Ouverture du concours du Crips
A 13h30, j’ouvrirai le concours du CRIPS organisé auprès des lycéens et apprentis Franciliens à la région Ile-de-France.
Sept lycées franciliens et un CFA ont été sélectionnés à ce concours.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A 13h30, j’ouvrirai le concours du CRIPS organisé auprès des lycéens et apprentis Franciliens à la région Ile-de-France.
Sept lycées franciliens et un CFA ont été sélectionnés à ce concours.
Jean-Luc Romero : «Je ne suis pas un militant... par libezap
Ce mardi, de 20h à 21h, je serai l’invité politique de Fréquence ESJ.
Je répondrai aux questions des étudiants de l’Ecole supérieure de journalisme sur l’actualité mais aussi sur mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
Cette itw sera en direct sur la fréquence ESJ et visible le lendemain sur Dailymotion.
Vous pourrez voir les coulisses sur l’application Periscope.
A l’occasion de ma réunion sur le sida à Grenoble pour ELCS et de ma réunion dédicace ADMD autour de mon nouveau livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? », je serai l’invité du jour de Télé Grenoble Isère ce lundi 20 avril à 18h30.
Ce lundi 20 avril, à 18h00, j’animerai une réunion d’Elus Locaux Contre le Sida à l’hôtel de ville de Grenoble.
Alors que jamais autant de gens n’ont vécu avec le VIH/sida en France et dans le monde, il devient urgent que les élus se remobilisent !
A l'occasion de mon déplacement à Grenoble, je serai l'invité de RCF Isère ce lundi à 8h00 pour évoquer la lutte conre le sida.
A l’occasion de mon déplacement à Grenoble ce lundi, je serai l’invité de la rédaction de France Bleu Isère à 7h50.
L’interview sera rediffusée dans le JT du midi.
C’est dans mon cher 12ème arrondissement que je lance officiellement mon nouveau livre d’entretiens avec la journaliste Claire Bauchard « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? » aux éditions Michalon.
A 18h30, je vous espère nombreux pour une conférence dédicace de lancement de mon livre à la célèbre librairie l’Arbre à lettres – 62, rue du faubourg Saint-Antoine (métro bastille ou Ledru-Rollin).
« Nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle ». En quelques mots, l’Assemblée nationale mettait fin, ce 3 avril, à une interdiction vieille de plus de 30 ans, une interdiction que je combats depuis bien des années tant je la sais aussi discriminatoire qu’inutile !
Rappelons ici la législation française actuelle : actuellement en France, un homme ayant eu des rapports sexuels avec un homme ne peut pas donner son sang, il s’agit là d’une contre-indication permanente. Oui permanente ! A vie en somme. Récente ou ancienne, protégée ou non, il suffit donc d’une seule relation sexuelle avec un autre homme pour se voir refuser de manière définitive de faire don de son sang. Une personne qui n’aurait eu que des relations hétérosexuelles à risques se verrait opposer une interdiction mais temporaire…
En résumé : un homme n’ayant qu’un seul rapport sexuel protégé avec un homme il y a 20 ans : exclu à vie. Une personne ayant des relations hétérosexuelles continuellement à risque : exclu mais provisoirement …
Sincèrement, je pense que, à moins d’être particulièrement de mauvaise foi, nous ne pouvons que toutes et tous, quelque soit nos opinions sociétales ou politiques, n’y voir qu’une aberration, aberration que les représentants de la Nation ont unanimement corrigé ce 3 avril !
Attention, j’en vois déjà certains crier au puissant lobby LGBT… il n’est pas de mon propos que de créer une discrimination positive, voire de dire que le don du sang est un droit opposable. En aucun cas ! Le préalable, il est clair pour moi : le don du sang n’est pas un droit. Pas un droit mais un acte civique, un acte citoyen susceptible de recevoir des limitations pour garantir la sécurité transfusionnelle. Tout le monde le reconnaît de manière totalement définitive et sans discussion aucune. Je ne suis pas pour l’ouverture totale, je suis simplement pour l’application d’un critère très simple : celui des comportements. Si risque il y a, il y a exclusion temporaire. C’est simple, c’est efficace, cela respecte tant les droits des personnes que la santé publique, c’est compréhensible de tous et toutes.
Alors, oui, je l’affirme : être homosexuel n’est pas un risque en soi … de même qu’être hétérosexuel n’est pas un risque en soi !
Hasard du calendrier ( ?), le CCNE, saisi il y a deux ans rendait dans le même temps son avis sur cette question ; la réponse, on pouvait s’y attendre tant l’instance est devenue conservatrice, c’est : ne faisons rien, attendons, réfléchissons. Heureusement que nos voisins européens qui ont mis en place un système clair et efficace avec donc ce critère du comportement à risques n’ont pas attendu. Je rappelle tout de même au comité que la HALDE et le Défenseur des droits se sont prononcés pour la levée de l’interdiction permanente et donc l’application d’un critère unique quelle que l’orientation sexuelle : celui du comportement. L’avocat général de la Cour Européenne de Justice s’est prononcé également contre cette interdiction de principe affirmant que l’exclusion ne pouvait venir que de « l’identification d’une conduite ou d’une attitude précises exposant le candidat au don à un risque élevé de contamination. » Clair, net, précis, efficace.
Ce vote du 3 avril, il est fort, il est important mais il n’est pas définitif. Il nous faudra, toutes et toutes rester extrêmement vigilants et quand je dis cela je pense mobilisés à, d’une part, le vote définitif de cet amendement dans la loi de santé, d’autre part sa transcription dans du concret via un arrêté. On connaît trop de belles dispositions votées et qui sont restées lettre morte …
Ce mardi 7 avril, je serai invité de Sophie Davant dans "L'histoire continue" sur France 2, vers 15h, quelques années après avoir été invité sur le même plateau par le regretté Jean-Luc Delarue. Ce sera l'occasion pour moi de revenir sur la révélation de mon homosexualité et de ma séropositivité, mon combat contre le sida et bien sûr celui pour une fin de vie digne. Mon nouveau livre "Ma mort m'appartient - 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils?" qui sort dans une semaine, le 16 avril, sera aussi présenté.
Ce dimanche, à 18h00, avec Eddie Aït, conseiller régional d'Ile-de-France, je serai l'invité de Nicolas Kirilowits sur Radio Sensations pour parler de la lutte contre le sida à l'occasion de la fin du Sidaction.
Vous retrouverez la vidéo du Grand Journal de jeudi où je participe au lancement du Sidaction 2015. Avec le langoureux baiser d'Antoine de Caunes ! Merci à Antoine d'aider à faire tomber les préjugés...
TasP, PrEP, TROD, ARV, IPERGAY, RDR, CDAG, auto-test… Autant de sigles et de mots qui pourraient paraître quelque peu obscur pour le grand public et qui le sont aujourd’hui beaucoup moins grâce au Sidaction, manifestation populaire, citoyenne et médiatique qui arrive depuis tant d’années, malgré le désintérêt de nos concitoyens pour cette cause, à fédérer l’univers médiatique. Et c’est tant mieux !
L’intérêt du Sidaction, il est double : le premier, bien sûr, c’est le Sidaction comme opérateur de collecte de fonds. Indispensable en temps de crise, indispensable en ces temps où la France décide de baisser sa contribution à Unitaid, menaçant ainsi 200.000 enfants séropositifs. Le second intérêt, tout aussi important, c’est de parler du VIH, c’est de mettre et remettre cette lutte dans la lumière médiatique et donc au cœur des préoccupations de nos concitoyens.
TasP, PrEP, TROD, ARV, IPERGAY, RDR, CDAG, auto-test … Autant de sigles et de mots qui renvoient à des enjeux scientifiques, sociaux, sanitaires, des enjeux tout autant individuels que collectifs. Des enjeux qu’il est essentiel de vulgariser, non pas seulement et non pas forcément pour convaincre mais tout au moins pour faire réfléchir – pour paraphraser la fameuse de George Braque qui sert de moteur tout autant que de fondement au Crips Île-de-France.
Le sida c’est fini ? 2,1 millions de nouvelles personnes infectées dans le monde, plus de 6.000 en France…
Le sida, cela ne te concerne pas ? 30% des malades en France ignorent leur séropositivité.
Alors le sida, c’est une maladie dépassée ? Les moins de 30 ans représentent toujours un quart des découvertes de séropositivité en 2013. Le nombre de découvertes de séropositivité chez les HSH de 15-24 ans a été multiplié par 2 entre 2003 et 2011.
Face à cela, Je fais mien le slogan du Sidaction et ce, au quotidien : »le sida, pour en finir, il faut continuer »