jean luc romero - Page 42
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Hier, j’ai visité l’impressionnante exposition du Musée de la Croix Rouge et du Croissant Rouge à Genève sur les campagnes de prévention sida/vih dans le monde depuis le début de la pandémie.
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Retrouvez-moi ce samedi pour une réunion publique ADMD à Avignon à 10H
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Mon itw dans La Provence sur la fin de vie
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Le film « Ma vie avec Liberace », une belle histoire d’amour interdit...
Adoré par un public âgé et très conventionnel, Liberace, originaire du Wisconcin, est né en 1919. Ce pianiste star de Las Vegas fut très connu et très médiatique dans les années 50 à 70.
Son univers scénique et personnel très kitsch - il meublait son univers de candélabres - ne l’empêcha pas d’être, à son époque, l’un des artistes les mieux payés au monde, même s’il ne fut réellement célèbre qu’aux USA.
Pourtant, cet artiste efféminé a toujours lutté contre les rumeurs concernant son homosexualité par peur de perdre son public de mamies qui l’adulait.
Sorti en 2013, le film de Steven Soderbergh se concentre justement sur la relation amoureuse qui durera cinq ans entre Liberace - interprété par Michael Douglas - et Scott, joué par un magistral Matt Damon. Un Damon au sommet de sa beauté et de sa jeunesse...
Une relation forte qui mènera Scott à accepter une opération esthétique à la demande de Liberace et pour lui ... ressembler !!! Le poussant aussi à prendre de dangereux médicaments pour maigrir mais qui, en fait, vont le rendre totalement dépendants aux drogues.
La relation entre les deux hommes finit par dégénérer et le film montre la fin sordide de cette relation qui fut certainement la plus forte que connut cet artiste excentrique et talentueux.
Avant de mourir du sida en 1987 - tiens une année qui me rappelle aussi malheureusement quelque chose ! -, Liberace veut revoir Scott pour lui confesser qu’il fut son grand amour. Cette scène est d’ailleurs la plus émouvante et forte du film. La mort ne se pare pas d’inutiles artifices.
Mort, son équipe tenta, comme elle le fit, à tant d’autres occasions pour son homosexualité, de cacher le sida de Liberace. Les autorités ne l’entendirent pas de cette manière et une autopsie confirma bien la mort du sida de l’artiste.
Un film toujours d’actualité car, 30 ans plus tard, beaucoup de malades ne peuvent toujours pas dire souffrir du VIH ... qui demeure malheureusement une maladie honteuse. Et encore taboue...
Un film touchant sur la difficulté d’assumer une vie différente et la maladie de l’amour. Mais, surtout un film sur une merveilleuse histoire d’amour... une belle histoire d’amour interdit... -
Les Australiens ont massivement voté pour le mariage pour tous: l'égalité continue sa progression !
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Invité politique de Radio Lac à Genève à 7h40
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13 Novembre 2015 - 13 novembre 2017: nous n'oublions pas - et jamais - les victimes !
13 novembre2015- 13 novembre 2017 : Paris se souvient ! Ne jamais oublier l’horreur !
Les victimes sont toujours présentes dans nos cœurs. Tant de vies fauchées.
Des fils, des filles, des frères et sœurs, des parents, des amis visés, blessés, tués pour avoir été dans la vie. -
1er bureau national de l'ADMD
Alors qu'une nouvelle équipe a été élue lors de l'assemblée générale de l'ADMD qui s'est déroulée en octobre à La Rochelle, le bureau se réunira pour la première fois ce lundi soir.
Il s'agira de mettre en oeuvre le calendrier du programme que nous avons soumis aux adhérents et qu'ils ont largement approuvé en me réélisant ainsi que 7 autres membres de notre équipe avec près de 80% des voix. -
Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope
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Bientôt en librairie, le très beau livre d'ELCS, "Portraits de VI(H)ES"
Ce vendredi 10 novembre, j'étais ému de finir le service de presse du magnifique livre de Elus Locaux Contre le Sida (ELCS) présentant 15 « Portraits de VI(H)ES » de personnes séropositives aux éditions Le Cherche Midi et qui sortira pour le 1er décembre pour la journée mondiale contre le sida.
Je veux affectueusement remercier les 15 personnes qui ont accepté de témoigner pour leur détermination et leur courage. Parler de son virus reste encore si difficile en 2017 ! Et pourtant, nous pourrions être vos fils, vos filles, vos pères, vos mères, vos amants, vos amis...
Nous sommes et devons être fiers de ce que nous sommes. C'est ce que je rappelais aussi dans mon livre "SurVivant - mes 30 ans avec le sida"
Une chose est sûre : Luttons ensemble contre le sida et pas contre les
"Portraits de VI(H)ES", bientôt dans les bonnes librairies ! -
Bravo au TA de Montreuil qui annule l'arrêté homophobe et illégal de Aulnay-sous-Bois
Bravo au Tribunal administratif de Montreuil en Seine-Saint-Denis d’avoir annulé l’arrêté homophobe et illégal de la ville d'Aulnay-Sous-Bois, qui interdisait la campagne de prévention VIH/sida à destination des gays de novembrev2016 initiée par le précédent gouvernement !
Outre le côté discriminatoire de cet arrêté, il est grave pour des élus censés défendre la santé publique de s’opposer à une campagne de prévention contre le VIH/Sida dans une région Ile-de-France qui a 42% des nouvelles infections à VIh du pays !
La pudibonderie, l’homophobie ne riment pas avec la santé publique ! -
Viceroy’s house, l’histoire tragique de la création de l’Inde et du Pakistan
Un long vol pour San Francisco a au moins l’avantage de me permettre de visionner des films récents que, vie militante oblige, je n’ai jamais le temps de voir en cinéma. J’ai donc pu apprécier le bouleversant film historique Viceroy’s house réalisé par Gurinder Chadha !
Le pitch, est-ce besoin de vous le rappeler ? Après 300 ans en Inde, les Anglais annoncent qu’ils vont enfin quitter cette colonie.
Un nouveau vice-roi a été nommé pour assurer le changement.
Arrière-petit-fils de la reine Victoria, Lord Mountbatten, est ce vice-roi - il a déjà libéré la Birmanie.
Après tant d’années de lutte pour abolir le joue anglais, à la veille de cette partition, la haine entre Hindous, Sikhs et musulmans est à son comble ! Le vice-roi a donc la responsabilité immense de décider les conditions de la partition entre Inde et Pakistan.
Ce film retrace magistralement la complexité de cette indépendance avec un vice-roi humain et compréhensif magistralement interprété. Face aux meurtrières luttes communautaires, et pas informé que Churchill a en fait prévu de longue date la partition, Lord Mountbatten accélère le processus et malgré la désapprobation du sage Ghandi.
Au delà de la fidèle fresque historique, ce film narre aussi une émouvante histoire d’amour entre une musulmane et un hindou. Une histoire impossible qui rend ce film attachant et déchirant.
14 millions de personnes furent déplacées. Un million de personnes tuées.
Au final, un film sur la naissance de deux États sur fond d’immenses drames humains. -
Extrait du débat sur Public Sénat sur la fin de vie
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Mobilisation des associations pro euthanasie au Parlement Européen à Bruxelles
Ce mercredi, accompagné de Jacqueline Jencquel, j'interviendrai dans les locaux du Parlement Européen à Bruxelles à un débat organisé par l'ADMD espagnole et qui réunira la plupart des responsables européennes engagés en faveur de l'euthanasie.
Il s'agira à cette occasion de mobiliser les députés européens sur l'Ultime Liberté. -
Total soutien à Marco Cappato, poursuivi pour un geste d’amour !
Tutto il mio sostegno per Marco Cappato perseguito domani a Milano per avere accompagnato #DjFabo nel suo suicidio assistito in Svizzera.
Tout mon soutien à Marco Cappato, ancien député européen italien, poursuivi demain à Milan pour avoir accompagné #DjFabo dans son suicide assisté en Suisse.
All my support to Marco Cappato facing trial tomorrow in Milan for accompanying #DjFabo in his assisted suicide in Switzerland.
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« Souffles coupés » de Nataly Breda, de l’amour fou jusqu’à la mort. Ce livre est une drogue dure !
Les Editions French Pulp ont gentiment envoyé des exemplaires de « Souffles coupés » de Nataly Breda à l’Admd à laquelle 50 centimes par livre seront reversés.
Face à cette délicate et militante attention, j’ai bien sûr immédiatement fait la promo de ce livre dans #LeTalkDuLundi que j’anime sur Périscope. Sans avoir lu le livre...
J’ai ramené un exemplaire chez moi et l’ai laissé traîné dans la pile de ceux que j’ai à lire.
Quelle merveilleuse idée j’ai eu un soir de le sortir de cette pile car j’ai presque lu d’un trait ce merveilleux roman.
Nataly Breda a l’art de vous entraîner dans sa si bouleversante histoire. Elle ne vous lâche pas. Son roman est une drogue. Une drogue dure. On ne peut sans sortir tant qu’on n’est pas arrivé à son épilogue.
Ce livre est celui d’une passion, celle qu’on ne vit qu’une fois dans une vie. La situation des amoureux, atteints chacun de pathologies graves, donne un piment très particulier à ce roman.
Il ne serait pas juste que je vous raconte l’histoire. Je suis juste là pour vous donner l’envie de dévorer ce roman vraiment exceptionnel.
Les militants du droit de mourir dans la dignité y trouveront des merveilleux passages qui confortent la légitimité de notre combat.
Peut-être certains ou certaines seront gênés par les scènes de ce roman. Ils ne devraient pas car notre combat, c’est celui de la vie et le sexe y a une part importante. Ne soyons ni pudibonds ni hypocrites!
Ce livre fort je vous le conseille sans réserve. Un livre pour ne pas oublier qu’il vaut mieux se perdre dans l’amour que d’en manquer !
Belle lecture ... -
Conseil d'arrondissement de Paris 12
Le conseil d'arrondissement du 12ème se réunit ce lundi soir à 19h sous la présidence de la maire Catherine Baratti-Elbaz. Ce conseil est public.
N'hésitez pas à venir pour mieux connaître les dossiers de notre arrondissement. -
Retrouvez-moi pour #LeTalkDuLundi à 12h sur Périscope !
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Mon interview dans La Dépêche du Midi sur la fin de vie
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Reportage sur France Info Tv sur le droit de mourir dans la dignité