Le Pen doit avoir ses signatures et être... battu !
Je n’ai pas besoin de dire à quel point, je suis un adversaire viscéral du Front National et des thèses qu’il défend. Je fus d’ailleurs l’un des rares élus de droite et du centre à défiler le 1er mai 2002 pour dire mon inquiétude de voir Jean-Marie Le Pen au second tour des élections présidentielles. Quel coup dur ce fut !
Inutile non plus de rappeler que je ne veux surtout plus revoir un deuxième tour opposant le FN à un candidat républicain.
Pourtant, je souhaite que le patron du FN soit candidat à la présidentielle, c’est-à-dire qu’il obtienne les 500 parrainages nécessaires pour solliciter les suffrages des Français.