée par là. Mais n’est-ce pas plus important de sauver les hommes avant les banques ? La question mérité d’être posée car « il n’y a de richesses que d’hommes… » -
Permettre enfin aux malades d’emprunter !
En 2013, il reste difficile pour beaucoup de personnes atteintes d’affection de longue durée de faire un prêt pour acheter un bien immobilier.
Cela reste même difficile pour des personnes guéries de cancer ! Idem, pour les personnes séropositives.
Pourtant depuis 2001, l’espérance de vie des séropositifs s’est considérablement améliorée au point qu’ils ont toutes les chances d’avoir une durée de vie presque similaire à une personne non touchée par ce virus.
Pourtant, malgré la convention AERAS, c’est pour beaucoup de patients le parcours d’obstacles. En ce qui me concerne, je n’ai ainsi pu jamais accéder à la propriété…
Aujourd’hui, alors que les banques et les assurances imposent des surprimes délirantes, il faut que les pouvoirs publics tapent de nouveau du poing sur la table. Etre malade n’est déjà pas un choix.
Ne pouvoir bénéficier d’un prêt ne peut plus être impossible au seul motif d’un état de santé… Encore moins quand la personne est guérie ou qu’elle a, comme les personnes séropositives, une espérance de vie très importante ! -
Débats sur le sida au Lycée Hugues Capet de Senlis
A l’invitation de Jérôme Miralles, assistant d’éducation et coordinateur du Projet Z, je rencontrerai deux groupes de 30 élèves du Lycée Hugues Capet ce vendredi de 13h30 à 16h30. Il s’agira d’un question réponse sur tous les aspects de la lutte contre le sida.
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Visite du CyberCrips par la ministre Najat Vallaud-Belkacem
Ce matin, je recevrai au CyberCrips, la ministre Najat Vallaud-Belkacem.
Le CyberCrips qui dépend du Crips dont je suis le président est un lieu situé Tour Montparnasse et est ouvert aux jeunes. Dans un lieu original, jeunes et groupes scolaires se succèdent pour évoquer de manière interactive les questions liées à la sexualité, au sida, aux IST, aux addictions, aux questions de genre. -
Message d'ouverture de la 86ème rencontre sur les hépatites
Message d’ouverture de Jean-Luc Romero
Président du Crips Ile-de-France
86e rencontre du Crips Ile-de-France
« Prévention, dépistage et traitements des hépatites B et C »
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
Je vous souhaite la bienvenue à la région Ile-de-France pour cette 86e Rencontre du Crips Ile-de-France dont le thème est le suivant: « Prévention, dépistage et traitements des hépatites B et C ».
Alors, quels constats peut-on dresser ?
En premier lieu, que les hépatites sont un problème majeur de santé publique : à titre d’exemple sur le VHC, près de 250.000 personnes sont porteuses de cette hépatite et près de 40% l’ignorent !
En second lieu, que les hépatites sont un problème de santé publique méconnu, ou plus justement pas assez connu. L’occasion pour moi de rappeler le très gros travail effectué par SOS Hépatites et notamment les résultats de l’enquête que l’association a menée et qui démontre l’urgence à agir à cause justement de ce manque de connaissance. L’enquête montre bien, sur la question du VHC, une méconnaissance globale ; ainsi ce sont 61% des répondants qui se déclarent assez mal informées et 19% très mal informées. Même dans le cadre des personnes ayant fait un test de dépistage de l’hépatite C, le niveau d’information du grand public reste bas : seulement une personne sur deux ayant effectué ce test estime avoir suffisamment de connaissances concernant les hépatites. 58% des personnes interrogées considèrent ainsi à tort qu’il est possible de se faire vacciner contre l’hépatite C. 66% ignorent qu’il est possible de guérir de l’hépatite C. Je ne veux pas vous noyer sous une litanie de chiffres mais clairement, la question de l’information, de la compréhension de la maladie, de ses effets, de ses modes de transmission est une urgence absolue.
Sur les vaccinations et les traitements : on connait tous le débat qu’il y a pu y avoir, un débat très dur, sur le vaccin de l’hépatite B et les accusations liant ce vaccin avec l’apparition d’une sclérose en plaques. Cela a sans nul doute laissé des marques fortes dans la vision de la vaccination, sa compréhension et sa promotion. Concernant le VHC, des nouveaux traitements se sont fait jour, des traitements prometteurs.
Au-delà de la nécessaire information du grand public, de la mise à l’agenda politique de ces questions de santé publique et des évolutions thérapeutiques, se pose la question de l’adaptation de la réponse des associations et des médecins aux évolutions sociétales, je pense notamment au SLAM qui est une vraie réalité sur laquelle nous devons nous pencher très sérieusement. L’enquête réalisée entre autre par AIDES est une base de travail très intéressante.
Globalement, la question se pose : alors que pour le VIH, le TasP a clairement été érigé comme approche à prioriser, mais cette approche est elle déclinable sur le plan des hépatites ?
Autant de questions et bien d’autres qui vont être soulevées tout au long de cette après-midi. Je vous souhaite donc des débats et discussions très constructifs. Je vous remercie.
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100 000$ pour la capote nouvelle génération !
La fondation de Bill et Melinda Gates est très impliquée dans la lutte contre le sida depuis très longtemps. Les Gates estiment que certaines personnes restent réfractaires aux actuels préservatifs - masculins et féminins - car ils diminuent, en ce qui les concerne, le plaisir.
Ils ont donc décidé de lancer un concours pour rendre les capotes plus attractives. Ce concours dure jusqu’au 7 mai et les projets prometteurs pourraient bénéficier d’une enveloppe supplémentaire.
Une belle et utile initiative à saluer et encourager ! -
Ma réunion sida à Toulouse sur TéléToulouse
SIDA : Visite de Jean-Luc Romero (Toulouse) par teletoulouse-wizdeo -
50 000€ de la région Ile-de-France pour le soutien aux personnes touchées par le VIH en Mauritanie
Au cours de sa dernière commission permanente,
le Conseil régional d’Ile-de-France, présidé par Jean-Paul Huchon, a voté une somme de 50 000 euros pour la prise en charge médicale, psychosociale et nutritionnelle des personnes vivant avec le VIH et notamment les enfants touchés.
Il s’agit en effet de soutenir le vaste de plan de prise en charge du Centre de traitement ambulatoire de Nouakchott qui prend en charge plus de 4166 séropositifs dont 1646 sont sous antirétroviraux (ARV).
Cette prise en charge qui va du suivi biologique, à la prise en charge médicale, au financement d’hospitalisations, aux activités de counseling ou nutritionnelles est exceptionnelle.
En commission des actions internationales, j’étais fier de voter pour un tel projet qui permet de soutenir des malades et sûrement de sauver des vies… -
A 22h15 sur Voltage FM
A l'occasion du Sidaction, je répondrai aux questions de Gilles Teyssier ce vendredi vers 22h15 sur la radio Voltage.
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Ma tribune dans le Huffington Post : La lutte est une promesse
La lutte est une promesse
Par Jean-Luc Romero,élu, militant, séropositif
Dans notre société outrageusement dominée par les chiffres, laissez-moi vous en donner cinq:
7. C’est en millions le nombre de personnes séropositives qui ont un besoin urgent d’avoir accès aux traitements. L’ONUSIDA l’affirme : la moitié d’entre elles mourront dans les 24 mois si elles ne commencent pas de thérapie antirétrovirale… Et pourtant un traitement ARV dans les pays du Sud ne coûte que 88 euros par an !
11. Cela fait 11 ans que j’ai révélé publiquement ma séropositivité. Pourquoi ? Pour être en accord avec moi-même, pour pouvoir lorsque je faisais mes tours de France auprès des associations et des élus, regarder les malades sans avoir l’impression de leur mentir. Aujourd’hui, j’en suis à mon 18e Tour de France et je n’ai jamais regretté cette décision. Je connaissais bien les risques en révélant ma séropositivité : bien des portes – notamment dans le milieu politique - se sont fermées … Le VIH ne m’a évidemment pas rendu plus fort mais l’assumer si.
25. C’est le nombre d’années pour lesquelles je suis sous traitement. 25, c’est un chiffre inespéré. La vie et l’espoir étaient bien un luxe que l’on ne pouvait se permettre au début de l’épidémie. 25, c’est un nombre bien faible quand je pense au nombre de mes proches que j’ai vu partir au cours de ces années, emportés par ce salaud de virus. 25 ans sous traitement, cela m’oblige à vivre dans l’urgence, tout comme celles et ceux à qui on a annoncé que la mort n’était pas qu’une peur abstraite mais une réalité tangible. 25, cela fait de moi un privilégié par rapport aux 1,7 millions de personnes emportées par le sida en 2011…
70. C’est le pourcentage de personnes en accord avec le fait que « pour éviter les discriminations une personne séropositive a raison de garder son diagnostic secret ». Plus de deux personnes sur trois pensent donc légitime les discriminations qui touchent les personnes séropositives… Soyons francs et dressons ce constat dramatique : plus de 30 après la découverte du VIH, c’est bien plus le malade qui fait peur que la maladie ! A quand une société où dire sa séropositivité n’exposerait pas les personnes à l’opprobre et aux discriminations ?
110. Le numéro de téléphone pour faire un don au Sidaction. Le slogan du Sidaction 2013 est le suivant : « dans le lutte contre le sida, ne crions pas victoire trop vite », slogan à mettre en parallèle avec les annonces faites notamment lors la Conférence de Washington de juillet 2012 affirmant que la fin du sida était, non plus une utopie, mais bel et bien une réalité envisageable. Entre ces deux discours, je ne vois aucune contradiction, il n’est ni question d’un pessimisme alarmiste ni d’un optimiste naïf. Non. Ces deux messages portent une valeur : l’engagement. L’engagement pour faire reculer l’épidémie. L’engagement pour aider les malades.
L’engagement pour changer le monde.
La lutte contre le VIH/sida est une promesse.
Une promesse que l’on fait aux morts comme aux vivants. A soi-même comme à la société toute entière. Une promesse pour défendre la vie. Une promesse pour promouvoir un modèle de société basée sur des valeurs humaines.
Et nous le savons toutes et tous : une promesse ne se trahit pas !
Alire sur le site du Huffington Post (ici). -
Invité de la rédaction de Voltage à 12h25
A l'occasion du Sidaction, je serai l'invité de la rédaction de Voltage ce vendredi à 12h25.
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A 12h00 sur France 3 Ile-de-France et Sud Radio
A l'occasion du lancement du Sidaction, je serai l'invité de France 3 Ile-de-France. à 12h00. Je reviendrai sur ma proposition sur la gratuité des prservatifs mais aussi sur les actions du Crips et d'ELCS.
Je serai aussi à l'antenne de Sud Radio pour une interview enregistrée sur le même sujet.