LGBTQI+
-
Aux côtés des équipes de Violette and Co, librairie féministe et LGBTQIA+ depuis 2004, et de l’association qui y est hébergée, avec @egregoire, @FVauglin et @carine_rolland.Nous affirmons que la haine, les intimidations et le harcèlement n’ont aucune place à Paris. La Ville soutient pleinement l’action de l’association qui anime ce lieu de culture, d’échanges et de résistance.
-
Aux côtés des associations sportives LGBTQIA+ !
Fier d’avoir été avec le Maire de Paris Centre, Ariel Weil, aux côtés des associations sportives LGBTQIA+ ce samedi lors du Forum des associations sportives LGBT+ 2025.55 associations mobilisées pour défendre une pratique sportive inclusive et lutter contre les discriminations. -
Hommage à Jean Le Bitoux en apposant une plaque dans le 11ème arrondissement de Paris
Hier, avec @pbloche, @FVauglin et le sénateur @husseinbourgi, nous avons rendu hommage à Jean Le Bitoux en apposant une plaque dans le 11ème arrondissement de Paris à l’adresse des anciens locaux de Gai Pied, le magazine qu’il a co-créé. Il fut un pionnier de la défense des droits LGBTQIA+ et un grand militant de la lutte contre sida et pour la reconnaissance de la déportation homosexuelle. -
Roseline Layo, après avoir tenu des propos homophobes, ment...
La République du centre nous confirme que Roseline Layo, après avoir tenu des propos homophobes, ment, ce qui est étonnant de la part de celle qui évoque à longueur de temps sa religion dont l’un des commandements est : Tu ne mentiras pas !1er mensonge : Non seulement, il n’a jamais été question qu’elle chante à Orléans mais dans un petit village.2eme mensonge : D’autre part, les organisateurs ont ment en louant une salle municipale pour un baby shower et non un concert…3eme mensonge : aucun billet n’était en vente puisque les numéros de location débouchaient sur un répondeur.4eme mensonge : le concert n’est pas reporté car la mairie ne louera pas cette salle.Roseline layo a le choix :Soit elle s’excuse pour le mal qu’elle a fait aux personnes LGBTQIA,soit elle arrête de s’obstiner à vouloir faire des concerts dans un pays où les valeurs d’inclusion et de lutte contre l’homophobie, qu’elle condamne, sont nos principes et où l’homophobie comme le racisme sont sanctionnés par nos lois ! -
Rencontrer avec Esdra Sosa et Daniela Mondragon, défenseuses des droits LGBTQIA+ au Honduras.
J’ai eu l’honneur de rencontrer Esdra Sosa et Daniela Mondragon, défenseuses des droits LGBTQIA+ au Honduras.Entre 2020 et mars 2025, 194 homicides de personnes LGBTQIA+ ont été recensés et depuis le coup d’État de 2009, plus de 400 victimes. -
Libération sous contrôle judiciaire d’Enes Hocaoğulları, jeune militant LGBTQIA+ turc
Immense soulagement d’apprendre la libération sous contrôle judiciaire d’Enes Hocaoğulları, jeune militant LGBTQIA+ turc et défenseur des droits humains arrêté début août en Turquie. Merci à toutes celles et ceux qui se sont engagés pour qu’Enes retrouve sa liberté.Mais rien n’est gagné : il reste poursuivi pour « diffusion de fausses informations », une accusation trop souvent utilisée pour museler les voix dissidentes.Je pense également à Yıldız Tar, journaliste trans turc libéré en juin dernier après 5 mois de détention pour son seul engagement en faveur des droits humains, et à qui nous avons remis un prix spécial lors du Prix international pour les droits des personnes LGBTQIA+ de la Ville de Paris. -
Merci aux organisateurs de l’Afrique Festival !
Merci aux organisateurs de l’Afrique Festival d’avoir déprogrammé Roseline Layo, qui a tenu des propos homophobes inacceptables, qui ont blessé tant de personnes LGBTQIA notamment en Afrique.Merci à eux de rappeler que ce festival refuse toute forme de haine et d’exclusion.J’espère que Roseline Layo va regretter ses propos et s’excuser auprès des personnes homosexuelles et transgenres pour le mal qu’elle leur a fait. -
Instagram censure les comptes LGBTQIA+ : nos communautés ne disparaîtront pas !
Lien permanent Catégories : Adjoint à la maire de Paris, Coup de gueule, Instagram, LGBTQI+, Web 0 commentaire -
Elle s’appelait Caroline Grandjean-Paccoud.
Elle s’appelait Caroline Grandjean-Paccoud. Elle était institutrice et directrice d’école. Elle avait 42 ans.Alors que les rires des enfants remplissaient à nouveau les cours et que les écoles reprenaient vie, elle s'est suicidée, brisée par des années d'insultes, de menaces et de violenceslesbophobes.Caroline avait déposé plainte, des enquêtes étaient ouvertes, mais rien n’a suffi. Aucune institution ne l’a protégée.Comme Lucas, 13 ans, en 2023. Comme tant d’autres avant elle, elle a été abandonnée.Combien de morts faudra-t-il encore pour que la société française prenne enfin la mesure de la haine homophobe et lesbophobe ? Combien de vies devront être brisées avant que des moyens réels soient mis en place pour protéger celles et ceux qui sont attaqué·es pour ce qu’ils sont, pour qui ils aiment ?Roseline Layo, qui vient chanter en France, ce week-end et a tenu d’horribles propos homophobes devrait réfléchir à l’histoire tragique de cette directrice !!! -
Roseline Layo : être hétéro ou homo n’est pas un choix !
Plus de 160 000 d’entre vous ont regardé sur mon compte TikTok cette vidéo de la chanteuse Roseline Layo, qui tient des propos homophobes, assimile homosexualité à pedocriminalité et appelle le gouvernement ivoirien à agir contre les personnes LGBTQIA+!Des centaines de messages homophobes et haineux ne me feront jamais oublier les personnes qui souffrent terriblement de ces propos.Etre battu, tué, emprisonné ou devoir s’exiler parce qu’on on est homosexuel est inacceptable et contraire aux droits humains.Cette chanteuse, qui arrive à Paris pour des concerts, doit savoir enfin qu’être hétéro ou homo n’est pas un choix !Forcément dans son entourage, elle a des personnes LGBTQIA, qu’elle pense au mal qu’elle leur fait en les stigmatisant ainsi… -
Roseline Layo : être hétéro ou homo n’est pas un choix !
Plus de 160 000 d’entre vous ont regardé sur mon compte TikTok cette vidéo de la chanteuse Roseline Layo, qui tient des propos homophobes, assimile homosexualité à pedocriminalité et appelle le gouvernement ivoirien à agir contre les personnes LGBTQIA+!Des centaines de messages homophobes et haineux ne me feront jamais oublier les personnes qui souffrent terriblement de ces propos.Etre battu, tué, emprisonné ou devoir s’exiler parce qu’on on est homosexuel est inacceptable et contraire aux droits humains.Cette chanteuse, qui arrive à Paris pour des concerts, doit savoir enfin qu’être hétéro ou homo n’est pas un choix !Forcément dans son entourage, elle a des personnes LGBTQIA, qu’elle pense au mal qu’elle leur fait en les stigmatisant ainsi… -
Roseline Layo incite ainsi à la haine envers la communauté LGBTQIA+ en Côte d’Ivoire
Les propos de cette chanteuse ivoirienne sont inacceptables. Roseline Layo incite ainsi à la haine envers la communauté LGBTQIA+ en Côte d’Ivoire et fait un terrible amalgame entre pédocriminalité et homosexualité. Il ne faut pas se tromper de combat : c’est celle de la lutte contre l’homophobie qu’il faut mener. Alors que la Côte d’Ivoire fait face à une flambée homophobe, notamment l’an dernier suite à une campagne virale sur les réseaux sociaux, nous devons nous mobiliser pour soutenir la communauté LGBTQIA+.À ce titre, je tiens à féliciter la drag queen @themamiwatta, originaire de Côte d’Ivoire et qui a remporté hier soir la finale de @DragRace_Fr All Stars. Son discours lors de l’émission pour évoquer les difficultés d’être une personne LGBTQIA+ dans son pays est important. Elle a eu le courage de le faire sur un plateau de télévision publique française. -
Un grand bravo à l’association TOUS·TES
C’est une bonne nouvelle : l’EFS va enfin supprimer les données mentionnant des relations homosexuelles de ses archives.Depuis 2022 que le don du sang est autorisé sans conditions aux homosexuels, la mention HSH présente dans le dossier des donneurs aurait dû être supprimée mais cela n’a pas été le cas, malgré une condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’Homme.Un grand bravo à l’association TOUS·TES qui est à l’origine d’une pétition en ligne pour réclamer le fin du fichage des homosexuels par l’EFS. C’est une victoire et la fin d’une discrimination. -
L’homophobie est contre-nature...
Je n’aurais jamais imaginé que mon discours sur TikTok sur la cérémonie de mise d’une plaque pour célébrer la création du 1er bar gay, à Paris, en 1978, aurait suscité autant de haine.Je vous le rappelle, en France, l’homophobie est pénalisée.L’homophobie est contre-nature et les homophobes sont des malades qu’il faut soigner au même titre que les racistes, antisemites ou sexistes… -
Tout mon soutien à la libraire Violette and Co ...
Tout mon soutien à la libraire Violette and Co qui subit actuellement une campagne d’intimidation et de harcèlement pour avoir mis en vitrine un livre de coloriage sur la Palestine. De plus, elle a été victime de dégradations à cause de tag à la peinture à l’acide avec des conséquences économiques importantes pour la remise en état de la vitrine.Il est inacceptable que de tels actes puissent avoir lieu à Paris. Je les condamne fermement d’autant plus que ces derniers jours, ce sont même des propos lesbophobes qui ont été prononcés à l’encontre de cette librairie sur les réseaux sociaux notamment. Ces menaces de l’extrême droite ne doivent en aucun cas remettre en cause la liberté d’exercer d’une librairie engagée sur divers combats.Cela met d’ailleurs en péril les activités de l’association hébergée par cette librairie. Je tiens d’ailleurs à préciser que c’est cette association que la Ville de Paris subventionne et non la librairie. Les propos de certains élus parisiens d’opposition sont, en plus d’être abjects, totalement faux.Toutes et tous ensemble, soyons unis face à cette obscurantisme qui menace nos démocraties. Paris restera toujours du côté de celles et ceux qui luttent pour nos libertés. -
Rencontre avec le vice-gouverneur Vannak Seng et Pisey Ly, coordonnatrice de l’association LGBTQIA+ du Cambodge, Rock.
Heureux d’avoir pu profiter de mon déplacement privé à Phnom Penh pour rencontrer le vice-gouverneur Vannak Seng et Pisey Ly, la coordonnatrice de l’association LGBTQIA+ du Cambodge, Rock.Le Cambodge ne pénalise pas l’homosexualité et il n’y existe pas d’homophobie d’Etat. Mais l’égalité des droits n’y sévit pas et la situation légale des personnes transgenres y est problématique.Mais la société civile s’organise et est de plus en plus entendue.Bravo au courageux vice-gouverneur pour sa visibilité et à Pisey pour son activisme.Paris sera toujours aux côtés de celles et de ceux qui permettent d’avancer vers une société plus inclusive, égalitaire et humaniste. -
« Mona et son Manoir » de Armistead Maupin, pour continuer à vibrer au rythme des iconiques et friendly Chroniques de San Francisco !
Comme beaucoup de fans inconditionnels des chroniques de San Francisco, j’attendais avec beaucoup d’impatience le 10ème tome « Mona et son Manoir » sorti déjà depuis un moment en Grande-Bretagne.
Bien sûr, j’ai été déstabilisé par le lieu de cet épisode - la Grande-Bretagne - et non plus Barbary Lane à San Francisco.
Que ce tome ne soit pas la suite du dernier épisode, « Anne Madrigal », était aussi troublant et déstabilisant.
Mais finalement, revenir en arrière, permet aussi de retrouver l’iconique héroïne de cette saga, Anna Madrigal vivante alors qu’Armistead Maupin l’avait fait disparaitre à la fin de son neuvième tome.
Ça valait bien cela.
Cheminer avec Mona, devenue chatelaine à Easley House dans les Cotswolds et bien sûr Michael et Wilfred, est une vraie joie. En fait, cet épisode avec son intrigue policière est parfaitement jubilatoire. Même si on est bien loin des chroniques originelles…
Je le redis, pour chaque tome, ces livres ont beaucoup aidé les gays et les séropositifs de ma génération. Celui-ci se déroule avant l’arrivée des trithérapies avec son cortège de morts souvent arrachés si jeunes à un avenir prometteur.
Certes, le sida n’y est pas présent en permanence comme dans « Michael Tolliver est vivant » (épisode 7), mais son ombre est là. Et c’est bien ainsi. Là, sans être vraiment là…
Retrouver une partie de la famille du 28, Barbary Lane est réconfortant et a illuminé mon été.
Bien sûr, j’espère que ce dixième livre ne sera pas le dernier.
On a plus que jamais besoin de continuer à vibrer au rythme des chroniques de San Francisco… Pour beaucoup de ses lecteurs, et j’en fais partie, cette saga, c’est toute une partie de notre vie… Cette série nous aura incontestablement aidé à surVivre, puis à vivre.
Merci Armistead ! -
Dans le nouveau numéro du magazine Neon Media, je reviens sur le Chemsex
Dans le nouveau numéro du magazine Neon Media, je reviens sur le Chemsex, ce sujet encore tabou, qui touche à la santé sexuelle, à l’isolement et aux addictions.Le chemsex est une réalité qu’on ne peut plus ignorer. Il est urgent d’en parler sans jugement, avec bienveillance, pour mieux prévenir, accompagner et protéger.C’est pourquoi, avec Anne Hidalgo, Anne-Claire Boux et Anne Souyris nous sommes particulièrement mobilisés à Paris à travers notre plan stratégique. -
En mémoire de Chris et de tous ceux qu’on a laissé mourir ou se suicider …
Depuis plus de sept ans et la mort tragique de mon époux, je n’ai jamais cessé d’interpeller pour qu’une politique nationale d’information et de prévention sur le chemsex soit enfin mise en œuvre.Pour que plus aucun autre Chris ne meurt parce que appeler les secours risque de vous envoyer en prison.Comme si donner une contravention pour usage des stupéfiants était plus important qu’une vie humaine…La création de Grindr en 2009 et des nombreuses applications a coïncidé avec le développement du chemsex chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et notamment son développement en France…Plus que jamais, il est nécessaire de mettre en œuvre une politique de prévention et de réduction des risques.On ne peut continuer à fermer les yeux sur un phénomène de santé publique au prétexte qu’il ne toucherait aujourd’hui majoritairement que des gays. Et cela, comme les politiques l’ont déjà fait au début de la pandémie de ViH/sida. Nos morts n’étaient pas suffisantes pour agir.Alors que le gouvernement s’est enfin engagé à agir dès septembre, il faut que chacun comprenne que le chemsex n’est pas un problème de santé mineur et marginal.C’est tout le sens de mon combat quotidien..Lien permanent Catégories : Adjoint à la maire de Paris, Chemsex, Christophe Michel-Romero, Homosexualité et homophobie, LGBTQI+, Livre Plus Vivant Que Jamais !, Ma Vie De Militant !, Ma Vie Sans Chris, Medias, Mes Livres, Paris Autrement, Politique française, Politique internationale, Santé 0 commentaire -
« Adieu ma honte » de Ouissem Belgacem, un témoignage d’une force exceptionnelle et si utile…
En lisant « Adieu ma honte » de Ouissem Belgacem, je ne pensais pas être autant envahi d’émotions. Vraiment. Et ce livre, je l’ai lu d’une traite…
J’ai eu la chance de rencontrer à plusieurs reprises Ouissem et j’avais déjà été très impressionné par son charisme et son courage.
Lors de nos rencontres, je n’avais pas saisi qu’on avait, en fait, pas mal de points communs.
Il est issu d’une famille d’immigrés tunisiens - moi d’espagnols communistes - , a perdu son père jeune - j’ai perdu le mien à 13 ans -, et a vécu des relations très difficiles avec sa mère musulmane très croyante du fait de son homosexualité qu’il n’osait pas lui avouer pour ne pas la faire souffrir. Idem pour moi avec ma mère très catholique et pratiquante.
Si la politique n’est plus aujourd’hui comparable à l’omerta qui existe toujours dans le foot sur l’homosexualité, c’était encore le cas dans les années 80, quand j’ai commencé à avoir des responsabilités et donc à vivre l’homophobie de tant de responsables politiques, surtout quand je militais dans le parti gaulliste. Notre différence est que j’ai persévéré dans la politique pensant que les choses pouvaient changer. J’ai eu raison. Mais lui n’a pas eu cette chance.
Footballeur prometteur, il sera intégré, dès l’adolescence, dans le graal de l’école de formation du club de foot toulousain. Il était un des plus grands espoirs de sa génération. Il se retrouvera même dans l’équipe nationale tunisienne. Un beau symbole pour cet enfant de Tunisiens.
Mais un mal va le ronger : l’homophobie quotidienne qu’il vit dans son club. Dans un premier temps, il luttera contre son homosexualité qui perturbait ce croyant qu’il est et l’empêchait d’être le footballeur qu’il voulait.
Les psys et les fausses petites amies vont se succéder. L’antidote anti-gay ne va pas fonctionner. Il est de plus en plus malheureux. Et forcément ses résultats footballistiques ne sont plus au rendez-vous. Il rate la professionnalisation à Toulouse et décide d’essayer de nouvelles aventures dans une équipe américaine. Un autre fiasco.
Il se rend à l’évidence : Il ne peut vivre caché et dans la honte toute sa vie. Il décide alors de dire sa vérité a beaucoup de ses proches et de vivre à Londres. Tout se passe bien, mais il est rattrapé par son virus du foot qui l’a touché dès son plus jeune âge.
Il crée un start up pour aider les footballeurs professionnels dans la gestion de leur carrière et leur reconversion.
Patatras, il revient dans sa honte et replonge dans une double vie insupportable.
Mais la paix reviendra. Après des moments difficiles avec sa maman dont la culture musulmane se marie difficilement avec l’homosexualité, Ouissem, entouré de ses sœurs et de ses nombreux amis, sort finalement de sa honte.
Il est même devenu aujourd’hui un militant exemplaire et reconnu contre l’homophobie dans le sort et son livre est une pierre essentielle à l’évolution du milieu du sport et particulièrement dans le foot.
Rien ne sera plus pareil dans le football grâce à Ouissem Belgacem, même si le chemin reste encore bien long dans ce sport pour arriver à un foot réellement friendly…
Merci Ouissem pour ce livre.
Une lecture indispensable, notamment pour celles et pour ceux qui aimeraient que le sport s’ouvre enfin à notre société inclusive, notamment le foot.