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politique - Page 70

  • Article dans Sud Ouest

    Sud Ouest 12 février 2011.jpg

  • Réunion de l’ADMD à Châteauroux. Et belle Saint Valentin aux amoureux !

    Pas de Saint-Valentin avec mon bel amoureux ce soir car je serai à Châteauroux. Qu’il me pardonne ! Il a de la patience car mes combats prennent trop souvent le pas sur ma vie personnelle… Sur nos vies !
    Justement, ce soir, j’animerai une réunion publique de l’ADMD à Châteauroux à 17h00 – salle Roger Dion – 15, rue de la République. Cette réunion sera suivie d’une dédicace des Voleurs de liberté vers 19h00.

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  • 17 mai 2011 : mon nouveau livre: Homopoliticus (CP de l'éditeur)

    Homopoliticus

    Comme ils disent…

    "Politique et homosexualité, de 1960 à nos jours"

    par Jean-Luc Romero

     

    parution le 17 mai 2011 — journée mondiale contre l’homophobie

     

    Spectateur engagé durant les longs débats qui mèneront à l’adoption du PaCS, acteur omniprésent dans la préparation de la loi pénalisant les propos homophobes, Jean-Luc Romero raconte, dans Homopoliticus, l’histoire complexe des relations entre les responsables politiques et la question de l’homosexualité et cela depuis le début des années 60, où elle a fait son apparition dans la vie politique nationale.

    De la pénalisation de l’homosexualité jusqu’en 1982 à la pénalisation des propos homophobes en 2004, sans oublier le vote ô combien symbolique du PaCS, qui permet enfin au couple homosexuel d’être reconnu par notre droit, bien du chemin a été parcouru. Jean-Luc Romero montre dans ce livre pourquoi les responsables politiques demeurent si frileux sur les questions sexuelles alors qu’elles font désormais partie du débat public au même titre que les autres grandes questions de société.

     

    Homosexuel, 1er et seul homme politique à avoir révélé sa séropositivité en France, l’auteur a parcouru le long chemin de l’acceptation de cette génération qui a vécu, enfant, mai 68 mais qui a dû, comme tant d’autres, cacher longtemps son homosexualité avant d’être dénoncé par un journal alors qu’il s’apprête à révéler son identité dans un grand quotidien du soir. Cette histoire qui ne peut qu’être subjective - l’auteur l’assume -, n’en est pas moins une narration précise et argumentée faite au coeur du système. Jean-Luc Romero a pu observer et parfois vivre l’homophobie de responsables politiques qui, avec l’évolution de la société mais aussi de leur intérêt politique, se sont transformés, pour beaucoup, en de véritables homophiles… Du moins en apparence ! Au fil de la narration de cette relation entre l’homosexualité et la politique, on comprend pourquoi celui qui fut un gaulliste pendant 30 ans a fini par franchir le Rubicon de la politique et quitter une droite qui continue, malgré quelques progrès, à se montrer en retrait et même parfois homophobe.

     

    Fait important : dans cet ouvrage, Jean Luc Romero donne la parole à chaque parti politique à un an de la présidentielle, sur les grandes questions liées à l'homosexualité, de la lutte contre l’homophobie à l'adoption, au mariage... FN, PS, UMP, PC tous les partis dévoilent leur programme ou leur position.

    www.homopoliticus.fr

     

    Ancien secrétaire national de l’UMP, Jean-Luc Romero est conseiller régional d’Ile-de-France apparenté au Parti Socialiste, président d’Elus Locaux Contre le Sida, de l’Association pour le Droit de mourir dans la dignité [ADMD-France], du CRIPS Ile-de-France et membre du Conseil national du sida. Il est l’auteur de plusieurs livres dont On m’a volé ma vérité (Le Seuil- 2001), Virus de vie (Florent Massot – 2002), Les voleurs de liberté "véritable plaidoyer en faveur de l'euthanasie" (Editions Florent Massot – 2009). Il est chevalier de la légion d’honneur.

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  • Je vous présente "Homopoliticus", mon prochain livre....

  • A Angoulême contre le sida !

    Après ma réunion d’hier soir pour l’ADMD, j’animerai une réunion de travail sur le sida à l’hôtel de ville d’Angoulême – salle Hugo Pratt – ce samedi à 9h00.
    Il y avait longtemps que je n’avais plus fait de réunion ELCS en Charente alors que c’est dans ce département que j’ai animé l’une des premières réunions d’ELCS après sa création en 1995…

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  • Appel pour que les élus ne financent pas l’année du Mexique en France !

    Une fois de plus, la justice mexicaine a montré qu’elle était sourde et aveugle en confirmant la condamnation de Florence Cassez, dont tout le dossier démontre l’innocence, à 60 ans de prison. Puisque ce pays n’entend rien, il paraît aujourd’hui inimaginable de fêter le Mexique dans notre pays - même si cela ne s’adresse pas au peuple qui mérite le respect et que je plains de vivre actuellement avec une telle justice et dans un pays si peu attentif aux droits humains.
    J’appelle le gouvernement et les élus municipaux, départementaux et régionaux à ne financer aucune manifestation de l’année du Mexique en France. Il faut montrer au gouvernement mexicain notre désapprobation face à ce déni de justice mais aussi au non respect des conventions internationales qui aurait dû permettre depuis bien longtemps à Florence d’exécuter sa peine en France. Trop, c’est trop !

  • Réunion ADMD à Angoulême à 18h00

    A l’invitation de Jean-Michel Nivet, délégué de la Charente, j’animerai une réunion publique de l’ADMD ce vendredi 11 février à 18h00 à la Cité internationale de la bande dessinée. Je reviendrai avec plaisir à Angoulême que j’ai bien connue quand j’étais l’assistant parlementaire du député et président du Conseil général, Pierre-Rémy Houssin.
    A la fin de la réunion, je dédicacerai « Les Voleurs de liberté » vers 19h30. Pour info, un nouveau tirage du livre a été faite par l'éditeur: le quatrième...

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  • Le rejet du pourvoi de Florence Cassez : l’horreur et l’injustice !

    Le rejet du pourvoi de Florence Cassez est une véritable horreur pour Florence et ses parents.
    Une injustice totale. Cette décision est incompréhensible par rapport à tout ce qui s’est passé depuis le dernier recours en appel. La justice mexicaine n’a rien vu, rien entendu, rien lu….
    C’est une décision politique.
    Il faut que le gouvernement de suspendre immédiatement l’année du Mexique en France.

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  • Le droit de réponse de l'ADMD au Parisien

    Droit de réponse - Le Parisien.jpgA Madame Marie-Odile Amaury

    Directrice de la Publication

    Le Parisien

    25, avenue Michelet

    93408 Saint-Ouen cedex

    Madame,

    Je vous remercie de bien vouloir publier le droit de réponse ci-dessous, à la suite de l’article publié en page 12 de l’édition du mercredi 9 février de votre journal.

    Sous le titre « Les pro-euthanasie bienvenus à l’hôpital Georges-Pompidou », vous publiez un article qui travestit la réalité.

    Par un arrêté du 11 août 2006, l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité a été agréée pour représenter les usagers de santé dans les instances hospitalières ou de santé publique. Parmi d’autres associations. Dans ce cadre, elle a signé une convention avec les autorités de l’Hôpital Européen Georges-Pompidou. Ce n’est donc pas « la première fois » que l’association entre en contact avec des usagers de santé. Partout en France, des représentants des usagers de santé, issus des rangs de l’ADMD, siègent dans les conseils d’administration d’hôpitaux, dans les conseils de surveillance, dans les commissions de relation avec les usagers et de la qualité de la prise en charge et tiennent des permanences dans les maisons des usagers.

    A ce titre, jamais aucun des représentants issus des rangs de notre association, qui représentent alors l’ensemble des usagers de santé, n’a fait l’objet de remarque ou d’avertissement de la part des responsables sanitaires.

    Par ailleurs, l’ADMD est le seul organisme (ni l’Etat, ni les associations qu’il subventionne à hauteur de 1 350 000 euros par an ne le font) à diffuser une brochure d’information sur les droits de la personne malade, à diffuser un formulaire de directives anticipées et à gérer un fichier national des directives anticipées, ouvert aux adhérents de l’ADMD comme aux non-adhérents.

    Dans votre article, vous donnez la parole à une malade, par ailleurs médecin, membre du collectif « Plus digne la vie » comme le Pr. Emmanuel Hirsch, le Dr. Bernard Devallois, le Pr. Louis Puybasset, le Dr. Anne Richard, auteur d’un livre préfacé par le Pr. Emmanuel Hirsch et d’articles publiés dans la revue Vie Chrétienne. Nous nous interrogeons sur la spontanéité de sa réaction, deux semaines après le vote favorable en commission des affaires sociales du Sénat d’une proposition de loi relative à l’assistance médicalisée à mourir.

    De plus, votre journaliste m’a interrogé mais a repris un morceau de phrase qui, sorti de son contexte, dénature totalement ma pensée ; ceci est d’autant plus dommageable que cette citation tronquée a été reprise par de nombreux médias sans la confirmer auprès de moi.

    Les 48 000 adhérents de l’ADMD rappellent que l’ADMD milite pour une modification de la loi actuelle, soutenue par 94% des Français (Ifop – octobre 2010), et n’agit auprès des personnes en fin de vie que dans le strict cadre de la loi actuelle.

    Par ailleurs, le 25 janvier dernier, le Sénat a «  retoqué », par 172 voix contre 143, soit une différence de 15 sénateurs pour obtenir une majorité, la seule proposition de loi qui ait été débattue dans cette enceinte et non la « énième ».

    Cordialement,

    Jean-Luc Romero

  • Florence Cassez : l’heure de vérité !

    Aujourd’hui, c’est l’heure de vérité pour Florence Cassez, ses parents et celles et ceux qui la soutiennent. Après plus de cinq ans d’emprisonnement, la justice mexicaine examine enfin l’ultime recours de Florence, l’Amparo.
    Evidemment, il convient d’être prudent tant nous avons tous été échaudés par les décisions successives qui ont condamné Florence à 96 ans puis, en appel, 60 ans de prison. Triste coïncidence, ce jeudi, la grand-mère de Florence est enterrée. Flo n’aura pu la revoir. Rien ne lui aura été épargné ces jours-ci, ni à ses parents.
    Espérons que la justice mexicaine jugera en toute indépendance. Si tel était le cas, Florence devrait vite quitter sa prison : tout son dossier démontre son innocence !

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  • A lire dans le Parisien: Comment les anti-euthanasies manipulent !

    Articleadmd Aujourd hui en france 09 02 2011 p1[1].JPG

  • Cesser de remettre en cause le droit au séjour pour raisons médicales

    La France peut s’honorer de refuser d’expulser des personnes étrangères qui ont une maladie qui ne peut être soignée dans leurs pays. Une telle expulsion équivaut, en effet, à une quasi peine de mort.
    Malheureusement, depuis plusieurs années, des députés UMP se sont fait une spécialité de durcir les conditions d’accès à l’aide médicale d’Etat au prétexte que des étrangers viendraient en France simplement pour se faire soigner.
    Pourtant, toutes les études faites à ce jour ont démontré qu’une immigration thérapeutique n’existait pas dans notre pays. Ce n’est qu’un fantasme brandi par celles et ceux qui veulent toujours durcir nos conditions d’immigration. Le gouvernement doit enfin comprendre que remettre en cause le droit au séjour pour raisons médicales serait inhumain mais aurait aussi des conséquences en terme de santé publique pour… tous les Français !

  • Rupture d’antirétroviraux : ça s’aggrave !

    Le TRT-5, qui réunit plusieurs associations de lutte contre le sida, a constaté des ruptures d’approvisionnement régulres d’antirétroviraux dans les pharmacies de ville.
    Depuis 6 mois, j’ai personnellement pu vérifier les affirmations du TRT-5. En effet, depuis août 2010, j’ai le plus grand mal à obtenir dans les temps le Norvir mais aussi le Truvada, deux médicaments contre le sida. Cela m’oblige, avec l’accord de ma pharmacienne, à commander très en amont mes médicaments pour être sûr de ne pas en manquer. On sait à quel point l’observance est importante pour les personnes séropositives. Ces ruptures d’approvisionnement sont donc très préjudiciables pour la santé des sidéens. On sait qu’arrêter un médicament peut vite entrainer des résistances. Et quand on a des traitements depuis plus de 20 ans - ce qui est mon cas depuis 1987 -, il y a déjà tellement de médicaments auquel on est devenu résistants qu’on ne peut pas jouer avec le feu…

  • Soirée de soutien au Fonds Solidarité Sida Afrique

    J’assisterai à la 3ème soirée de soutien au Fonds Solidarité Sida Afrique qui se déroule ce soir au Cirque d’hiver.
    La région Ile-de-France, que préside Jean-Paul Huchon, est un des bailleurs de fonds. Il est important que notre région qui concentre la moitié des cas de sida du pays soit solidaire avec l’Afrique qui, elle, est particulièrement touchée par cette pandémie qui tue toujours 2 millions de personnes par an.

  • Débat sur France 3 Ile-de-France-Centre dans « Elysée Wermus » à 11h25

    Nouveau débat sur l’euthanasie ce dimanche à 11h25 à France 3 Ile-de-France-Centre dans l’émission de Paul Wermus à 11h25.
    Je débattrai avec Bernard Debré, Christine Boutin, Noëlle Chatelet et Régine Salvat.

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  • Week-end à Rome

    Jamais week-end n’aura aussi bien tombé après une rentrée fracassante sur les sujets de société que je porte depuis tant d’années. Euthanasie, égalité homo-hétéro auront été, malgré une actualité très importante en Tunisie et en Egypte, deux sujets forts du mois de janvier. Comme un avant goût de la période électorale 2012 où ces sujets ne pourront plus être évités par les candidats.
    En attendant, je retourne à Rome pour la seconde fois. L’occasion de flâner dans une ville que je connais peu et de passer un peu de bon temps…

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  • Débat avec Bernard Debré dans Café Picouly sur France 5

    Je débattrai avec Bernard Debré dans la rubrique « Polémic Mac » de l’émission littéraire « Café Picouly » sur France 5 ce vendredi 4 février à partir de 21h35.
    Ce débat, animé par Daniel Picouly dans un bistrot du XIème arrondissement de Paris, me permettra de revenir sur le débat avorté sur l’euthanasie qui s’est déroulé la semaine dernière au Sénat. Daniel Picouly présentera aussi mon dernier ouvrage « Les voleurs de liberté. »

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  • Dépêche sur l'inquiétude concernant les médicaments sous sourveillance

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  • Article dans La Montagne

    La Montagne janvier 2011.jpg

  • Médicaments surveillés : et nous patients, comment réagir ?

    Après le scandale du Médiator, la volonté de transparence de Xavier Bertrand est particulièrement louable. Les patients doivent savoir si les médicaments qui leur sont prescrits ont des effets secondaires disproportionnés par rapport au bénéfice thérapeutique qu’ils leurs apportent.
    Mais rendre public 77 médicaments sans qu’aucune information n’ait été donnée préalablement aux pharmaciens ou aux médecins, cela fragilise particulièrement des patients légitimement inquiets.
    Dans cette liste, j’ai deux médicaments que je prends quotidiennement dont l’un, l’Actos, qui est prescrit pour mon diabète, fait partie de ceux qui devraient être retirés rapidement selon des informations distillées dans la presse mais non confirmées par les pouvoirs publics.
    Le hic, c’est que lorsque vous demandez à votre médecin ou à votre pharmacien, comme je l’ai fait hier, ils ne savent pas quoi vous répondre… Ils vous conseillent de poursuivre les traitements – cela fait plus de 7 ans que je prends de l’Actos à forte dose – en attendant d’en savoir plus. Et comme, je n’ai pas réussi à avoir de rendez-vous avec ma diabétologue avant fin mars, vous imaginez ma perplexité !!!
    Il devient donc urgent que le directeur général de la santé écrive aux médecins et aux pharmaciens et leur dise clairement ses intentions concernant les 77 médicaments listés.
    Il s’agit de dire lesquels seront définitivement retirés d’abord et ensuite quelles conduites à tenir vis-à-vis de patients aujourd’hui légitimement inquiets et incontestablement doublement fragilisés : par leur maladie et par l’incertitude liée aux effets secondaires des traitements qu’ils prennent.
    Ils doivent, en effet, avoir toutes les informations nécessaires pour décider si le bénéfice thérapeutique de ces médicaments est suffisamment important pour en accepter des effets secondaires.