Mobilisation de la Ville de Paris en faveur de la libération de Boualem Sansal.
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Ce livre est un trésor. Il se lit d’une traite.
Je fréquente Dominique Versini depuis longtemps et nous sommes amis. Je la connais bien. Nous partageons depuis deux décennies beaucoup de valeurs progressistes et de mobilisations communes.
C’est aussi une femme d’une rare pudeur.
Et pourtant, avec ce livre, j’ai découvert une femme qui ne craint pas de parler de cette jeunesse difficile qu’elle a vécu à Rabat malgré l’amour de sa maman. Mais aussi les failles de cette mère parfois trop possessive et même violente.
Une enfance au Maroc.
Une migration en France n’est jamais évidente.
On ne peut comprendre les combats qu’a menés Dominique sans connaître son histoire intime. Fille d’une mère célibataire, ce n’était pas facile à assumer pour ce duo mère-fille dans les années 50 et, particulièrement, au Maroc.
Sa jeunesse et sa construction personnelle nous aident à mieux comprendre les combats que Dominique va mener avec l’énergie du désespoir.
Les sans-abris avec son incroyable mission à la tête du SAMU Social, le soutien aux sans-papiers, et bien sûr son engagement déterminé pour les droits des enfants. Que ce soit comme défenseure des enfants ou comme adjointe d’Anne Hidalgo, elle aura fait de cette cause un réel sacerdoce.
Je ne peux que vous recommander la lecture de ce livre. Il fait tant de bien… Merci Dominique.
La décision du Président américain Donald Trump de geler l’aide internationale américaine pour la lutte contre le sida représente une catastrophe sans précédent pour des millions de personnes et met en péril la lutte internationale contre le virus. Cette annonce engendre par ailleurs un impact direct auprès de personnes vivant avec le VIH dans le monde se trouvant ainsi privées de leur traitement, et constitue une entrave au développement et aux progrès scientifiques menés pour la luttecontre le VIH.
Cette stratégie de lutte contre l’inclusivité portée par Donald Trump porte atteinte aux décennies de progrès et combats réalisés dans la lutte contre cette pandémie. Cette conjoncture inquiète fortement les professionnels de santé qui assistent impuissants à la coupe budgétaire et au démantèlement des données de santé publiques du gouvernement américain devenus inaccessibles.
Ce choix politique, cynique et irresponsable, met en péril des vies humaines et compromet l’objectif que nous nous sommes collectivement fixés : mettre fin à la transmission du VIH d’ici 2030. L’impact de cette décision est terrifiant et a des conséquences au niveau mondial.
Lefinancement américain, via des initiatives comme le PEPFAR (P r esi d ent’ s E mer genc y P l an f or A I D S R el i ef ), a permis de sauver des millions de vies en assurant l’accès aux traitements antirétroviraux, aux outils de prévention et aux soins de base.
Le retrait brutal de ces fonds signifie une interruption dramatique des traitements pour des millions de personnes, une recrudescence des nouvelles infections et un effondrement des infrastructures sanitaires dans les pays les plus touchés.
Les menaces de ce retour en arrière du gouvernement américain sont d’autant plus dramatiques car elles interviennent à un moment clé de la lutte contre le VIH. Grâce aux progrès scientifiques et à l’engagement mondial, nous avons aujourd’hui les moyens d’éradiquer la transmission du virus. Mais sans ressources suffisantes, tous ces efforts risquent d’être anéantis. Ce n’est pas seulement une question de financement : c’est un choix politique qui reflète un mépris total pour les engagements internationaux en matière de santé publique et de droits humains.
Comme la France, les États-Unis ont longtemps été un pilier de la réponse mondiale au VIH/sida. Les menaces d’aujourd’hui préfigurent des tragédies humaines et un retour en arrière inacceptable. En affaiblissant les dispositifs de prévention et d’accès aux soins, cette décision ne fera qu’aggraver la situation et coûtera, inévitablement, des vies.
Nous ne pouvons rester silencieux face à ce recul catastrophique. Il est urgent que la communauté internationale se mobilise pour lutter ensemble en faveur de la fin du VIH.. L’engagement contre le sida ne peut souffrir d’aucun relâchement. Si nous voulons atteindre notre objectif de zéro transmission d’ici 2030, nous devons refuser les reculs et défendre, avec force, le droit à la santé pour toutes et tous.
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Au nord du Japon, un café le Dona Dona a une vue imprenable sur le port. Mais surtout, il pernet de voyager dans le passé.
Les clients, selon des conditions strictes et bien établies, peuvent, le temps d’un café, renouer avec le passé. Avec un être aimé.
Tout le monde rêverait de pouvoir discuter avec un être disparu. Dire les choses qu’on n’a pas eu le temps de s’avouer. Les mots d’amour que par pudeur, on n’a malheureusement pas osé dire. Régler des incompréhensions qui pèsent sur celle ou celui qui reste.
Comme dans « Le café du temps retrouvé » Toshikazu Kawaguchi démontre une sensibilité à fleur de peau qui nous entraine dans la bienveillance et l’empathie.
Sa lecture nous rend la vie plus acceptable…