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Lutte contre le sida, ELCS, CNS et CRIPS - Page 54

  • Mon déplacement contre le sida à Boulogne dans La Voix du Nord

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  • Réunion des associations LGBT au Crips

    En fin de journée, j’ai invité les associations LGBT d’Ile-de-France au Crips afin de réfléchir aux actions communes que nous pourrions mener cette année.
    Le Crips a choisi, en 2013, de consacrer sa mobilisation annuelle sur la question des discriminations à l’homophobie et la transphobie.
    Cette réunion sera l’occasion de partager sur la mise en œuvre de notre campagne et les collaborations qui pourraient se mettre en place avec les autres associations.

     

  • Déjeuner avec les associations sur le sida et la réduction des risques

    Après la réunion avec les élus de Boulogne-sur-Mer, je déjeunerai avec des militants associatifs dans les locaux de l’association DIF.
    A cette occasion nous évoquerons la lutte contre le sida et la politique de réduction des risques à destination des usagers de drogue.
    Voir aussi le site de Boulogne-sur-Mer (ici).

     

  • Débat avec des élus sur le sida et le mariage pour tous à Boulogne-sur-Mer

    Ce samedi 16 février à 10h00, je rencontrerai des élus du Boulonnais à l’hôtel de vielle pour parler lutte contre le sida et mariage pour tous. Le conseiller municipal Grégory Suslamare est à l’origine de ce débat.
    Plus d'infos sur le site de Boulogne-sur-Mer (ici)


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  • Séminaire du bureau du CRIPS Ile-de-France

    Ce lundi, à mon initiative, se déroulera un séminaire entre le bureau et la direction du CRIPS Ile-de-France.
    Alors que nous avons redéfini nos axes d’action, il importe de prendre un temps pour réfléchir aux valeurs du CRIPS, à sa place dans le paysage associatif et institutionnel et bien sûr de mener une réflexion sur l’avenir.

  • A Pau contre le sida !

    J’animerai une réunion d’ Elus Locaux Contre le Sida ce vendredi 8 févier à la mairie de Pau à 15h30.
    Ce sera l’occasion de faire le point sur la situation du VIH dans ce département.

  • Avant-Dernières diffusions d'Homopoliticus sur LCP-AN le 8 février à 3h30 et 23h45

    Le documentaire Homopoliticus est rediffusé pour les dernières fois sur LCP-AN demain vendredi 8 février 2013 à 3h30 et 23h45 et jeudi 7 mars à 16h30. Ce documentaire, inspiré de mon livre, a été réalisé par Aleksandar Dzerdz et co écrit avec moi. Il est produit par Peignoir Prod et l’INA.
    Ce documentaire retrace 50 ans de lutte pour l’acceptation de l’homosexualité et l’égalité des droits avec le mariage pour tous. Plus de 20 interviews ont été nécessaires pour ce documentaire qui fait aussi appel à de nombreuses archives.
    C’est pour moi un rêve que de voir cette histoire que j’avais écrite devenir un film. Merci à Aleks pour son merveilleux travail de réalisation !
    Bonne nouvelle : il sort en DVD.

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  • Assez de polémiques injustes et injustifiées : les SCMR sont une réponse de santé publique et pour la sécurité !

    La polémique stérile et politicienne d’une partie de l’opposition sur les salles de consommation à moindre risque (SCMR) est totalement injuste et injustifiée.
    En 1987, face à la contamination au sida de nombreux usagers de drogues injectables, Michèle Barzach a eu le courage de mettre les seringues en vente libre ; en 1993, Simone Veil, à son tour, organisait la substitution et permettait l’échange de seringues gratuites dans des lieux financés par les pouvoirs publics.
    Ces mesures ont montré une efficacité incroyable : chute des overdoses et baisse spectaculaire des contaminations au VIH/sida.
    En prenant des mesures courageuses, ces deux femmes de droite ont subi exactement les mêmes critiques que celles qu’on entend aujourd’hui. Le FN fut même particulièrement virulent et insultant.
    Mais la majorité de la droite les soutenait.
    Les critiques actuelles des élus UMP sont donc injustes d’autant que les mesures prises à l’époque n’ont pas développé la consommation de drogues dures comme certains Cassandre l’annonçaient alors…
    Ces polémiques sont ensuite injustifiées. Les mesures de réduction des risques (RDR) pour les usagers de drogues ont montré, depuis 20 ans, leur totale efficacité.
    Depuis plus de 10 ans, en allant régulièrement en Suisse, à Quai 9, une salle de consommation ouverte près de la gare, j’ai pu constater personnellement que les salles de consommation à moindre risque sont non seulement utiles pour la santé mais aussi socialement efficaces et indispensables pour la sécurité. Ainsi, les riverains genevois, pourtant opposés lors de la création de ces salles, réclament désormais l’ouverture de ces structures 24h/24 !
    Toutes les études faites ces dernières années et compilées par l’Inserm démontrent que la politique de RDR - notamment les SCMR - est efficace pour la santé des consommateurs de produits illicites, mais aussi pour leur réinsertion sociale.
    Elle démontre aussi son efficacité pour toute la société avec une sécurité accrue pour les riverains et la fin d’une consommation à ciel ouvert ou dans les cages d’escalier particulièrement insupportable pour les voisins et notamment pour les enfants.
    La droite ferait donc mieux de relire les études et de renouer avec la responsabilité qu’elle a su montrer avec Michèle barzach et Simone Veil ! La RDR, c’est une politique efficace de santé publique et de sécurité !

     

  • Mon hommage à Bruno-Pascal Chevalier

    Discours de Jean-Luc Romero
    Hommage à Bruno-Pascal Chevalier
    Espace des Blancs-Manteaux - 26 janvier 2013

     

    Mesdames, Messieurs, Mesdames et messieurs les militants,

    Nous sommes ici pour honorer la mémoire de Bruno-Pascal Chevalier, un homme de valeur, un homme de cœur, un militant, un combattant. Il est très difficile de résumer l’estime que l’on a pour quelqu’un en quelques mots.
    Alors peut-être vais-je commencer par une citation, d’un homme, écrivain, philosophe qui a érigé la révolte comme solution. "Ce n'est pas la révolte en elle même qui est noble mais ce qu'elle exige". Cette phase d'Albert Camus, tout comme moi, beaucoup ici la connaissent. Et je crois que, quand on parle de Bruno-Pascal, cette phrase prend vraiment tout son sens.
    Bruno-Pascal, c'était une voix. La voix de la rage. La voix du combat et de la colère. Une voix qui savait se faire douce pour expliquer mais qui rugissait pour dénoncer et porter les revendications. Une voix qui ne tremblait pas. Une voix qui reflétait bien une vie où le mot compromission n’avait pas droit de cité.
    Bruno-Pascal, c'était un regard. Un regard qui vous transperce. Un regard honnête et droit. Un regard qu'on n'oublie pas. Un regard de feu. Très peu de temps avant sa mort, j’avais revu Bruno-Pascal. Il souhaitait que le Patchwork des noms se restructure afin que ce formidable outil de mémoire soit le plus connu possible par le grand public. Il avait plein de projets, ça je vous le garantis ! Dans ses yeux, dans son regard, je n’ai vu ni fatigue, ni désespoir. Au contraire ! J’y ai vu l’envie, l’énergie, la croyance en quelque chose qui anime tous les militants, la croyance définitive dans le fait que l’on porte une cause juste.
    Bruno-Pascal, c'était un corps. Un corps meurtri par le combat au quotidien contre la maladie. Un corps qu'il avait décidé de faire souffrir encore plus pour lutter contre cette profonde injustice que sont les franchises médicales. Rappelons-nous toutes et tous qu’il y a quelques années, il avait décidé de faire une grève des traitements. Ce geste était bien sûr très fort mais aussi et surtout très dangereux pour sa santé. Ce n’est pas bien sûr pas la reconnaissance individuelle qu’il cherchait, loin de là ! Ce qu’il voulait, c’était la justice, la justice envers les malades. Rendre le malade coupable de sa propre maladie, en voilà une belle idiotie, une idiotie dangereuse car populiste à souhait. Bruno-Pascal défendait l’idée d’une société humaine et justice, où le mot solidarité n’est pas qu’un vain mot balancé dans tous les préambules des lois ou dans les discours. Non ! Bruno-Pascal avait fait de ce mot solidarité un moteur de vie et un but concret. Faire d’un combat individuel un combat collectif, voilà ce qu’il a réussi à porter.
    Bruno-Pascal, c'était un cœur. Un grand cœur, un gros cœur. Un homme amoureux, un homme généreux, un homme pour qui donner allait de soi. Il n’attendait pas qu’on lui rende quelque chose. C’est rare à notre époque …
    Bruno-Pascal, c'était tout ça. Une voix, un regard, un corps, un cœur. 
    Bruno-Pascal, c'était tout ça mais pas seulement. Bruno-Pascal, c'était un esprit. Cette phrase, je la mets au passé mais, je sais que nous en sommes tous persuadés, elle doit se décliner au présent. Car oui, Bruno-Pascal, c'est un esprit. C'est un esprit militant. Un esprit de combattant. Un esprit qui met l'humain au-dessus de tout. Un esprit qui nous a appris que la mémoire est un guide pour notre futur, pour la lutte mais aussi pour la vie. Nous avons perdu un être rare mais son esprit nous accompagnera pendant très longtemps car, nous le savons, un esprit, lui, ne meurt jamais !

     

  • Coupe du monde de foot au Qatar : l’argent ne permet pas tout !

    Sur ce blog, mais aussi avec ELCS, j’ai souvent dénoncé les conditions d’attribution de la coupe du monde de football au Qatar.
    J’ai surtout rappelé les conditions scandaleuses dans laquelle elle devrait se dérouler.
    En effet, cette coupe du monde sera interdite aux 34 millions de personnes séropositives car le Qatar interdit son territoire aux personnes vivant avec le sida ! Un scandale qui malgré mes nombreux courriers aux instances du football n’ont trouvé aucun écho à ce jour.
    D’autre part, ce pays punit l’homosexualité de 5 ans de prison.
    Un footballeur gay ou un supporter séropo pourraient ainsi se retrouver en prison !!!
    Il est temps que les instances du football se réveillent et demandent à ce pays des comptes : l’octroi de la coupe l’a t-il été grâce à une corruption de certains ? Ce pays est-il prêt à changer ses lois discriminatoires contre les séropositifs, les gays mais aussi contre les femmes ?
    En effet, l’argent ne permet pas tout !!!!

  • Cérémonie publique en hommage à Bruno-Pascal Chevalier

    Le 17 décembre 2012, Bruno-Pascal Chevalier est décédé à l’âge de 49 ans.
    Militant historique de la lutte contre le sida et pour la défense des patients, il était l’âme du Patchwork des noms.
    Un dernier hommage lui sera rendu ce samedi dans l’après-midi et j’y interviendrai aussi vers 18h00.

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  • « Homopoliticus » sur France 3 Paris-Ile-de-France à 15h10

    Très bonne nouvelle !
    Après la chaîne LCP-AN, le documentaire Homopoliticus est diffusé ce samedi 26 janvier à 15h10 sur France 3 Ile-de-France.
    Je suis heureux que ce film que j’ai co-écrit avec le réalisateur Aleksandar Dzerdz et, qui est inspiré de mon livre, passe sur une chaîne hertzienne même si cela reste un réseau régional.
    A la veille de la manifestation en faveur du mariage pour tous à laquelle je participerai, ce film tombe à pic. Il rappelle comment on est passé de l’homosexualité, fléau social en 1960, ou encore maladie mentale en 1968, à la dépénalisation de l’homosexualité en 1981/82, au Pacs, en 1999, jusqu’au mariage pour tous en 2012.
    50 ans de lutte pour l’égalité des droits défilent dans ce documentaire de 56 minutes.
    A voir pour savoir et surtout pour comprendre !

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  • Mon discours d'ouverture au 1er séminaire de la réduction des risques

    Intervention de Jean-Luc Romero
    Conseiller régional d’Ile-de-France
    Président du Crips-Ile-de-France
    1er séminaire de la réduction des risques
    "Au-delà de l’ouverture de salles de consommation,
    quels accompagnements des injections et autres consommations ?"
    Conseil régional d’Ile-de-France / 11 janvier 2013

     

     

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    J’ai le grand plaisir de vous accueillir ici au nom de Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Ile-de-France. Celui-ci ne pouvant malheureusement être à vos côtés ce jour, il m’a demandé de le représenter ce que je fais bien sûr avec grand plaisir.
    Le thème qui va être discuté tout au long de la journée est le suivant : « Au-delà de l’ouverture de salles de consommation, quels accompagnements des injections et autres consommations ? ».
    Alors, la RDR où en est on en 2013? Une légalisation en 2004, une centaine de CAARUD créés, la Déclaration de Vienne qui érige le RDR comme solution face à des politiques répressives coûteuses et inefficaces… Autant d’éléments qui pourraient laisser penser que tout va bien. Mon introduction serait courte mais heureuse ! Malheureusement ce n’est pas le cas : prévalence très forte du VHC, absence de la RDR en milieu carcéral, vulnérabilité sociale …  Autant de défis pour lesquels il était et, il est nécessaire, que les acteurs de la RDR fassent preuve d’une valeur moteur, d’une valeur qu’ils mettent en œuvre au quotidien : le sens de l’innovation. Sens de l’innovation qui, je le crois, n’a pas été freiné par la professionnalisation du secteur, ou qui, dans tous les cas, ne doit pas l’être.
    L’expérimentation des salles de consommation à moindre risque est une revendication déjà ancienne et on ne peut que se féliciter que cela soit enfin en très bonne voie aussi bien à Paris, à Marseille qu’à Bordeaux. Je ne vais pas revenir sur l’utilité de ce type de structure, leur efficacité notamment au regard de ce qui se passe à l’étranger, le rapport de l’INSERM, du CNS... Je crois que nous avons ici tous les spécialistes pour nous expliquer cela mieux que moi. Les acteurs du secteur étaient convaincus par ce dispositif, restait à convaincre le politique qui, on le sait, dès qu’il s’agit de drogues, est très prudent, d’autant que nous avons eu la malchance d’avoir M. Apaire pendant quelques années à la tête de la MILDT. Heureusement les choses ont changé et Mme Daniele Jourdain Menninger a une posture équilibrée et, je pense, une vraie vision des choses.
    Je voudrais rappeler que la région Ile-de-France a porté avec détermination ce dossier et a joué un vrai rôle en apportant un soutien financier dès 2010 aux études sur les SCMR. Je crois que c’est tout à l’honneur de la région d’avoir su avoir une vision juste des choses, de ne pas tomber dans la gueguerre de mots et d’avoir porté politiquement dès le début ce dossier avec pragmatisme, humanité et efficacité.

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  • Mes voeux au Crips-Ile-de-France

    Les vœux sont un moment important non seulement pour la convivialité mais aussi pour les résolutions.
    Alors que le CRIPS est un des acteurs essentiels dans la lutte contre le sida en Ile-de-France, je serai heureux de recevoir nos partenaires et les élus franciliens pour une amicale cérémonie de vœux au CyberCrips ce lundi soir à partir de 18h30.

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  • Bureau national d’ELCS

    C’est ma journée bureau et lutte contre le sida… Après le bureau du CRIPS, je participerai au bureau national d’Elus Locaux Contre le Sida. Le constat est clair : il est aujourd’hui très difficile de mobiliser contre le sida d’où l’importance que les élus continuent le combat.

  • Bureau du CRIPS Ile-de-France

    Ce midi, je présiderai le 1er bureau du CRIPS pour l’année 2013. Nous nous pencherons sur l’état d’avancement des nouvelles actions lancées l’année dernière par le CRIPS.

  • Mon 4ème vœu (réaliste) pour 2013 : la fin du sida !

    En lisant ce titre, sûrement vous êtes vous dit, Romero est irréaliste.
    Et bien non, je persiste, mon 4ème vœu pour 2013, c’est bien la fin du sida. Ou pour être plus exact, le début de la fin du sida !
    Avec 34 millions de personnes vivant avec le sida dans le monde – 150 000 en France -, jamais autant de personnes n’ont effectivement vécu avec ce virus. On sait aujourd’hui que si les moyens financiers sont mis pour soigner les personnes séropositives, le sida peut enfin vraiment commencer son reflux.
    Déjà, il est urgent que les 7 millions de personnes qui ont un besoin immédiat de traitement ARV les aient enfin ! Comment peut-on accepter une société qui sauve les banques mais refuse de sauver les êtres humains ?
    Plus que jamais, le G20 doit prendre des décisions et notamment généraliser la taxe sur les transactions financières qu’a lancée François Hollande. Cette taxe sera en partie dévolue au développement et au sida.
    C’est donc de volonté politique dont on aura besoin en 2013 pour pouvoir espérer enfin  la fin du sida et de ses 5000 morts quotidiens…

  • Homopoliticus sur LCP-AN à 20h30

    Le documentaire Homopoliticus est rediffusé sur LCP-AN en ce 3 janvier 2013 à 20h30. Ce documentaire, inspiré de mon livre, a été réalisé par Aleksandar Dzerdz et co écrit avec moi. Il est produit par Peignoir Prod et l’INA.
    Ce documentaire retrace 50 ans de lutte pour l’acceptation de l’homosexualité et l’égalité des droits avec le mariage pour tous. Plus de 20 interviews ont été nécessaires pour ce documentaire qui fait aussi appel à de nombreuses archives.
    C’est pour moi un rêve que de voir cette histoire que j’avais écrite devenir un film. Merci à Aleks pour son merveilleux travail de réalisation !
    Le documentaire sera rediffusé le 11 janvier 2013 à 23h50 et il sera suivi, ce jour-là, d’un débat auquel j’ai participé.

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  • Débat de la rencontre du Crips sur « Prévention VIH et discriminations »

    En cliquant sur ce lien (ici), vous pouvez retrouver les interventions audio de la 85ème rencontre du Crips sur le thème « Prévention du VIH et discriminations » qui s’est déroulée le 10 décembre dernier.
    Vous y retrouverez notamment mon intervention d’ouverture

  • Hommage reconnaissant et ému à Bruno-Pascal Chevalier

    Bruno-Pascal Chevalier, malade du sida et activiste, qui avait mené un exemplaire combat contre les franchises médicales, est mort le 17 décembre.
    Il y a à peu près un mois, je l’avais rencontré à Vigneux-sur-Seine pour voir comment je pouvais l’aider à mettre en valeur le patchwork des noms qui l’a beaucoup mobilisé ces dernières années. Il était fatigué et donc heureux que je lui propose de l’aider.
    Nous devions nous revoir début 2013. Ce rendez-vous n’aura jamais lieu.
    Je n’oublierai jamais ce garçon courageux qui a fait de son combat individuel un combat collectif. Il manque déjà terriblement aux activistes et à notre combat commun contre le sida.
    Hommage reconnaissant et ému à Bruno-Pascal Chevalier.