Après des semaines bien chargées et une mission éprouvante en Guyane, place à quelques jours de vacances. Je vais en effet profiter du pont de la Toussaint pour visiter Zagreb, capitale de la Croatie.
C’est un vrai plaisir que de découvrir cette ville que je ne connais pas.
Bon week-end à celles et ceux qui ont la chance de pouvoir en profiter. Et bon courage aux autres.

Personne n’y croyait. Les Bleus allaient à l’échec annoncé. Et bien, les bookmakers anglais en seront pour leur frais…
Face à une magnifique équipe Néo-Zélandaise, face à ces All Blacks mythiques, notre équipe nationale a vaincu. Comme quoi rien n’est jamais perdu d’avance.
Je me réjouis de la victoire française et que ces deux équipes nous aient donné une belle leçon de sport. Et de fair-play.

Après cette dure semaine à suivre le chemin de la libération de Maïa, je vais retrouver un peu de chaleur amicale en assistant à l’unique représentation de mon amie Sheila à l’Olympia. Sachant les moments difficiles que je vivais ces derniers jours, elle m’a appelé le week-end dernier pour me proposer de venir la revoir à l’Olympia.
C’est donc avec un vrai plaisir que j’irai l’applaudir dans cette salle mythique qu’est l’Olympia.
J’irai voir l’amie, la fidèle présidente d’honneur d’Elus Locaux Contre le Sida et ce soir surtout la grande chanteuse populaire qu’elle est depuis plus de 40 ans.

L'Espagne - mon pays d'origine - et Barcelone sont, le temps d'un week-end, loin de leur réputation. Parait-il qu'on y mourrait de chaleur en août. Et bien pour ce week-end, même si les choses s'arrangent depuis hier après-midi, on est loin de la canicule...
Une occasion pour mieux visiter la ville et... faire du shopping.
Retour aux sources donc avec les principales réalisations de "l'architecte vedette de Barcelone", Antoni Gaudi, jusqu'à la fameuse tour Agbar de Jean Nouvel - 10 mois pour la construction, un record!, 31 étages - mais que je trouve bien proche du cornichon de Londres qu'a édifié Norman Foster - 42 étages, 180 mètres, finie en 2004 et revendue en février 2007 pour... 911 millions d'euros .
La tour Agbar est pas mal, mais Nouvel n'aurait-il pas un peu copié le génial Foster ?
Pas de discours, juste quelques photos dont une de moi prise par un ami devant la Sagrada familia.

Les vacances ne sont pas totalement finies pour moi , puisque je pars cet après-midi pour une escapade à Barcelone et donc pour un long week-end !
Un retour dans le pays d’origine de mes parents - mon père est né en Espagne - et dans une ville dont j’adore l’énergie , la modernité et la beauté.
Le passionné de tours que je suis va enfin pouvoir découvrir la Torre Agbar qu’a construite l’architecte français Jean Nouvel pour Aguas de Barcelona. Cette tour de 31 étages , de forme ovoïde , a été construite en 10 mois et livrée en 2005. Appelée le médicament par les Barcelonais , elle les a cependant conquis.
A quand une belle tour à Paris qui concilierait patrimoine et modernité ? En attendant , bon week-end à toutes et tous.

Je décolle en fin de matinée. 15 jours de vacances en Crète à partir de ce samedi.
L’été dernier, j’avais pris quelques jours en Floride entre un congrès à Montréal et le congrès du sida à Toronto. Cette année, comme beaucoup d’entre vous , je prendrai des vacances calmes et je l’espère reposante – j’en ai bien besoin...
C’est en Crète que je residerai la totalité de ces deux semaines d’août. Une île grecque que je ne connais pas, mais dont beaucoup de mes amis m’ont vanté la beauté. Et la cuisine !
Ceci dit, je n’oublierai pas mon ordinateur - ni ce blog, ni myspace - car pour moi partir vacances ne veut pas dire se couper du monde.
Mais au moins, je rentrerai en contact dans un but professionnel, associatif ou politique à mon rythme.
Alors à celles et ceux qui ont comme moi la chance de prendre un peu de repos, je vous souhaite de belles vacances.

Pour achever notre campagne du 1er tour des élections législatives, je vous propose de nous retrouver pour un pique-nique amical ce vendredi soir à 19 heures au métro Porte Dorée.
Le rendez-vous est fixé face au Mac Donald à l'angle de l’avenue Daumesnil et du boulevard Poniatowski. Nous nous rendrons ensemble au bois de Vincennes. Amenez vos paniers et notamment des boissons. J’amènerai aussi des charcuteries pour tout le monde.
A ce soir !

Je n’ai pas pris une journée de repos depuis les vacances de Noël, hormis un court week-end à Londres. Déjà trois mois qu’avec mon équipe, nous allons chaque soir et chaque week-end à la rencontre des habitants du 12ème arrondissement pour les convaincre que ma petite musique différente peut être utile à l’Assemblée Nationale. Il reste encore 3 mois avant l’échéance.
Le bon moment pour faire un court break et prendre quelques jours de repos et me détendre. Je vais donc passer quelques jours à Hammamet pour y faire une thalassothérapie.
Je ne laisse pas pour autant le terrain libre à mes adversaires, car mes équipes seront là pour rencontrer les habitants de notre 12ème et diffuser nos « 10 engagements pour une autre façon d’être député ». Merci à eux !
A très vite.

A l’invitation de Nicolas Vitiello, ancien des Whatfor et surtout merveilleux acteur dans « Love ! Valour ! Compassion », j’ai assisté avec Philippe Lohéac et Frédéric Latour à la pièce de Jules Vallauri, « L’anniversaire » au théâtre Essaïon.
Cette pièce traite avec pudeur et émotion, mais aussi avec beaucoup d’humour, du coming out et de l’homoparentalité.
Nicolas interprète un fils qui retrouve son père (Michel Voletti) vivant avec un jeune garçon, interprété par Franck Delay, ancien chanteur du boys band 2Be3.
Michel, Nicolas et Franck jouent avec émotion et justesse. Une pièce à voir vraiment pour s’amuser, mais aussi et surtout pour comprendre la difficulté de dire sa différence. Surtout pour un père.

Je ne sais pas combien de fois, j'ai lu les Mémoires d'Hadrien, mais cet été, quand le rythme militant s'est un peu ralenti, j'ai eu le besoin irrésistible de relire le chef d'œuvre de la si remarquable, Marguerite Yourcenar.
Ce livre me désintoxique, à chaque lecture, de la vie à cent à l'heure que je vis, que nous vivons dans nos sociétés modernes.
On n'a plus le temps de se poser, de se questionner sur l'essentiel, sur le but de nos vies.
Ce roman historique se veut être les mémoires - très documentées - d'un grand empereur qui perdant, peu à peu, ses dernières forces se penche sans concessions sur ce qu'a été son œuvre, sur son héritage politique et plus globalement sur le sens de sa vie et celui de sa mort qu'il veut apprivoiser mais qu'il laissera venir pour ne pas déroger à son devoir de chef d'Etat.
Ces mémoires d'un des empereurs romains les plus humanistes - il n'hésitait pourtant pas à éliminer physiquement ses adversaires ! - sont une leçon.
Une leçon de réflexion, une leçon que nous devrions tous avoir sur le sens de notre vie. Et pas seulement au moment de déposer les armes.
Ce texte ciselé par notre première académicienne oblige à penser à réfléchir sur l'amour, l'amitié, au sens de nos actions, à l'importance du plaisir et au sens à donner à notre mort.
Durant ces jours que je passais dans la chaleur tropicale de la Floride, cette lecture m'a procuré de merveilleux moments. Des moments qui m'ont permis, à mon tour, de réfléchir au sens de la vie... de ma vie.
Première décision : je ne me séparerai plus de ce livre. Il sera toujours à mon chevet pour me rappeler que pour bien mourir, il faut avoir bien vécu...
Un chef d'œuvre à lire ou relire ...