A 13h30 sur RMC
Eric Brunet reviendra sur le dossier de Florence Cassez ce mercredi à 13h30. En ma qualité de président du comité de soutien de Florence, j’interviendrai dès le début de l’émission.
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Eric Brunet reviendra sur le dossier de Florence Cassez ce mercredi à 13h30. En ma qualité de président du comité de soutien de Florence, j’interviendrai dès le début de l’émission.
J’interviendrai de nouveau pour Florence Cassez ce mardi soir. D’abord au micro de Michel
Field à 17h00 sur LCI puis dans le JT de I-télé à 19h30.
Sur France Info, Jean-Luc Romero, conseiller régional PS d’Ile-de-France et président du comité de soutien à Florence Cassez, s'est pour sa part dit «très inquiet et abasourdi» par la réaction du Mexique. «Ce qui me choque le plus, c'est le refus de transfèrement. La Convention de Strasbourg, qu'a signée le Mexique, aurait dû permettre déjà depuis longtemps à Florence Cassez de venir purger sa peine en France.» Le socialiste a également souligné le risque «d’éventuelles rétorsions» pour la détenue au Mexique.
Source : http://www.20minutes.fr/article/669955/monde-l-avocat-florence-cassez-dit-desespere
J’interviendrai dans le JT du Mouv’ ce mardi à 12h30 puis dans celui de Jean-Marc Morandini à 12h40 sur Europe 1 pour évoquer la situation de Florence Cassez et les derniers rebondissements suite à l’annonce du Mexique qu’elle ne respectera pas las conventions internationales en refusant le transfèrement de Florence.
Le gouvernement du Mexique vient de provoquer une nouvelle fois la France en refusant de respecter les conventions internationales qui permettent de transférer des prisonniers pour qu’ils exécutent leur peine dans leur pays. Convention de Strasbourg que les Mexicains utilisent, à juste titre, pour demander le transfèrement de leurs compatriotes condamnés à l’étranger. Alors que la France ne fait que demander le respect de cette convention, le Mexique bafoue les droits élémentaires de Florence. C’est inquiétant pour Florence mais aussi pour les Mexicains qui subissent tant d’injustices.
Je suis inquiet pour Florence des rumeurs d’un éventuel changement de prison. Elle est à 10.000 km de ses parents. Je ne voudrai aps que son intégrité physique soit menacée.
Je suis en colère de l’attitude d’un pays qui donne des leçons à la France alors qu’une corruption y règne, même au sein d’une partie de la police, et que des Mexicains subissent aussi des arrestations arbitraires, comme Florence, le vit depuis plus de 5 ans. Il est temps que le gouvernement mexicain, qui veut jouer un rôle dans le G20 comprenne qu’il ne peut être aussi au dessus de lois et qu’il doit respecter les droits humains de ses concitoyens comme des étrangers qui séjournent dans son pays.
Après avoir été invité de Christophe Hondelatte dans RTL soir hier, je serai "l'invité du matin" de RFI ce mardi à 8h20. Alors que Nicolas Sarkozy a reçu les parents de Florence Cassez lundi soir, je reviendrai sur sa proposition de dédier l'année du Mexique en France à Florence. Je rappellerai à quel point la décision qui condamne Florence à 60 ans de prison repose sur du sable car tout démontre son innocence.
J'étais l'invité de Christophe Hondelatte dans RTL Soir hier soir pour évoquer Florence Cassez. Vous pouvez retrouver le podcast de mon émission en cliquant ici.
Pas de Saint-Valentin avec mon bel amoureux ce soir car je serai à Châteauroux. Qu’il me pardonne ! Il a de la patience car mes combats prennent trop souvent le pas sur ma vie personnelle… Sur nos vies !
Justement, ce soir, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à Châteauroux à 17h00 – salle Roger Dion – 15, rue de la République. Cette réunion sera suivie d’une dédicace des Voleurs de liberté vers 19h00.
Homopoliticus
Comme ils disent…
"Politique et homosexualité, de 1960 à nos jours"
par Jean-Luc Romero
parution le 17 mai 2011 — journée mondiale contre l’homophobie
Spectateur engagé durant les longs débats qui mèneront à l’adoption du PaCS, acteur omniprésent dans la préparation de la loi pénalisant les propos homophobes, Jean-Luc Romero raconte, dans Homopoliticus, l’histoire complexe des relations entre les responsables politiques et la question de l’homosexualité et cela depuis le début des années 60, où elle a fait son apparition dans la vie politique nationale.
De la pénalisation de l’homosexualité jusqu’en 1982 à la pénalisation des propos homophobes en 2004, sans oublier le vote ô combien symbolique du PaCS, qui permet enfin au couple homosexuel d’être reconnu par notre droit, bien du chemin a été parcouru. Jean-Luc Romero montre dans ce livre pourquoi les responsables politiques demeurent si frileux sur les questions sexuelles alors qu’elles font désormais partie du débat public au même titre que les autres grandes questions de société.
Homosexuel, 1er et seul homme politique à avoir révélé sa séropositivité en France, l’auteur a parcouru le long chemin de l’acceptation de cette génération qui a vécu, enfant, mai 68 mais qui a dû, comme tant d’autres, cacher longtemps son homosexualité avant d’être dénoncé par un journal alors qu’il s’apprête à révéler son identité dans un grand quotidien du soir. Cette histoire qui ne peut qu’être subjective - l’auteur l’assume -, n’en est pas moins une narration précise et argumentée faite au coeur du système. Jean-Luc Romero a pu observer et parfois vivre l’homophobie de responsables politiques qui, avec l’évolution de la société mais aussi de leur intérêt politique, se sont transformés, pour beaucoup, en de véritables homophiles… Du moins en apparence ! Au fil de la narration de cette relation entre l’homosexualité et la politique, on comprend pourquoi celui qui fut un gaulliste pendant 30 ans a fini par franchir le Rubicon de la politique et quitter une droite qui continue, malgré quelques progrès, à se montrer en retrait et même parfois homophobe.
Fait important : dans cet ouvrage, Jean Luc Romero donne la parole à chaque parti politique à un an de la présidentielle, sur les grandes questions liées à l'homosexualité, de la lutte contre l’homophobie à l'adoption, au mariage... FN, PS, UMP, PC tous les partis dévoilent leur programme ou leur position.
Ancien secrétaire national de l’UMP, Jean-Luc Romero est conseiller régional d’Ile-de-France apparenté au Parti Socialiste, président d’Elus Locaux Contre le Sida, de l’Association pour le Droit de mourir dans la dignité [ADMD-France], du CRIPS Ile-de-France et membre du Conseil national du sida. Il est l’auteur de plusieurs livres dont On m’a volé ma vérité (Le Seuil- 2001), Virus de vie (Florent Massot – 2002), Les voleurs de liberté "véritable plaidoyer en faveur de l'euthanasie" (Editions Florent Massot – 2009). Il est chevalier de la légion d’honneur.
Je serai de nouveau invité de l’émission de Paul Amar sur France 5 pour soutenir Florence Cassez ce samedi à partir de 19h00. L’occasion de rappeler que la France doit tout mettre en œuvre pour que Florence revienne chez elle car elle est innocente…
Après ma réunion d’hier soir pour l’ADMD, j’animerai une réunion de travail sur le sida à l’hôtel de ville d’Angoulême – salle Hugo Pratt – ce samedi à 9h00.
Il y avait longtemps que je n’avais plus fait de réunion ELCS en Charente alors que c’est dans ce département que j’ai animé l’une des premières réunions d’ELCS après sa création en 1995…
Une fois de plus, la justice mexicaine a montré qu’elle était sourde et aveugle en confirmant la condamnation de Florence Cassez, dont tout le dossier démontre l’innocence, à 60 ans de prison. Puisque ce pays n’entend rien, il paraît aujourd’hui inimaginable de fêter le Mexique dans notre pays - même si cela ne s’adresse pas au peuple qui mérite le respect et que je plains de vivre actuellement avec une telle justice et dans un pays si peu attentif aux droits humains.
J’appelle le gouvernement et les élus municipaux, départementaux et régionaux à ne financer aucune manifestation de l’année du Mexique en France. Il faut montrer au gouvernement mexicain notre désapprobation face à ce déni de justice mais aussi au non respect des conventions internationales qui aurait dû permettre depuis bien longtemps à Florence d’exécuter sa peine en France. Trop, c’est trop !
Je serai l’invité du JT de TV5 Monde à 11 heures pour évoquer le rejet incompréhensible du pourvoi de Florence cassez. On a l’impression que les juges n’ont rien lu, rien vu, rien entendu. L’injustice totale !
A l’invitation de Jean-Michel Nivet, délégué de la Charente, j’animerai une réunion publique de l’ADMD ce vendredi 11 février à 18h00 à la Cité internationale de la bande dessinée. Je reviendrai avec plaisir à Angoulême que j’ai bien connue quand j’étais l’assistant parlementaire du député et président du Conseil général, Pierre-Rémy Houssin.
A la fin de la réunion, je dédicacerai « Les Voleurs de liberté » vers 19h30. Pour info, un nouveau tirage du livre a été faite par l'éditeur: le quatrième...
Le rejet du pourvoi de Florence Cassez est une véritable horreur pour Florence et ses parents.
Une injustice totale. Cette décision est incompréhensible par rapport à tout ce qui s’est passé depuis le dernier recours en appel. La justice mexicaine n’a rien vu, rien entendu, rien lu….
C’est une décision politique.
Il faut que le gouvernement de suspendre immédiatement l’année du Mexique en France.
A Madame Marie-Odile Amaury
Directrice de la Publication
Le Parisien
25, avenue Michelet
93408 Saint-Ouen cedex
Madame,
Je vous remercie de bien vouloir publier le droit de réponse ci-dessous, à la suite de l’article publié en page 12 de l’édition du mercredi 9 février de votre journal.
Sous le titre « Les pro-euthanasie bienvenus à l’hôpital Georges-Pompidou », vous publiez un article qui travestit la réalité.
Par un arrêté du 11 août 2006, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité a été agréée pour représenter les usagers de santé dans les instances hospitalières ou de santé publique. Parmi d’autres associations. Dans ce cadre, elle a signé une convention avec les autorités de l’Hôpital Européen Georges-Pompidou. Ce n’est donc pas « la première fois » que l’association entre en contact avec des usagers de santé. Partout en France, des représentants des usagers de santé, issus des rangs de l’ADMD, siègent dans les conseils d’administration d’hôpitaux, dans les conseils de surveillance, dans les commissions de relation avec les usagers et de la qualité de la prise en charge et tiennent des permanences dans les maisons des usagers.
A ce titre, jamais aucun des représentants issus des rangs de notre association, qui représentent alors l’ensemble des usagers de santé, n’a fait l’objet de remarque ou d’avertissement de la part des responsables sanitaires.
Par ailleurs, l’ADMD est le seul organisme (ni l’Etat, ni les associations qu’il subventionne à hauteur de 1 350 000 euros par an ne le font) à diffuser une brochure d’information sur les droits de la personne malade, à diffuser un formulaire de directives anticipées et à gérer un fichier national des directives anticipées, ouvert aux adhérents de l’ADMD comme aux non-adhérents.
Dans votre article, vous donnez la parole à une malade, par ailleurs médecin, membre du collectif « Plus digne la vie » comme le Pr. Emmanuel Hirsch, le Dr. Bernard Devallois, le Pr. Louis Puybasset, le Dr. Anne Richard, auteur d’un livre préfacé par le Pr. Emmanuel Hirsch et d’articles publiés dans la revue Vie Chrétienne. Nous nous interrogeons sur la spontanéité de sa réaction, deux semaines après le vote favorable en commission des affaires sociales du Sénat d’une proposition de loi relative à l’assistance médicalisée à mourir.
De plus, votre journaliste m’a interrogé mais a repris un morceau de phrase qui, sorti de son contexte, dénature totalement ma pensée ; ceci est d’autant plus dommageable que cette citation tronquée a été reprise par de nombreux médias sans la confirmer auprès de moi.
Les 48 000 adhérents de l’ADMD rappellent que l’ADMD milite pour une modification de la loi actuelle, soutenue par 94% des Français (Ifop – octobre 2010), et n’agit auprès des personnes en fin de vie que dans le strict cadre de la loi actuelle.
Par ailleurs, le 25 janvier dernier, le Sénat a « retoqué », par 172 voix contre 143, soit une différence de 15 sénateurs pour obtenir une majorité, la seule proposition de loi qui ait été débattue dans cette enceinte et non la « énième ».
Cordialement,
Jean-Luc Romero
Je suis l'invité du JT de 17 heures sur France 24 pour intervenir sur le recours aujourd'hui en cassation (l'amparo) de Florence Cassez.