Débat à ISC Solirace à 18h00
Ce mercredi soir, à 18h00, je participerai au débat sur le sida organisé par la première association étudiante de prévention sur le sida, ISC Solirace.
Ce débat se déroulera au sein de l'école ISC à Levallois-Perret.
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Ce mercredi soir, à 18h00, je participerai au débat sur le sida organisé par la première association étudiante de prévention sur le sida, ISC Solirace.
Ce débat se déroulera au sein de l'école ISC à Levallois-Perret.
La lutte contre le sida est un combat individuel que j’ai transformé il y a plus de 25 ans en un combat collectif.
Rarement, la mobilisation contre un virus aura été portée à ce point par les malades eux-mêmes et par la société civile.
Comme le montre le très beau film « A normal Heart » de la chaîne HBO, en 1981, les responsables politiques du monde entier se moquaient de ce virus qui semblait alors ne toucher que des homosexuels… Le fameux cancer gay !
L’hécatombe mondiale – encore 4000 morts par jour du sida en 2015 ! – et la mobilisation des malades ont obligé les gouvernements à bouger.
L’accès à la prévention et au traitement n’est toujours pas universel mais le nombre de personnes sous traitements a heureusement considérablement augmenté.
La France a donné un mauvais signal en décembre en amputant 25 millions d’euros de la taxe sur les billets d’avion et on sent que la mobilisation politique mondiale faiblit.
Pourtant aujourd’hui, si on y met les moyens, on a la certude que le sida pourrait disparaître d’ici 20 ans. Imaginez toutes ces nouvelles générations sans sida ! Quel beau rêve !
Ce rêve est possible et mon 3ème vœu pour 2015 est que la mobilisation mondiale s’opère pour qu’on puisse enfin apercevoir le début de la fin du sida…
Depuis de nombreuses années, avec ELCS, je me bats pour que les soins de conservation ne soient plus interdits aux personnes mortes, atteintes du sida ou des hépatites.
Cela constitue une discrimination post mortem qu’aucune raison de santé publique ne justifie. Tous les organismes officiels consultés ont appelé, ces dernières années, à la fin de cette discrimination.
La ministre de la santé a annoncé la levée de cette interdiction en 2016 sans donner un calendrier ni les raisons de ce délai.
J’ai lancé une pétition qui a réuni 100 000 signataires (ici) et j’émets le vœu que nous soyons vraiment entendus non en 2016 mais enfin en… 2015 !
Ce samedi après-midi, je serai très heureux de passer à la grande fête annuelle des Petits Bonheurs.
Cette association qui fait de petits et grands plaisirs aux malades du sida est rare dans le paysage de la lutte contre le VIH.
Je suis très admiratif de leur travail…
Comme toujours et pour rappeler que la vie avec le VIH n’est pas une sinécure, je vous donne mes résultats bruts, du moins ceux qui ne sont pas dans les normes…
Hier, j’avais donc mon rendez-vous avec le professeur Rozenbaum à l’hôpital Saint-Louis.
Voilà les résultats.
Les monocytes sont à 127/mm3 pour une normale entre 200 et 1000.Les Lymphocytes T CD4 sont à 314/mm3 pour 333 en septembre et une normale qui les situe au-dessus de 500.
La Protéinurie est à 511 mg/l pour une normale qui les situe à moins de 150 ; la Glycosurie à 2,46g/l pour une normale entre 0,06 à 0,17. Le rapport Protéinurie/Créatunirie est à 506mg/g pour une normale entre 22 et 221. Enfin le rapport Microalbuminurie/Créatinurie à 85,3mg/g pour une normale entre 1,8 à 22.
Une bonne nouvelle : la charge virale est indétectable !
L’avenir dure toujours…
Jean-Luc Romero invité politique de France Bleu... par francebleu1071
Ce matin, Anne Hidalgo, maire de Paris et Michel Sidibé, directeur de l’ONUSIDA, accompagnés d’une vingtaine de représentants de grandes villes dans le monde, ont lancé l’initiative mondiale « Villes actrices de la transformation sociale », initiative très impactante et qui est appelée à devenir un maillon essentiel de la réponse mondiale au VIH/sida.
Concrètement, les villes signataires s’engagent à tout mettre en œuvre pour la concrétisation du nouvel objectif stratégique de l’ONUSIDA : « 90 – 90 – 90 », c’est-à-dire l’augmentation à 90% de la proportion de personnes vivant avec le VIH qui connaissent leur diagnostic, l’augmentation à 90% de la proportion de personnes vivant avec le VIH recevant un traitement antirétroviral et l’augmentation à 90% de la proportion de personnes sous traitement du VIH qui ont une charge virale indétectable.
Moi qui en suit à mon 19e tour de France contre le sida en tant que président d’Elus Locaux Contre le Sida, avec donc des déplacements dans les villes pratiquement toutes les semaines depuis bientôt 20 ans, je ne peux qu’être très heureux et satisfait de cette initiative. Car oui, indéniablement, les villes ont une responsabilité toute particulière du fait de leurs capacités d’action et de leur proximité avec les populations. La limitation voulue quelques fois par les textes doit céder le pas devant le volontarisme politique de s’engager dans ce combat pour la vie, la dignité, l’égalité. Comme j’ai l’habitude de le dire, l’inaction tue !
Alors bien sûr, au regard de la diversité des villes, des contextes sociétaux et épidémiologiques, il n’y a pas de recette miracle mais, tout au moins, quelques grands axes peuvent être mis en exergue sur la politique à mener.
La politique mise en place doit débloquer des moyens suffisants pour aider les acteurs de cette lutte et permettre un réel déploiement des dispositifs de prévention et de dépistage du VIH, pierre angulaire d’une réponse efficace au VIH/sida. De manière très concrète, il peut être décidé la mise à disposition des préservatifs masculins et féminins dans tous les lieux publics de la ville ainsi que l’organisation d’opérations de dépistage rapide.
La politique de la ville doit aussi participer de manière engagée au respect et la promotion des droits des personnes vulnérables : jeunes filles, prisonniers, LGBTI, personnes usagères de drogues ; concrètement, les villes peuvent mettre en place des campagnes de communication locales de lutte contre la stigmatisation ou organiser des séances d’information, des conférences sur la thématique.
Les élus doivent également soutenir les personnes touchées par le VIH, que ce soit dans l’accès aux droits et au logement par exemple. Ils peuvent décider de former le personnel municipal, notamment le personnel accueillant, à la thématique du VIH et des discriminations ; les villes peuvent également prioriser l’accès aux logements sociaux pour les personnes séropositives. Beaucoup de malades sont touchés de plein fouet par la précarité et je vous le demande : comment gérer et la maladie et la précarité en même temps ?
Enfin, pour agir efficacement dans la lutte contre le sida, le politique ne doit pas être seul. Les villes doivent œuvrer avec la société civile, être à leurs côtés, pas seulement en tant que soutien financier ou logistique
Fort des ses 16.000 élus, Elus Locaux Contre le Sida soutient très fortement cette initiative mondiale « Villes actrices de la transformation sociale ». Comme je le dis, comme je le martèle depuis bientôt 20 ans à la tête d’Elus Locaux Contre le Sida : le sida se soigne et se combat aussi par la politique !
L’ONUSIDA a lancé sa nouvelle campagne « Close the gap » pour la Journée mondiale de lutte contre le sida. « Combler l’écart » oui, car comme le rappelle l’ONUSIDA, « mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030 est possible, mais seulement en comblant l’écart entre les gens qui ont accès aux services de prévention, de traitement, de soins et de soutien concernant le VIH et les gens qui sont laissés pour compte ».
Nul doute que cette campagne doit résonner en France tant les défis sont nombreux en termes de promotion du dépistage, d’éducation à la sexualité, de lutte contre la stigmatisation et les discriminations.
C’est pour cela que le village associatif organisé par le Crips Île-de-France a toute son importance et revêt également une forte portée symbolique : en souhaitant regrouper les acteurs associatifs franciliens le 1er décembre, Place de la République à Paris, notre volonté est bel et bien de montrer la richesse de la réponse au VIH/sida et surtout l’interdépendance des réponses. Politique ambitieuse de prévention et respect et promotion des droits humains sont liés, cette évidence, très largement documentée, il faut le marteler ! Sans cesse et sans relâche ! Et cela en dépit des préjugés que certains peuvent avoir.
Alors que plus de 6.000 personnes découvrent leur séropositivité chaque année en France, que 30.000 personnes séropositives en France ne connaissent pas leur statut sérologique, que jamais autant de personnes n’ont vécu avec ce virus dans le monde, nul doute que cette Journée mondiale doit être une journée de mobilisation importante. La lutte est une promesse et une promesse est faite pour être tenue !
Anne Hidalgo, qui a toujours été très mobilisée contre le sida, invite des maires de capitales étrangères à s’engager contre le sida.
Dans une déclaration de Paris qui devraient être signée ce lundi 1er décembre, journée mondiale contre le sida, les villes s’engageraient à atteindre en 2020 l’objectif de 90% de personnes séropositives connaissant leur statut sérologique ; 90% de personnes recevant un traitement ARV et 90% des personnes sous traitement à avoir une charge virale indétectable.
Cette déclaration sera un moment très fort du combat contre le sida en cette journée symbolique et Paris montre encore qu’elle est à la pointe quand il s’agit de lutter contre cette pandémie.
Parler du sida ce n’est pas seulement parler d’une maladie qui touche plus de 2 millions de personnes par an, de cette épée de Damoclès qui demeure au quotidien au-dessus de la tête de 35 millions de malades, c’est parler d’une société, de ses valeurs, de son A.D.N.
Lutter contre le sida, c’est penser l’individu, ses pratiques, ses prises de risques, les effets de la maladie, lui apporter soutien et information, lui mettre à disposition des outils de prévention mais c’est aussi s’interroger et agir sur le contexte, le collectif, la Cité, ses lois, ses rites et ses symboles. Ces deux pans de la lutte sont complémentaires et tout aussi important l’un que l’autre.
Plus qu’aucune autre maladie, le sida est une maladie sociale. Une maladie qui précarise et qui discrimine. Ce constat, il peut être fait par tous et il est fait par tous. Prenons l’exemple de la France où les dernières enquêtes indiquent que 30 % des personnes séropositives sont, je cite l’enquête Vespa 2, « pauvres en conditions de vie » et que 23 % d’entre elles éprouvent des difficultés à faire face aux dépenses de la vie quotidienne. Près de la moitié des personnes séropositives ont également subi une discrimination que ce soit dans leur vie privée comme professionnelle. Derrière ces chiffres aussi éloquents que froids qu’on peut lancer tels quels, il y a, sachons ne jamais l’oublier, des vies et des souffrances.
Les pouvoirs publics devraient donc, en toute logique, si jamais la logique est bien de lutter contre le VIH/sida, mettre en place un cadre sociétal favorisant la dicibilité de la maladie et surtout, globalement, favorisant le respect et la promotion des droits humains. Mais alors comment expliquer cette capacité de certains gouvernements à s’obstiner à penser que la répression et la politique de la haine sont une solution au sida ? Inepties coupables. Politiques criminelles. Bien souvent ces politiques de haine s’appliquent en direction des « populations clés », c’est-à-dire des groupes de population les plus à risques de contracter le virus mais également des populations considérées comme clés car partenaires prioritaires dans la réponse au VIH/sida. Ces populations, ce sont les mêmes partout dans le monde: personnes incarcérées, transgenres, travailleur(se)s du sexe, HSH, usagers de drogues injectables …. Faut-il rappeler que près de 50% des nouvelles contaminations au VIH se produisent au sein de ces populations ? Alors pourquoi certains gouvernements, en dépit de toutes les études internationales dénonçant de telles mesures, pénalise l’homosexualité, l’usage simple de drogues ou le travail du sexe ? Ce faisant, ces gouvernements ne parviennent qu’à renforcer l’épidémie !
Toutes ces revendications, elles sont portées par des milliers d’associations à travers le monde et elles seront portées encore plus fortement dans quelques jours, lors du 1er décembre, Journée mondiale de lutte contre le sida depuis 1988. Toujours un moment très fort de la lutte contre le sida au niveau international.
Chère lecteur, chère lectrice, peut-être vous sentez vous concerné(e) mais vous ne savez pas quoi faire pour ce 1er décembre, pour cette Journée mondiale de lutte contre le sida. Permettez-moi cette proposition en forme de conseil : mettez un ruban rouge symbole international de la lutte contre le sida ! En fait, prenez en deux, comme c’était toujours le cas au début : un pour soi, un à offrir. Le ruban rouge comme un hommage aux disparus, à nos morts, à nos amours et nos amis. Le ruban rouge comme un symbole de soutien aux personnes séropositives, en particulier à tous les malades qui ne peuvent pas dire leur séropositivité par peur du rejet et de la stigmatisation. Le ruban comme un cri de colère contre les gouvernements qui pensent que fermer les frontières aux séropositifs est la solution, un cri d’espoir pour un monde sans sida, d’une société où la séropositivité ne serait pas synonyme d’exclusion. Comme chaque jour, et encore plus pour cette Journée mondiale de lutte contre le sida, je porterai ce symbole avec fierté. Et vous ?
Lire aussi sur le site de Bazoom (ici).
A l’occasion de mon passage au Mans, je serai l’invité de Mikaël Texier sur LMTV Sarthe pour évoquer mes combats sociétaux.
Ce vendredi 28 novembre, à 18h00, j’animerai une réunion d’Elus Locaux Contre le Sida à l’hôtel de ville du Mans.
A trois jours du 1er décembre, journée mondiale contre le sida, il s’agira de rappeler la nécessaire mobilisation des élus locaux dans ce combat pour la vie.
Madame la ministre,
Mesdames, messieurs les élus,
Mesdames, messieurs,
Chers amis,
Une nouvelle fois, je suis ravi de vous retrouver aujourd’hui pour ces 19e Etats généraux des Elus Locaux Contre le Sida. Comme à chaque fois, je vois de nombreux visages connus ou des visages que je connais bien, des élus, des institutionnels, des associatifs, je ne peux évidemment pas tous vous citer mais sachez que je suis sincèrement heureux de vous voir toutes et tous réunis ici, convaincus que nous sommes que le sida se soigne et se combat aussi par la politique, même si nous sommes de moins en moins à l’affirmer.
Nous sommes dans un beau lieu, un lieu dans lequel nous avons toujours été particulièrement bien reçus, par Bertrand Delanoë par le passé et, aujourd’hui, par Anne Hidalgo. Chère Anne, tu nous as fait l’honneur d’ouvrir ces Etats généraux et je n’oublie pas que, depuis de très nombreuses années, tu as été de tous les combats avec notre association, à nos côtés.
Oui, le sida se soigne et se combat par la politique. Oui mais de quel politique je parle ? Celle qui divise, qui discrimine, qui, pour des raisons électoralistes, malheureusement électoralistes, accepte de s’abaisser et de s’asseoir, oui de s’asseoir, sur nos valeurs démocratiques et notre devise républicaine : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Celle qui préfère les freins idéologiques aux progrès pragmatiques, celle qui pointe du doigt les malades responsables de tous les maux, coupables de tout. Celle qui considère la personne séropositive comme une bombe virale, un contaminateur en puissance, celle qui pénalise par principe. Celle qui refuse l’éducation et l’information notamment des plus jeunes.
Alors cette politique ou l’autre politique ? Oui, celle qui regarde la réalité telle qu’elle est, non déformée par un prisme idéologique, celle qui agit en fonction d’un seul intérêt : l’intérêt général, celle qui croit que nous devons tous pouvoir regarder le fronton de nos mairies sans rougir, celle qui considère que l’information est la solution, que l’éducation est une chance. Celle qui croit en l’humain et qui agit pour lui. Vous le savez déjà, de mon côté, j’ai fait mon choix, et votre présence ici laisse supposer également du vôtre ! Concrètement, du travail, il y en a, croyez-le bien ! Le constat de crispations, de divisions et de tensions dans notre société, nous pouvons tous objectivement le faire. Il suffit de regarder les débats sur les salles de consommation à moindre risque, sur les programmes scolaires et l’éducation à la vie affective et sexuelle à l’école ou sur le mariage pour tous. Du travail, nous en avons beaucoup !
Alors, l’année 2014 a été particulièrement riche en matière d’élections ; deux élections majeures ont redessiné la France : les élections municipales et sénatoriales. Est-ce que nous sommes contents ou mécontents des résultats ? A vrai dire, on s’en fiche à ELCS. Pour être totalement honnête à ELCS, nous ne nous posons évidemment pas la question : le sida n’est ni de droite ni de gauche, voilà ce que nous défendons énergiquement ! Et ça fait bientôt 20 ans que cela dure ! Et oui, déjà 20 ans, cela ne nous rajeunit pas. En 1995, je créais l’association … Il m’est ainsi donné l’occasion de remercier avec beaucoup de sincérité et d’affection Philippe, Philippe Lohéac, trésorier d’ELCS, qui est de l’aventure d’ELCS depuis le début mais aussi beaucoup d’autres que je vois dans la salle. Je ne peux tous citer mais sincèrement un grand, un très grand merci à vous. A ce propos, je tenais à vous informer du lancement d’un projet de spot TV sur l’histoire d’ELCS et les combats portés depuis 20 ans. Ce projet, nous souhaitons le concrétiser via le site Ulule et un appel au financement participatif. En somme, ce projet ne verra le jour que si vous le souhaitez. Sincèrement, je compte sur vous !
Revenons désormais sur le paysage politique actuel. Les élections municipales et sénatoriales créent pour ELCS un potentiel réservoir de nouveaux élus qui peuvent s’engager, avec nous, dans ce combat pour la vie, la dignité et l’égalité pour la prévention, l’information, le soutien aux personnes, l’aide aux associations, la liste est longue ! Je ne cesse de le marteler depuis longtemps, l’échelon local est particulièrement pertinent, légitime et efficace dans ces combats. Et je veux voir dans l’annonce d’Anne Hidalgo une consécration du rôle de l’échelon local : clairement l’initiative « Villes actrices de la transformation sociale », présentée par la maire de Paris, met les villes au cœur de la lutte !
Je n’aurai jamais cru assister un jour aux 19èmes Etats Généraux d’Elus Locaux Contre le Sida… En créant cette association avec certains jeunes élus dont Philippe Lohéac, je pensais que cette association disparaitrait rapidement grâce à la mobilisation des élus et surtout la disparition de ce virus.
Presque 20 ans plus tard, je dois constater qu’il n’est pas facile de mobiliser sur une pathologie qui reste taboue voire honteuse. Et que le sida n’a jamais concerné autant d’êtres humains dans le monde et en France.
Heureusement des milliers d’élus nous ont accompagnés au cours de ces années et continuent de le faire.
Ces 19èmes Etats Généraux sont placés sous le haut patronage du président de la République et la présidence de la maire de Paris, Anne Hidalgo, fidèle militante de la lutte contre le sida. Ils se déroulent dès 16h00 à l’Hôtel de ville.
Sur le thème « VIH, hépatites » de nombreux élus et militants interviendront.
Pour toute inscription de dernière minute, téléphoner au 01.42.72.36.46.
Demain, mercredi 26 novembre, jour des Etats généraux d’ELCS, George Pau-Langevin recevra les associations de lutte contre le sida et dévoilera aussi un ruban rouge sur la façade de son ministère.
C’est important que la ministre en charge notamment des DFA où la pandémie est très importante s’engage fortement.
Plus que jamais, la mobilisation politique est nécessaire contre ce virus en solidarité avec les personnes touchées et concernées tout particulièrement en Guadeloupe, à Saint-Martin ou en Guyane.
Le mercredi 26 novembre, à 15h30, se dérouleront les 19èmes Etats-Généraux d’ELCS à la mairie de Paris.
Cette nouvelle édition sera placée sous le haut patronage de François Hollande et sous la présidence effective d’Anne Hidalgo, maire de Paris...
Le thème « VIH, hépatites, les nouveaux enjeux » sera décliné par de nombreuses personnalités dont les ministres Fioraso et Pau-Langevin. (Programme ici)
Vous pouvez toujours vous inscrire en envoyant un e-mail (ici) ou en téléphonant au 01.42.72.36.46.
Mobilisez-vous, car le sida se soigne aussi par la politique !