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LGBTQI+ - Page 3

  • Dans le nouveau numéro du magazine Neon Media, je reviens sur le Chemsex

    Dans le nouveau numéro du magazine Neon Media, je reviens sur le Chemsex, ce sujet encore tabou, qui touche à la santé sexuelle, à l’isolement et aux addictions.
    Le chemsex est une réalité qu’on ne peut plus ignorer. Il est urgent d’en parler sans jugement, avec bienveillance, pour mieux prévenir, accompagner et protéger.
    C’est pourquoi, avec Anne Hidalgo, Anne-Claire Boux et Anne Souyris nous sommes particulièrement mobilisés à Paris à travers notre plan stratégique.
    Merci à Néon pour cet espace de parole nécessaire.

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  • En mémoire de Chris et de tous ceux qu’on a laissé mourir ou se suicider …

    Depuis plus de sept ans et la mort tragique de mon époux, je n’ai jamais cessé d’interpeller pour qu’une politique nationale d’information et de prévention sur le chemsex soit enfin mise en œuvre.
    Pour que plus aucun autre Chris ne meurt parce que appeler les secours risque de vous envoyer en prison.
    Comme si donner une contravention pour usage des stupéfiants était plus important qu’une vie humaine…
    La création de Grindr en 2009 et des nombreuses applications a coïncidé avec le développement du chemsex chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes  et notamment son développement en France…
    Plus que jamais, il est nécessaire de mettre en œuvre une politique de prévention et de réduction des risques.
    On ne peut continuer à fermer les yeux sur un phénomène de santé publique au prétexte qu’il ne toucherait aujourd’hui majoritairement que des gays. Et cela, comme les politiques l’ont déjà fait au début de la pandémie de ViH/sida. Nos morts n’étaient pas suffisantes pour agir.
    Alors que le gouvernement s’est enfin engagé à agir dès septembre, il faut que chacun comprenne que le chemsex n’est pas un problème de santé mineur et marginal.
    C’est tout le sens de mon combat quotidien..  
    En mémoire de Chris et de tous ceux qu’on a laissé mourir ou se suicider …

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  • « Adieu ma honte » de Ouissem Belgacem, un témoignage d’une force exceptionnelle et si utile…

    En lisant « Adieu ma honte » de Ouissem Belgacem, je ne pensais pas être autant envahi d’émotions. Vraiment. Et ce livre, je l’ai lu d’une traite…
    J’ai eu la chance de rencontrer à plusieurs reprises Ouissem et j’avais déjà été très impressionné par son charisme et son courage.
    Lors de nos rencontres, je n’avais pas saisi qu’on avait, en fait, pas mal de points communs.
    Il est issu d’une famille d’immigrés tunisiens - moi d’espagnols communistes - , a perdu son père jeune - j’ai perdu le mien à 13 ans -, et a vécu des relations très difficiles avec sa mère musulmane très croyante du fait de son homosexualité qu’il n’osait pas lui avouer pour ne pas la faire souffrir. Idem pour moi avec ma mère très catholique et pratiquante.
    Si la politique n’est plus aujourd’hui comparable à l’omerta qui existe toujours dans le foot sur l’homosexualité, c’était encore le cas dans les années 80, quand j’ai commencé à avoir des responsabilités et donc à vivre l’homophobie de tant de responsables politiques, surtout quand je militais dans le parti gaulliste. Notre différence est que j’ai persévéré dans la politique pensant que les choses pouvaient changer. J’ai eu raison. Mais lui n’a pas eu cette chance.
    Footballeur prometteur, il sera intégré, dès l’adolescence, dans le graal de l’école de formation du club de foot toulousain. Il était un des plus grands espoirs de sa génération. Il se retrouvera même dans l’équipe nationale tunisienne. Un beau symbole pour cet enfant de Tunisiens.
    Mais un mal va le ronger : l’homophobie quotidienne qu’il vit dans son club. Dans un premier temps, il luttera contre son homosexualité qui perturbait ce croyant qu’il est et l’empêchait d’être le footballeur qu’il voulait.
    Les psys et les fausses petites amies vont se succéder. L’antidote anti-gay ne va pas fonctionner. Il est de plus en plus malheureux. Et forcément ses résultats footballistiques ne sont plus au rendez-vous. Il rate la professionnalisation à Toulouse et décide d’essayer de nouvelles aventures dans une équipe américaine. Un autre fiasco.
    Il se rend à l’évidence : Il ne peut vivre caché et dans la honte toute sa vie. Il décide alors de dire sa vérité a beaucoup de ses proches et de vivre à Londres. Tout se passe bien, mais il est rattrapé par son virus du foot qui l’a touché dès son plus jeune âge.
    Il crée un start up pour aider les footballeurs professionnels dans la gestion de leur carrière et leur reconversion.
    Patatras, il revient dans sa honte et replonge dans une double vie insupportable.
    Mais la paix reviendra. Après des moments difficiles avec sa maman dont la culture musulmane se marie difficilement avec l’homosexualité, Ouissem, entouré de ses sœurs et de ses nombreux amis, sort finalement de sa honte.
    Il est même devenu aujourd’hui un militant exemplaire et reconnu contre l’homophobie dans le sort et son livre est une pierre essentielle à l’évolution du milieu du sport et particulièrement dans le foot.
    Rien ne sera plus pareil dans le football grâce à Ouissem Belgacem, même si le chemin reste encore bien long dans ce sport pour arriver à un foot réellement friendly…
    Merci Ouissem pour ce livre.
    Une lecture indispensable, notamment pour celles et pour ceux qui aimeraient que le sport s’ouvre enfin à notre société inclusive, notamment le foot.

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  • « Roger, héros, traite et sodomite » de François Reynaert, une flamboyante biographie aussi instructive que surprenante !

    En aout 2021, l’écrivain et journaliste de l’Obs, François Reynaert m’a gentiment envoyé son dernier livre, « Roger, héros, traite et sodomite », « espérant que je sois touché par la vie de Roger. »
    Pour être honnête, je n’avais jamais entendu parler de l’irlandais Roger Casement et le livre s’est retrouvé en dessous de ma pile d’ouvrages à lire. Finalement, je l’ai carrément oublié.
    Et cette année, avant de partir en vacances, en recherchant les bouquins que j’allais emporter, je suis retombé sur le livre de Reynaert et j’ai eu, cette fois-ci, l’excellente idée de lire la 4 de couv’. J’ai alors compris que ce livre ne pourrait que m’intéresser. Forcément. Il vaut mieux tard que jamais…
    Effectivement, je n’ai pas été déçu à la lecture de cette flamboyante biographie aussi instructive que surprenante.
    Roger Casement est un homme qui a beaucoup compté au XIXème siècle.  C’est à lui qu’on doit un rapport sur les atrocités commises dans le Congo Belge sous le roi Léopold de Belgique.
    Fort de cette prise de conscience, qu’il favorisera en Grande-Bretagne, sur la situation des Africains exploités et massacrés par les puissances européennes en ce siècle maudit pour l’Afrique, il renouvellera des révélations sur les exactions abominables commisses contre les indiens d’Amazonie. Une autre prise de conscience dont il sera à l’origine et, cette fois-ci, bien au-delà du Royaume-Uni.
    La suite lui vaudra de passer pour certains pour un héros, pour les autres pour un vulgaire traitre.
    Devenu un militant irlandais, il va lutter contre la Grande-Bretagne et commettre l’irréparable en tentant de mobiliser durant la grande guerre de 1914-1918 les autorités allemandes pour soutenir les Irlandais.
    Sa traitrise à l’Angleterre lui vaudra qu’on ressorte, pendant son procès, des cahiers noirs dans lesquels il s’épanchait sur sa vie personnelle : celle d’un sodomite à une époque où le procès d’Oscar Wilde a démontré, à quel point, être uninverti était inacceptable pour la société conservatrice anglaise. Il finira sur l’échafaud, condamné à mort, pour sa traîtrise mais dont l’effectivité de la peine pourra en partie être attribuée aux révélations faites à de nombreuses autorités et aux médias sur sa sexualité déviante….
    L’Irlande devenue indépendante, il en est devenu un héros vénéré et son homosexualité, qui lui a couté si cher - en partie la vie -, lui donne même un côté particulièrement humain. Friendly, comme on dirait aujourd’hui…
    Son histoire mérite d’être connue et François Reynaert, a fait œuvre d’intérêt général en nous délivrant cette magnifique biographie d’un homme d’exception !

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  • J’exprime mon plein soutien au maire de Budapest

    J’exprime mon plein soutien au maire de Budapest, @bpkaracsonyg, injustement convoqué par la police, alors que son engagement pour la ville et ses habitants est exemplaire.
    Il y a quelques semaines encore, au nom d’@Anne_Hidalgo, j’étais à ses côtés avec d’autres représentants européens pour soutenir la Pride interdite de Budapest. Sa mobilisation sans faille a envoyé un signal fort de soutien à toutes les communautés LGBTQIA+ à travers le monde.
    Aujourd’hui, il est plus important que jamais de condamner toutes formes d’intimidation politique.
    La démocratie et la liberté d’expression sont des droits fondamentaux qui doivent toujours être respectés.
    Le maire de Budapest peut être assuré de compter sur la solidarité de la Ville de Paris face à cette épreuve.

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    Teljes támogatásomat fejezem ki Budapest polgármestere mellett, akit igazságtalanul idézett be a rendőrség, miközben elkötelezettsége a város és annak lakói iránt példamutató.
    Néhány héttel ezelőtt még Anne Hidalgo nevében más európai képviselőkkel együtt álltam mellette, hogy kiálljunk a betiltott budapesti Pride mellett. Megalkuvást nem tűrő kiállása erőteljes üzenetet küldött a világ minden táján élő LGBTQIA+ közösségeknek.
    Ma fontosabb, mint valaha, hogy elítéljük a politikai megfélemlítés minden formáját.
    A demokrácia és a szólásszabadság alapvető jogok, amelyeket mindig tiszteletben kell tartani.
    Budapest polgármestere biztos lehet benne, hogy Párizs városa szolidáris vele ebben a megpróbáltatásban.

     

  • « Michael Tolliver est vivant » de Armistead Maupin, la madeleine de bien des gays de ma génération…

    Je relis régulièrement les Chroniques de San Francisco du génial Armistead Maupin - 10 tomes à ce jour - et je viens d’achever la relecture du septime épisode « Michael Tolliver est vivant ».
    Je l’écris à chaque fois : ces chroniques m’ont aidé à vivre et à surVivre à la difficile époque où les traitements efficaces contre le VIH n’étaient pas encore arrivés.
    Dans cet épisode consacré à Michael, homme gay et séropositif, j’ai pu, plus que jamais, m’identifier. Sa force face à la maladie m’ont aidé à mieux gérer la mienne. Il était un exemple. Il m’a permis de surVivre comme tant d’autres gays séropos qui suivaient les chroniques religieusement. Notre madeleine. Notre médicament.
    Cet épisode, outre évoquer la bataille contre le virus de Michael, nous rappelle que pour beaucoup de gays des années 80, souvent rejetés par leurs parents, la famille est celle qu’ils se sont créées. Moi qui n’aie plus de parents, ni de mari, ce sont ces familles d’amis à Paris et en Thaïlande que je me suis constituées.
    Dans cet épisode, Michael doit choisir entre rejoindre sa mère mourante en Floride ou accompagner Anna, son ex-logeuse, mais sa mère de substitution, après une crise cardiaque en Californie.
    Sans surprises, il choisit Anna et sa famille recomposée de San Francisco. Celle qui ne l’a jamais jugé, contrairement à sa famille biologique engagée dans les mouvements anti-homosexuels..
    Un tome émouvant du début à la fin. Un retour au passe toujours utile. A lire, toujours et encore.

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  • Rencontre avec Jeshua Bardoo , avocat engagé pour les droits des personnes LGBTQIA+ à Saint-Vincent-et-les-Grenadines

    J'ai eu l'honneur de rencontrer Jeshua Bardoo , avocat et militant engagé pour les droits des personnes LGBTQIA+, en particulier pour la dépénalisation de l’homosexualité à Saint-Vincent-et-les-Grenadines ainsi que dans d'autres États des Caraïbes, où il n'est toujours pas possible d’aimer et d’être soi-même librement et légalement.
    Son combat est essentiel, la Ville de Paris lui apporte tout son soutien.
    À cette occasion, nous lui avons fait découvrir la Bulle, ce magnifique lieu d’accueil et d’accompagnement dédié aux personnes transgenres et aux réfugié·e·s LGBTQIA+.

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  • 5 ans d’engagement pour les droits des personnes LGBTQIA+ ! 

    Sous l’impulsion de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, notre Ville s’est engagée avec ambition et détermination en faveur des droits des personnes LGBTQIA+.
    Dès l’adoption du Plan de lutte contre les LGBTQIA+phobies en 2017, de nombreuses initiatives ont vu le jour :
    La création de la Bulle, un lieu d’accueil pour les personnes transgenres et les réfugié•es LGBTQIA+.
    Un soutien renforcé aux associations de terrain.
    Des actions de sensibilisation, comme l’incontournable Bal de l’Amour, devenu un symbole festif et engagé à Paris.
    Le Prix international LGBTQIA+, qui porte haut les valeurs d’égalité au-delà de nos frontières.
    Ou encore avec @lau_patrice, la création du premier mémorial en France en hommage aux personnes homosexuelles victimes de la déportation, et à toutes les personnes LGBTQIA+ persécutées à travers l’Histoire et la nomination de rues au nom d’événements et de personnalités LGBTQIA+.
    Ces actions, parmi tant d’autres, s’inscrivent dans l’engagement historique de la Ville de Paris pour faire de notre capitale une ville où chacun·e peut aimer et être soi-même en toute liberté.
    Paris est fière. 

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  • Paris reste et restera une ville de fiertés, de solidarité et de résistance.

    Au Conseil de Paris de juillet 2025, j’ai présenté une délibération actant l’adhésion de la Ville au réseau francophone Égides, pour renforcer notre action internationale en faveur des droits LGBTQIA+.
    À l’heure où les discours et violences anti-LGBTQIA+ se multiplient dans le monde, Paris a une responsabilité : résister, soutenir, agir.
    C’est le sens de ma participation à la Budapest Pride, interdite par le président Orbán, aux côtés d’élu·es engagé·es et de la société civile hongroise. J’y ai remis le Prix international de Paris à @viki_radvanyi, présidente de la @budapestpride, en signe de solidarité.
    C’est aussi le sens de notre adhésion à Égides, un réseau qui soutient les personnes LGBTQIA+ les plus vulnérables, notamment en Afrique francophone, souvent oubliée des grandes coopérations internationales.
    Paris reste et restera une ville de fiertés, de solidarité et de résistance.

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  • Reconnaissance des mémoires LGBTQIA+

    Nous avons franchi, au #ConseildeParis, une étape déterminante dans la reconnaissance des mémoires LGBTQIA+ en votant une délibération actant une subvention de 282 000 euros au Collectif Archives LGBTQI+.
    Cette aide vise à accompagner les travaux et à garantir la pérennité de ce centre.
    À travers cette délibération, Paris réaffirme son soutien indéfectible à la création d’un centre communautaire, culturel et de mémoire dédié aux archives LGBTQIA+, afin de favoriser la transmission et la visibilité d’une histoire trop longtemps oubliée.

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  • Retrouvez ma contribution au nouveau numéro du média @laregledujeuorg !

    Retrouvez ma contribution au nouveau numéro du média @laregledujeuorg !
    Une occasion de réaffirmer l’engagement constant de la Ville de Paris en faveur des droits des personnes LGBTQIA+.
    J’y rappelle également notre solidarité envers celles et ceux dont les droits sont menacés, comme à Budapest, où j’ai eu l’honneur de représenter la Maire de Paris lors de la Marche des fiertés, interdite par le président Orban.
    Paris restera cette ville refuge, où l’on peut aimer sans crainte et être soi-même, librement.

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  • À Paris, la Pride est une lutte, pas une polémique ! 

    À Paris, la Pride est une lutte, pas une polémique ! 
    Au #ConseilDeParis, nous avons réaffirmé notre soutien indéfectible à la Marche des Fiertés et à l’@InterLGBT, aujourd’hui attaquées de toutes parts, bien au-delà du cadre républicain.
    La Pride n’est pas qu’une fête : c’est un acte politique, une marche pour la visibilité, l’égalité, contre toutes les haines.
    Le retrait de deux subventions vitales par la Région Île-de-France est une faute politique grave. Céder à l’extrême droite, c’est trahir nos engagements republicains.
    Nos luttes doivent rester portées par celles et ceux qui sont en première ligne : personnes trans, racisées, migrantes. Nous leur devons tout.

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  • L’engagement de Paris contre les attaques aux droits des personnes LGBTQIA+ dans le monde.

    À l’initiative du groupe Paris en Commun, par @RemiFeraud et @ACORDEBARD, nous avons adopté un vœu réaffirmant l’engagement de la Ville de Paris contre les attaques aux droits des personnes LGBTQIA+ dans le monde.
    La situation internationale reste préoccupante : aux États-Unis, l’administration Trump poursuit ses politiques régressives à l’encontre des personnes transgenres, ou encore en Hongrie, au sein même de l’Union européenne, où le président Orbán a interdit la Pride, Pride à laquelle nous avons participé avec Rémi Féraud, en soutien aux associations et aux populations hongroises.
    Face à ces reculs inquiétants, Paris ne faillira pas à son engagement. Elle restera une ville de résistance et de lutte pour les droits des personnes LGBTQIA+.

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  • Ce samedi, nous étions toutes et tous des citoyens de Budapest !

    200 000 personnes ont répondu à l’appel du maire de Budapest @bpkaracsonyg  et de la Budapest Pride pour défendre l’égalité pour les personnes LGBTQIA+ !
    Une réponse à l’interdiction de la Pride par l’autocrate Orban ! Du jamais vu en #Hongrie !
    J’étais fier d’y représenter Anne Hidalgo et Paris, ville de l’amour ou l’on peut s’aimer librement et d’y accompagner mon ami sénateur Remi Feraud …
    Ce samedi, nous étions toutes et tous des citoyens de Budapest !
    Love is love !

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  • Premier festival queer russe à Paris.

    Aujourd'hui s'est clôturé le tout premier festival queer russe à Paris.
    Étant actuellement à Budapest pour soutenir le peuple hongrois et les associations face à l’interdiction de la Marche des fiertés, je n’ai pas pu être présent. C’est avec regret que j’ai manqué cet événement, car je mesure combien les droits des personnes LGBTQIA+ sont gravement menacés par le régime de Poutine.
    Nombre d’entre vous vivent désormais à Paris, dans cette ville refuge. Sachez que Paris est à vos côtés et continuera de défendre les droits humains à l’international.
    Un immense merci à Russie Liberté pour son travail remarquable.

     

  • Prix international LGBTQIA+ de la Ville de Paris à Viktória Radványi, présidente de Budapest Pride.

    A Budapest, j’ai remis, au nom de la Maire de Paris, le Prix international LGBTQIA+ de la Ville de Paris à Viktória Radványi, présidente de Budapest Pride.
    Son courage, face aux attaques contre les droits fondamentaux par le gouvernement Orbán en Hongrie, force le respect.
    À travers elle, nous saluons toute l’équipe de @budapestpride, qui depuis 30 ans défend l’amour, la liberté et l’égalité dans un contexte politique de plus en plus hostile. Leur persévérance est un exemple pour toutes les villes progressistes d’Europe.
    Ce prix reflète aussi notre engagement à faire de Paris une ville refuge, alliée et solidaire des militant·es LGBTQIA+ partout dans le monde, en particulier là où les droits sont bafoués.
    La lutte pour l’égalité est internationale, notre soutien aussi. À Budapest comme à Paris : nous ne reculerons pas.

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  • Heureux d’avoir accueilli Marcos Torres et Frédéric Obiang, défenseurs des droits LGBTQIA+ du Brésil et du Gabon

    Heureux d’avoir accueilli Marcos Torres et Frédéric Obiang, défenseurs des droits LGBTQIA+ du Brésil et du Gabon, lauréats de l’initiative Marianne 2025.
    Dans leurs pays, comme aux États-Unis ou en Europe, les avancées légales ne suffisent pas : violences et discriminations restent une réalité !
    Paris les soutient dans leurs combats : leurs droits sont nos droits.

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  • Christophe Martet, militant infatigable de la lutte contre le VIH/sida

    Christophe Martet, militant infatigable de la lutte contre le VIH/sida et président de Vers Paris - Seine St Denis Sans Sida, a eu l’honneur de recevoir de la part de Ian Brossat la Médaille d’honneur du Sénat.
    A l’occasion de cette distinction, je veux à mon tour saluer son engagement sans relâche dans la lutte contre le sida et pour l’égalité, et exprimer toute ma reconnaissance envers le travail qu’il effectue.

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  • Lancement de la Marche des Fiertés Paris IDF 2025 !

    Pour la deuxième année consécutive, nous célébrions avec émotion le lancement de la Marche des Fiertés Paris IDF 2025 et de la Semaine des Fiertés, aux côtés des associations membres de l'Inter-LGBT.
    Dans un contexte international marqué par des reculs inquiétants des droits
    LGBTQIA+, Paris se devait de réaffirmer sa position de ville des droits humains ainsi que son soutien à l'Inter-associative.
    Encore un grand merci à toute l'équipe de l'Inter-LGBT et à son président pour le travail colossal qu'ils et elles fournissent pour organiser ces événements grandioses !

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  • Je tiens à féliciter le maire de Budapest

    Je tiens à féliciter le maire de Budapest, et la ville toute entière pour leur acte de résistance face à la répression LGBTQIA+phobe que mène le gouvernement de Victor Orbán. En déclarant officiellement cette Pride comme manifestation municipale,
    Budapest envoie un message puissant.
    Au nom de la Maire de Paris, @Anne_Hidalgo, je serai très heureux de représenter notre capitale à cette Marche des fiertés et de remettre le Prix international LGBTQIA+ de la Ville de Paris à @viki_radvanyi, présidente de la @budapestpride.
    Paris est à vos côtés !