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sida - Page 36

  • Mon 4ème vœu politique pour 2014 : l’accès universel aux traitements pour les séropositifs dans le monde

    Aujourd’hui, plus de 34 millions de personnes vivent avec le VIH/sida dans le monde dont 160 000 en France. 1,8 millions de personnes en meurent encore tous les ans soit près de 5000 personnes par jour.
    Qui s’en soucie encore aujourd’hui ?
    Pourtant, on sait qu’avec l’accès universel à la prévention, au dépistage et aux traitements, le sida pourrait disparaître dans les 30 ans qui viennent.
    Une merveilleuse nouvelle ternie par le fait qu’on ne donne pas de médicaments à près de 10 millions de personnes qu’on laisse donc mourir dans une indifférence glacée.
    Pour 2014, j’émets le vœu d’une prise de conscience mondiale. Permettre l’accès universel aux traitements, c’est assurer la fin de sida. N’est-ce pas un beau vœu/défi pour 2014 ? Et en plus,  il est réalisable…

  • Ma carte de voeux "militante" pour 2014

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  • Mon 3ème vœu politique pour 2014 : Autoriser enfin les soins de conservation aux personnes mortes du Vih/sida !

    Mon 3ème vœu politique pour 2014 : Autoriser enfin les soins de conservation aux personnes mortes du Vih/sida !
    Depuis de nombreuses années, avec Elus Locaux Contre le Sida, nous interpellons les autorités sur la discrimination post-mortem qui touchent les personnes vivant avec le VIH-sida. En effet, une réglementation honteuse et obsolète interdit les soins de conservation aux personnes séropositives, obligeant souvent à mettre un séropositif décédé dans son cercueil sans qu’aucun proche n’ait pu lui rendre un ultime hommage.
    Rien ne justifie une telle discrimination. D’ailleurs, la France est bien isolée dans cette interdiction que les raisons de santé publique ne peuvent justifier !
    Depuis quelques années, Act Up a fait aussi de ce combat un de ses combats importants et désormais toutes les associations de lutte contre le sida sont unies et déterminées pour que cette interdiction soit levée.
    Même la ministre de la santé y semble favorable et pourtant rien n’avance ! Face à ce constat j’ai lancé, en décembre dernier, une pétition sur change.org. Vous êtes déjà plus de 56 000 à l’avoir signé !
    Je ne peux donc que vous engager à m’aider à relayer massivement cette pétition que vous pouvez retrouver (ici).
    Vous l’avez donc bien compris : mon 3ème vœu pour 2014 est que cette interdiction moyenâgeuse soit enfin levée ! Aidez-moi pour cela …Vraiment !

  • Communiqué de presse du 26 décembre 2012

    Communiqué de presse du 26 décembre 2012
    Rajouter de la souffrance à la souffrance :
    Omar Sy, Laetitia Halliday, Nikos Aliagas … et plus de 53.000 personnes disent non !


    Aujourd’hui, en France, il est interdit d’effectuer des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Que la famille et les proches d’une personne séropositive décédée ne pourront pas lui rendre un dernier hommage.
    Plus de 5 ans que Jean-Luc Romero, président d’Elus Locaux Contre le Sida se bat pour que les personnes séropositives aient droit au même respect que pour toute personne défunte.
    Plus de 5 ans que le président d’ELCS rappelle que cette interdiction est tout autant intolérable qu’injustifiée.
    -          Intolérable au regard de la souffrance qu’elle engendre du fait de ne pouvoir rendre un dernier hommage au défunt : rajouter de la souffrance dans une période profondément et intimement douloureuse est inhumain !
    -          Injustifiée car, au-delà de consacrer une conception dangereuse du VIH/sida comme maladie honteuse, elle crée un sentiment de fausse sécurité pour les thanatopracteurs : plus de 30.000 personnes ignorent leur séropositivité en France. Alors que l’interdiction crée une sécurité illusoire, c’est bel et bien l’amélioration des conditions de travail des thanatopracteurs et la réglementation de cette profession qui doivent être privilégiés comme solution.
    Tous les acteurs de santé se sont positionnées publiquement pour la levée de l’interdiction : le Conseil national du Sida le 19 mars 2009 et le 12 janvier 2013, le Haut Conseil de la santé publique en décembre 2012, la Direction générale de la Santé le 11 janvier 2012 …
    La levée de l’interdiction est également réclamée par bon nombre de personnalités politique et du monde du spectacle : Omar Sy, Laetitia Halliday, Nikos Aliagas, Anne Hidalgo ... Ce sont aussi plus de 53.000 personnes qui ont signé la pétition demandant l’égal respect dû aux morts (pétition sur le site change.org).
    Alors, Jean-Luc Romero le demande : « mesdames et messieurs les décideurs, qu’attendez vous enfin pour agir ? Pourquoi maintenez-vous une réglementation qui vise à rajouter de la souffrance à la souffrance ? »

  • Papa Noël, tu as oublié mon cadeau … (Tribune dans l'Obs.com)

    Vous trouvez le titre bien racoleur ? C’est le cas. Et c’est même assumé. Mais si ce titre est bien destiné à vous accrocher, ce n’est pas pour vous faire lire l’énième actualité si essentielle liée au buzz du jour ou vous faire larmoyer sur un chaton trop mignon, mais pour vous entretenir d’une réalité. Une réalité aussi injuste qu’injustifiée : aujourd’hui, en France, plus de 30 ans après le début de l’épidémie, il est interdit d’effectuer des soins de conservation pour les personnes décédées séropositives. Cela signifie quoi, très concrètement ? Que la famille et les proches d’une personne séropositive décédée ne pourront pas lui rendre un dernier hommage. Lui murmurer un dernier au-revoir. Lui déposer un dernier baiser sur le front. Vous trouvez cela normal ? Une personne séropositive n’a-t-elle le droit au même respect que toute personne défunte ?
    Plus de 5 ans que je me bats avec d’autres associations comme Sidaction ou Act-Up Paris pour la levée de cette interdiction. 5 ans que je dénonce cette interdiction comme humainement inacceptable et dangereuse sur le plan de la santé publique. Pourquoi ?
    Maintenir cette interdiction est intolérable et inacceptable pour les proches et les familles. Les défunts ont droit au respect. Tous les défunts. Pensez-vous que rajouter de la souffrance au deuil est une manière morale d’agir ? Je ne le crois pas.
    Maintenir cette interdiction constitue également un non-sens en termes de santé. Elle crée une sécurité bien illusoire pour les thanatopracteurs : cocher une case sur un formulaire alors que plus de 30.000 personnes sont séropositives et ne connaissent pas leur statut sérologique. Respect  de la personne défunte et sécurité de thanatopracteurs peuvent aller de pair. Comment ? Il faut Il simplement faire en sorte que les professionnels puissent travailler dans de bonnes conditions, notamment en leur donnant la possibilité d’œuvrer le plus possible en chambres funéraires. Ce n’est pas le cas aujourd’hui et le travail interministériel, maintes fois promis, est bien long à se mettre ne place.
    Lever l’interdiction, voilà la seule solution justifiée et humaine. Cette opinion, ce n’est pas seulement mon opinion mais c’est celle de l’ensemble des associations de lutte contre le sida, celle du Conseil national du Sida, celle du Défenseur des devoirs, celle du Haut Conseil à la santé publique. C’est aussi celle de nombreux politiques et personnalités du monde du spectacle comme entre autres Omar Sy, Nikos Aliagas, Laetitia Hallyday, Anne Hidalgo … et de plus de 53.000 personnes qui ont signé la pétition demandant la levée de l’interdiction sur le site change.org.
    Je ne sais plus quoi faire … alors, Papa Noël, dans ta hotte, ne te restait-il pas un dernier cadeau, un dernier cadeau en forme de respect dû aux défunts ?
    Lire sur le site de l'Obs.com (ici).  

  • « Danse avec ta vie » de Sheila, pour se remémorer nos jeunes années !

    Je viens de finir le beau livre « Danse avec ta vie » que Sheila a eu la gentillesse de m’envoyer avec une affectueuse dédicace. Pour celles et ceux qui ne le savent pas, Sheila est présidente d’honneur d’Elus Locaux Contre le Sida depuis la création de notre association. Elle m’a beaucoup aidé au lancement d’ELCS et ce n’est pas un secret que nous sommes aussi amis depuis longtemps.
    J’ai lu son dernier livre avec plaisir et souvent nostalgie.
    En racontant à travers différentes danses sa carrière mais aussi sa vie de femme, Sheila narre aussi un peu de notre histoire collective durant ces 50 dernières années.
    En parlant d’elle, elle parle de nous.
    Ce livre est un beau voyage des années yéyé aux années disco sans oublier les « années variété » qui ne se démodent jamais…
    Un livre à lire et à… offrir en cette période de fête !

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  • 49 000 signataires pour l’accès aux soins de conservation des morts du sida

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    En moins de 10 jours, plus de 49 000 citoyens se sont mobilisés sur le site change.org pour que les soins de conservation soient enfin autorisés aux personnes décédées porteuses du VIH/sida.
    Cette interdiction méconnue du grand public est infondée scientifiquement comme l’ont reconnu le Conseil national du sida et le Haut conseil de la santé publique. Les trois ministres de la santé qui se sont succédés depuis que j’ai posé ce problème et fais des recours ont tous reconnu que cette interdiction était discriminatoire. Pourtant, rien n’avance !
    Outre la mobilisation des associations de lutte contre le sida, il est donc important que le mouvement s’amplifie sur Internet. Déjà, à côté des citoyens, des personnalités se mobilisent comme la chanteuse Juliette, Brigitte Lahaie, Laurence Rossignol, Rémi Féraud ou encore Anne Hidalgo.
    Je compte donc sur vous pour signer cette pétition (ici) et surtout la diffuser sur vos blogs et les réseaux sociaux. Plus nous serons nombreux, plus nous serons entendus : je compte vraiment sur vous !

     

  • Article dans La Voix du Nord sur Béthune, ville engagée contre le sida

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  • Mon discours d'ouverture à la 89ème rencontre du Crips

    Intervention de Jean-Luc Romero
    Président du Crips Ile-de-France
    9 décembre 2013 –Paris

     

     

    Mesdames, Messieurs, Chers amis,
    Plus de 30 ans que le virus du sida a été découvert. Plus de 30 ans que les acteurs de la lutte contre le VIH/sida se battent pour la vie, l’égalité et la dignité. Avec courage, engagement et ferveur militante.
    30 ans après, quel constat peut-on dresser ? Simplement que les grandes avancées scientifiques n’ont pas été suivies d’avancées sociétales à la hauteur de celles-ci. Que, grâce aux traitements, l’on peut vivre avec le VIH même si le sida reste une maladie obstinément mortelle. Il m’est impossible ici de ne pas évoquer Bernard Sellier, un grand militant de ce combat, emporté comme tant d’autres de nos proches par le virus. Grégory Bec aura sans doute à cœur de vous dire que oui, on meurt encore du sida en France, et souvent dans une indifférence glacée, les moyens des associations comme les Petits Bonheurs étant bien trop limités. Que voulez-vous, le militantisme ne permet pas aux journées de dépasser les 24 heures !
    Alors oui, les multithérapies peuvent faire beaucoup mais elles ne peuvent être une solution à tout. Loin de là. On peut vivre avec le virus mais de quelle vie parlons-nous ? Nul ici ne peut le contester : le sida est une maladie sociale qui discrimine, isole et précarise. Voilà les conséquences du VIH/sida : la discrimination, l’isolement, la précarité !
    Les chiffres des différentes enquêtes sont très clairs : je ne vais pas commenter les chiffres de l’enquête Vespa2, on va vous les détailler dans quelques instants, mais je veux juste vous livrer deux données très parlantes sur la précarité des personnes vivant avec le VIH/sida. 31,5 % ne parviennent pas à faire face à leurs besoins sans s’endetter et une personne séropositive sur cinq rencontre des difficultés à se nourrir au quotidien par manque d’argent. Une personne sur cinq !

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    Pourquoi est-il si essentiel de travailler sur la précarité, thème de cette 89e rencontre ? Tout simplement parce que la précarité augmente les effets de la maladie, l’environnement et les conditions de vie étant bien évidemment une composante essentielle quant à l’adhésion aux traitements. Si je schématise sans caricaturer : comment penser à ses traitements quand on doit d’abord penser à trouver ou garder son logement, ou penser à manger ? Ce sentiment d’urgence qui habite les personnes touchées par le VIH/sida, ce sentiment de vivre au jour le jour n’a, en aucun cas, un goût de romantisme mais bel et bien celui, bien plus amer, de l’anxiété et de la peur.
    Cette précarité qui touche les personnes séropositives prend bien sûr plusieurs formes et elle a trait au revenu, à l’emploi, à l’accès aux soins au logement, à la vie sociale, à la vie affective. Autant de thématiques que les intervenants à cette rencontre vont développer, forts de leur expérience de terrain, au plus près des réalités humaines, des peurs des personnes, leurs difficultés, leurs espoirs.
    Avant de leur laisser la parole, permettez-moi de dépasser quelque peu mon statut de président du Crips. Lutter contre la précarité des personnes touchées par le VIH/sida nécessite un engagement fort et clair du politique, sur le logement, l’accès aux soins, la facilitation des démarches administratives, la prise en charge des personnes - comme le dit le rapport Morlat - en situation de précarité légale ou administrative. Mais aussi sur le 100%, si régulièrement attaqué et grignoté de toute part.
    Une vraie réflexion sur la place du malade dans notre société doit se faire jour. Je le dis sans ambages : la précarité des personnes touchées par le VIH/sida constitue une insulte à notre République, à cette République qui proclame fièrement au fronton des mairies cette tryptique : Liberté, Egalité, Fraternité. Faisons en sorte que les séropositifs puissent lire ces mots, sans se sentir en dehors et exclu de cette République.
    Je vous remercie et vos souhaite des débats constructifs et engagés.

     

  • Cocktail de clôture de l’opération Flash Test en Ile-de-France

    Ce soir, à 19h00, j’interviendrai au cocktail de clôture de l’opération « Flash Test » qui s’est tenue avec la coopération de l’ARS, des cinq Corevih parisiens, du Sidaction et du CRIPS Ile-de-France que je préside.
    Cette opération a constitué la plus importante opération de dépistage rapide auprès des publics les plus exposés…

     

  • Signez l’appel pour l’ouverture des soins de conservation aux personnes décédées du sida : déjà 40 000 signataires !

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    Aujourd'hui encore, les soins funéraires sont refusés aux personnes séropositives au VIH/Sida ou à une hépatite virale.
    Ne pouvant rendre un dernier hommage à leurs proches décédés, des familles ne peuvent faire leur deuil comme les autres, ajoutant à la peine de perdre un être cher, le traumatisme de ne pouvoir préserver le corps de ceux-ci.
    En 2013, ce n’est pas acceptable et pourtant rien n’avance  sur cette question.
    Avec ELCS, j’ai lancé cette semaine une pétition sur change.org et je compte sur vous pour la, signer et la faire connaître notamment sur les réseaux sociaux !
    Déjà, sans aune médiatisation, plus de 40 000 internautes l’ont signé en quatre jours...
    Signez l’appel : (ici)

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  • Dans la Voix du Nord...

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  • Interview aux EG d'ELCS de JOL Presse

  • Rendez-vous avec le Dr Mamadou Diallo d'ONUSIDA

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    En fin d'après-midi, j'aurai une réunion de travail avec le docteur Mamadou Diallo, directeur régional de l'Onusida pour l'Afrique de l'Ouest et centrale.
    Ce sera l 'occasion de nouer des nouveaux partenariats avec le CRIPS et ELCS et Onusida.

  • Montpellier, ville engagée contre le sida !

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    En fin de journée, je participerai à la mobilisation contre le sida de la mairie de Montpellier. A 18h30, je remettrai le label « ville engagée contre le sida » d’Elus Locaux Contre le Sida à la maire de Montpelier.
    Montpellier deviendra ainsi que la 5ème ville à obtenir ce label.

     

  • Invité du JT de TV5Monde à 19h00

    A l'occasion de la journée mondiale contre le sida, je serai l'un des invités du JT de TV5Monde à 19h00.

  • A Puteaux contre le sida

    Après avoir passé un long moment au village associatif à République, je rejoindrai Puteaux dans l'après-midi. Comme tous les ans, je participerai aux activités de cette ville qui a obtenu le label "ville engagée contre le sida" d'Elus Locaux Contre le Sida.

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  • 21 associations contre le sida à République !

    A l’occasion de la journée mondiale contre le sida, 21 associations ont répondu à l’appel du Crips que je préside. Un village associatif sera donc ouvert ce dimanche 1er décembre, de 10 à 17h00, sur la belle place de a République afin que les Parisiens puissent rencontrer les associations qui luttent au quotidien contre le sida.
    N’hésitez pas à passer durant la journée !

     

  • Message du Président de la République aux Etats Généraux d'ELCS


    Message à l'occasion des XVIIIe États Généraux... par elysee

  • « Sida, la guerre de trente ans » sur France 3 à 23h15

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    A deux jours de la journée mondiale contre le sida, France 3 diffuse ce soir le magnifique documentaire de Frédéric Biamonti « Sida, la guerre de 30 ans. »
    Ce documentaire, dans lequel j’interviens, raconte les 30 années qui se sont écoulées depuis l’arrivée du VIH. Il dresse la liste des drames que ce virus a causé mais aussi les espoirs d’aujourd’hui. Il montre aussi la lutte qu’ont dû mener les homosexuels pour obtenir l’égalité des droits car ce virus a pointé les discriminations dont ils étaient les premières victimes.