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Disparitions et hommage - Page 24

  • Je suis Charlie !

    Je suis Charlie ! 
    Consternation et horreur après la fusillade chez #CharlieHebdo ! Des pensées attristées et solidaires avec les victimes et leurs proches.

    je suis charlie.jpg

  • Cérémonies du 96ème anniversaire de l’Armistice de 1918 à Paris 12ème

    Ce mardi 11 novembre, je déposerai une gerbe au nom de Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France, au monument aux morts de la mairie du 12ème arrondissement de Paris pour le 96ème anniversaire de l’armistice de 1918 et alors que nous célébrons, cette année, le centenaire de la grande guerre.
    A 10h30, un rassemblement est prévu place Felix Eboué avec les anciens combattants et les élus du 12ème arrondissement sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz et nous défilerons jusqu’au monument au mort.

    11 novembre 1918,jean-luc romero,catherine baratti-elbaz,paris

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  • Faire-Part de l'annonce de l'hommage à Nicole Boucheton

    Jean-Luc Romero-Michel,

    Président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité,

    Le bureau,

    Le conseil d’administration,

    Les 130 délégués de l’ADMD,

    Vous font part du décès de Nicole Boucheton,

    Vice-présidente de l’ADMD,

    Qui a été contrainte de s’exiler en Suisse pour mourir dignement,

    Et lui rendront un hommage solennel et public pour son action militante en faveur du droit de mourir dans la dignité,

    A l’occasion de la 34ème Assemblée Générale de l’ADMD,

    Le samedi 13 septembre 2014, à 9h30 et 14h00,

    A l’hôtel Mercure de Strasbourg (20 place de Bordeaux).

  • Malade, exilée, décédée et maintenant humiliée (tribune pour Le Huffington Post)

    Mon amie Nicole Boucheton, humaniste, libre penseuse, femme engagée, vice-présidente de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, a dû partir en Suisse, le 6 août dernier, parce qu'elle était arrivée au stade terminal de son cancer et que l'occlusion intestinale menaçait à tout instant de la rendre dépendante de manière définitive pour ses derniers jours. Elle ne le voulait à aucun prix et la médecine, agissant dans le cadre de la loi du 22 avril 2005 dite loi Leonetti, du nom de son rapporteur, ne lui permettait pas autre chose que de souffrir, de sombrer dans un état de dégradation qu'elle ne souhaitait pas et de mourir à l'aide d'une sédation, c'est à dire par privation d'alimentation et d'hydratation (la mort de faim et de soif) sous contrôle médical.
    Femme libre, Nicole a pris en conscience la décision qu'elle estimait la meilleure pour elle-même : le départ en Suisse où le suicide assisté est accepté. Sa famille, ses amis, toutes celles et tous ceux qui l'aimaient, l'ont accompagnée dans cette épreuve dans laquelle elle a fait montre de courage, de lucidité, de dignité et, avant tout, d’une grande sérénité.
    Bien sûr, aujourd'hui, nous sommes émus et tristes en pensant à Nicole. Mais nous savons qu'elle est en paix avec elle-même et qu'elle a eu, somme toute, la vie qu'elle désirait, du début à la fin.
    Malade, exilée en Suisse car la France, pays des Droits de l'Homme, ne reconnait à personne le droit d'éteindre lui-même la lumière, Nicole est aujourd'hui décédée. Ses cendres reposent en paix de la façon qu'elle souhaitait.
    Suprême gifle qui lui a été donnée de manière posthume, le journal Ouest France, invoquant un devoir de neutralité qu'il ne respecte pourtant pas lorsqu'il s'agit d'annoncer des offices religieux, de reproduire des prières - je n'ai rien contre - a refusé de publier le faire-part de décès qu'elle avait elle-même rédigé, qu'elle ne souhaitait pas voir modifié, et pour lequel, très normalement, il faut payer un prix.
    Voilà que Ouest France, journal quasi monopolistique dans l'ouest de notre pays, financé en partie par nos impôts (à hauteur de 6 centimes par exemplaire vendu), fait le tri entre les bonnes morts et les mauvaises morts, les bonnes annonces et les mauvaises. Entre les bonnes personnes et les mauvaises ?
    Malade, exilée, décédée donc, la mémoire de Nicole a été humiliée. Bafouée. Au nom d'une morale archaïque, de la censure d'une presse qui refuse que la société évolue et accorde le droit à chacun d'être, de vivre et de mourir différemment.
    Alors certes, un journal peut avoir une ligne éditoriale. Mais le droit ne donne pas tous les droits, et surtout pas celui d'humilier une femme qui, toute sa vie, s'est battue aux côtés des plus faibles pour que chacun, à sa propre façon, puisse jouir de sa liberté.
    Je rends hommage, comme président de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, mais aussi comme ami, à Nicole Boucheton, partie trop jeune, trop vite, trop loin, mais partie libre, emportant avec elle la conscience inébranlable d'avoir agi en femme digne, libre et moderne.
    A lire sur le Huffinton Post (ici).

  • Reportage sur LCI sur l'"exil" de Nicole Boucheton pour mourir dans la dignité

  • Invité de RTL à 18h15

    logo RTL.jpgA 18h15, ce vendredi 15 août, je serai l'invité de RTL pour évoquer le suicide assisté de ma vice-présidente à l'ADMD Nicole Boucheton qui a dû s'éxiler en Suisse pour mourir dans la dignité. J'évoquerai aussi le débat sur la fin de vie voulu par le président de la République et l'incroyable nomination de l'UMP Jean Leonetti qui travaille sur un nouveau texte, à la demande du gouvernemen (sic) alors q'uil a échoué depuis 10 ans sur la question de la fin de vie.

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  • Ouest France refuse de publier le faire-part de décès de la VP de l'ADMD

    En recevant un mail d'Alain, l'époux de Nicole Boucheton, je ne croyais pas ce que je lisais. Le journal Ouest France refuse de publier le faire-part de la vice-présidente de l'ADMD si n'est pas retirée la référence à l'exil en Suisse auquel à été contrainte Nicole pour mourir comme elle le souhaitait. (Texte ci-dessous) Ce journal qui est largement subventionné par les aides à la presse (6 centimes par numéro) - donc pas nos impôts ! - refuse de publier un faire-part "payant" comme il le propose habituellement à tous ses lecteurs. C'est une décision indigne, discriminatoire et peu républicaine de la direction de ce journal. C'est même une censure contre lequel ce journal est censé pourtant se battre. Je sais que certains journalistes de Ouest France désapprouvent cette décision et je les en remercie. Ça ne fait que confirmer l'attitude peu humaine d'une direction qui fait pourtant souvent allusion dans ses editos a la "charité chrétienne". Juste des mots...
    Lire aussi : Le Figaro (ici).

    [Alain Siouville, son époux, Françoise Boucheton, sa soeur, vous font part du décès de Nicole Boucheton Vice Présidente de l'ADMD à l'âge de 64 ans, contrainte de s'exiler en Suisse, pays humaniste, pour y mourir selon sa volonté le 7 août 2014.]

  • L'Invité de France Bleu Contentin mardi à 8h00

    Ce mardi, à 8h00, je suis l'invité de France Bleu Contentin pour évoquer l'exil en Suisse pour mourir dans la dignité de mon amie Nicole Boucheton, vice-présidente de l'ADMD. Nicole n'en pouvait plus de ses souffrances et sa fin prochaine était inéluctable. Elle est morte comme elle a vécu : digne et libre. En rendant publiques sa mort et son exil en Suisse, Nicole démontre que son combat individuel pour l'euthanasie rejoint son combat collectif.

  • Une conférence sur le sida doublement endeuillée: pensées pour les victimes du vol Malaysian Airlines

    Au moment de partir pour l'aéroport pour m'envoler pour la 20ème conférence internationale sur le sida (AIDS 2014) qui se tient dès dimanche à Melbourne, je ne peux manquer d'avoir des pensées émues et attristées pour toutes les victimes du crash du vol de Malaysian Airline.
    Parmi ces victimes, il y a de nombreux chercheurs et militants de la lutte contre le sida qui se rendaient à cette grande conférence que je m'apprete à rejoindre.
    Notre conférence, qui est toujours endeuillée par les 5000 morts quotidien du sida aura aussi des pensées particulières pour les victimes de ce crash. Nous serons doublement endeuillés...

  • 9 mai 1994- 9 mai 2014 : déjà 20 ans sans lui…

    20 ans !
    20 ans déjà qu’Hubert nous a quitté en ce beau mois de mai.
    20 ans que le sida ne lui a laissé, contrairement à moi, aucune chance.
    Ce salop de virus a emmené l’homme qui m’a permis d’aimer ce que j’étais, d’assumer ce que je suis devenu.
    Sans lui, je ne serai sûrement pas ce militant acharné que rien n’ébranle. Jamais.
    20 ans, c’est long dans une vie. Et pourtant, j’ai, chaque jour, l’impression de l’avoir quitté il y a juste une petite poignée d’heures.
    Rien n’a plus jamais été pareil depuis son départ mais la vie est là. C’est grâce à lui…Il m’a donné la force de continuer. Pour lui comme pour tant d’autres.
    Je ne l’oublie jamais comme je n’oublie pas ces amis fauchés dans leur jeunesse par un virus qui ne leur a laissé aucune chance. Contrairement à moi… Pourquoi ?
    Une question qui me taraudera jusque ma mort.
    En attendant, que dire à part, qu’Hubert me manque. Seconde après seconde, minute après minute, heure après heure. Année après années…hub-jl baiser.jpg

  • 69ème anniversaire de la victoire du 8 mai 1945 dans le 12ème à Paris

    Au nom du président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, je déposerai une gerbe au monument aux morts du 12ème arrondissement à la cérémonie organisée par la nouvelle maire Catherine Baratti-Elbaz.

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  • Cérémonies pour la journée de la déportation dans le 12ème ardt de Paris

    Au nom du président de la région Ile-de-France, je déposerai des gerbes aux cérémonies qui se déroulent, ce samedi, dès 11h00, dans le 12ème ardt de Paris pour la journée nationale des victimes et héros de la déportation et des enfants juifs déportés.
    Cette cérémonie sera la première manifestation de commémoration pour Catherine Baratti-Elbaz en sa qualaité de maire mais aussi pour moi comme maire-adjoint du 12ème arrondissement.

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  • CP de l'ADMD : Avec Marc Blondel, une grande voix laïque, écoutée et respectée, s’éteint. Il manquera à notre République.

    Avec le décès de Marc Blondel, c’est une grande voix de notre République laïque qui s’éteint. Membre du Comité d’honneur de l’ADMD, Marc Blondel, immense syndicaliste, était aussi très engagé dans les combats de liberté, et donc celui de l’aide active à mourir dont il était un partisan très mobilisé et intransigeant.
    Alors que notre pays connaît un retour dangereux du religieux, contraire à nos principes républicains, Marc Blondel savait s’opposer avec vigueur et détermination, et rappeler nos valeurs de respect, de tolérance et de liberté.
    ean-Luc Romero, président de l’ADMD, dit son immense tristesse qu’une telle voix disparaisse de notre vie publique. Et de perdre un ami remarquable. Sa voix manquera cruellement dans les grands débats de société à venir.
    A sa famille, à ses proches, Jean-Luc Romero et les membres de l’ADMD adressent des sentiments de sympathie très émue et d’affection profonde.

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  • Commémorations de la libération de Paris dans le 12ème

    Je représenterai le président de la région Ile-de-France aux cérémonies du 12ème ardt pour le 69èmeanniversaire de la libération de paris du 25 août 1944. Toujours un moment important pour se rappeler de l’horreur que fut la dernière guerre mondiale.

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  • Hommage à Rudolf Brazda, dernier survivant des Triangles roses

    J'ai représenté ce mercredi soir à 18h30 Jean-Paul Huchon à la cérémonie de ravivage de la flamme sous l’Arc de Triomphe en hommage à Rudolf Brazda, décédé en 2011, et qui fut le dernier survivant des Triangles Roses.
    Cette cérémonie émouvante était aussi en hommage à toutes les victimes de la barbarie nazie déportées pour motif d’homosexualité.

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  • Le Prix Nobel de médecine Christian de Duve a choisi l’euthanasie

    Samedi dernier, à 95 ans, le prix Nobel de médecine de 1974, a choisi de mourir par euthanasie en Belgique.
    Ce grand médecin et chimiste est parti, selon sa fille, dans « une grande sérénité en disant Adieu et en souriant. »
    La Belgique a légalisé l’euthanasie et le suicide assisté depuis 2002. Déjà 11 ans que ce pays permet au patient en fin de vie de dire stop s’il n’en peut plus de ses souffrances.
    Déjà en 2008, l’écrivain Hugo Claus avait choisi de mourir par euthanasie.
    A moins de deux heures de Thalys de Paris, les mourants sont respectés dans leur Ultime Liberté. J’espère qu’enfin, à l’automne le gouvernement ouvrira le grand chantier de la fin de vie et respectera la proposition 21 du candidat Hollande. A l’ADMD, nous mettrons tout en œuvre après l’été pour que cet engagement soutenu par 9 Français sur 10 soit tenu ! Enfin !

     

  • Hommage à Henri Caillavet

    Henri Caillavet, qui fut le président de l’ADMD de 1986 à 1991 puis de 1996 à 2001, est décédé ce matin.
    Nous savons tous ce que notre association lui doit.
    Il a porté très haut nos revendications, dans les médias et au Parlement, durant trois décennies.
    Nous lui consacrerons un hommage.
    Le conseil d’administration de l’ADMD à une pensée émue pour sa famille.

  • Mon hommage à Bruno-Pascal Chevalier

    Discours de Jean-Luc Romero
    Hommage à Bruno-Pascal Chevalier
    Espace des Blancs-Manteaux - 26 janvier 2013

     

    Mesdames, Messieurs, Mesdames et messieurs les militants,

    Nous sommes ici pour honorer la mémoire de Bruno-Pascal Chevalier, un homme de valeur, un homme de cœur, un militant, un combattant. Il est très difficile de résumer l’estime que l’on a pour quelqu’un en quelques mots.
    Alors peut-être vais-je commencer par une citation, d’un homme, écrivain, philosophe qui a érigé la révolte comme solution. "Ce n'est pas la révolte en elle même qui est noble mais ce qu'elle exige". Cette phase d'Albert Camus, tout comme moi, beaucoup ici la connaissent. Et je crois que, quand on parle de Bruno-Pascal, cette phrase prend vraiment tout son sens.
    Bruno-Pascal, c'était une voix. La voix de la rage. La voix du combat et de la colère. Une voix qui savait se faire douce pour expliquer mais qui rugissait pour dénoncer et porter les revendications. Une voix qui ne tremblait pas. Une voix qui reflétait bien une vie où le mot compromission n’avait pas droit de cité.
    Bruno-Pascal, c'était un regard. Un regard qui vous transperce. Un regard honnête et droit. Un regard qu'on n'oublie pas. Un regard de feu. Très peu de temps avant sa mort, j’avais revu Bruno-Pascal. Il souhaitait que le Patchwork des noms se restructure afin que ce formidable outil de mémoire soit le plus connu possible par le grand public. Il avait plein de projets, ça je vous le garantis ! Dans ses yeux, dans son regard, je n’ai vu ni fatigue, ni désespoir. Au contraire ! J’y ai vu l’envie, l’énergie, la croyance en quelque chose qui anime tous les militants, la croyance définitive dans le fait que l’on porte une cause juste.
    Bruno-Pascal, c'était un corps. Un corps meurtri par le combat au quotidien contre la maladie. Un corps qu'il avait décidé de faire souffrir encore plus pour lutter contre cette profonde injustice que sont les franchises médicales. Rappelons-nous toutes et tous qu’il y a quelques années, il avait décidé de faire une grève des traitements. Ce geste était bien sûr très fort mais aussi et surtout très dangereux pour sa santé. Ce n’est pas bien sûr pas la reconnaissance individuelle qu’il cherchait, loin de là ! Ce qu’il voulait, c’était la justice, la justice envers les malades. Rendre le malade coupable de sa propre maladie, en voilà une belle idiotie, une idiotie dangereuse car populiste à souhait. Bruno-Pascal défendait l’idée d’une société humaine et justice, où le mot solidarité n’est pas qu’un vain mot balancé dans tous les préambules des lois ou dans les discours. Non ! Bruno-Pascal avait fait de ce mot solidarité un moteur de vie et un but concret. Faire d’un combat individuel un combat collectif, voilà ce qu’il a réussi à porter.
    Bruno-Pascal, c'était un cœur. Un grand cœur, un gros cœur. Un homme amoureux, un homme généreux, un homme pour qui donner allait de soi. Il n’attendait pas qu’on lui rende quelque chose. C’est rare à notre époque …
    Bruno-Pascal, c'était tout ça. Une voix, un regard, un corps, un cœur. 
    Bruno-Pascal, c'était tout ça mais pas seulement. Bruno-Pascal, c'était un esprit. Cette phrase, je la mets au passé mais, je sais que nous en sommes tous persuadés, elle doit se décliner au présent. Car oui, Bruno-Pascal, c'est un esprit. C'est un esprit militant. Un esprit de combattant. Un esprit qui met l'humain au-dessus de tout. Un esprit qui nous a appris que la mémoire est un guide pour notre futur, pour la lutte mais aussi pour la vie. Nous avons perdu un être rare mais son esprit nous accompagnera pendant très longtemps car, nous le savons, un esprit, lui, ne meurt jamais !

     

  • Cérémonie publique en hommage à Bruno-Pascal Chevalier

    Le 17 décembre 2012, Bruno-Pascal Chevalier est décédé à l’âge de 49 ans.
    Militant historique de la lutte contre le sida et pour la défense des patients, il était l’âme du Patchwork des noms.
    Un dernier hommage lui sera rendu ce samedi dans l’après-midi et j’y interviendrai aussi vers 18h00.

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