Homopoliticus, la vidéo sur la progression de l'écriture de mon prochain livre
Homopoliticus, le web reportage (partie 2)
envoyé par jeanlucromero. - L'info internationale vidéo.
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Homopoliticus, le web reportage (partie 2)
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Communiqué de presse du 17 février 2011
Décès d’Henri Maurel :
profondément attristé, Jean-Luc Romero salue la mémoire d’un pionnier.
Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, se dit « profondément attristé par l’annonce du décès d’Henri Maurel ».
Jean-Luc Romero salue la mémoire d’un pionner : figure historique de la radio FG et créateur de Techno Parade de Paris en 1998, il a fait émerger la musique électronique et a, tout au long de sa vie, été un de ses promoteurs les plus fervents
Pionnier en matière musical, il l’était aussi dans la lutte contre les discriminations : il y a plus de 20 ans, il créait "Les Gais pour les Libertés", structure qui avait notamment défendu l'idée d'un partenariat civil pour tous les couples, indépendamment de leur orientation sexuelle. Il fut aussi un grand militant de la lutte contre le sida.
Jean-Luc Romero veut rendre un hommage appuyé à un grand militant de la cause LGBT et de la lutte contre le sida. Il s’associe à la douleur de sa famille et de ses proches.
Homopoliticus
Comme ils disent…
"Politique et homosexualité, de 1960 à nos jours"
par Jean-Luc Romero
parution le 17 mai 2011 — journée mondiale contre l’homophobie
Spectateur engagé durant les longs débats qui mèneront à l’adoption du PaCS, acteur omniprésent dans la préparation de la loi pénalisant les propos homophobes, Jean-Luc Romero raconte, dans Homopoliticus, l’histoire complexe des relations entre les responsables politiques et la question de l’homosexualité et cela depuis le début des années 60, où elle a fait son apparition dans la vie politique nationale.
De la pénalisation de l’homosexualité jusqu’en 1982 à la pénalisation des propos homophobes en 2004, sans oublier le vote ô combien symbolique du PaCS, qui permet enfin au couple homosexuel d’être reconnu par notre droit, bien du chemin a été parcouru. Jean-Luc Romero montre dans ce livre pourquoi les responsables politiques demeurent si frileux sur les questions sexuelles alors qu’elles font désormais partie du débat public au même titre que les autres grandes questions de société.
Homosexuel, 1er et seul homme politique à avoir révélé sa séropositivité en France, l’auteur a parcouru le long chemin de l’acceptation de cette génération qui a vécu, enfant, mai 68 mais qui a dû, comme tant d’autres, cacher longtemps son homosexualité avant d’être dénoncé par un journal alors qu’il s’apprête à révéler son identité dans un grand quotidien du soir. Cette histoire qui ne peut qu’être subjective - l’auteur l’assume -, n’en est pas moins une narration précise et argumentée faite au coeur du système. Jean-Luc Romero a pu observer et parfois vivre l’homophobie de responsables politiques qui, avec l’évolution de la société mais aussi de leur intérêt politique, se sont transformés, pour beaucoup, en de véritables homophiles… Du moins en apparence ! Au fil de la narration de cette relation entre l’homosexualité et la politique, on comprend pourquoi celui qui fut un gaulliste pendant 30 ans a fini par franchir le Rubicon de la politique et quitter une droite qui continue, malgré quelques progrès, à se montrer en retrait et même parfois homophobe.
Fait important : dans cet ouvrage, Jean Luc Romero donne la parole à chaque parti politique à un an de la présidentielle, sur les grandes questions liées à l'homosexualité, de la lutte contre l’homophobie à l'adoption, au mariage... FN, PS, UMP, PC tous les partis dévoilent leur programme ou leur position.
Ancien secrétaire national de l’UMP, Jean-Luc Romero est conseiller régional d’Ile-de-France apparenté au Parti Socialiste, président d’Elus Locaux Contre le Sida, de l’Association pour le Droit de mourir dans la dignité [ADMD-France], du CRIPS Ile-de-France et membre du Conseil national du sida. Il est l’auteur de plusieurs livres dont On m’a volé ma vérité (Le Seuil- 2001), Virus de vie (Florent Massot – 2002), Les voleurs de liberté "véritable plaidoyer en faveur de l'euthanasie" (Editions Florent Massot – 2009). Il est chevalier de la légion d’honneur.
Jamais week-end n’aura aussi bien tombé après une rentrée fracassante sur les sujets de société que je porte depuis tant d’années. Euthanasie, égalité homo-hétéro auront été, malgré une actualité très importante en Tunisie et en Egypte, deux sujets forts du mois de janvier. Comme un avant goût de la période électorale 2012 où ces sujets ne pourront plus être évités par les candidats.
En attendant, je retourne à Rome pour la seconde fois. L’occasion de flâner dans une ville que je connais peu et de passer un peu de bon temps…
Mariage homosexuel : pourquoi ça bloque encore ?
envoyé par LCP. - L'info video en direct.
Je débattrai de la question de l’ouverture du mariage aux homosexuels dans l’émission « Ca vous regarde » sur LCP-AN ce lundi 31 janvier à 20h50 et 23h50. L’émission est animée par Arnaud Ardoin et vous pouvez la retrouver sur le site Internet de la chaîne en cliquant (ici).
J'étais vendredi soir l'invité fil rouge du JT de Christophe Hondelatte sur RTL de 18 à 19 heures. Deux extraits de mes interventions se retrouvent sur le site Internet et vous pouvez les écouter en cliquant ici.
A la veille de la décision du Conseil constitutionnel sur l’ouverture du mariage aux conjoints de même sexe, je serai l’invité de RTL soir animé par Christophe Hondelatte ce jeudi 27 janvier 2011 de 18 à 19h00 sur RTL. Je commentererai l'actualité tout au long du journal.
Ce mardi, le Conseil constitutionnel se prononcera sur l’extension du mariage aux conjoints de même sexe. A cette occasion, j’ai expliqué à RMC les raisons pour lesquelles cette extension m’apparaît légitime dans une démocratie dont le principe d’égalité est un principe fondamental de notre édifice constitutionnel.
Mon interview passera ce mardi 18 janvier à 6h10 et dans les JT de 7h00 sur RMC.
La nouvelle émission de Thierry Ardisson « Tout le monde en a parlé » sera rediffusée ce jeudi 6 janvier à 22h15 sur la chaîne câblée Canal Jimmy. Dans l’interview et le petit reportage qui m’est consacré, je reviens sur les grands moments de ma vie et de ma carrière et notamment sur la révélation de ma séropositivité en 2002.
Communiqué de presse du 29 novembre 2010
Trois mesures à mettre en œuvre urgemment dans la lutte contre le VIH/sida :
Jean-Luc Romero interpelle Xavier Bertrand et lui rappelle ses promesses,
non tenues par l’ancienne ministre de la santé !
A deux jours de la Journée mondiale de lutte contre le sida, Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, souhaite attirer l’attention de Xavier Bertrand sur trois dossiers pour lesquels l’intervention des pouvoirs publics est urgente :
- l’interdiction toujours opposée aux homosexuels de donner leur sang : Jean-Luc Romero rappelle que Xavier Bertrand, alors ministre de la santé, avait déclaré le 10 juillet 2006 que « la contre-indication permanente actuelle visant "les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes" ne (…) semblait pas satisfaisante, car elle stigmatisait de facto une population et non des pratiques. Elle va donc disparaître ». Cette interdiction est toujours d’actualité à cause de l’opposition de certaines agences gouvernementales et de la position de l’ancienne ministre de la santé, Roselyne Bachelot.
- l’interdiction des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives : la législation en vigueur a pour effet que les proches, la famille, les amis d’une personne morte du sida ne peuvent lui rendre un dernier hommage, son corps devant être immédiatement enfermé dans un cercueil. Ainsi, même face à la mort, les séropositifs sont discriminés ! Sur saisine d’ELCS, le Conseil national du sida a rendu un avis, sur ce problème, jugeant l’arrêté fondant l’interdiction hautement discriminant et injustifié dans ce sens où les précautions universelles sont suffisantes. Selon Jean-Luc Romero, maintenir cette législation valide le fait que le sida reste une maladie honteuse, une maladie qui doit être cachée. Il plaide donc pour une levée de cette interdiction, tout en renforçant la formation des thanatopracteurs aux réalités du VIH/sida.
- les préservatifs : Jean-Luc Romero sollicite l’appui des ministres quant à la gratuité totale des préservatifs masculins et féminins. En effet, sans tomber dans un cynisme inhumain, le président d’ELCS rappelle que prévenir coûterait bien moins cher que traiter une personne durant toute sa maladie. Il demande donc la mise en débat de cette idée de gratuité totale du préservatif.
Le président d’ELCS attend des réponses concrètes. Il rappelle que la lutte contre le VIH/sida réclame une volonté politique extrêmement forte. Plus que jamais, le sida se soigne aussi par la politique !
Message de Jean-Luc Romero
Président du Crips Ile-de-France
« Services Communautaires gays, nouvelles expériences en France »
Paris, le 25 novembre 2010
Mesdames, Messieurs,
Chers amis,
Je ne peux malheureusement pas être à vos côtés aujourd’hui pour ouvrir cette 78ème rencontre du Crips, étant à cette heure au Venezuela à l’invitation d’associations locales de lutte contre le VIH/sida. C’est pourquoi j’ai souhaité demander à Antonio Ugidos, directeur du Crips Ile-de-France, de bien vouloir vous lire ce message.
Cette rencontre est donc titrée « Services communautaires gays, nouvelles expériences en France ». Nous connaissons tous ici la situation extrêmement préoccupante et inquiétante du VIH/sida parmi les homosexuels. Je ne citerai qu’un chiffre : ce sont entre 13 et 18% des homosexuels qui seraient séropositifs.
Ces chiffres sont douloureux pour beaucoup d’entre nous. Ils renvoient à des situations vécues, à des amis perdus tout au long de ces années, à des souffrances engendrées par cette maladie toujours obstinément mortelle. Nous ne le savons que trop bien, la communauté homosexuelle a porté, pendant longtemps, la lutte contre cette maladie, palliant courageusement les coupables carences de l’Etat qui tardait à prendre ses responsabilités. Alors pourquoi en est-on arrivé là aujourd’hui? Les raisons de la situation actuelle sont nombreuses: lassitude quant au préservatif, individualisme en hausse, évolution des représentations de la maladie, moindre conscience des conséquences de l’infection avec l’arrivée des trithérapies. On pourrait disserter longtemps sur cette question mais, ce je crois essentiel, ce n’est pas tant le pourquoi qui renvoie au passé que le comment : comment répondre à cette situation ? Que, dans une population, population entre guillemets, particulièrement informée, avec une forte pratique du dépistage et un accès relativement aisé aux préservatifs, le taux de prévalence soit aussi haut, doit inévitablement nous interroger sur la façon dont on a fait la prévention jusqu’alors et sur l’efficacité des politiques mises en place.
Le Conseil constitutionnel va devoir se prononcer sur la constitutionnalité de l’interdiction du mariage aux homosexuels. C’est un couple de femmes qui, par l’intermédiaire de la Cour de cassation, a permis cette saisine de notre plus haute juridiction.
Comme beaucoup de militants pour l’égalité, j’espère bien sûr que le conseil constitutionnel va reconnaître enfin l’injustice que subissent les LGBT en France.
Mais en même temps, je regrette que les parlementaires et le gouvernement ne prennent pas leurs responsabilités. Comme les parlements des Pays-Bas, de la Belgique, de l’Espagne et du Portugal l’ont fait, il est temps que l’Assemblée nationale et le Sénat fassent que les homosexuels soient des citoyens à part entière…
Lire aussi Zinfos 974 (ici) (ici) (ici), Orange Réunion (ici), L'info (ici) (ici), Radio Festival (ici).
Thierry Benamari a conçu à l’occasion des Gays Pride de province des documentaires originaux pour la chaine LGBT Pink TV. Plusieurs villes de province, notamment Rennes, ont eu droit à cet éclairage original.
Comment les LGBT vivent-ils en province ? Comment aiment-ils ? Eventuellement, comment militent-ils ? La France des régions est-elle plus tolérante vis à vis de la différence ? Quelques unes des questions auxquelles ces documentaires répondent.
Participant tous les ans à la Marche des Fiertés de Marseille, qui conclut tous les ans, en juillet, le cycle des marches nationales commémorant les événements de Stonewall, j’ai été sollicité cette année pour participer au documentaire consacré à Marseille. Vous m’y retrouverez donc auprès d’acteurs bien plus marseillais que moi… Ce documentaire est diffusé en rediffusion ce soir en clair sur Pink TV à 22h00.
Thierry Benamari a conçu à l’occasion des Gays Pride de province des documentaires originaux pour la chaine LGBT Pink TV. Plusieurs villes de province, notamment Rennes, ont eu droit à cet éclairage original.
Comment les LGBT vivent-ils en province ? Comment aiment-ils ? Eventuellement, comment militent-ils ? La France des régions est-elle plus tolérante vis à vis de la différence ? Quelques unes des questions auxquelles ces documentaires répondent.
Participant tous les ans à la Marche des Fiertés de Marseille, qui conclut tous les ans, en juillet, le cycle des marches nationales commémorant les événements de Stonewall, j’ai été sollicité cette année pour participer au documentaire consacré à Marseille. Vous m’y retrouverez donc auprès d’acteurs bien plus marseillais que moi… Ce documentaire est diffusé en rediffusion ce soir en clair sur Pink TV à 22h00.
Soutien de Jean-Luc Romero à Abdou, réfugié gay sénégalais
envoyé par yaggvideo. - L'info video en direct.
Communiqué de Presse
Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida, à Grenoble pour soutenir Abdou !
Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida et conseiller régional Ile-de-France, sera présent au rassemblement de soutien à Abdou qui se tiendra devant la préfecture de l’Isère le 05 novembre à 17h00.
Abdou est un jeune homosexuel menacé d’expulsion au Sénégal, pays où l’homosexualité est passible de 5 ans d’emprisonnement. Revenant d’une mission au Sénégal dans le cadre d’un accord de coopération de la région Ile-de-France, Jean-Luc Romero a pu constater le climat d’extrême hostilité et de profonde haine qui croît au Sénégal envers les homosexuels. Lors de son séjour, trois militants gays lui ont été présentés et ils lui ont raconté leur quotidien : les arrestations, les insultes, les violences, les menaces de mort … Jean-Luc Romero affirme qu’accorder un titre de séjour « vie privée et familiale » à Abdou serait totalement justifié. Dans ce sens, le président d’ELCS a donc saisi le préfet de l’Isère mais également Eric Besson et Carla Bruni-Sarkozy.
Pour Jean-Luc Romero, renvoyer Abdou au Sénégal revient à le condamner à mort.
Lire aussi Paper Blog (ici).