Une véritable erreur de santé publique !
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Un mois après le coup d’État au Niger, la situation est toujours inquiétante et les atteintes à la liberté de la presse perdurent. RSF inter en lien avec des professionnels africains de l’information publient un appel.
Soutenons les !
Belle journée avec l’ami Yannick Kusy et le roi de Tiktok en Thailande Beer Khamkaew ! Toujours une joie de les voir !
Alors que son peuple se bat avec tant de courage pour sa liberté, c'est aujourd'hui l'anniversaire de l'indépendance de l'#Ukraine. Paris et sa maire Anne Hidalgo célébreront ce jour aux côtés de l'ambassadeur Omelchenko Vadym en solidarité des Ukrainiennes et Ukrainiens.
Je n’avais pas lu le livre Les fossoyeurs de Victor Castanet à sa sortie. Juste des extraits qui m’avaient alors révolté. Comme beaucoup de gens de mon âge, j’ai bien sur des proches en EHPAD. C’est dire si ce livre me concernait et m’a intéressé. Mais surtout glacé.
Le pire, c’est que je l’ai lu, non comme un document accablant qu’il est, notamment pour ORPEA, mais plutôt comme un roman noir passionnant et captivant. Je n’arrivais pas à interrompre ma lecture et j’ai lu ces 390 pages d’un trait en deux jours… Ce que décrit le journaliste est tellement inimaginable qu’on a l’impression de lire une fiction à l’intrigue passionnante, mais inimaginable dans la réalité.
C’est glaçant de constater comment certains propriétaires d’EHPAD et de cliniques ont oublié leur mission, celle de s’occuper de leurs seniors et de leurs malades. De permettre notamment à celles et ceux qui sont au bout de leur parcours de vie, de le vivre sereinement.
Les mécanismes diaboliques que certains organismes, notamment ORPEA, ont mis en œuvre pour faire des profits considérables sont inimaginables. Inconcevables même. L’or gris est une vraie réalité.
Je vous conseille ce livre car le travail de Victor Castanet est impressionnant et a été utile. Ce livre a obligé les pouvoirs publics à réagir et ces sociétés à tenter de se moraliser…
Mais celles et ceux qui, comme moi, ont des proches en EHPAD, savent que la marge de progression reste toujours immense.
A la fin de notre vie, nous avons le droit d’être traités comme des citoyennes ou des citoyens a part entière…