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Euthanasie, ADMD et WFRtDS - Page 169

  • Mon 1er vœu pour 2006 : que Marie retrouve la sérénité !

    Le temps des vœux arrive à grand pas puisque nous sommes déjà le 28 décembre. Dans quelques jours, nous franchirons le seuil d’une nouvelle année. Je serais à Paris, chez moi dans le 12ème, pour ce nouveau départ !
    Comme chacune et chacun d’entre vous, je vais former des vœux pour cette nouvelle année. Et j’ai décidé de commencer aujourd’hui.
    Il y a déjà plus de deux ans, le 24 septembre 2003, Marie Humbert soulageait son fils en lui administrant des barbituriques dans sa sonde gastrique. Elle prévint trop tôt les médecins qui tentèrent de le réanimer et l’entubèrent. Le docteur Frédéric Chaussoy finit par prendre la décision d’aider Vincent à mourir comme il le souhaitait ardemment ne supportant plus d’être enfermé dans le cercueil de son corps. Vincent pouvait donc rejoindre ce paradis blanc auquel il aspirait tant.
    Malgré une émotion vive dans le pays et une loi votée un an plus tard, Le docteur Chaussoy et Marie Humbert attendent toujours de savoir à quelle sauce judiciaire ils vont être mangés.
    Alors qu’on sait tout sur cette histoire, Marie a subi quatre expertises judiciaires. On a même osé lui demander si elle avait eu du plaisir en administrant le produit qui devait soulager Vincent. Marie n’est pas libre d’aller où elle veut, ne peut plus voter. Récemment, elle a eu bien des difficultés à obtenir une autorisation pour aller simplement chercher son fils Laurent en Guadeloupe. En territoire français !
    Peut-être, craignait-on que cette mère courage fuit notre pays, alors qu’elle a fait de son combat individuel - le respect des volontés de Vincent -, un combat collectif - le vote d’une loi Vincent Humbert ?
    Il est donc temps que les juges se prononcent. Il y a bien longtemps qu’ils ont tous les éléments d’instruction de ce dossier : Vincent et le docteur Chaussoy ont même écrit un livre et Marie s’est exprimée largement sur toute cette affaire dans de très nombreuses interviews. La décision des juges est aujourd’hui indispensable pour que Marie puisse reconstruire sa vie.
    Mon premier vœu pour 2006, que les juges se prononcent enfin sur l’affaire Humbert pour que Marie retrouve la sérénité !


  • Avec Marie pour une exception d’euthanasie.

    A l’invitation de Nicole Poinsot, l’épouse du maire de Vigneux-sur-Seine, ma fidèle amie Marie Humbert est venue animer un débat au foyer du lac à Vigneux. En présence d’un public très féminin, Marie a rappelé avec pudeur et émotion l’histoire de Vincent et son désir d’être libéré d’un corps devenu une prison.
    Marie, en mère courage, nous a mobilisé autour de l’exception d’euthanasie qu’elle défend depuis quelques temps.
    Rien n’explique, à ses yeux, qu’on n’avance pas sur la question de la liberté de mourir dans la dignité. Cette revendication ne change rien pour celles et ceux qui veulent mourir à leur ultime seconde. Elle permettrait, si elle était adoptée, à celles et ceux qui ne souhaitent pas mourir dégradés physiquement ou psychologiquement, de partir au moment choisi.
    Une loi encadrant l’euthanasie permettrait d’éviter tous les abus grâce à des conditions de mise en oeuvre et d’application strictes comme cela existe en Hollande ou en Belgique. En continuant inlassablement son tour de France, Marie Humbert donne enfin une occasion aux politiques d’entendre une revendication qui est soutenue par plus de 84% des Français.
    Je suis sûr que les conditions d’une victoire de Marie approchent…

  • Demain, Vendredi à Annecy

    J'ai dîné hier soir avec Mireille Dumas, l'ancien ministre Henri Caillavet et Gérard Payen, président de l'ADMD, pour préparer les 25 ans de cette association. Déjà un quart de siècle que l'Association pour le droit de mourir dans la dignité se bat pour que chacun puisse se réapproprier sa dernière liberté. Certes, suite à l'affaire de Vincent Humbert, les hommes politiques se sont sentis obligés d'avancer un peu en autorisant ce qu'on peut appeler le "laisser mourir". Mais la loi Léonetti, qui a été adoptée, est surtout une loi en faveur des médecins et pas des malades qui ne souhaitent plus qu'on s'acharne sur eux et qui veulent partir "les yeux ouverts" comme l'écrivait Marguerite Yourcenar. Le combat de l'ADMD continue et il est donc important de fêter ces 25 ans de lutte en faveur de la mort douce.

    Autre sujet : je serais demain à Annecy pour faire le point sur la lutte contre le sida dans ce département. Avec Laurent Rosain, délégué d'ELCS dans le département et l'ancien ministre Bernard Bosson, député-maire, nous animerons une réunion à 17h30 à l'Hôtel de Ville dans la salle du conseil municipal. Les élus de Haute-Savoie sont plus que les bienvenus à cette réunion qui permettra de faire un point sur l'année sida grande cause nationale 2005 et de les mobiliser à quelques jours des états généraux d'ELCS le 26 novembre prochain et du 1er décembre, journée mondiale de lutte contre le sida. Si vous êtes près d'Annecy, n'hésitez pas à nous rejoindre !

  • Un fonds de solidarité pour les communes touchées par les dégradations

    La séance du conseil régional d’Ile-de-France a été consacrée à la discussion et au vote d’une délibération sur la mise en place d’un dispositif de solidarité suite aux incendies intervenus au cours des émeutes qui se déroulent en Ile-de-France depuis le 27 octobre dernier. N’oublions pas que ces événements, dans notre région, hormis causer de très graves dégâts, ont occasionné la mort de quatre de nos concitoyens. Inacceptable !
    La région a donc décidé de créer un fonds de solidarité en faveur des collectivités franciliennes pour la reconstruction des bâtiments communaux. Nous avons aussi décidé de lancer une réflexion avec les communes et les sociétés d’assurance pour évaluer l’impact des dégradations de véhicules subies par les particuliers. Le dispositif n’est pas encore totalement défini mais des indemnisations de la région pourront intervenir pour les Franciliens concernés. Ce seraient les CCAS qui géreraient cette aide.
    Dès demain, en ma qualité de directeur des solidarités, je proposerai au maire de Vigneux-sur-Seine que nous adressions la liste de nos dégradations à la région afin de faire évaluer l’aide qui pourrait être apportée à notre ville qui a été particulièrement touchée par les émeutes.
    A noter, au cours de cette séance, le très grave dérapage de Roger Holleindre, élu FN qui, à deux reprises, a insulté l’ensemble des membres du conseil régional en nous qualifiant d’ « enfoirés ». Les excuses apportées par Martial Bild, au nom du FN, ont permis à notre assemblée de reprendre ses travaux et sa sérénité. Et dire que ce M. Holleindre tient des propos très durs sur les jeunes de banlieue alors que malgré un âge certain, il n’est pas capable de se tenir correctement et poliment dans une assemblée ! Drôle d’exemple pour la jeunesse de France !
    Fin de journée plus calme avec la présidence de la réunion de la commission communication de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité. Nous avons fait un long tour de table pour mettre en œuvre un plan de communication afin de mieux faire connaître nos positions et notre soutien à Marie Humbert qui attend toujours de savoir si elle sera jugée !

  • Le combat pour notre dernière liberté n’est pas fini.

    Samedi matin, conseil d’administration de l’ADMD [Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité], dans laquelle j’ai récemment été élu vice-président, tout en étant, depuis quelques années, un des membres de son comité de parrainage.
    Après avoir réorganisé les différentes commissions de cette association, qui réunit plus de 38.000 adhérents dont 11.000 à Paris, nous avons réfléchi à notre stratégie concernant les futures décisions judiciaires qui devraient être annoncées pour Marie Humbert et le docteur Michel Chaussoy.
    Nous avons aussi longuement évoqué la loi Léonetti de mars 2005, née de l’émotion suscitée par le décès de Vincent Humbert et qui ne règle pas toujours pas le problème. En effet, si un grave accidenté sans espoir d’amélioration de son état - comme c’était le cas pour Vincent - demande une mort douce, la nouvelle loi ne la lui accorde toujours pas ! Parallèlement, la nouvelle réglementation ne règle rien pour les personnes atteintes de maladies dégénératives et invalidantes ou encore pour celles ou ceux qui, du fait de leur extrême dépendance, refusent le « laisser mourir », proposé par la loi et continuent de demander une aide à mourir, car ils ne peuvent agir seuls.
    On le voit bien, le combat n’est toujours pas achevé pour bénéficier de notre dernière liberté, celle de partir « les yeux ouverts ».
    En attendant, un autre de mes combats : le sida. C’est, en effet, lundi que démarre la campagne télévision du sida, grande cause nationale 2005. Face aux discriminations que subissent les personnes sépositives, nous avons souhaité faire une campagne pour favoriser la solidarité avec comme slogan : « le premier traitement, c’est notre solidarité ».
    Les premiers spots télés commenceront sur France 3, lundi 17 octobre à 11h50 avant le 12/14 et à 22h35 avant le Soir 3, et puis ensuite sur les autres chaînes, de nombreuses radios et bientôt dans certains journaux qui ont accepté de nous offrir des espaces gracieux. Je vous en reparlerai.
    En attendant, je vous souhaite un bon week-end. Pour ma part, j’essaierai de faire un peu de sport à Bercy Villages ce dimanche.
    Belle journée !

  • Respecter la vie, disposer de sa mort !

    « Respecter la vie, disposer de sa mort ! » tel est le titre du livre que vient de sortir ce vendredi Catherine Leguay aux éditions L’Harmattan.
    Catherine, qui est la coordinatrice de l’ADMD, m’avait confié ma première mission de vice président de cette association : animer la conférence de presse de sortie de son livre qui se déroulait au Lucernaire à Paris.
    Un honneur dont je lui suis très reconnaissant, d’autant que son livre - qui décortique les débats de la commission Léonetti et les discussions que ont suivi au Parlement - est particulièrement passionnant et utile. Cet ouvrage est incontestablement un élément essentiel pour qui veut comprendre la complexité du dossier de la fin de vie.
    Cette sortie coïncide avec la publication d’une enquête qui révèle l’absence de prise en charge des malades en fin de vie. Cette étude a été faite à partir des réponses à un questionnaire adressé à plus de 200 hôpitaux concernant 613 services de réanimation comme de médecine.
    Ce rapport, largement commenté hier dans Libération, est sans appel : les conditions de fin de vie à l’hôpital sont inacceptables. Cette étude - qui confirme qu’un Français sur deux meurt à l’hôpital - nous apprend que seuls 12% des patients bénéficient de soins palliatifs (sic…), que plus de la moitié des patients ne bénéficient d’aucune sédation-analgésie lors du décès (re-sic…] - donc qu’ils meurent dans la souffrance ! - et que seuls 35% des infirmiers estiment que les conditions de décès du patient ont été acceptables pour leurs proches ! A noter d’ailleurs que 57% de ces infirmiers n’avaient bénéficié d’aucune formation sur la fin de vie… Révélateur !
    Forts de cette étude, nous avons donc pu aborder cette conférence de presse en pleine actu. Ma chère Marie Humbert - une pensée pour Vincent dont c’est aujourd’hui l’anniversaire de la mort -, l’ancien ministre Henri Caillavet, le président de Faut qu’on s’active, Vincent Léna, Jacqueline Herremans, présidente de l’ADMD Belgique, le philosophe André Comte-Sponville et l’animatrice-productrice Mireille Dumas sont intervenus durant cette conférence.
    Chacune et chacun des intervenants a réclamé avec passion et conviction qu’on donne aux Français cette liberté moderne : celle de décider du moment de sa mort quand l’issue est inéluctable.
    Cette liberté, comme je l’ai longuement rappelé dans un chapitre de mon livre, Lettre à une droite maladroite, est un plus démocratique. Elle n’empêche pas ceux qui, par conviction religieuse ou éthique, veulent mourir le plus tard possible d’être respectés, mais permet enfin à ceux qui souhaitent mourir « les yeux ouverts » d’avoir leur choix aussi pris en considération.
    Une dépénalisation de l’euthanasie, une loi Vincent Humbert, permettra ainsi de sortir de l’hypocrisie actuelle où on euthanasie des gens qui ne le demandent pas et où on refuse d’euthanasier celles et ceux qui y aspirent.
    En attendant cette dernière liberté qui est voulue par plus de 80% des Français, pensons en ce jour symbolique à Vincent Humbert et à sa maman.

  • Vice-président de l’ADMD : un nouveau défi !

    J’ai assisté ce samedi à l’assemblée générale, à l’Holiday Inn de la Porte de Pantin, de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité à laquelle j’appartiens depuis plusieurs années.
    J’ai eu l’occasion d’écrire dans Lettre à une droite maladroite, mais aussi dans Je n’ai jamais connu Amsterdam au printemps, à quel point le combat pour la dépénalisation de l’euthanasie est mien.
    Depuis plusieurs années, j’ai aussi participé à de nombreux débats en province sur la fin de vie et j’ai bien sûr redoublé d’efforts depuis l’affaire de Vincent Humbert qui a provoqué un réel électrochoc dans l’opinion publique. Marie Humbert est devenue une amie chère, avec laquelle je partage désormais ce combat collectif, mais aussi bien d’autres choses… qui nous appartiennent.
    Je ne développerai pas longuement les raisons de mon combat pour cette dernière liberté qui consiste à choisir sa mort quand il ne reste plus d’espoirs de guérison et/ou que la souffrance devient insupportable.
    Si ma situation personnelle m’a forcément obligé à côtoyer jeune - trop jeune - l’idée de ma propre mort, et à être certain que je veux mourir debout ou « les yeux ouverts » comme l’a si bien écrit Marguerite Yourcenar, c’est aussi parce que je suis un républicain que je mène ce combat.
    Dépénaliser l’euthanasie c’est, en effet, œuvrer dans le sens de la liberté, la dernière liberté, je le répète, qui appartient à chacun d’entre nous : celle de mourir le plus tard possible si on le souhaite, ou au contraire celle d’abréger ses souffrances si on veut en finir. Notre dernière liberté !
    C’est aussi favoriser l’égalité. Selon que vous êtes riches – vous avez la possibilité d’accéder au suicide assisté en Suisse – ou que vous bénéficiez d’un environnement médical, vous pouvez avoir une mort douce. Par contre, si vous ne faîtes pas partie de ces deux catégories privilégiées, vous êtes démunis face à cela. L’inégalité entre les Français règne donc face à la mort.
    Dépénaliser l’euthanasie, c’est enfin respecter cette fraternité à laquelle nous sommes attachés. La fraternité, c’est accepter le refus d’un concitoyen de se voir dégradé ou qui refuse les souffrances physiques, mais aussi psychiques qu’entraîne sa dégradation.
    Etre pour la dépénalisation de l’euthanasie, c’est donc respecter notre devise républicaine : Liberté, Egalité, Fraternité.
    De plus, de 84 à 88 % des Français sont favorables, depuis 20 ans, à la dépénalisation : il s’agit donc de répondre à cette attente des Français qui ne supportent plus qu’on euthanasie des gens qui n’ont rien demandé et qu’on refuse une délivrance active à ceux qui la demandent.
    Pour ces raisons rappelées succinctement, j’ai accepté, à la demande d’Henri Caillavet, président d’honneur de l’ADMD, de me présenter au conseil d’administration de cette association qui avait, fin 2004, 38.466 adhérents – une des plus grandes associations de France !
    J’ai eu l’immense bonheur d’apprendre que j’étais élu en troisième position sur 37 candidats et pour 14 sièges, juste derrière le charismatique Henri Caillavet et le nouveau président, le docteur Gérard Payen, avec 6411 voix.
    Je suis désormais le plus jeune membre du CA de l’ADMD et j’en ai aussi été élu vice-président.
    Un honneur et une responsabilité.
    Un honneur, car je sais que beaucoup d’adhérents de cette association ne partagent pas toutes mes convictions, mais n’ont pourtant pas hésité à me faire confiance massivement.
    Une responsabilité importante, car il me faudra aider cette gigantesque association -qui n’a pas l’audience médiatique et la notoriété qu’elle mérite - à mieux faire entendre son combat pour l’application de la récente loi Léonetti et la dépénalisation de l’euthanasie… sans oublier notre soutien à Marie Humbert qui ne sait toujours pas - après 3 expertises psychiatriques ! - quel destin judiciaire l’attend !
    Un nouveau défi dont je prends, ce dimanche, d’autant plus la mesure que, contrairement à ce que pensent certains, la fin de vie n’est pas une affaire médicale mais bien un sujet éthique. Et notre dernière liberté….

  • Rendre à Marie Humbert la sérénité.

    J’ai eu très souvent Marie Humbert au téléphone cet été.
    Visiblement, Marie aspire à être fixée définitivement sur son dossier judiciaire. Ira-t-elle en Cour d’assises ou au tribunal correctionnel ? Réponse, enfin l’espère t-elle, cet automne !!!
    Mais, comment peut-on encore harceler cette mère qui a déjà subi plusieurs expertises psychiatriques ? Pourquoi continuer une enquête sur une affaire dont le Français le moins informé connaît presque tous les tenants et les aboutissants ?
    Il y a des jours où je me demande où va la justice de mon pays en empêchant une maman qui a soulagé, à sa demande expresse, son enfant de retrouver enfin la sérénité.
    Il est temps que le pays des droits de l’homme se réveille !

  • Marie, pleine de grâce…

    Moment plein d’émotion pour le café politique de ce soir consacré à la dépénalisation de l’euthanasie.
    Rare dans ce genre de réunion politique, de voir suinter l’émotion, de surprendre les yeux embués de larmes de certains participants.
    Marie nous a tous ému… Marie, pleine de grâce !
    Comme l’a magnifiquement écrit Martin Gray dans Le livre de la vie : « Il faut que l’homme apprenne à voir la mort comme un moment de la vie. »
    Une maxime que Marie personnifie vraiment grâce à son optimisme militant.
    Que les responsables politiques entendent enfin Marie qui demande seulement qu’on accorde à chacun le droit de mourir dans la dignité… celle que chacun choisit.

  • Invité du « Livre France » sur RFI pour Ma Mort m’appartient

    Ce dimanche, je suis l’invité de la rubrique « Livre France » sur RFI pour mon livre « Ma mort m’appartient – 100% des Français vont mourir, les politiques le savent-ils ? »
    Je rappellerai que ce livre dans lequel je réponds aux questions de Claire Bauchart est en deux parties.
    Une première dans laquelle je reviens sur les raisons de mon engagement pour le droit de mourir dans la dignité notamment mon combat contre le sida.
    Dans la deuxième partie, je fais le bilan des 10 ans d’échecs des politiques sur la fin de vie en France nous comparant aux exemples étrangers et je pousse un coup de gueule contre les responsables politiques qui ne tiennent pas leurs engagements en ne légalisant pas l’euthanasie.

    rfi,jean-luc romero,claire bauchart,admd,fin de vie

     

  • Reportage sur Jean Mercier sur France 3

  • Anne Sinclair soutient le combat de l'ADMD !

    J'ai récemment passé un merveilleux moment d’échanges avec Anne Sinclair sur les conséquences du COVID19 sur nos vies et sur la fin de vie. ‬
    ‪Je suis heureux qu’elle partage la demande de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) du choix du moment et de la manière de mourir.‬
    ‪Si fier que cette femme si courageuse et humaniste soit aussi de ce combat.‬

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  • Retrouvez ma longue interview sur la fin de vie dans Le Quotidien

    Retrouvez ma longue interview sur la fin de vie dans Le Quotidien : « la liberté de choisir sa fin de vie ! Ce n’est pas un choix entre la vie et la mort. Mais entre deux morts… 

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  • Podcasts de mon itw au JT de Public Sénat et de France Info

    Vous pouvez retrouver mon interview au JT d’hier soir, à 19h, sur Public Sénat sur le site de la chaîne en cliquant (ici).
    Vous pouvez aussi retrouver l’interview de France Info (ici).

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  • Podcasts de mes itw au JT de Public Sénat et de France Info

    Vous pouvez retrouver mon interview au JT d’hier soir, à 19h, sur Public Sénat sur le site de la chaîne en cliquant (ici).
    Vous pouvez aussi retrouver l’interview de France Info (ici).

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  • Elu directeur au Board de la Fédération mondiale des ADMD à Chicago

    Ce matin, à Chicago, je viens d’être élu directeur au conseil d’administration de la fédération mondiale pour le droit de mourir dans la dignité (WFRtDS).
    J’y avais déjà été élu en 2006 et en avais profité pour faire adopter par le Board la création de la journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité qui se déroule désormais tous les 2 novembre.
    Je me suis représenté au Board pour développer plus encore cette journée importante pour notre cause.

  • Interview sur la chaîne web télé Public G

    A l’occasion de la sortie de mon dernier livre « Les voleurs de liberté », Franck Laguilliez m’a interviewé pour la chaîne télé LGBT du web Public G.

    Outre évoquer mon dernier opus auquel mon interviewer semble avoir été sensible, nous parlons de différents sujets comme le sida, le documentaire VIHsages pour lequel j’ai été suivi pendant deux ans et bien sûr la fin de vie. Vous pouvez voir cette émission en cliquant ici.

  • les militants de Laval ont répondu présents pour défendre notre ultime liberté !

    Malgré le long week-end de la Pentecote, les militants de Laval ont répondu présents pour défendre notre ultime liberté !
    Beaucoup d’impatience, mais aussi d’espoir pour que la France rejoigne enfin tous les pays qui nous entourent et qui reconnaissent la volonté des personnes en fin de vie d’éteindre la lumière …
    Le combat sera encore long pour le vote définitif de la loi mais les militantes et les militants ADMD-FRANCE sont plus que jamais mobilisés !
    Merci à mon ami Michel Neveu de porter avec constance notre combat en Mayenne et au dynamique maire Florian Bercault pour son accueil chaleureux et son soutien !
    Bravo enfin au député Guillaume Garot pour son écoute de longue date et son vote à l’Assemblée Nationale pour ce nouveau droit qui n’enlève rien à personne et respecte toutes les consciences !
    #MaMortMAppartient

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  • Extaits de la manif du 2 novembre pour le droit de mourir dans al dignité

  • Invité de Olivier Galzi sur ITélé à 22h45

    Vers 22h45, je serai l'un des invités de Olivier Galzi sur Itélé pour évoquer l'affaire Vincent Lambert et la vidéo volée qui circule dans les medias et dans les réseaux sociaux.